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Les ravages de l'aide sociale à l'enfance


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d'autres voudraient interdire les religions..

Ha ha ha ha ha ha ha ha ha. Mort de rire. Cela me rappelle la réaction de ma mère lorsqu'un pasteur texan à la con a cramé des Corans. Elle a rigolé, elle a dit "qu'il le brûle, ce n'est qu'une livre, lui il est seul, nous on est 1,5 milliards, bonne chance à lui". :lol: Qu'ils essaient d'interdire va. Je me lol d'avance. :lol:

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J'ai un peu creusé et passé du temps sur le site de la famille.

J'ai pu voir la vidéo faite par une autre famille, qui elle, atterri devant le tribunal correctionnel pour avoir omis d'inscrire les enfants à l'école.

C'est vrai que la vidéo est longue, mais elle est très bien faite, explique correctement le combat et vers la fin on y voit la famille au complet, les gosses ont l'air bien, et les parents très responsables aussi.

En fait, j'ai l'impression de découvrir un scandale énorme, un espèce d'acharnement de la part de l'éducation nazionale sur les familles ayant décidé de ne pas confier leurs enfants à ce mammouth que même la cour des comptes juge inefficace.

Je m'en vais de ce pas soutenir moralement ces familles, ils ne réclament que la liberté d’instruction, la liberté du choix pédagogique, et nous, ben on défend la liberté aussi.

L'état devrait être condamné aux dépens, parce que ces conneries les ruinent !!

Vraiment, je vous invite à regarder la vidéo et à lire un peu leurs histoires respectives :facepalm:

Famille rodriguez martin

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Dans le genre j'avais vu une histoire choquante à la télévision. Un couple a des enfants. La mère a des moments dépressifs sévères durant lesquels elle a des montées de colère et de violence, parfois dirigée contre ses propres enfants. ce couple décide donc de mettre temporairement leurs enfants à l'abri en contactant l'aide sociale. La mère se soigne et ils demandent de récupérer la garde de leurs enfants. Ce qui est refusée par l'administration. Effondrée, la mère replonge dans la dépression et finit par se suicider.

On pourrait penser que l'aide social prenne en compte ce décès et constate que le danger de départ n'est plus présent. Cependant, elle décide quand même de maintenir les enfants en famille d'accueil. Résultat, une famille, qui faisait trop confiance à l'Etat, totalement brisée. Effarant.

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http://www.sos-villages-de-marly.com/

http://patfalc.blog.lemonde.fr/2007/04/12/enfants-places-ou-se-trouve-la-justice/

http://justice.cloppy.net/index.php/justice/

Je ne retrouve pas le lien, mais je me souviens avoir lu sur le site d'une asso, le témoignage d'un père dont la fille avait été confiée à la mère alors qu'il réclamait la garde, au prétexte que la mère était dépressive, avait fait plusieurs séjours en HP… Il avait perdu, un jour, son ex a tué sa gamine et s'est suicidée.

J'arrête, parce que si je lis trop ce genre de site, je vais soit avoir envie d'éclater la gueule d'une assistante sociale, soit pleurer pendant des heures.

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J'arrête, parce que si je lis trop ce genre de site, je vais soit avoir envie d'éclater la gueule d'une assistante sociale, soit pleurer pendant des heures.

Non non éclate-lui la gueule plutôt, on t'accompagne, en pleurant on les fait gagner.

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Non non éclate-lui la gueule plutôt, on t'accompagne, en pleurant on les fait gagner.

+1000

Totalement écoeuré par cette histoire. L'impression de plonger dans le monde totalitaire de 1984 avec cette image chère à Orwell d'un visage perpétuellement piétiné par une bureaucratie monstrueuse :( . Nous y sommes où presque. Chaque jour, l'horrible machine étatique française invente de nouvelles lois, instaure de nouvelles procédures, met au point de nouveaux mécanismes afin de nous écraser toujours plus. Martyriser l'individu jusqu'à son éradication totale pour mieux permettre l'avénement de l'Homme nouveau cher aux socialistes de tout poil, voilà le but poursuivi :chris: .

Cela dit, il faut comprendre cette chère (dans tous les sens du mot :P ) Education Nationale, si on laisse les parents libres de choisir l'éducation de leur enfant, les défections risquent d'être nombreuses et c'est un prof qui vous le dit B) .

PS: Ledit pédégogue espère pouvoir quitter d'ici quelques années cette usine à chômeurs pour se mettre à son compte.

En tous cas, tous mes voeux à ces pauvres parents. Sinon, que peut-on faire pour les aider ?

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Je vous avais prévenu !

C'est à croire que les institutions au service de l'état ont pour mission d'écraser tout ce qui peut ressembler à un individu libre. Les veaux sont choyés, protégés, je dirais même allaités. Tout ce qui dépasse doit être coupé.

Pour vivre tranquille il faut faire profil bas et ne pas faire de vagues !

@Tremendo : si un jour j'ai à faire à une AS, vu que j'ai aps envie de perdre mon petit, je fermerai ma gueule. C'est exactement ce qu'a fait ma proche… C'est aussi ce que j'ai fait quand j'ai lu le rapport de l'enquêteur social lors de mon divorce, pourtant, c'était édifiant !!

Ces gens là ont un pouvoir de nuisance énorme puisque les juges les suivent les yeux fermés. Et quand je dis énorme, je pèse mes mots, parce que perdre des sous lors d'un procès, être diffamé, insulté et humilié, ce n'est rien face à la douleur de l'enlèvement d'un enfant : la douleur de parent mais la douleur des entrailles quand on imagine ce qu'il peut vivre, lui, petit être innocent.

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Ama il ne faut pas prendre trop au sérieux les histoires invérifiables qu'on trouve sur la toile, avec témoignages unilatéraux et conte en noir et blanc. On ne connait jamais que les victimes, curieusement on connait beaucoup moins de coupables. Moi je dis : les victimes, c'est bien fait pour leur gueule.

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Chaque jour, l'horrible machine étatique française invente de nouvelles lois, instaure de nouvelles procédures, met au point de nouveaux mécanismes afin de nous écraser toujours plus. Martyriser l'individu jusqu'à son éradication totale pour mieux permettre l'avénement de l'Homme nouveau cher aux socialistes de tout poil, voilà le but poursuivi :chris: .

Ils n'ont même pas besoin de loi iniques.

Dans ce cas précis, la loi est plutôt bien faite, ou plutôt a le mérite d'exister, puisqu'il s'agit de défendre des enfants.

Mais, c'est l'interprétation qu'en font les magistrats qui est scandaleuse.

Ils s'arrogent de droit de décider en lieu et place des proches, des enfants, des parties prenantes.

Ils donnent la priorité aux émotions et aux préjugés des AS, qui sont comme tous les humains, avec des forces et parfois des faiblesses.

Ils décident comme s'il étaient des Dieux, sans même un remord.

Ce que je ne comprends pas, c'est que la justice peut être lente.

mais en cas d'enfants, elle est sans doute trop rapide.

Bien sûr, dans le doute, on peut convenir d'une période de "quarantaine".

Mais c'est le genre de décisions qui doivent plutôt être mûrement réfléchies, contradictoires, révisables, etc…

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Sur ce coup, puisque j'ai du monde proche qui s'occupe d'enfants placés, qui voit régulièrement les AS et tout le monde qui gravite autour de l'ASE, j'ai tendance à faire confiance aux familles, et pas à l'institution…

Il suffit que tu sois considéré comme un poil sectaire ou dérangé et que qqun te dénonce pour que de graves ennuis puissent arriver. Et en tant que libertariens, nous serions très vite catalogués parmi les méchants, ne serait-ce que pour nos idées…

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Ama il ne faut pas prendre trop au sérieux les histoires invérifiables qu'on trouve sur la toile, avec témoignages unilatéraux et conte en noir et blanc. On ne connait jamais que les victimes, curieusement on connait beaucoup moins de coupables. Moi je dis : les victimes, c'est bien fait pour leur gueule.

Cette "victime" là, le juge pour enfant Xavier Serrier, avait réclamé des dommages et intérêts substantiels parce que je l'avais trainé jusqu'en cassation, où il a perdu:

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000019967639&fastReqId=1025052758&fastPos=3#

-> Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ;

Appelez le TGI de Nanterre, et posez leurs quelques questions. Là bas, demandez le greffe du juge Xavier Serrier. Osez, personne ne vous mordra. Ou allez vous vous dégonfler?

Le mémoire de Xavier Serrier, il réclamait une indemntité de 2500 euro, voyez la page 8 du PDF:

http://justice.cloppy.net/B08.07.002.memoireXS.pdf

Définition de l'article 700

L'article 700 du code de procédure civile permet au juge saisi d'une instance de condamner la partie perdante, au profit de l'autre, à une somme d'argent destinée à couvrir l'ensemble des frais non compris dans les dépens. Cette indemnité comporte un fondement juridique et un objet distincts de ceux des dépens.

Ainsi, les honoraires d'avocat, les frais de déplacements, de correspondances, engagés par la partie peuvent être compris dans une demande au titre de l'article 700 (frais cités à titre d'exemple, liste non limitative).

Le juge qui statue sur une telle demande, apprécie souverainement la condition d'équité prévue par le texte. Il peut faire droit en tout ou partie à la demande ou la rejeter lorsqu'il estime que l'équité ne commande pas la condamnation sollicitée.

Le juge, lorsqu'il prononce une condamnation au titre de l'article 700, fixe une somme forfaitaire dans la décision, sans indication de détail.

De source http://vosdroits.service-public.fr/F889.xhtml

Ensuite, si vous le souhaitez, on pourrait encore faire d'autres vérifications. Elles sont réalisables, en quelques clics ou coups de fils :mrgreen:

Moi je dis : les victimes, c'est bien fait pour leur gueule.

Ca n'arrive pas qu'aux autres…

Il suffit que tu sois considéré comme un poil sectaire ou dérangé et que qqun te dénonce pour que de graves ennuis puissent arriver.

Il suffit d'être "dénoncé", quelques calomnies suffisent à mettre cette broyeuse en marche.

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Ca n'arrive pas qu'aux autres…

Il suffit d'être "dénoncé", quelques calomnies suffisent à mettre cette broyeuse en marche.

Si vous lisez le fil en entier, vous verrez que c'est exactement ce que je dis, une de mes proches en ayant fait les frais (dénonciation).

Cependant, votre site est peu compréhensible, êtes vous le papa de stéphanie et alexandre ?

On pourrait avoir un petit condensé ici SVP ?

Merci*(vous inquiétez pas, ici, certains grognent, mais nous ne mordons que les trolls)

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Cette "victime" là, le juge pour enfant Xavier Serrier, avait réclamé des dommages et intérêts substantiels parce que je l'avais trainé jusqu'en cassation, où il a perdu:

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000019967639&fastReqId=1025052758&fastPos=3#

-> Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ;

Appelez le TGI de Nanterre, et posez leurs quelques questions. Là bas, demandez le greffe du juge Xavier Serrier. Osez, personne ne vous mordra. Ou allez vous vous dégonfler?

Le mémoire de Xavier Serrier, il réclamait une indemntité de 2500 euro, voyez la page 8 du PDF:

http://justice.cloppy.net/B08.07.002.memoireXS.pdf

Définition de l'article 700

L'article 700 du code de procédure civile permet au juge saisi d'une instance de condamner la partie perdante, au profit de l'autre, à une somme d'argent destinée à couvrir l'ensemble des frais non compris dans les dépens. Cette indemnité comporte un fondement juridique et un objet distincts de ceux des dépens.

Ainsi, les honoraires d'avocat, les frais de déplacements, de correspondances, engagés par la partie peuvent être compris dans une demande au titre de l'article 700 (frais cités à titre d'exemple, liste non limitative).

Le juge qui statue sur une telle demande, apprécie souverainement la condition d'équité prévue par le texte. Il peut faire droit en tout ou partie à la demande ou la rejeter lorsqu'il estime que l'équité ne commande pas la condamnation sollicitée.

Le juge, lorsqu'il prononce une condamnation au titre de l'article 700, fixe une somme forfaitaire dans la décision, sans indication de détail.

De source http://vosdroits.service-public.fr/F889.xhtml

Ensuite, si vous le souhaitez, on pourrait encore faire d'autres vérifications. Elles sont réalisables, en quelques clics ou coups de fils :mrgreen:

Je ne comprend pas ce que vous essayez de montrer. En tout cas, le document lié montre que vous avez perdu votre procès, le fait que l'indemnité de l'article 700 ne soit pas attribué n'y changeant rien.

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Si vous lisez le fil en entier, vous verrez que c'est exactement ce que je dis, une de mes proches en ayant fait les frais (dénonciation).

Cependant, votre site est peu compréhensible, êtes vous le papa de stéphanie et alexandre ?

On pourrait avoir un petit condensé ici SVP ?<br>

Stéphanie et Alexandre ? Où avez vous lu ces prénoms ? :toufou:

Des condensés, j'en ai parfois publié. Mais je me suis souvent apperçu qu'ils ne sont pas lus… ce qui n'empêche pas des gens - même des flics, même des juges, et pas seulement des trolls - de tirer des conclusions ,de juger, de prendre des décisons, parfois lourdes de conséquences.

J'ai été dénoncé fin 2002, suite à quoi, une horde de harpies, des travailleurs sociaux et des juges s'en s'ont mèlés.

Valentine et Arthur, ce sont deux enfants qui devraient bientôt être "placés", eux aussi. Leurs proches et soutiens ont leur propre site Internet:

Depuis'>http://associationarva.wordpress.com/

Depuis 2002 et tout en tentant de me défendre, je me suis beaucoup penché sur ce genre d'affaires ou histoires souvent dites "de famille", dans lesquelles les professionnels de l'ASE ou de la protection de l'enfance ne font souvent qu'envenimer les choses, notamment par le "traitement" qu'ils imposent aux enfants. L'affaire Sébastien en est une autre que j'avais également suivie, sa grand-mère avait aussi alimenté un blog:

Quoi'>http://vadj.ovh.org/

Quoi dire de plus, comment synthétiser près de 10 annnées de bordel ou de chienlit imposé par des professionnels de la Dass, dans mon existence, dans l'existence de ma famille (ou ce qu'il en reste) ainsi que dans les existences de mes enfants?

J'ai deux filles, l'ainée, Justine, était née d'une précédente union.

La mère de Justine est décédée en 1999. Suite à cela, de façon naturelle et légitime, j'avais sa garde.

Mais en 2002, le grand-père maternel de mon ainée est décédé, sa succession a été ouverte, puis j'ai été dénoncé… les tantes maternelles de Justine ont réclamé sa garde ainsi que l'administration de ses biens (la fumeuse succession). Les juges, bouchés et bornés, ont suivi ces tantes maternelles. Fin 2003, mon ainée a été "placée", mi-2005, tous mes droits sur elle ont été suspendus et cette enfant a été "donnée" à ses tantes maternelles, par les juges.

Depuis, j'ai fait désavouer ou blâmer plusieurs juges et professionnels de ces milieux, notamment Xavier Serrier ainsi qu'un notaire (la fumeuse succession…). Mais les juges pour enfant et la chambre des mineurs de la cour d'appel n'ont toujours rien voulu savoir ni entendre. Depuis, les juges avancent systématiquement d'anciens avis "psychiatriques" de complaisance qu'ils avaient réclamé pour me discréditer, des avis selon lesquels je "pouvais" ou "pourrais" être dangereux, juste des paroles en l'air, sans fondements rationnels, et de la diffamation.

J'ai été confronté à de véritables teignes, ces juges et des travailleurs sociaux. Ils m'ont refusé toutes contres-expertises. Ils ont aussi refusé tous mes éléments à décharge, notamment ceux qui démontrent que leurs avis "psychiatriques" sont partiaux. Je viens de refaire appel, je vais donc encore pouvoir en débattre à nouveau avec ces mêmes juges. Mais je n'ais plus d'illusions, ces juges m'ont déjà démontré qu'ils ne savent qu'instruire et réviser à charge - "diffamation, calomnies, mensonges", tel est leur crédo.

Après avoir attaqué Xavier Serrier, mi-2008, j'avais enfin pu renouer quelques temps avec mon ainée. Puis elle a à nouveau disparue chez ses tantes maternelles, mi-2009. Je n'ai plus insisté. Depuis la mi-2009, je ne fais plus que rassembler encore du papier (jugements, arrêts, arrêts de cour de cassation) qui me permet de m'exprimer librement, de décrire comment fonctionnent ces juges pour enfants ou ce dispositif de la protection de l'enfance.

Pour plus de détails, je vous invite à partir fouiller dans mon propre blog, vous les trouverez: http://justice.cloppy.net

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Ne pas oublier que ce sont souvent des associations qui s'occupent des enfants placés ou en AEMO (action éducative en milieu ouvert), ces assos sont financées selon les nombre d'enfants qu'elle accueillent…

Ont-elles intérêt à voir le nombre d'enfants placés baisser ?

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Je ne comprend pas ce que vous essayez de montrer. En tout cas, le document lié montre que vous avez perdu votre procès, le fait que l'indemnité de l'article 700 ne soit pas attribué n'y changeant rien.

C'est ce que pourrait me répondre tout mauvais juriste ou des gens qui n'approfondiront pas ce qui s'est tramé, entre mars 2008 et octobre 2010.

En mars 2008, le juge Xavier Serrier refusait de convoquer pour une audience. Avec cette procédure de prise à partie, je l'ai sommé de juger, ce qu'il a été obligé de faire. Fin mai 2008, il y a eu une audience. Pour cette audience, des caméras m'avaient suivies, pour un reportage qui a été diffusé début juin 2008, par France 2. La Protection se l'Enfance et ce juge s'étaient alors pris un gros vent…

L'arrêt rendu en décembre 2008, par la cour de cassation, est motivé. Je savais que j'allais "perdre", le greffe de la cour de cassation m'avait prévenu. C'était en toute connaissance de cause que je déclarais un pourvoi pour contester une décision de la première présidence de la cour d'appel de Versailles, elle m'avait refusé la prise à partie de Xavier Serrier, mais de façon farfelue. Vous remarquerez que l'arrêt de décembre 2008 rappelle des textes organiques et le statut de la magistrature… je n'en demandais pas beaucoup plus. Cette procédure aurait du être déclarée "irrecevable", c'est ce que dit l'arrêt. Ou rappeler le droit aux juges ne serait-il plus le rôle de la cour de cassation?

En tout cas, le document lié montre que vous avez perdu votre procès, le fait que l'indemnité de l'article 700 ne soit pas attribué n'y changeant rien.

Comme me le permettait cette procédure de prise à partie, je n'avais pas d'avocat pour ce pourvoi et cet arrêt de 2008. Hormi du temps, ça ne m'a donc pas coûté grand chose.

Xavier Serrier avait un avocat à la cour de cass. Comptez quelques milliers d'euro pour un avocat, dans ces sphères là. Je pense que Xavier Serrier réclamait ces 2500 euro pour se faire rembourser tout ou partie de ses frais d'avocats… Il ne les a pas eu :mrgreen:

Mais il s'était encore passé ou tramé d'autres choses, plus intéressantes que ce vent infligé à Xavier Serrier et à la première présidence de la cour d'appel de Versailles.

Xavier Serrier ne voulait pas que Justine et moi nous puissions renouer, ce juge avait maintenu une interdiction de DVH et de tous contacts entre elle et moi. Comme j'avais engagé une procédure contre lui, ce juge a du lâcher le dossier d'assistance éducative. Et avec toutes ces pressions (cassation, appel, France 2, etc), un autre juge a fini par accorder ce que Xavier Serrier avait refusé: des droits de visites qui m'avaient alors permis de renouer avec ma fille, Justine.

Plus tard, et alors que j'avais fait appel de la décision du juge Xavier Serrier, décision qui avait été confirmée par la cour d'appel, j'ai finalement fait casser à nouveau la cour d'appel. En effet, la cour de cassation a cassé et annulé un arrêt rendu par la suite, par Versailles, en 2009. Autant dire qu'aux alentours de 2008-2009, j'ai pilloné dans les secteurs de Nanterre et de Versailles. Le second arrêt est aussi publié sur Legifrance. Le second arrêt a également été commenté par les juristes de Dalloz et de LexisNexis.

Lisez cela, vous trouverez les références de l'arrêt d'octobre 2010, qui cassait ensuite une seconde fois Versailles:

http://justice.cloppy.net/index.php/lacuree/2011/02/16/bicc-nd736-du-15-fevrier-2011

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L'arrêt rendu en décembre 2008, par la cour de cassation, est motivé. Je savais que j'allais "perdre", le greffe de la cour de cassation m'avait prévenu. C'était en toute connaissance de cause que je déclarais un pourvoi pour contester une décision de la première présidence de la cour d'appel de Versailles, elle m'avait refusé la prise à partie de Xavier Serrier, mais de façon farfelue. Vous remarquerez que l'arrêt de décembre 2008 rappelle des textes organiques et le statut de la magistrature… je n'en demandais pas beaucoup plus. Cette procédure aurait du être déclarée "irrecevable", c'est ce que dit l'arrêt. Ou rappeler le droit aux juges ne serait-il plus le rôle de la cour de cassation?

Si on jette un oeil à cet arrêt, on voit que la procédure qui aurait du être déclarée irrecevable, c'est votre pourvoi. La Cour de cassation a confirmé que la prise à partie n'était pas possible. Vous spéculez à partir de l'absence de l'allocation de l'indemnité de l'article 700 or il se peut que cette allocation n'ait pas été allouée pour la raison toute bête que celui qui l'a demandée ne l'avait pas étayée comme il aurait du le faire.

Plus tard, et alors que j'avais fait appel de la décision du juge Xavier Serrier, décision qui avait été confirmée par la cour d'appel, j'ai finalement fait casser à nouveau la cour d'appel. En effet, la cour de cassation a cassé et annulé un arrêt rendu par la suite, par Versailles, en 2009. Autant dire qu'aux alentours de 2008-2009, j'ai pilloné dans les secteurs de Nanterre et de Versailles. Le second arrêt est aussi publié sur Legifrance. Le second arrêt a également été commenté par les juristes de Dalloz et de LexisNexis.

Lisez cela, vous trouverez les références de l'arrêt d'octobre 2010, qui cassait ensuite une seconde fois Versailles:

http://justice.cloppy.net/index.php/lacuree/2011/02/16/bicc-nd736-du-15-fevrier-2011

Pourquoi "à nouveau"… Je ne me rappelle pas avoir lu une décision de cassation en votre faveur. La décision que vous liez casse la décision de la cour d'appel sur un point technique et vous renvoie donc à nouveau en Cour d'appel. Peut-être que l'avenir vous donnera raison mais cela n'est pas dit.

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Si on jette un oeil à cet arrêt, on voit que la procédure qui aurait du être déclarée irrecevable, c'est votre pourvoi. La Cour de cassation a confirmé que la prise à partie n'était pas possible.

Le juge s'était bien empressé de juger après la seconde sommation de juger alors qu'il ne répondait pas à mes simples requetes par RAR.

La première présidence s'était ensuite contentée de motiver un refus en rappelant uniquement les articles 366 et suivants.

Article 366-1

Décret n°2006-1805 du 23 décembre 2006 - art. 5 JORF 31 décembre 2006 en vigueur le 1er janvier 2007

La requête aux fins d'autorisation de la procédure de prise à partie est portée devant le premier président de la cour d'appel dans le ressort de laquelle siège le juge intéressé.

Ces textes ne concernent que les magistrats non professionnels (prud'hommes, chambre du commerce, …). Ce n'est qu'après la cour de cassation que tout le monde dans mon secteur s'est aperçu que les magistrats professionnels ont un statut particulier et que la procédure de prise à partie ne pouvait tout simplement pas être utilisée contre un juge pour enfant.

Attendu, d'une part, qu'il résulte des articles L. 141-2 du code de l'organisation judiciaire et 11-1 de l'ordonnance n° 58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature…

Mais est-il vraiment nécessaire de pinailler à ces sujets? A l'époque et alors que tous mes droits sur ma fille (DVH, correspondance, … ) étaient suspendus, je n'avis plus la moindre nouvelle d'elle, nous avions enfin pu renouer.

Sans ce pourvoi ou cette procédure qui aurrait du être déclarée irrecevable, ces sommations de juger, il aurait encore pu s'écouler des mois avant une nouvelle audience chez le juge pour enfant.

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Ca n'explique toujours pas pourquoi on vous a retiré tout droit sur votre fille…

En général, j'ai tendance à penser qu'on évite de répondre aux questions qui dérangent.

Ce genre de question ou d'insinuations, diffamatoires, ne me dérange absolument pas.

Je peux déjà répondre que j'ai toujours eu l'autorité parentale sur mon ainée, jusqu'à sa majorité - pur formaliste. Dans la pratique, c'est inexact, les travailleurs sociaux et les gens qui se sont occupé de ma fille depuis 2005 ne m'ont jamais communiqué la moindre information la concernant. Quant aux décisions (scolarité, orientation, enseignement religieux, …) concernant ma fille ainée, ces mêmes gens et travailleurs sociaux les prennaient tout seuls.

Pour la suppression de tous mes droits sur ma fille, c'est aujourd'hui principlament motivé par un avis psychiatrique (je parle plutôt d'une opinion de charlatan). Vous voulez des détails? Ma soeur ainée est trisomique, pour les juges de ce pays, c'est un "antécédant familial"… Après avoir rappelé cet "antécédant" et après un court développement, l'avis psychiatrique conclue que je serais "paranoïaque" et que "selon les circonstances, sous certaines conditions", je "pourrais" ou "pouvais" représenter un danger pour le "psychisme" de ma fille ainée - oui, son "psychisme", et non, les juges et le psychiatre n'ont pas précisé dans quelles "circonstances" ou "conditions" je "pourrais" ou "pouvais" représenter un "danger".

Prennez cette opinion de charlatan avec des pincettes, la réserve qui s'impose. A l'époque, j'affirmais ou je parlais de choses sans forcément pouvoir les démontrer. Aujourd'hui et depuis un moment dejà, cet ancien avis de psy ne tient plus la critique.

Avant ce rapport psychiatrique, on me reprochait d'avoir maltraité ma fille ainée. Avant cela, on me reprochait aussi de souhaiter la "délaisser". On m'a aussi accusé d'avoir acheté une maison avec de l'argent susceptible d'appartenir ou de revenir à ma fille… Je vous arrête de suite, il n'y a pas eu de pénal ni de correctionnel, ces accusations, calomnieuses, ne tenaient pas la route. Ces histoires de pognon et de successions, ce sont des choses qui ont été instrumentalisées par le juge pour enfant de Nanterre, comme le reste, pour motiver le "travail social" et la "protection" de mon ainée. En janvier 2011, suite à un ultime passage en cour d'appel, en chambre civile, je faisais finalement désavouer le juge des tutelles et une étude de notaire se prenait un blame:

http://justice.cloppy.net/P1010669.JPG

Avant ce rapport psychiatrique, versé au dossier début 2006, on me repprochait surtout beaucoup d'avoir porté des plaintes contre des travailleurs sociaux, ainsi que d'avoir porté plainte en raison de recel successoral. On me repprochait aussi de me plaindre parce qu'une banque ne me répondait pas, la banque qui détenait les comptes de la mère de ma fille ainée, décédée. Je pense que ce sont plutôt ces choses là qui ont motivé l'intervention d'un psychiatre, le juge pour enfant et les travailleurs sociaux avaient insisté… Mes plaintes, embarrassantes pour le parquet et les travailleurs sociaux, ont toutes été classées ou sont sans suites connues. Quant à la banque, le juge des tutelles a fini par leurs écrire vers 2006, il ne comprennait lui-même pas pourquoi la banque ne me répondait pas alors que j'étais l'administrateur légal des biens de mon ainée (jusqu'à sa majorité).

On m'a aussi beaucoup repproché d'avoir un moment déprimé, fin 2003. Mon ainée a été placée - et seulement elle; j'ai un second enfant, né début 2003, qui n'a jamais intéressé cette justice… ces tantes maternnelles ne voulaient que la grande. En 2004, le juge pour enfant instrumentalisait encore ma dépression de 2003 pour proroger ou maintenir le placement de ma fille. Dans ce système, vous devez encaisser toutes sortes de calomnies et la diffamation, les atteintes à l'honneur et à la considération, sans jamais déprimer… Ou on vous repprochera donc aussi d'avoir déprimé!

Mon ainée a été placée en novembre 2003 après 10 à 11 mois de harcellement socio judiciaire. J'avais donc déprimé, craqué. Cela avait fait l'objet de débats auprès de la cour d'appel qui avait admis que cet épisode avait pu être une conséquence de ce harcellement, des pressions qui s'étaient exercées sur moi et ma famille.

Récemment, la chambre des mineurs m'a à nouveau repproché d'avoir souhaité délaisser ma fille ainée, fin 2003, oubliant que ce sujet avait déjà fait l'objet de débats (paragraphe précédent), c'est calomnieux. Mais j'ai depuis refait appel, je vais retourner voir ces juges. Selon un avis de psychologue que ces mêmes juges utilisent aussi contre moi, je ne serais pas d'une nature à délaisser mes enfants, raison pour laquelle, en 2005, le juge pour enfant décidait également de supprimer tous mes droits sur mon aînée. Les juges pour enfants ne sont pas très rationnels… plutôt que de rompre les relations parents-enfants, ils devraient travailler ou rétablir des liens, mais dans la pratique, on s'apperçoit qu'ils font n'importe quoi.

Ca n'explique toujours pas pourquoi on vous a retiré tout droit sur votre fille…

Fin mai 2008, le parquet de Nanterre n'a pas souhaité répondre aux questions de France 2.

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Pourquoi un pyschiatre vous déclarerait paranoiaque si c'est faux ?

Je serais étonné si la garde de votre fille vous ait été retiré suite à un seul examen psychiatrique… ce genre de procédure dure des années pourtant ! N'y a-t-il pas de "contre expertise" (je n'y connais rien et regarde peut etre trop les séries TV ricaines) ?

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Et puis même, il y a des paranoïaques (ou des narcissiques, ou des histrioniques, ou des dépressifs, ou des passifs-agressifs, ou des anxieux…) qui élèvent très bien leurs enfants. Tant que c'est une névrose et pas une psychose, aucun danger.

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Pourquoi un pyschiatre vous déclarerait paranoiaque si c'est faux ?

Parce que l'erreur médicale existe et les psychiatres ne sont pas infaillibles, par exemple ?

Je serais étonné si la garde de votre fille vous ait été retiré suite à un seul examen psychiatrique… ce genre de procédure dure des années pourtant ! N'y a-t-il pas de "contre expertise" (je n'y connais rien et regarde peut etre trop les séries TV ricaines) ?

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Et puis même, il y a des paranoïaques (ou des narcissiques, ou des histrioniques, ou des dépressifs, ou des passifs-agressifs, ou des anxieux…) qui élèvent très bien leurs enfants. Tant que c'est une névrose et pas une psychose, aucun danger.

Heu, la paranoïa est une psychose : elle contient du délire afaik.

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Pourquoi un pyschiatre vous déclarerait paranoiaque si c'est faux ?

Je serais étonné si la garde de votre fille vous ait été retiré suite à un seul examen psychiatrique… ce genre de procédure dure des années pourtant ! N'y a-t-il pas de "contre expertise" (je n'y connais rien et regarde peut etre trop les séries TV ricaines) ?

Les juges m'ont systématiquement refusé toute contre-expertise. Ils me refusent maintenant aussi une "révision". Ce qui n'a pas empêché les juges de "réviser" récemment quand même, mais à charge. Je vais aller en rediscuter avec eux, prochainement, à la cour d'appel de Versailles.

Début 2006 alors que mon ainée avait déjà été donnée à ses tantes maternelles, j'ai dit au psychiatre que la protection de l'enfance travaillait comme en 1850, c'est depuis cette époque qu'un père peut être décrété indigne, que ces pros de la Dass n'avaient pas d'autre objectif que de donner mon ainée à ses tantes maternnelles. Aujourd'hui, c'est avéré, mon ainée a été donnée à ces tantes, par les juges, en 2005. J'ai deux filles, dont une d'une union précédente. La Dass est venue "prélever" mon ainée pour la "donner" à ses tantes maternnelles. Je pense que dire ou décrire ces choses là pose problème.

L'une de ces deux tantes est assistante sociale, de l'Aide Sociale à l'Enfance, mais d'un autre département que le mien. Début 2003, ces ceux tantes se sont rapprochées de l'ASE de mon propre département, ou elles ont réclamé la garde de mon ainée. Comme je n'étais pas d'accord, l'ASE a saisi un juge. Puis ces tantes ont pourrit le dossier du juge, m'accusant encore.

Les juges ont fini par admettre que l'une des tantes est elle-même AS à l'ASE. Puis l'autre tante a fini par reconnaitre qu'elles sont toutes les deux intervenues auprès de l'ASE de mon département. Puis les deux tantes ont versé leur fiel au dossier du juge pour enfant, c'est indiscutable. En 2006, les juges ont d'ailleurs reconnu que tout ce bordel, des calomnies et les agissements de ces tantes avait pu être la cause de ma dépression, puis du placement de mon ainée.

Après, tout est parti en vrille, avec mon ainée dans un foyer de la région parisienne. Je me suis plaint de sévices que ma fille y subissait, de défauts ou de privations de soin aussi (j'ai des certificats médicaux et des réponses absurdes à ces sujets des travailleurs sociaux).

Pour se défendre ou plutôt que d'assumer leurs responsabilités, les travailleurs sociaux ont dit que je serais parano. Et bizarrement, quelques mois plus tard, l'expert psy a décrété que je serais parano…

Tout ce qui s'est passé et ce qui est écrit, couché sur du papier à entête de l'ASE, de conseils généraux, d'un notaire, du parquet, d'une banque, de l'association qui gardait ma fille, de 2003 à 2005, tout ce qui est couché dans les motivations de jugements de Nanterre et de Versailles n'est donc pas avéré. Ces faits passés et ce contenu écrit n'existent pas, puisque l'expert psychaitre et les travailleurs sociaux vous soutiennent que je serais parano :mrgreen:

Mais ne pensez vous pas que vous devriez vous mettre d'accord, suis-je maltraitant, ai-je volé de l'argent ou suis-je parano ? Si vous trouvez la bonne réponse, faites en part aux juges de Nanterre et de Versailles, vous les aideriez à aller de l'avant…

Attention, si je suis parano, maltraitant et si dangereux, si la trisomie de ma soeur aînée est pour vous une preuve de quelque chose, je vais vous demander de m'expliquer pourquoi ma seconde fille n'a pas été placée aussi :mrgreen:

Heu, la paranoïa est une psychose : elle contient du délire afaik.

Tout à fait, un parano est parfois un peu dans son monde. Il peut être tout tranquille et gentil, à côté de vous, puis sans que vous ne comprenniez pourquoi, sans le moindre avertissement, il peut s'emparer d'une arme par destination, un pot de fleur, et vous tuer sur place.

Et je vous le répète, fin mai 2008, le parquet de Nanterre n'a pas voulu répondre aux journalistes de France 2 :mrgreen:

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Vous spéculez à partir de l'absence de l'allocation de l'indemnité de l'article 700 or il se peut que cette allocation n'ait pas été allouée pour la raison toute bête que celui qui l'a demandée ne l'avait pas étayée comme il aurait du le faire.

Je reviens encore un peu sur ce point, après vous avoir déjà répondu un peu plus en détail, plus haut. Vous dites que je ne ferais que spéculer. Or, j'étais tout de même aux premières loges, depuis le cabinet du petit juge jusqu'à la cour de cassation, en passant par la case première présidence.

Je crois très sincèrement que le juge Xavier Serrier s'est vautré, y compris dans la façon dont il s'est défendu, contre moi, dans le cadre de cette procédure de prise à partie (irrecevable ou pas autorisable). Et je ne pense pas être étranger à son "avancement", en 2010. J'ai le très net sentiment qu'après ce passage en cassation, sa carrière a été quelque peu compromise. C'est en tous cas ce que j'ai cru lire au Journal Officiel.

J'ai publié ce billet en juillet 2010. Personne n'a répondu, vous y trouverez les références du Journal Officiel:

http://justice.cloppy.net/index.php/epilogue/2010/07/27/c-est-officiel-xavier-serrier-s-est-passionne-pour-sa-petite-fonction

Mais le juge Xavier Serrier avait peut-être encore fait d'autres conneries, l'administration ne nous dit pas tout :mrgreen:

Allez taper son nom sur Google.

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