Aller au contenu

Prézidentielles 2012, la suite


Présidentielle 2012  

95 membres ont voté

  1. 1. Si le premier tour des élections présidentielles françaises avait lieu aujourd'hui, pour qui voteriez vous?

    • Nathalie Arthaud (LO)
    • Jean-Luc Mélenchon (Front de Gauche)
      0
    • François Hollande (PS)
      0
    • Eva Joly (EE Les Verts)
      0
    • François Bayrou (Modem)
    • Hervé Morin (Nouveau Centre)
      0
    • Christine Boutin (PCD)
    • Nicolas Sarkozy (UMP)
      0
    • Nicolas Dupont-Aignan (DLR)
    • Marine Le Pen (FN)
    • Frédéric Bastiat (bastiat2012.fr)
    • Vote blanc
    • Je m'abstiendrai de voter
  2. 2. Comment vous déterminez-vous pour le choix du candidat (ou de ne pas voter)?

    • Opinions politiques (le moins éloigné du libéralisme)
    • Sympathie vis-à-vis du candidat
    • Provocation (volonté de perturber le système actuel)
    • Au hasard
    • Le moins pire
    • Autre


Messages recommandés

Regarder les chroniques de Nicolas Doze, qui résume le programme de Sarkozy à deux chiffres: d'ici à 2016, diminution des dépenses publiques de 75 milliards (soit environ 3,8 points de PIB) et hausse des recettes de 40 milliards (soit 2 points de PIB d'augmentation des prélèvements obligatoires) pour aboutir à l'équilibre.

Lien vers le commentaire

Bon, allez, soyons fous, moi aussi j'ai le droit de troller un peu.

Je suis toujours déconcerté par ceux qui votent mais trouveraient normal de contester, parfois violemment, l’élection d’un candidat qu’ils estiment dangereux.

Un joueur qui se plaint du résultat d’une partie alors qu’il avait accepté les règles, j'appelle ça un mauvais perdant. Les mauvais perdants n’ont aucune crédibilité. En votant, on accepte la légitimité du suffrage et on ne peut plus sérieusement se plaindre de l’issue, même si elle nous déplait.

Le vote blanc ou nul n’est pas une réponse satisfaite à cette critique. Tout ce qu’il permet d’exprimer, c’est qu’on accepte la décision de la majorité quelle qu’elle soit (l'équivalent politique d'un chèque en blanc…). Personne d’ailleurs ne commente jamais ces bulletins lors des soirées électorales. Tout le monde sait qu'ils ne remettent rien en cause.

L'abstention, en revanche, permet d’attaquer le principe même du suffrage et de refuser toute responsabilité dans ce qui pourrait en découler.

Dans un mois, que notre président s’appelle Le Pen ou Hollande, Sarkozy ou Mélenchon, les seuls qui ne lui auront pas donné leur bénédiction seront ceux qui refusent de jouer, les abstentionnistes.

Lien vers le commentaire

Bon, allez, soyons fous, moi aussi j'ai le droit de troller un peu.

À gauche on pense que la gauche est le bien et la droite le mal. Aussi les élections ne sont pas perçues comme un moyen de déterminer quel serait le meilleur gouvernement. Les élections sont une occasion pour le bien de prendre le pouvoir au mal. Cela explique la mauvaise foi assumée : tous les coups sont permis pour faire reculer le mal ; les élections sont un coup de poing dans une bagarre plus vaste.

Lien vers le commentaire

Je ne savais pas trop où mettre ce lien, j'ai trouvé ça tellement gros !!

http://leplus.nouvel…-melenchon.html

Un ancien d'HEC. Ceci explique cela. Rappelez-vous que, à de rares exceptions près, les anciens élèves des écoles de commerce sont des peigne-culs.

Lien vers le commentaire

Je ne savais pas trop où mettre ce lien, j'ai trouvé ça tellement gros !!

http://leplus.nouvel…-melenchon.html

Aujourd’hui, je rejette radicalement le libéralisme économique, tant celui de l’UMP, que celui du PS avec son vague souci de protection sociale

Avec une analyse politique aussi poussée forcément…

Et puis, sur le fond, son problème c'est le management au sein d'une entreprise. De là à en extrapoler toute une théorie politique…

Lien vers le commentaire

J’ai vu une fuite en avant pour faire toujours plus toujours plus vite, sans se soucier vraiment de faire mieux. Sans se soucier des conséquences à long terme. Plus on monte dans la hiérarchie, plus les postes et fonctions sont plastiques, les responsabilités floues et les évaluations de court terme. Quelques années après, tel manager n’est plus dans la même division, ni dans la même région du monde, peut-être même plus dans la même entreprise… Après eux, le déluge. Plus de mémoire, plus de long terme, plus de vision. Faire plus que l’an dernier, plus qu’au trimestre dernier, plus qu’hier, faire plus, mais vite : pas de temps pour des modifications structurelles, pour des remises en question ou simplement un peu de réflexion.

D'accord avec lui. Mais Francois Kahn parle des tres grandes entreprises, des "champions nationaux", celles qui sont controlees par l'Etat, soit par la reglementation, soit par le carnet de commande. Celles qui sont dirigees par des hauts fonctionnaires, des X-Mines, celles qui recrutent les diplomes de ecoles de commerce, precisement. La realite de l'entreprise en France, ce n'est pas ca. 90% des entreprises francaises sont des PME.

Lien vers le commentaire

Du coup ça ne fait pas de mal à ces gens de leur rappeller qu'ils ne sont pas démocrates quoi qu'ils en pensent.

Si si ils sont démocrates car la démocratie est le bien aussi, contrairement au fascisme qui est de droite et qui est le mal.

Aussi, pour que la démocratie fonctionne, cela passe nécessairement par l'éducation. Il faut éduquer dès le plus jeune âge afin que chaque citoyen pense et vote le bien, c'est-à-dire la gauche.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...