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Droit d'auteur  

91 members have voted

  1. 1. Pour vous le droit d'auteur, c'est:

    • Un droit tout à fait naturel qu'il faut faire respecter
      9
    • Un droit qui doit évoluer pour tenir compte des nouvelles technologies de l'information
      17
    • Une notion qui tendra inéluctablement à disparaître mais qui doit pour l'instant être défendue pour soutenir les artistes
      3
    • Un concept obsolète qui doit disparaître: si les artistes ne peuvent plus gagner leur vie en vendant leurs oeuvres, c'est leur problème, pas le mien.
      62


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Le concept de droit est peut être un peu fort, c'est un "droit" dans le sens qu'on peut défendre devant la justice quand elle est juste, le fait que sa création artistique, c'est un peu comme une maison qu'on se construit. personne ne peut se pointer et la vendre pour son bénéfice, alors que je ne lui ait pas donner mon accord.

Je trouve qu'il manque plusieurs autre réponses à la question, pour en faire un sondage complet.

Bon, et je sais, je dois attendre 100 messages pour répondre. cela laisse le temps de l'améliorer.

:)

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Et Quid de comment il gagne sa vie l'artiste, si rien dans le droit ne lui permet de prendre du bénéfice de vente de ses produits artistiques ? En faisant un autre métier peut être. mais cela ne nuit-t-il pas à sa production artistique ?

Ha oui, remarque, s'il est bon, il aura sans doute des mécènes pour l'aider à ne faire que ce dans quoi il excelle : son art.

Mais si son art n'intéresse que des gens modestes ? ils s'associent pour l'aider (place de concert chères, donations en ligne sur son site web..)

J'ai bon ?

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Et Quid de comment il gagne sa vie l'artiste…

Il travaille et vend sa production artistique à un éditeur, un commanditaire, un acheteur et point barre. Zéro pseudo "droits d'auteur". C'est ce que faisaient tous les artistes du monde jusqu'à la moitié du 19 siècle. Et on a eu Shakespeare, Cervantes, Molière, Rubens, Velazquez, Goya, Vivaldi, Mozart, Beethoven et tutti quanti.

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J'ai rédigé le sondage rapidement sans trop réfléchir. N'hésite pas à proposer d'autres questions, j'éditerai si je les trouve pertinentes.

ok :)

je vais regarder.

  • Un droit tout à fait naturel qu'il faut faire respecter
  • Un droit qui doit évoluer pour tenir compte des nouvelles technologies de l'information
  • Une notion qui tendra inéluctablement à disparaître mais qui doit pour l'instant être défendue pour soutenir les artistes
  • Un concept obsolète qui doit disparaître: si les artistes ne peuvent plus gagner leur vie en vendant leurs oeuvres, c'est leur problème, pas le mien.

Par curiosité : Pourquoi cette notion tendra-t-elle à disparaître (hypothétiquement) ?

(moi je voterai 3 au 4 question)

J'ai l'idée que je pourrai aussi répondre que c'est compliqué et que je ne sais pas quoi répondre car je vois qu'aujourd'hui beaucoup beaucoup beaucoup d'artiste géniaux gagnent leur vie en vendant des disques dont ils touchent des pourcentages de droit d'auteur.

Mais oui, ils peuvent en gagner davantage en passant par leur propres production (auto produire) mais , les p'tits jeunes qui débutent ? cela en à aider un paquet de p'tit jeunes, je pense.

Après, c'est avec l'aide de producteurs au bon flair, et qui savent gérer leur boite de production. Je pense au très bonnes années 60/70, où des petits artiste en notoriété sont devenu célèbre grâce à la vente de leur disques, et leur à permis de produire, créer de nouveaux disques. il y en a des milliers, en prenant le rock, la soul, le jazz, le blues, le classique (droit d’interprète) et j'en passe.

Je connais pas beaucoup d'artistes qui trouvent contre productif le droit d'auteur, qui leur permet de ne se consacrer qu'à leur art quand leurs disques, au moins une fois, se sont bien vendu.

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Et Quid de comment il gagne sa vie l'artiste, si rien dans le droit ne lui permet de prendre du bénéfice de vente de ses produits artistiques ? En faisant un autre métier peut être. mais cela ne nuit-t-il pas à sa production artistique ?

Ha oui, remarque, s'il est bon, il aura sans doute des mécènes pour l'aider à ne faire que ce dans quoi il excelle : son art.

Mais si son art n'intéresse que des gens modestes ? ils s'associent pour l'aider (place de concert chères, donations en ligne sur son site web..)

Je me fais peut-être une idée naïve de l'art, mais pour moi un artiste, il ne produit pas pour gagner des sous. L'artiste oeuvre pour l'amour de son art, ou éventuellement pour la gloire et la reconnaissance de ses pairs. Si en faisant ça il peut gagner des sous, ça ne gâche rien, c'est sûr. Mais si c'est ça seule motivation et une condition nécessaire pour qu'il continue à exercer son art, alors pour moi ça n'est pas un véritable artiste.

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Il travaille et vend sa production artistique à un éditeur, un commanditaire, un acheteur et point barre. Zéro pseudo "droits d'auteur". C'est ce que faisaient tous les artistes du monde jusqu'à la moitié du 19 siècle. Et on a eu Shakespeare, Cervantes, Molière, Rubens, Velazquez, Goya, Vivaldi, Mozart, Beethoven et tutti quanti.

oui. mais on a jamais eu autant d'artiste que depuis la moitié du 20eme siècle. corrélation ?

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Bon nous voilà sur un vrai gros sujet qui va tarauder les esprits pendant un moment.

J'aborderai la question sous cet angle : que vend-on quand on vend de la musique numérisée ? Est-ce que copier des données musicales, c'est-à-dire une sorte de recette fonctionnelle destinée à faire jouer de la musique par un ordinateur/baladeur peut être considéré comme un vol sachant que leur re-copie n'engage aucun coût supplémentaire ?

La question du vol de la propriété intellectuelle est donc la question du vol de l'information. Il est vrai que pendant quelque temps, disons entre 1770 (invention du droit d'auteur) et 2000, la matérialité de l'information a conservé des coûts de reproduction en plus du manque à gagner pour l'auteur non rétribué. Ainsi si vous voliez un livre ou CD dans une librairie, vous enfreigniez certes le droit d'auteur, mais c'est pour le producteur et le libraire que votre vol d'une galette allait engager des coûts de reproduction et de re-gravure, pas pour l'auteur.

Mais enfin la musique subsistait, elle, non-volée, car non accaparable, parce qu'immatérielle. Il y a donc une différence entre un vol et un manque à gagner. Et depuis l'explosion d'internet et du principe de téléchargement, c'est à dire du transfert de donnée sans support matériel et donc sans coût, ce à quoi il faut aussi ajouter l'augmentation de l'espace de stockage numérique évidemment, le coût du transfert et du support sont devenus négligeables.

Le droit d'auteur ne protège pas du vol, il instaure une rétribution de la réutilisation de l'information. Voilà en quoi il est tout à fait artificiel et en quoi il serait tout à fait invivable si poussé à l'extrême. Imaginez notre situation si les discours libéraux étaient protégés par des droits d'auteur.

A la limite, puisque la production de musique, à savoir l'enregistrement en lui même engage des coûts, on pourrait considérer le piratage comme un vol jusqu'à l'amortissement des coûts de production. Mais au delà, je ne vois pas ce qui protège le concept de droit d'auteur de l'obsolescence.

Il reste pour les artistes à gagner de l'argent par le merchandising évidemment, et par la représentation live, puisqu'en fait ce pour quoi on paie en live n'est pas la musique comme immatérialité mais le service que rend l'artiste en la jouant, d'une manière que je peux préférer à celle de mon ordinateur ou mon baladeur. On paie donc toujours un producteur ou un interprète, mais jamais un auteur. Puisque les producteurs de musique vendaient des CD comme support matériel d'information, on peut imaginer qu'ils se mettent à vendre des disques durs, qui remplissent la même fonction.

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Je me fais peut-être une idée naïve de l'art, mais pour moi un artiste, il ne produit pas pour gagner des sous. L'artiste oeuvre pour l'amour de son art, ou éventuellement pour la gloire et la reconnaissance de ses pairs. Si en faisant ça il peut gagner des sous, ça ne gâche rien, c'est sûr. Mais si c'est ça seule motivation et une condition nécessaire pour qu'il continue à exercer son art, alors pour moi ça n'est pas un véritable artiste.

Ha alors, amicalement, je ne suis pas du tout d'accord.

Parce que on a pas toujours les moyens, financièrement, de se permettre de rien faire d'autre que de jouer d'la gratte dans la rue. Si on a des enfants, par exemple, ou si un membre de sa famille à besoin d'aide, la petit chanson ne remplira pas l'estomac. Pas plus que de dormir.

Mais je ne sais pas, pour rappel, personnellement, ce qui est le mieux. ce sondage ne me permet que de me confirmer que je ne sais pas bien à la fois le fonctionnement des droits autres que droits d'auteurs, et que je les mélanges peut être avec la propriété intellectuelle.

Quelles différences, si l'artiste musicien touche un pourcentage de la vente de ses disques par contrat avec le producteur, avec le droit d'auteur ?

Je ferais une distinction entre la protection contre le plagiat/la contrefaçon (qui pour moi ont un sens) et tout ce qui est "propriété intellectuelle".

Oui. là est peut être le shmilblik qui embrouille.

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Parce que on a pas toujours les moyens, financièrement, de se permettre de rien faire d'autre que de jouer d'la gratte dans la rue.

Être artiste, c'est pas un droit de l'Homme. Alors de deux choses l'une : ou t'as des thunes qui te permettent de vivre mÊme si personne n'achète ta production ou t'es bon et bosseur et tu arrives à vivre de ton art qui plaît à assez de gens. L'artiste qui n'arrive pas à vivre de son art, on lui rappelle que la mine manque de bras.

  • Yea 2
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Non.

Par contre, la merde rapporte plus.

exemples ?

Tu pense que seules les musiques dites classiques (baroques, classique, anciennes) sont qualitatives ?

Tu confond Mtv et les disquaires de qualité. Pour faire une analogie : Tu confond les quelques abrutis qui critiquent le "libéralisme des méchant capitalistes" à la tv avec les penseurs et philosophe des bibliothèques et librairies. Le libéralisme décrit par Besancenot est la musique du 20ème siècle dont tu "parle".

Le jazz et le blues au début du 20ème siècle, et l'augmentation des richesses à donné à des centaines d'hommes et de femmes la chance de pouvoir s’exprimer avec un langage très riche.

La multiplication des timbres, d'instruments, de styles musicaux, à beaucoup aidé.

Certes, beaucoup de gens incompétent ont fait aussi leurs apparitions sur les scènes. Mais ne soyons pas obnubiler par les artistes raté en grand nombre que nous avons, en oubliant qu'il existe des centaines de centaines de musicien blues, jazz, country, folk, et j'en passe, qui sont vénérés par les mélomanes de tout pays.

Être artiste, c'est pas un droit de l'Homme. Alors de deux choses l'une : ou t'as des thunes qui te permettent de vivre mÊme si personne n'achète ta production ou t'es bon et bosseur et tu arrives à vivre de ton art qui plaît à assez de gens. L'artiste qui n'arrive pas à vivre de son art, on lui rappelle que la mine manque de bras.

je suis d'accord.

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Je ferais une distinction entre la protection contre le plagiat/la contrefaçon (qui pour moi ont un sens) et tout ce qui est "propriété intellectuelle".

Pour moi le plagiat et la contrefaçon sont déjà deux choses différentes. Le plagiat je ne sais pas trop ce que c'est exactement mais tel que je le conçoit ça n'a rien de répréhensible. C'est juste un peu honteux mais ça n'a rien de criminel ou délictueux.

La contrefaçon, elle, relève selon moi de l'usurpation d'identité. Celui qui fabrique appose parfois sa marque ou sa signature sur ses produits pour s'identifier et dans l'espoir de gagner une certaine réputation. Celui qui copie non seulement le produit mais aussi la marque ou la signature, cherche à se faire passer pour qui il n'est pas. Est-ce que pour autant l'Etat doit s'en mêler et jeter le contrefacteur en prison ? Non. Il existe de nos jours bien assez de moyens techniques pour empêcher la contrefaction du signe. La cryptographie notamment. Il appartient aux producteurs de se renseigner et d'acquérir les compétences dans le domaine. On n'a pas à lever l'impôt pour financer une protection juridique sur le sujet.

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A Lucillio :

Je comprend que l'on veuille pas de subvention au z'ârtiste. je suis contre.

Mais le vif tranchant de tes remarque est-il dirigé contre des pseudo artistes subventionnés de l'art contemporain de merde, ou surtout contre tout ce qui remet en question le peer to peer et toutes utilisation de l'oeuvre d'un autre sans mettre une forme d'échange ?

Parce que ce n'est Vraiment pas la même chose. non ?

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Être artiste, c'est pas un droit de l'Homme. Alors de deux choses l'une : ou t'as des thunes qui te permettent de vivre mÊme si personne n'achète ta production ou t'es bon et bosseur et tu arrives à vivre de ton art qui plaît à assez de gens. L'artiste qui n'arrive pas à vivre de son art, on lui rappelle que la mine manque de bras.

Bien dit!

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Pour moi le plagiat et la contrefaçon sont déjà deux choses différentes. Le plagiat je ne sais pas trop ce que c'est exactement mais tel que je le conçoit ça n'a rien de répréhensible. C'est juste un peu honteux mais ça n'a rien de criminel ou délictueux.

La contrefaçon, elle, relève selon moi de l'usurpation d'identité. Celui qui fabrique appose parfois sa marque ou sa signature sur ses produits pour s'identifier et dans l'espoir de gagner une certaine réputation. Celui qui copie non seulement le produit mais aussi la marque ou la signature, cherche à se faire passer pour qui il n'est pas. Est-ce que pour autant l'Etat doit s'en mêler et jeter le contrefacteur en prison ? Non. Il existe de nos jours bien assez de moyens techniques pour empêcher la contrefaction du signe. La cryptographie notamment. Il appartient aux producteurs de se renseigner et d'acquérir les compétences dans le domaine. On n'a pas à lever l'impôt pour financer une protection juridique sur le sujet.

On est d'accord.

Pour cette discussion, ce sondage, je pensait que vous pensiez surtout aux droits d'auteurs qui permettent d'attaquer les site de peer to peer..

cela n'est pas tout à fait la même chose.

un site de peer to peer n'est pas un hindou qui revend des film sur le bitume à la sauvette.

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Et Quid de comment il gagne sa vie l'artiste, si rien dans le droit ne lui permet de prendre du bénéfice de vente de ses produits artistiques ? En faisant un autre métier peut être. mais cela ne nuit-t-il pas à sa production artistique ?

Il peut toujours se produire en concert et vendre le droit d'y assister. S'il est vraiment bon, il y gagnera plus qu'à vendre des supports de son oeuvre.

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un site de peer to peer n'est pas un hindou qui revend des film sur le bitume à la sauvette.

Il est ce qui permet à l'Hindou de le faire. C'est de l'incitation au vol.

Il peut toujours se produire en concert et vendre le droit d'y assister. S'il est vraiment bon, il y gagnera plus qu'à vendre des supports de son oeuvre.

Et bien, je ne sais pas, c'est que des fois, le concert ne vaut vraiment pas le disque. Qui est une oeuvre unique.

Pas si simple.

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Il peut toujours se produire en concert et vendre le droit d'y assister. S'il est vraiment bon, il y gagnera plus qu'à vendre des supports de son oeuvre.

On n'a même pas à répondre à cette question. Est-ce qu'on me demande de conseiller un boucher sur sa manière de gêrer sa boutique ? Est-ce qu'on me demande mon avis sur les honoraires que doit pratiquer un médecin ou un avocat ? Non.

Donc comme je le dis dans ma quatrième question, si les artistes ne peuvent plus gagner leur vie en vendant leurs oeuvres, ce n'est pas mon problème, c'est le leur.

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Je dirais même que perso, j'ai beaucoup plus d'affection pour mes disques que leurs interprétations en concert. en rock particulièrement.

En jazz et blues, c'est différent. Et en classique, un peu des deux. Deux interprétation d'une oeuvre ne sont jamais les mêmes.

On peut avoir 10 versions des Partitas de Bach et les conserver toutes, parce qu’elles apportent toutes quelque chose.

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Je pense qu'un artiste à droit à des royalties sur ce qu'on vend de ses produits (les albums pour un musicien, les livres pour un écrivain, les reproductions pour un peintre ou un designer). Il y avait justement un truc à la télé hier soir sur les designer de chez Vitra, et d'autres, les mecs avaient entre 5 et 9% de royalties sur le prix final.

Je trouve ça tout à fait normal. Je trouve normal également que tant que l'artiste vit, il y a droit, ça doit par contre s'arrêter ensuite (pas de "droit" sur un laps de temps défini -30 ans, 50 ans, que sais-je- mais la durée d'une vie), ses descendants n'étant pour rien dans son travail. Tant qu'il vit, il a aussi droit de regard sur son oeuvre, sauf si il le revend. J'entends par là qu'on ne peut pas utiliser sa musique si il ne le veut pas.

C'est tout.

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Je pense qu'un artiste à droit à des royalties sur ce qu'on vend de ses produits (les albums pour un musicien, les livres pour un écrivain, les reproductions pour un peintre ou un designer). Il y avait justement un truc à la télé hier soir sur les designer de chez Vitra, et d'autres, les mecs avaient entre 5 et 9% de royalties sur le prix final.

Je trouve ça tout à fait normal. Je trouve normal également que tant que l'artiste vit, il y a droit, ça doit par contre s'arrêter ensuite (pas de "droit" sur un laps de temps défini -30 ans, 50 ans, que sais-je- mais la durée d'une vie), ses descendants n'étant pour rien dans son travail. Tant qu'il vit, il a aussi droit de regard sur son oeuvre, sauf si il le revend. J'entends par là qu'on ne peut pas utiliser sa musique si il ne le veut pas.

C'est tout.

100% d'accord avec ça . :icon_boire:

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On parle implicitement d'un artiste qui créé et autorise contre de l'argent un de ses clients à écouter son morceau, sous réserve qu'il n'en fasse pas bénéficier quelqu'un d'autres.

On essaye ici de légitimer la violation d'un contrat, je trouve ça regrettable.

Protéger les échanges privés, le peer-to-peer, ok.

Demander au producteur de protéger suffisamment la propriété, un peu comme les fabricants automobiles doivent mettre des antivol et des dispositifs antidémarrage sur leurs véhicules, ok.

Mais dire qu'un artiste doit vivre de concerts et de dons, c'est un peu court. Imaginons un artiste très talentueux mais dont les fans ne sont pas assez densément situés sur un territoire pour qu'un concert soit rentable.

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