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Grands classiques du cinéma


Librekom

Messages recommandés

Cinq classiques italiens :

 

Le Pigeon de Monicelli (1958)

Le général Della Rovere de Rossellini (1959)

Le Fanfaron de Risi (1962) (quoique Gassman soit incompréhensible pour un non-Italien : y cause trop vite)

Le Guépard de Visconti (1963) (ou Senso 1954)

L'Incompris de Comencini (1967)

 

Les Italiens utilisant beaucoup d'acteurs étrangers et pour d'autres raisons pratiquent (ou pratiquaient) beaucoup la post-synchronisation : on entend souvent une voix qui n'est pas celle de l'acteur

 

Parmi les films plus récents :

Journal intime (Caro Diaro) de Moretti (1993)

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Très bien Nuovo Cinema Paradiso, moi j'ai beacoup aimé ces deux là.

http://it.wikipedia.org/wiki/Brutti,_sporchi_e_cattivi

http://it.wikipedia.org/wiki/Profumo_di_donna vraiment sympa comme histoire.

Puis bon pourquoi pas un bon gros classique non plus.

http://it.wikipedia.org/wiki/Il_buono,_il_brutto,_il_cattivo  :icon_wink: 

 

Et un peu plus polisson et (dure parfois) mais surtout pour le sourire et les jambes de Chiara Chiti

http://it.wikipedia.org/wiki/Un_gioco_da_ragazze_(film)

 

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Ce n'est pas encore un grand classique du cinéma, mais il faudrait déjà se mettre d'accord sur cette définition, ni un film récent, mais je poste quand même parce que j'ai été touchée par ce film, et je crois qu'ici, Tommy Lee Jones est apprécié, non ?

 

 

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Personnellement, je n'aime pas du tout le Cinéma italien et encore moins le Néoréalisme... Je m'y ennuie souvent et la langue italienne ne me donne aucun frisson

 

Voilà au moins quelqu'un dont on sait qu'il n'a aucune sensibilité musicale.

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Fellini c'est surfait ou surestimé ? (je m'attends à tout sur ce forum)

 

C'est surfait, surestimé et irrésistible.

Amarcord, Fellini Roma et le Satyricon par exemple, valent le détour. Totalement artificiel dans des décors qui s'assument comme tels. Et même quand il tourne en décors naturels on est aux antipodes du réalisme (et donc du néo-réalisme).

Mais bon c'est un cinéma aux antipodes d'Hollywood.

La Strada c'est très mélo. La Dolce Vita longuet. Casanova mortel.

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Voilà au moins quelqu'un dont on sait qu'il n'a aucune sensibilité musicale.

 

Voilà une remarque bien crétine, snob et complètement infondée. Je ne l'aurais même pas relevée si je n'étais pas concerné.

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C'est pourtant toi, le snob. La langue italienne est reconnu par la plupart comme l'une des plus belles.

 

Ah ? Étonnant ! J'ai simplement dit que cette langue ne me donnait aucun frisson. Où est ma vanité ? 

 

Par contre, me considérer comme un béotien parce que j'ai le malheur de ne pas ressentir une quelconque affinité avec ces mélodies linguistiques est tout à fait normal puisque la plupart la reconnaisse comme l'une des plus belles... Et c'est qui la plupart ? Cette entité anonyme a forcément raison et je dois m'y plier ? Et puis, tu dis bien l'une des plus belles : j'ai donc le droit d'apprécier ces autres langues et de délaisser l'Italien. 

 

Vos remarques sont vraiment sottes et impertinentes.

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C'est surfait, surestimé et irrésistible.

Amarcord, Fellini Roma et le Satyricon par exemple, valent le détour. Totalement artificiel dans des décors qui s'assument comme tels. Et même quand il tourne en décors naturels on est aux antipodes du réalisme (et donc du néo-réalisme).

Mais bon c'est un cinéma aux antipodes d'Hollywood.

La Strada c'est très mélo. La Dolce Vita longuet. Casanova mortel.

 

J'ai acheté la Dolce Vita il y a quelques temps, je n'ai pas osé le regarder pour le moment. Je note ses autres films.

 

Sinon, le western spaghetti, ça compte pour du cinéma italien, ou c'est vraiment à part ? Bon, en fait, je vois ça comme des films internationaux à légère tonalité italienne.

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Ah ? Étonnant ! J'ai simplement dit que cette langue ne me donnait aucun frisson. Où est ma vanité ? 

 

Par contre, me considérer comme un béotien parce que j'ai le malheur de ne pas ressentir une quelconque affinité avec ces mélodies linguistiques est tout à fait normal puisque la plupart la reconnaisse comme l'une des plus belles... Et c'est qui la plupart ? Cette entité anonyme a forcément raison et je dois m'y plier ? Et puis, tu dis bien l'une des plus belles : j'ai donc le droit d'apprécier ces autres langues et de délaisser l'Italien. 

 

Vos remarques sont vraiment sottes et impertinentes.

Oui enfin c'est surtout que tu es vexé comme un pou. Ca va il t'a pas insulté Dardanus non plus, une petite pique sans importance.

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J'ai acheté la Dolce Vita il y a quelques temps, je n'ai pas osé le regarder pour le moment. Je note ses autres films.

 

Sinon, le western spaghetti, ça compte pour du cinéma italien, ou c'est vraiment à part ? Bon, en fait, je vois ça comme des films internationaux à légère tonalité italienne.

Non c'est très italien mais pas toujours très intéressant. Les meilleurs Leone sont des opéras cinématographiques. Une des caractéristiques du cinéma italien était de reprendre des formules à succès pour les adapter à la sauce italienne. De la contrefaçon mais qui donnait autre chose. C'était des films de série B mais qui faisaient aussi la force de ce cinéma quand il avait de la vigueur

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Voilà une remarque bien crétine, snob et complètement infondée. Je ne l'aurais même pas relevée si je n'étais pas concerné.

 

Fondée par Monteverdi, Cavalli, Vivaldi, Haendel, Mozart, Rossini, Bellini, Verdi, Puccini, etc. :icon_mdr:

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Oui enfin c'est surtout que tu es vexé comme un pou. Ca va il t'a pas insulté Dardanus non plus, une petite pique sans importance.

 

C'est normal d'être vexé : j'émets un argument personnel sur mon incapacité de répondre correctement à la question posée plutôt qu'un simple jugement inutile sans argument et derrière je subis une remarque totalement injustifiée. Il y a bien un bien un problème. 

Certes, c'est un forum et non le Club Disney mais quand même, faut pas pousser mémé dans les orties. Ma réaction est proportionnelle à ce que je lis sur ce forum, c'est tout. Si je viens ici, c'est pour pouvoir partager et échanger des choses, sur des thèmes que j'apprécie, dans un esprit convivial; pas étaler ma confiture culture et juger sans raison des gens que je ne connais pas. Ce n'est vraiment pas agréable. 

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Fondée par Monteverdi, Cavalli, Vivaldi, Haendel, Mozart, Rossini, Bellini, Verdi, Puccini, etc. :icon_mdr:

 

Oui donc sur une infinitésimalité des productions musicales dans le temps et dans le monde. Chapeau !

 

Par ailleurs, Mozart a écrit aussi en Allemand. Un aveu de faiblesse ?

Et quid de Wagner ? Une bille ce type, sûrement !

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Oui donc sur une infinitésimalité des productions musicales dans le temps et dans le monde. Chapeau !

 

Par ailleurs, Mozart a écrit aussi en Allemand. Un aveu de faiblesse ?

Et quid de Wagner ? Une bille ce type, sûrement !

 

Hum…c'est la plus grande partie des meilleurs opéras jamais écrits.

Mozart a écrit aussi en allemand : qui est aussi une langue musicale mais qui a peu inspiré d'opéras comparativement à l'opéra.

Mais il était question de l'italien, non ?

En revanche les Italiens n'ont pas écrit en allemand (mais en français) : aveu de supériorité ?

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Hum…c'est la plus grande partie des meilleurs opéras jamais écrits.

Mozart a écrit aussi en allemand : qui est aussi une langue musicale mais qui a peu inspiré d'opéras comparativement à l'opéra.

Mais il était question de l'italien, non ?

En revanche les Italiens n'ont pas écrit en allemand (mais en français) : aveu de supériorité ?

 

L'Allemand est aussi une langue musicale, oui. Ainsi que le Français. Tu le dis bien toi-même. Il y a même des opéras en Klingon ! Et des opéras sont traduits aussi.

Alors oui, il était question de l'Italien, mais il était aussi question de manque d'appréciation musicale parce que cette langue ne me donne pas de frisson. Ce qui est une remarque ridicule puisque tu concèdes volontiers que l'Allemand et le Français sont des langues musicales, donc appréciables de même manière que l'Italien. Par conséquent, il n'y a bien aucun rapport entre ne pas apprécier la sonorité d'une langue et ne pas avoir de goûts musicaux, si tant est que cela veuille dire quelque chose.

Et quand bien même l'Italien serait LA meilleure langue lyrique en musique classique, puisque tu sembles ne pas vouloir t'en départir, cela serait oublier tous les autres genres et formes de chant, notamment venus d'Orient. 

 

Dans tous les cas, ta remarque est complètement stupide car en substance, ceux qui n'aiment pas tes goûts n'ont pas de goûts. Alors complais-toi dans tes opéras italiens et bon vent !

 

Enfin bref...! Ici, il est question de Cinéma. 

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C'était une pointe d'humour à mon avis... On peut difficilement accuser le vénérable Dardanus d'être un agressif personnage. Tout juste a-t-il l'humour un peu sec et cassant, il ne faut pas s'en offusquer.

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 Si je viens ici, c'est pour pouvoir partager et échanger des choses, sur des thèmes que j'apprécie, dans un esprit convivial; pas étaler ma confiture culture et juger sans raison des gens que je ne connais pas. Ce n'est vraiment pas agréable. 

 

D'accord mais si tu arrives en claironnant que Matrix est un chef d'oeuvre incompris du cinéma états-unien, que le cinéma italien est globalement nul et sans qualité musicale, ce n'est sans doute pas la meilleure manière de partager et il ne faut pas se plaindre ensuite en sortant le poncif qu'on n'a pas le droit de juger. Enfin si on enlève le cinéma italien on peut aussi fermer ce fil.

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 La Dolce Vita longuet. Casanova mortel.

 

Alors là en revanche, je m'insurge Dardanus. D'abord sur le plan esthétique Casanova est une peinture fantastique du XVIIIè, d'une intensité peu commune pour peu qu'on ne soit pas insensible à la musique et au cinéma baroques. Aucun autre film n'a mis en scène avec tant de cruauté les moeurs de la société aristocratique décadente, ni tourné si bien en dérision les croyances grotesques des Lumières, ce qui n'est sans doute pas étranger à votre appréciation.

 

Voici un jugement fort pertinent que j'avais noté, d'un blog disparu :

 

"C'est un film surprenant que ce Casanova de Fellini, un véritable règlement de comptes entre le grand cinéaste italien et son compatriote libertin du XVIIIè siècle dont il a adapté les fameuses Mémoires. Tout se résume à cette déclaration de Fellini " Casanova est un personnage ridicule, tout au plus tragi-comique. Je veux le démasquer. Il est l'éternel jeune garçon qui ne devient jamais adulte. Casanova est pour moi le type de l'Italien immature, du Papagallo, du bourreau des coeurs, de l'homme à femmes qui en vérité n'est que le petit garçon gâté de sa maman, qui refuse toute responsabilité et qui vit en s'imaginant tranquillement que tout doit venir d'en haut : de maman, du Roi, du Duce, de la Sainte Vierge. "

Pour démythifier son personnage, Fellini fait appel au grand Donald Sutherland à cause de son visage " flou et aqueux ". Le spectateur suit le personnage après son évasion de la prison des Plombs alors qu'il se sait condamné à quitter Venise pour un parcours à travers l'Europe, vaste errance et longue déchéance. C'est l'occasion pour le cinéaste de faire le portrait des élites de salon de l'époque, caricatures outrancières et pathétiques de bourgeois et d'aristocrates enperruqués et gavés d'idées à la mode.

Ces élites déchristianisées ont remplacé les dogmes catholiques par des délires gnostiques, leurs conversations roulent sur la migration des âmes ou le spiritisme, choses qui montrent que le siècle des Lumières était surtout un siècle d'illuminés. Casanova tire parti de ces superstitions pour obtenir quelques avantages en nature, fécondant la marquise d'Urfé qui croyait renaître ainsi dans le corps de sa propre progéniture.

Le héros suit la pente de son siècle en décomposition et sa frénésie sexuelle, qui n'est pas sans rappeler celle du marquis de Sade est la façade derrière laquelle s'ouvre un vide immense, un néant absolu.

A mesure que le film progresse, le malaise s'accentue, Casanova rencontre des femmes de plus en plus laides, vieilles d'abord, puis difformes, dont une géante sortie d'un cirque qu'il observe en cachette et une bossue ; il finit par s'accoupler avec une automate, sorte de réplique de lui-même et de ce qu'il est devenu : une machine à piston creuse et vaniteuse. L'acte sexuel est d'ailleurs toujours filmé comme une acrobatie grotesque.

A sa sortie, le film a fasciné, il a aussi déplu à un grand nombre ; chose normale, le spectateur ressent bien que ce dont nous parle Fellini, c'est nous-mêmes."

 

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D'accord mais si tu arrives en claironnant que Matrix est un chef d'oeuvre incompris du cinéma états-unien, que le cinéma italien est globalement nul et sans qualité musicale, ce n'est peut-être pas la meilleure manière de partager et il ne faut pas se plaindre ensuite en sortant le poncif qu'on n'a pas le droit de juger. 

 

C'est mieux quand on lit ce qu'il y a d'écrit...

 

J'ai effectivement parlé de Matrix pour essayer de mettre en avant un côté qui ne lui est pas connu, c'est-à-dire tout son côté métafilmique, avec un site analysant les points importants de la trilogie, et qui fait que je considère ce film comme une oeuvre importante. Je voulais aller au-delà du prisme auquel on associe généralement un Grand Classique. Ça vous en a touché une sans bouger l'autre et je n'ai pas insisté.

 

Ensuite, j'ai simplement évoqué le fait que le Cinéma italien ne m'intéressait pas. Je n'ai pas émis de jugement de valeur sur une qualité globalement nulle et sans qualité musicale, j'ai dit que le Néoréalisme et le Cinéma italien ne m'intéressaient pas, qu'ils m'ennuyaient et que la langue italienne ne me donnait pas les frissons comme à certains. C'est Dardanus qui en a déduit que je n'avais pas de goûts musicaux, pour faire court. Rien à voir, donc. 

 

Enfin si on enlève le cinéma italien on peut aussi fermer ce fil.

 

Alors là, chapeau ! Sérieusement ?!

 

Oublions les frères Lumière, Mélies, Max Linder, Charles Chaplin, Buster Keaton, Fatty Arbuckle, Harold Lloyd, Eisenstein, Vertov, Griffith, Murnau, Dreyer, Cecil B. DeMill, Ozu, Kurosawa, Mizoguchi, Mankiewicz, Léo McCaray, Lubitsch, Cukor, Jean Vigo, Billy wilder, Disney, Fritz Lang, Julien Duvivier, Marcel Carné, Renoir, John Huston, Kubrick, Godard, Truffaut, Varda, Buñuel, Spielberg, Oliveira, Almodovar, et j'en passe... Oublions le Cinéma des premiers temps, l'école de Brighton, le Slapstick, l'âge d'or d'Hollywood, l'Expressionisme allemand, le réalisme poétique, le Film Noir, la Nouvelle Vague, etc. Oublions le Cinéma japonais, indien, chinois, coréen, espagnol, scandinave, sud américain, irianien, africain... Les Grands Classiques, c'est italien ! Punto !

 

Hé bé ! Vous les enfilez les perles, dis donc !

 

...cinéma états-unien...

 

Je te conseille d'éviter d'écrire de terme, tu seras considéré comme un gauchiste ! 

 

...

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Hum…c'est la plus grande partie des meilleurs opéras jamais écrits.

Mozart a écrit aussi en allemand : qui est aussi une langue musicale mais qui a peu inspiré d'opéras comparativement à l'opéra.

Mais il était question de l'italien, non ?

En revanche les Italiens n'ont pas écrit en allemand (mais en français) : aveu de supériorité ?

 

En tant que "fan" de l'allemand (langue que je pratique un peu et que je trouve absolument magnifique), je me sens moins seul.

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