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Salaire minimum sans SMIC


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Bref, le SMIC doit être aboli. C'est la mesure la plus importante d'une politique libérale, amha.

Mais, c'est même une politique "normale", cette mesure est même "anti sociale" (si j'étais socialiste). En pondant cette loi, tu fais stagner tous les salaires au SMIC, je compte pas les Français autour de moi qui me disent "je gagne le smic", c'est a dire qu'on réfléchi même plus, bam, on te donne le smic, alors que rien ne dit que le patron t'aurait pas payé plus.

C'est vraiment une loi conne, même si dans un autre monde j'étais socialaud, jamais il me viendrait à l'idée de créer un smic.

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Mais, c'est même une politique "normale", cette mesure est même "anti sociale" (si j'étais socialiste). En pondant cette loi, tu fais stagner tous les salaires au SMIC, je compte pas les Français autour de moi qui me disent "je gagne le smic", c'est a dire qu'on réfléchi même plus, bam, on te donne le smic, alors que rien ne dit que le patron t'aurait pas payé plus.

C'est vraiment une loi conne, même si dans un autre monde j'étais socialaud, jamais il me viendrait à l'idée de créer un smic.

Les français ne savent même pas combien vaut le SMIC, quand tu poses la question autour de toi, personne ne sait, ils s'imaginent que c'est la pauvreté extrême. Alors qu'au 1er janvier 2011 , ce sont 9 euros de l'heure, soit 1365 euros brut a temps plein par mois, soit 1073 euros net. Bref, c'est ric rac mais pas impossible de vivre avec, loin de là.

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Les français ne savent même pas combien vaut le SMIC, quand tu poses la question autour de toi, personne ne sait, ils s'imaginent que c'est la pauvreté extrême. Alors qu'au 1er janvier 2011 , ce sont 9 euros de l'heure, soit 1365 euros brut a temps plein par mois, soit 1073 euros net. Bref, c'est ric rac mais pas impossible de vivre avec, loin de là.

On m'avait dit 1100€, pas très loin.

C'est un peu juste si tu vis en province, impossible à Paris. Bon, les salaires sont plus élevés dans les grandes villes qu'à la campagne, je suppose que les patrons ont tendance à rajouter 10/15% (voir peut-être plus ?) à travail égal si tu bosses à Paris que si tu bosses au fond de l'Auvergne. D'ailleurs, que font les socialistes face à cette inégalité ? Rien !

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On m'avait dit 1100€, pas très loin.

C'est un peu juste si tu vis en province, impossible à Paris. Bon, les salaires sont plus élevés dans les grandes villes qu'à la campagne, je suppose que les patrons ont tendance à rajouter 10/15% (voir peut-être plus ?) à travail égal si tu bosses à Paris que si tu bosses au fond de l'Auvergne. D'ailleurs, que font les socialistes face à cette inégalité ? Rien !

Et ben tu vas pas vivre à Paris, tu vas en banlieue ou en Province. Mais avec 1070 euros net à la fin du mois, on n'est pas en situation de pauvreté, sauf si t'as des enfants à ta charge ça devient très dur.

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Et ben tu vas pas vivre à Paris, tu vas en banlieue ou en Province. Mais avec 1070 euros net à la fin du mois, on n'est pas en situation de pauvreté, sauf si t'as des enfants à ta charge ça devient très dur.

Sans compter les allocations (bon je ne fais pas l'apologie de la redistribution, juste qu'il faut quand même en tenir compte, et que dans un système libéral on pourrait remplacer "allocs" par charges salariales et patronales)

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On m'avait dit 1100€, pas très loin.

C'est un peu juste si tu vis en province, impossible à Paris. Bon, les salaires sont plus élevés dans les grandes villes qu'à la campagne, je suppose que les patrons ont tendance à rajouter 10/15% (voir peut-être plus ?) à travail égal si tu bosses à Paris que si tu bosses au fond de l'Auvergne. D'ailleurs, que font les socialistes face à cette inégalité ? Rien !

La Haute Loire est un des départements où il y a le moins de chômage (il a été le meilleur, mais je ne sais pas si cela s'est maintenu).

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Bof, ça ne prend pas en compte le taux de retraités. Il y a sans doute peu de chômeurs, parce que rien d'intéressant ne retient les chômeurs sur place, et que pour retrouver un travail ils n'hésitent pas à aller dans les départements voisins (pour la Haute-Loire, à Saint-Etienne, à Clermont-Ferrand ou à Lyon par exemple). Faudrait plutôt des statistiques sur le taux d'activité après 16 ans (et si possible sa structure par âge et par sexe).

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Sans compter les allocations (bon je ne fais pas l'apologie de la redistribution, juste qu'il faut quand même en tenir compte, et que dans un système libéral on pourrait remplacer "allocs" par charges salariales et patronales)

Les allocations permettent de vivre très bien si on fait 10 gosses pour les exploiter.

Si on en fait 2 ou 3 et qu'on essaie de leur donner le mieux qu'on peut, on dépense bien plus que les allocs.

Bon sinon oui on peut vivre avec un SMIC mais :

- pas dans un quartier non-pauvre (donc pas à Paris intra-muros hors HLM)

- pas très bien

On peut même vivre avec moins si on est vraiment tout seul et en bonne santé.

J'ai eu une discussion avec un immigré asiatique qui a été clandestin et quand il m'a expliqué comment il a vécu les premières années… Un "dortoir" (studio partagé avec 6 personnes) pour dormir, bouffe toujours la même midi et soir, zéro vie sociale, boulot 12h par jour et 50% des faibles revenus économisés petit à petit (!). 5 ans plus tard il avait l'apport personnel pour emprunter à un prêteur illégal pour se payer son premier magasin. Il a tout remboursé. Il en a maintenant 2. Il marge plus de 100k par an mais il vit comme un petit fonctionnaire. Il a commencé à acheter des petits studios en province qu'il loue.

Le problème c'est qu'en France tout le monde subit à un niveau moindre le syndrome de l'enfant gâté qui touche les gosses de riches. Tout le monde sait ou croit savoir qu'il y aura toujours le filet de sécurité étatique. Sauf qu'en fait non. Quand les gens vont réaliser ça peut-être qu'ils vont saisir qu'une vie sociale est un luxe et que ne pas avoir de patrimoine est un état précaire qu'il faut corriger avant de faire quoi que ce soit d'autre dans sa vie.

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Ce qui me pose souci dans cette question de salaire minimum sans SMIC n'est pas de se dire quel sera le niveau de vie des salariés.

Le SMIC est une aberration, et, une fois supprimé, les différents salaires s’établiront en fonction de la rentabilité et de la compétitivité du salarié.

En revanche, la grande question est : que va-t-il se passer au moment (au début) de l'abandon du SMIC ?

Comment vont réagir les myriades d'entreprises ??

Ok, les nouveaux emplois à pourvoir auront un salaire plus faible, et seront progressivement augmentés tant qu'ils ne seront pas pourvus.

Mais quid de ceux qui voudront que les salaires actuels soient rééchelonnés en fonction de cette nouvelle donne ?

Je suis libéral, donc, je sais, qu'avec le temps, un équilibre optimal s’établira entre ce que pense valoir un salarié et ce que son employeur est prêt à mettre.

Mais, dans l'intervalle, que peut-il se passer ??

Pour le Français moyen, ce sera l'annonce d'un chaos social, d'une perte vertigineuse de sécurité, etc…

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Ce qui me pose souci dans cette question de salaire minimum sans SMIC n'est pas de se dire quel sera le niveau de vie des salariés.

Le SMIC est une aberration, et, une fois supprimé, les différents salaires s’établiront en fonction de la rentabilité et de la compétitivité du salarié.

En revanche, la grande question est : que va-t-il se passer au moment (au début) de l'abandon du SMIC ?

Comment vont réagir les myriades d'entreprises ??

Ok, les nouveaux emplois à pourvoir auront un salaire plus faible, et seront progressivement augmentés tant qu'ils ne seront pas pourvus.

Mais quid de ceux qui voudront que les salaires actuels soient rééchelonnés en fonction de cette nouvelle donne ?

Je suis libéral, donc, je sais, qu'avec le temps, un équilibre optimal s’établira entre ce que pense valoir un salarié et ce que son employeur est prêt à mettre.

Mais, dans l'intervalle, que peut-il se passer ??

Pour le Français moyen, ce sera l'annonce d'un chaos social, d'une perte vertigineuse de sécurité, etc…

A mon sens la clé est dans les conventions collectives, que ce soit sous forme d'accord de branches ou d'entreprises, nationales ou locales et les contrats individuelles.

La plus grande peur des Francais c'est l'incertitude, donnons leur l'assurance qu'ils ne perdront rien aux changes. On peut tout à fait avoir un système protecteur et flexible.

Le contrat n'a jamais nuie à l"efficacité.

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On peut vivre avec le SMIC, mais pas consommer. J'entends par là que l'on peut vivre simplement, si on est rigoureux avec son budget, très peu endetté, qu'en effet on est en bonne santé et que l'on a pas la courroie de distribution de la voiture à changer. Mais je ne suis pas sûr que le modèle de vie, les valeurs de notre société soient celles de la modération actuellement.

Pour accompagner la suppression du SMIC, il faudrait également revenir sur tout un tas de mesure qui empêchent la flexibilité du travail. A commencer par les 35h et l'annualisation du temps de travail. De même dans le cadre des négociations des conventions collectives, il faudrait également des syndicats adultes (des deux cotés). C'est tout ce que je souhaite mais cela est-il envisageable dans un pays qui a pris de si mauvaises habitudes ?

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Ce qui me pose souci dans cette question de salaire minimum sans SMIC n'est pas de se dire quel sera le niveau de vie des salariés.

Le SMIC est une aberration, et, une fois supprimé, les différents salaires s’établiront en fonction de la rentabilité et de la compétitivité du salarié.

En revanche, la grande question est : que va-t-il se passer au moment (au début) de l'abandon du SMIC ?

Comment vont réagir les myriades d'entreprises ??

Ok, les nouveaux emplois à pourvoir auront un salaire plus faible, et seront progressivement augmentés tant qu'ils ne seront pas pourvus.

Mais quid de ceux qui voudront que les salaires actuels soient rééchelonnés en fonction de cette nouvelle donne ?

Je suis libéral, donc, je sais, qu'avec le temps, un équilibre optimal s’établira entre ce que pense valoir un salarié et ce que son employeur est prêt à mettre.

Mais, dans l'intervalle, que peut-il se passer ??

Pour le Français moyen, ce sera l'annonce d'un chaos social, d'une perte vertigineuse de sécurité, etc…

Une des premieres consequences sera une baisse du coût du travail donc une baisse des coûts de productions donc une baisse du coûts des biens et services made in France et une hausse de la.compétitivité du made in France sur les marchés. Après si on veut aller plus loin on peut prédire une hausse de l'emploi donc un allègement de la charge des inactifs je pense que ce qu'il faut garder en tète c'est qu'une baisse du salaire nominal liée à l'abandon du SMIC sera compensée par une baisse des coûts de production

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Une des premieres consequences sera une baisse du coût du travail donc une baisse des coûts de productions donc une baisse du coûts des biens et services made in France

Suis pas aussi sûr de cela.

Si il y a une baisse des charges pour une entreprise il y a 3 possibilités de la redistribuer:

Aux consomateurs comme tu le dis,

Aux salariés, par exemple ici permettre d'embaucher plus de monde ou de mieux payer les cadres,

Aux actionnaires.

L'expérience m'a montrée que les prix ne baissent très rarement même en cas de diminution des charges (le dernier exemple étant la baisse de la TVA dans la restauration).

Au mieux ils n'augmentent pas pendant quelques temps.

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Suis pas aussi sûr de cela.

Si il y a une baisse des charges pour une entreprise il y a 3 possibilités de la redistribuer:

Aux consomateurs comme tu le dis,

Aux salariés, par exemple ici permettre d'embaucher plus de monde ou de mieux payer les cadres,

Aux actionnaires.

L'expérience m'a montrée que les prix ne baissent très rarement même en cas de diminution des charges (le dernier exemple étant la baisse de la TVA dans la restauration).

Au mieux ils n'augmentent pas pendant quelques temps.

Oui j'ai simplifié à l’extrême, merci d'y apporter ces nuances. Mais on constate bien que dans les 3 cas le bénéfice, même s'il n'est pas forcement visible est bien présent.

Si l'employeur ne baisse pas ses prix, il pourra en effet peut être creer plus d'emploi ou en tout cas conserver ceux qu'il aurait autrement détruit, ou si cette baisse est redistribuée aux actionnaires ceux ci pourront décider de maintenir voire augmenter leur investissent

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L'expérience m'a montrée que les prix ne baissent très rarement même en cas de diminution des charges (le dernier exemple étant la baisse de la TVA dans la restauration).

Au mieux ils n'augmentent pas pendant quelques temps.

Logique, les restaurants refaisaient leur marges perdues, mais pas seulement les restaurants, toute la chaine en amont.

Une petite baisse des charges va d'abord permettre une amélioration des marges, donc davantage d'argent pour les actionnaires, mais aussi du désendettement et des investissements, et peut-être en ligne de mire des embauches.

Une grosse baisse des charge et tout est possible.

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Logique, les restaurants refaisaient leur marges perdues, mais pas seulement les restaurants, toute la chaine en amont.

Une petite baisse des charges va d'abord permettre une amélioration des marges, donc davantage d'argent pour les actionnaires, mais aussi du désendettement et des investissements, et peut-être en ligne de mire des embauches.

Une grosse baisse des charge et tout est possible.

+1

La diminution de la TVA sur la restauration a coïncidé avec une augmentation sensible des matières premières.

Ne jamais oublier que de bonnes réformes en période de grosse crise ou de récession paraissent moins efficaces de mauvaises mesures politiques en temps de forte croissance et de profusion…

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Baisser les charges seulement, c'est mettre en péril le financement de la Sécurité Sociale, de Pôle Emploi, etc. Et donc déplacer le problème, non le résoudre.

C'est une revendication de droite (des petits patrons essentiellement), pas une revendication libérale.

La solution, c'est :

1 - le salaire complet, l'employeur verse tout, et chacun fait ses chèques aux organismes sociaux

2 - réforme des organismes de sécurité sociale pour les remettre au carré, les réorganiser pour plus de compétitivité, et suppression de certains d'entre eux (la Caisse d'Allocation Familiale par exemple) devenus inutiles

3 - l'ouverture à la concurrence des secteurs concernés (assurance maladie, chômage, et retraite)

4 - privatisation et désengagement de l'Etat des organismes (vente, ou bien, ce qui a ma préférence, don au peuple français de 100% des actions des organismes)

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La solution, c'est :

1 - le salaire complet, l'employeur verse tout, et chacun fait ses chèques aux organismes sociaux

2 - réforme des organismes de sécurité sociale pour les remettre au carré, les réorganiser pour plus de compétitivité, et suppression de certains d'entre eux (la Caisse d'Allocation Familiale par exemple) devenus inutiles

3 - l'ouverture à la concurrence des secteurs concernés (assurance maladie, chômage, et retraite)

4 - privatisation et désengagement de l'Etat des organismes (vente, ou bien, ce qui a ma préférence, don au peuple français de 100% des actions des organismes)

+4

D'expérience, la Caf est vraiment un organisme nuisible. Et est dès aujourd'hui inutile : toutes les allocations qu'elle verse (AAH, RSA, la dizaine de prestations familiales, etc.) peuvent très bien être versées par un crédit d'impôt (<=> impôt négatif pour les foyers non imposables), les antennes locales de la DGFiP assurant le maillage sur le territoire que les Caf ont actuellement (=suppression de doublons).

De plus, chaque fois que la Caf fait des propositions en interministériel, c'est pour étendre l'Etat providence (étendre le RSA aux moins de 25 ans, etc.)…

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1320160797[/url]' post='766936']

Baisser les charges seulement, c'est mettre en péril le financement de la Sécurité Sociale, de Pôle Emploi, etc. Et donc déplacer le problème, non le résoudre.

C'est une revendication de droite (des petits patrons essentiellement), pas une revendication libérale.

La solution, c'est :

1 - le salaire complet, l'employeur verse tout, et chacun fait ses chèques aux organismes sociaux

2 - réforme des organismes de sécurité sociale pour les remettre au carré, les réorganiser pour plus de compétitivité, et suppression de certains d'entre eux (la Caisse d'Allocation Familiale par exemple) devenus inutiles

3 - l'ouverture à la concurrence des secteurs concernés (assurance maladie, chômage, et retraite)

4 - privatisation et désengagement de l'Etat des organismes (vente, ou bien, ce qui a ma préférence, don au peuple français de 100% des actions des organismes)

5 - impôt sur le revenu sur 50% du nouveau salaire net

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5 - impôt sur le revenu sur 50% du nouveau salaire net

Oui, pas d'impôt sur le revenu sur les versements retraite, santé, assurance chômage bien sûr. C'est en plus techniquement facile à faire, il suffit d'augmenter l'abattement d'office sur l'IR, juste un chiffre à changer dans leurs systèmes d'information, temps de travail 30 secondes maximum.

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Invité rogermila

La solution, c'est :

1 - le salaire complet, l'employeur verse tout, et chacun fait ses chèques aux organismes sociaux

:icon_ptdr: :icon_ptdr:

Et qui va payer les millions d'euros necessaires pour financer les organismes de recouvrement chargés de relancer et poursuivre les millions d'individus qui n'enverront pas leurs chèques ?

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:icon_ptdr: :icon_ptdr:

Et qui va payer les millions d'euros necessaires pour financer les organismes de recouvrement chargés de relancer et poursuivre les millions d'individus qui n'enverront pas leurs chèques ?

Ou alors on pourrait se contenter de décider que si tu ne payes pas, tu n'es pas assuré.

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Oui, tournons ça de façon socialement correcte (et intelligible par tous): si tu payes, tu es assuré. :mrgreen:

Mais non voyons, il faut être pédagogue, faire comprendre aux gens l'importance de la responsabilité : Si tu ne payes pas, tu n'auras pas de retraite et tu devras torcher des vieux tout le restant de ta misérable vie pour rembourser ta chimio (suivi d'un rire sardonique) :devil: :devil: :devil: :devil:

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