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Vers un [réel] parti libéral ?


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Mais, mais… ça bafouerait totalement l'idéal Humaniste de Tolérance et de Respect de toutes les différences présent au cœur du projet libéral depuis son origine :o Comment peut-on sérieusement préconiser une solution aussi discriminatoire envers des communautés qui ont déjà tant souffert d'injustice et d'exclusion au cours de notre histoire ? Pauvres néo-nazis…

La propriété privée c'est surfait. D'accord, c'est une valeur importante, mais ce qui passe avant toute autre chose c'est le vivre-ensemble :icon_ange:

Je ne vois absolument pas ce qu'il y a d'idéologique dans mon discours. Au contraire, je le trouve très pragmatique.

1) Je suis libertarien :devil:

2)Ah ouais? les cocos disent ça aussi. Le vivre-ensemble, ça fait Etatiste social démocrate qui prône l'intégration forcée.

3) Je suppose que tu rigoles, que tu me charies. :)

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C'est juste pour votre info ou cas ou vous ne connaitriez pas mon site.

Vu que, sur 700 messages, tu as posté l'adresse de ton site au bas mot une cinquantaine de fois, je crois que ce n'était pas nécessaire de le faire une fois de plus.

Son objectif est de défendre le libéralisme et son "programme" est un programme libéral idéal (enfin selon moi bien sur, je sais bien que tous les libéraux ne sont pas d'accord sur tous les points de ce programme).

Chitah te montre que ce n'est pas ce qu'on appelle un programme. A force de te pignoler sur tes lubies du moment, tu es devenu sourd.

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Pour l'immigration, d'accord.

Je ne sais pas si tu as vu, les autorités veulent nous coller un programme d'Education pro-homo . C'est complétement contraire à la liberté, si j'étais parent d'éléve, je m'offusquerais que des imbéciles décident de remplir la tête de mes enfants d'idées comme ça.

Et moi je m'offusquerai d'avoir un programme d'éducation qui se fonde sur des croyances en oubliant la réalité.

Mais c'est lintérêt du libéralisme, tu aurais le droit d'éduquer tes enfants en leur disant que l'homoparentalité n'existe pas.

J'aurais le droit de les éduquer en disant que c'est une chose qui existe et dont on peut discuter de savoir si c'est bien ou pas.

Le libéralisme des moeurs ne m'inspire que dégout et mépris, je le rejette en tant qu'homme libre, et quand c'est l'Etat qui en fait la promotion, c'est encore pire.

J'estime qu'on ne devrait pas aborder certains sujets en cours.

Moi ce qui m'inspire dégoût et mépris c'est celui qui viens faire chi.. les autres chez eux au nom de leur morale stupide.

Que cela soit pour des raisons sexuelle, de santé, de bienséance, etc.

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Invité Berti

Chitah te montre que ce n'est pas ce qu'on appelle un programme. A force de te pignoler sur tes lubies du moment, tu es devenu sourd.

Le jour ou on se croisera dans une réunion libérale, je sens que je vais bien rigoler.

Rincevent donc.

C'est noté.

Au plaisir de te rencontrer donc.

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Le jour ou on se croisera dans une réunion libérale, je sens que je vais bien rigoler.

Rincevent donc.

C'est noté.

Au plaisir de te rencontrer donc.

Je constate que tu menaces un utilisateur de ce forum.

C'est noté.

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Invité Berti

Je constate que tu menaces un utilisateur de ce forum.

C'est noté.

Mais ou va tu donc chercher que je te menace ?!

Tu es quelqu'un de poli, qui tient des propos respectueux, tout le monde peut le constater.

ça me fera donc bien rigoler de te rencontrer, histoire de voir si tu tiens toujours les mêmes propos, c'est tout.

A ce jour là donc.

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Je te comprends. Il y a d'ailleurs un casse-couilles qui nous les brise régulièrement sur ce forum avec des trucs genre : "Frapper une femme, c'est intolérable et patati et patata…"

Elias de Kelewich : Non, l'esprit des loups réclame un sacrifice fort, il nous faut un humain

Roi Arthur : Ben vous m'faites marrer vous

Elias de Kelewich : Et pas un pécore, il faut du sérieux

Roi Arthur : Qui ?

Lancelot du Lac : Oui, qui à la fin ?

Elias de Kelewich : Je ne vois que la Reine

Roi Arthur : La reine ? Ma femme, mais ça va bien vous ! Non, déjà que j'ai mis le temps à m'y faire, vous allez pas me l'enlever, avec tout le respect que je vous dois, beau-père…

Calogrenant : Oh ben, j'sais pas comment vous faites, moi j'ai jamais pu la blairer.

Lancelot du Lac : Et la reine est une femme !

Roi Arthur : Oh ça va bien vous, oui, avec votre morale à deux balles ! Alors comme ça, on peut décarrer des dizaines de bonhommes, et quand c'est une femme, non, ça vas pas… Et puis non, je vais pas laisser tuer ma femme sous prétexte que "machin des loups" est pas jouasse !

Merlin l'enchanteur : *siffle* fuuuuu…c'est " l'esprit des loups" !

Kaamelott icon_mrgreen.gif

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"Un service public est une mission générale ou une prestation particulière qui est due par l'État à tous les citoyens appelés usagers."

Il confond rien du tout.

Je suis intéressé par la source de votre citation dans la mesure où je travaille depuis plusieurs années sur une étude qui prend an compte la notion de service public. je n'ai JAMAIS trouvé la moindre définition officielle ou unanimement acceptée. Au moins la Communauté Européenne a pris la peine de définir précisément celle de "service universel" qu'elle a adoptée. Les français se sont d'ailleurs empressés d'expliquer que c'était différent du service public "à la française", tout en s'abstenant de se mettre d'accord sur une définition de ce dernier.

Il y a effectivement une confusion chaque fois que l'on mélange la fonction de service public et l'organisation qui l'assure.

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Je suis intéressé par la source de votre citation dans la mesure où je travaille depuis plusieurs années sur une étude qui prend an compte la notion de service public. je n'ai JAMAIS trouvé la moindre définition officielle ou unanimement acceptée. Au moins la Communauté Européenne a pris la peine de définir précisément celle de "service universel" qu'elle a adoptée. Les français se sont d'ailleurs empressés d'expliquer que c'était différent du service public "à la française", tout en s'abstenant de se mettre d'accord sur une définition de ce dernier.

Il y a effectivement une confusion chaque fois que l'on mélange la fonction de service public et l'organisation qui l'assure.

Il me semble qu'un service public est tout simplement définit comme une activité d’intérêt général. En tout cas, l'École de Bordeaux - qui est à l'origine de la notion de service public en France - a formulé une définition faisant de l'intérêt général l'élément central.

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Il me semble qu'un service public est tout simplement définit comme une activité d’intérêt général. En tout cas, l'École de Bordeaux - qui est à l'origine de la notion de service public en France - a formulé une définition faisant de l'intérêt général l'élément central.

Je suis sûrement très ignorant, mais je ne connais pas "l'école de Bordeaux" et, de mon point de vue naïf, l'intérêt général devrait constituer l'élément central de toute l'activité étatique, ce qui ne m'avance guère, sauf à considérer que toute activité d'état est un service public :facepalm:

Pour conforter mon propre point de vue, je constate que la notion de service public n'est pas traitée directement sur wikipedia, mais seulement dans le cadre de l'article sur les biens publics.

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Et moi je m'offusquerai d'avoir un programme d'éducation qui se fonde sur des croyances en oubliant la réalité.

Mais c'est lintérêt du libéralisme, tu aurais le droit d'éduquer tes enfants en leur disant que l'homoparentalité n'existe pas.

J'aurais le droit de les éduquer en disant que c'est une chose qui existe et dont on peut discuter de savoir si c'est bien ou pas.

Moi ce qui m'inspire dégoût et mépris c'est celui qui viens faire chi.. les autres chez eux au nom de leur morale stupide.

Que cela soit pour des raisons sexuelle, de santé, de bienséance, etc.

1)A la base, je m'offusque d'avoir tout simplement un programme d'éducation fixé par l'Etat ! Je ne vois pas ce que les croyances viennent foutre la dedans, il n'est pas question de ça d'ailleurs!

2) Ca ruinerait ma crédibilité, et ça ruines celle de ton post. Il n'y a aucun intérêt à dire que quelque chose n'existe pas, si pour toi c'est censé ne pas exister. J'ai le droit de ne pas parler de la question homo a mes enfants et de faire comme si ça n'existais pas, oui.

3) Je suis complétement d'accord, mais si je ne viens pas TE faire chier chez toi avec mon " puritanisme ", tu ne viendras pas ME faire chier chez moi avec tes idées " progressistes ". dry.gif

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Il me semble qu'un service public est tout simplement définit comme une activité d’intérêt général. En tout cas, l'École de Bordeaux - qui est à l'origine de la notion de service public en France - a formulé une définition faisant de l'intérêt général l'élément central.

De ce point de vue là, il me semble donc que le secteur privé peut ainsi tout à fait assurer un service public, ce qui corrobore ce que j'avais pu lire par ailleurs sous la plume d'un libertarien (mais je ne sais plus lequel, peut-être Christian Michel ?).

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Je suis sûrement très ignorant, mais je ne connais pas "l'école de Bordeaux" et, de mon point de vue naïf, l'intérêt général devrait constituer l'élément central de toute l'activité étatique, ce qui ne m'avance guère, sauf à considérer que toute activité d'état est un service public :facepalm:

Pour conforter mon propre point de vue, je constate que la notion de service public n'est pas traitée directement sur wikipedia, mais seulement dans le cadre de l'article sur les biens publics.

Hier soir j'ai dis ça de mémoire, là je viens de retrouver la partie d'un de mes cours de fac qui en parle succinctement. Voilà ce que ça dit grosso modo…

Avant les années 1920, il y avait seulement l'Administration et les entreprises privées.

Dans les années 20, l'École de Bordeaux - des juristes -, a créé sur le plan juridique, en plus de l'Administration, le "service public". Aujourd'hui encore, c'est une notion exclusivement juridique.

Ils ont aussi créé la notion d’intérêt général, et ont fait correspondre à la notion de "service public" l'activité qui était à la poursuite de l’intérêt général. Différenciant en cela le service public du secteur privé, qui est à la poursuite de profit.

De ce point de vue là, il me semble donc que le secteur privé peut ainsi tout à fait assurer un service public, ce qui corrobore ce que j'avais pu lire par ailleurs sous la plume d'un libertarien (mais je ne sais plus lequel, peut-être Christian Michel ?).

Oui, c'est certain, une entreprise privée peut parfaitement assurer un service public. Mais dans ce cas, l'entreprise privée dispose de prérogatives de puissance publique, par exemple : la concurrence est empêchée, le coût de fonctionnement n'est pas payé exclusivement par les bénéficiaires (les usagers) mais aussi par le contribuable…

Et en contrepartie de ces prérogatives, l'entreprise qui assure le service public a les obligations :

-de mutabilité (suivre l'évolution de l’intérêt général)

-de continuité (le service doit être assuré en permanence)

-d'égalité (tous les usagers doivent bénéficier des mêmes prestations)

-de neutralité (les salariés ne doivent pas exprimer leurs opinions, c'est-à-dire la laïcité).

-d'un fonctionnement correct

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Ils ont aussi créé la notion d’intérêt général, et ont fait correspondre à la notion de "service public" l'activité qui était à la poursuite de l’intérêt général. Différenciant en cela le service public du secteur privé, qui est à la poursuite de profit.

Hum. Les associations, les églises, les mutuelles, les coopératives, les fondations humanitaires, les philanthropes, tout ça c'est du secteur privé, non ? Pourtant ils ne sont pas à la poursuite du profit, à part peut-être les églises (je dis juste ça pour taquiner rafale ;)).

Oui, c'est certain, une entreprise privée peut parfaitement assurer un service public. Mais dans ce cas, l'entreprise privée dispose de prérogatives de puissance publique, par exemple : la concurrence est empêchée, le coût de fonctionnement n'est pas payé exclusivement par les bénéficiaires (les usagers) mais aussi par le contribuable…

Et en contrepartie de ces prérogatives, l'entreprise qui assure le service public a les obligations :

-de mutabilité (suivre l'évolution de l’intérêt général)

-de continuité (le service doit être assuré en permanence)

-d'égalité (tous les usagers doivent bénéficier des mêmes prestations)

-de neutralité (les salariés ne doivent pas exprimer leurs opinions, c'est-à-dire la laïcité).

-d'un fonctionnement correct

Ce n'est pas du tout ce que j'avais à l'esprit.

Je pensais plutôt, par exemple, aux écoles privées hors contrat. A mon sens, elles participent au service public d'éducation, sans pour autant présenter les caractéristiques que tu énumères (et du coup, l'enseignement public ne les possède pas toutes non plus, puisqu'il admet la concurrence du privé, même si c'est une concurrence faussée à cause de la pseudo-gratuité du public).

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Effectivement, un Service Public n'est ni plus ni moins qu'une activité économique assumée par l'Etat (au sens large : par la puissance publique). Toutefois, cela n'est pas automatiquement assorti d'un monopole ou d'un financement par le contribuable.

Un service public, si mes souvenirs de droit administratif sont bons, est avant tout une activité économique (commerciale ou non) dont le fonctionnement est assuré par un acteur public plutôt qu'un acteur privé. La position monopolistique existe souvent de fait (et non de droit) parce que ce service public a été créé au moment où le service en lui-même n'existait pas dans la sphère privée (pensons aux services de l'electricité qui dépendent dans certaines zones de regies publiques). Que ce monopole perdure par la suite est un autre problème probablement lié à la part de plus en plus importante du financement de l'activité par la collectivité (ce qui fausse les prix et place à l'entrée du marché un barrage infranchissable pour un acteur privé non subventionné).

Afin d'éviter toute confusion entre LE service public et UN service public, le droit administratif parle de "SPIC" (Services Publics Industriels et Commerciaux) et de "SPA" (Services Publics Administratifs). Ces premiers ne doivent, en théorie, bénéficier d'aucune dotation de l'administration et d'aucun droit exorbitant lié à l'autorité administrative. Dans les faits, la présence de subventions et l'existence de réglements administratifs permettent la naissance de ces droits exorbitants (le CNED possède par exemple un monopole sur la délivrance de certains diplômes).

Quant aux "obligations de service public", elles ne sont, pour ainsi dire, suivies que très marginalement (rien que le concept de "continuité" entre en conflit avec le droit de grêve tel que pratiqué en France par exemple).

EDIT : Typo

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Hum. Les associations, les églises, les mutuelles, les coopératives, les fondations humanitaires, les philanthropes, tout ça c'est du secteur privé, non ? Pourtant ils ne sont pas à la poursuite du profit, à part peut-être les églises (je dis juste ça pour taquiner rafale ;)).

Oui j'aurais surement écrire "entreprise privée" plutôt que "secteur privé"

Je pensais plutôt, par exemple, aux écoles privées hors contrat. A mon sens, elles participent au service public d'éducation, sans pour autant présenter les caractéristiques que tu énumères (et du coup, l'enseignement public ne les possède pas toutes non plus, puisqu'il admet la concurrence du privé, même si c'est une concurrence faussée à cause de la pseudo-gratuité du public).

L'absence de concurrence n'est pas une caractéristique mais une des prérogatives possibles dont peut bénéficier l'entité qui accomplit le service public. Il me semble que les écoles hors contrat ne sont pas considérées juridiquement comme accomplissant un service public, justement parce qu'elles ne respectent pas ces caractéristiques et ne sont pas soumises à l'autorité rigide d'une personne publique. Le service public est une notion purement circonscrite au domaine juridique. Bien entendu d'un point de vue économique, nous libéraux, nous savons très bien que la recherche du profit n'est pas incompatible avec le fait d'accomplir une activité d’intérêt générale, bien au contraire.

Effectivement, un Service Public n'est ni plus ni moins qu'une activité économique assumée par l'Etat (au sens large : par la puissance publique). Toutefois, cela n'est pas automatiquement assorti d'un monopole ou d'un financement par le contribuable.

Un service public, si mes souvenirs de droit administratif sont bons, est avant tout une activité économique (commerciale ou non) dont le fonctionnement est assuré par un acteur public plutôt qu'un acteur privé.

Elle est assumée par l'État, mais elle peut être assurée par un acteur privé. C'est toujours une autorité publique qui crée le service, qui nomme les dirigeants de l'entreprise et qui attribue les prérogatives (effectivement celles-ci peuvent variés) dont bénéficient l'entreprise privée, mais cela n’empêche pas que le service public peut être assuré et géré par une entreprise privée.

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les libéraux doivent changer la société en amont,

En tant que libérale, le terme "changer la société" me heurte car il se réfère au constructivisme. Je dirais plutôt que "changer la société", "libéraliser la société". De manière qu'un "ordre le plus spontané possible" s'instaure de lui-même et que les gens puissent échanger et communiquer entre eux sans l'arbitrage et les ponctions financières de l'État.

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C'est juste. ;)

Ce que je voudrais surtout c'est rétablir la vérité sur le libéralisme dans l'opinion publique pour que les gens puissent au moins juger en connaissance de cause, pas "imposer" un mode de société, ce qui n'aurait rien de libéral.

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  • 2 weeks later...

Je ne comprends pas bien le rapport entre ces discussions et le sujet d'origine, "Un parti libéral". Ce qui ne rend pas les libéraux audibles, c'est leur immédiate propension à s'envoler vers la stratosphère des idées pour y batailler sur le sens d'un mot, d'un concept totalement abstrait pour 99 %des Français (et 100 % des journalistes), indiquant un désintérêt total pour les préoccupations du grand public (autrement dit, aucun sens du client). "Libéral" est donc devenu une insulte parce que personne n'a occupé le terrain pour renvoyer la balle, c'est devenu un bouc émissaire facile pour tous.

Les aspects stratégiques, marketing, logistiques, communication organisationnels sont absents de ces grandes discussions alors qu'ils sont bien plus essentiels. Dés qu'on redescend sur terre et qu'on fait un travail collectif concret, regardez le succès : contrepoints.org explose les compteurs. Chaque fois, l'objectif n'est rempli que par un noyau de volontaires actifs (parfois petit noyau, certes) qui s'astreignent à mettre les mains dans le cambouis.

Le débat autour d'un parti libéral tourne autour de sa stratégie de conquête, ou au moins d'influence du pouvoir. Quelles en sont les étapes, avec à chacune d'entre elles les fondations à poser, les cibles à toucher ? Une telle organisation n'est pas le jouet d'une ou de quelques personnes, c'est une dynamique collective avec une gouvernance qui permet à chacun, en fonction de son implication, de l'orienter dans le sens qui lui convient le mieux et qui exige d'accepter de travailler avec les autres pour servir le même objectif. Je sais, c'est très dur quand on n'a jamais connu ça auparavant. C'est la dure réalité d'un projet politique. La tambouille n'est pas sexy, je l'admets. Et rien n'assure que le plat final sera à la hauteur du travail en cuisine.

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