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Libéralisation du transport de passagers


Messages recommandés

Disons qu'il faut se promener avec un sac à dos et deux cadenas, comme je le fais, c'est vrai que c'est relou

 

Quand bien même. La seule alternative reste le vélo pourrave acheté 20e sur leboncoin. Le vélo jetable quoi.

 

Fixed.

 

Si tu es un handicapé du guidon aussi...

 

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Moi perso, je n'ai pas de vélo, si je veux me déplacer c'est métro ça va plus vite, et si je veux me promener en vélo le week-end je vais chez un des nombreux loueurs de vélo indépendants dans ma ville qui souffrent de cette concurrence déloyale, par principe.

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Ben justement, j'ai adopté le "vélotaf" après avoir calculé que je mettais la moitié du temps en pédalant, tout en pratiquant un peu de cardio.

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Ben justement, j'ai adopté le "vélotaf" après avoir calculé que je mettais la moitié du temps en pédalant, tout en pratiquant un peu de cardio.

Ah oui mais moi je travaille à 15kms de mon domicile donc j'ai vite choisi c'est metro+train de banlieue. Et puis parce qu'en velo j'ai peur que Malky veille avec son fusil
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Ouais, de fait, je n'ai que 4 bornes et le tram que je prends n'est pas direct.

Oui tu fais le bon choix parce que le tram c'est très lent, encore qu'en Belgique je ne sais pas comment c'est foutu
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Ce sont des lignes centenaires, à l'époque ça faisait sens.

 

Aujourd'hui c'est très pratique en dehors des heures de pointe.

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J'ai du mal à comprendre l'utilité d'un tramway quand il n'a pas sa propre voie. Il faudra m'expliquer...

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Oui.

Un tramway soumis aux aléas de la circulation est un vrai bus, autant mettre des vrais bus dans ces cas-là, c'est beaucoup moins coûteux en infrastructures.

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Trains intercités: les élus locaux craignent "un scénario noir de démembrement"

Elus des régions et des agglomérations moyennes craignent "un scénario noir de démembrement" du réseau des trains intercités, à quelques jours de la remise au gouvernement d'un rapport officiel sur l'avenir de ces liaisons ferroviaires, déficitaires.

Entre le réseau TGV pour lequel l'Etat a eu les yeux de Chimène et celui des TER bichonné par les Régions, les Trains d'équilibre du territoire (TET)", selon l'appellation officielle (c'est-à-dire les ex-Corail et Téoz) font aujourd'hui figures de parents pauvres.

Circulant de jour comme de nuit, 325 TET desservent quotidiennement plus de 300 destinations en France sur plus de 40 lignes, selon la SNCF. Mais les temps ont changé: "avant, nous avions neuf à dix trains par jour. Aujourd'hui, la population voit passer des trains qui ne s'arrêtent pas", a raconté mercredi le député-maire de Montargis (Loiret) Jean-Pierre Door, lors d'une conférence de presse de Villes de France, regroupant les agglomérations de taille moyenne, et de l'Association des régions de France (ARF). "Nous avons monté des comités locaux de défense des usagers", a-t-il glissé.

Son collègue de Sète François Commeinhes (UMP) a parlé de "quatre trains supprimés entre Bordeaux et Marseille", s'arrêtant jusque là en gare de Sète, "alors que la densité de population est de plus en plus importante". Il faudrait aussi "du matériel roulant de qualité, ce n'est pas le cas partout", d'après Jacques Auxiette, président (PS) de la région Pays de la Loire.

Selon ce spécialiste des transports, le réseau TET accuse aujourd'hui un déficit annuel d'exploitation "de 300 à 400 millions d'euros", pour un chiffre d'affaires de 1 milliard, notamment parce que "le coût km/train en France est le plus élevé d'Europe". Il risque de faire les frais "des choix budgétaires" de l'Etat, selon la présidente de Villes de France Caroline Cayeux, sénateur-maire UMP de Beauvais.

"Tout le monde le sait, la SNCF a une petite idée sur l'avenir (...) L'enjeu, c'est de supprimer plus de la moitié des lignes de TET", a averti M. Auxiette.

Ces associations "expriment leur très vive inquiétude sur les risques d’un scénario noir de démembrement de ces liaisons essentielles pour les territoires". Or, "l'existence, la survie des TET sont extrêmement importantes pour nos villes" et "permettent d'éviter une désertification des territoires", souligne Mme Cayeux.

Commandé par le ministère des Transports, le rapport de la commission présidée par le député PS du Calvados Philippe Duron est donc attendu avec anxiété "d'ici quelques jours", selon les élus.

 

- Vers une ouverture au secteur privé ? -

 

Pour M. Auxiette, "le parlement doit se saisir de cette question, sans démagogie". Il réclame "des moyens budgétaires" sur "une dizaine d'années pour garantir l'égalité d'accès des usagers" au transport ferroviaire.

Les élus craignent aussi que l'Etat et la SNCF "profitent" de l'agrandissement des régions en tant qu'entités administratives "pour faire basculer des lignes TET dans de nouvelles relations TER" qui seraient à la charge des régions.

Selon M. Auxiette, les présidents de région pourraient accepter ces transferts "à condition d'obtenir une compensation financière adéquate".

Encouragée par le lobby de l'Association française du rail (Afra), regroupant les entreprises privées du secteur, la concession de lignes à des exploitants privés est aussi dans l'air. Cette "possibilité doit pouvoir exister en France", a affirmé M. Auxiette, dont le parti a pourtant toujours fait du maintien de services publics de qualité une priorité. "Pourquoi ne pas expérimenter l'ouverture d'appels d'offres pour les lignes qui seraient supprimées ?", a avancé Mme Cayeux.

Au motif que la loi Macron va libéraliser le transport inter-urbain par autocar, Villes de France et l'ARF demandent même à l'Etat "d'anticiper la possibilité" de lancer ces appels d'offres, prévus d'ici 2019 au plus tard en vertu d'une directive européenne.

http://www.boursorama.com/actualites/trains-intercites-les-elus-locaux-craignent-un-scenario-noir-de-demembrement-b211ed9781c6c8397939d43b4bc1cfda

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En fait c'est un poil plus vicelard que ça. Les TER sont un moyen, pour la SNCF, de racketter les régions ("File-moi davantage de fric l'an prochain, ou j'arrête de desservir cette gare !"). Les TGV, eux, sont soutenus par l'Etat et par les cadres de la SNCF (notamment par idéologie ingénieure : c'est plus beau techniquement... au point où en interne, être muté pour s'occuper des TGV est vu comme une très belle promotion). Au milieu, les TET sont perçus comme ne servant à rien.
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Ah oui mais moi je travaille à 15kms de mon domicile donc j'ai vite choisi c'est metro+train de banlieue. Et puis parce qu'en velo j'ai peur que Malky veille avec son fusil

 

En y allant pépère, tu en a pour 45 minutes. C'est pas la mort -au contraire-

C'est exactement le kilomètrage que j'avais pour aller au taf quand j'habitais en ville. Je mettais 1h15 en voiture (embouteillages monstres).

Par contre, en vélo, je ne respectais aucune réglementation, uniquement les gens. Je prenais des sens interdits en roulant sur les trotoirs, le grillais les feux rouges, etc. Mais jamais si cela génait quelqu'un.

Aujourd'hui, Bordeaux étant devenu une ville pour homo bobo-réac parsemée de radars, de cameras et de flics, je ne m'y risquerai plus, ni en vélo, ni en voiture. (C'est simple, je n'y vais plus du tout)

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Mais qui travaille en costume aujourd'hui, à part les vieux, les imbéciles et les politiques?

Les cadres:

 

la cravate reste toutefois "le symbole unisexe" des salariés de l'encadrement, a assuré Mme Couvert 

 

http://lentreprise.lexpress.fr/actualites/1/actualites/campagne-symbolique-de-la-cfe-cgc-coupez-vos-cravates-pour-defendre-l-agirc_1681050.html

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Trop gros. Passera pas.

 

:mrgreen:

 

Le costume cravate est devenu la représentation de l'escroc, du menteur professionnel.

J'ai pitié des vieux qui croient encore sincèrement afficher une forme de respect avec leur costume de 15 ans d'age alors que dans le même temps, ils puent de la gueule.

Quant aux jeunes déguisés, qui portent, en outre, une fausse Rolex au poignet (ou une swatch pour les plus timorés ou rien du tout pour les plus menteurs), je prenais plaisir à les faire marcher dans la gadoue du centre de tri tout en les affublant d'un casque de chantier et d'un gilet fluo. Une photo, en prime, pour immortaliser la visite.

 

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