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Ces petites phrases qui vous ont fait plaisir…


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Messages recommandés

http://www.actualitte.com/librairies/vente-de-livres-reguler-internet-plus-que-ringard-c-est-archaique-47539.htm
 

 

L'intervention de la sénatrice Nathalie Goulet, durant les discussions autour de la loi sur la vente à distance de livres, a été très remarquée. Voix dissidente, elle expliquait n'être « pas du tout convaincue par ce texte », tout en admettant ne pas faire partie du sérail ni baigner « dans le bouillon culturel ». Pour autant, la législation, selon elle, « ne modifiera pas la pratique de l'achat en ligne ».

[...]

« L'objectif de protéger les libraires physiques est éminemment louable, mais les moyens déployés sont inadaptés. J'avais cité l'humoriste Frédéric Bastiat, qui en son temps invoquait la déloyale concurrence des fenêtres et de la lumière du soleil, face à l'industrie des fabricants de bougies [voir notre encadré]. Il y a des choses que l'on ne peut pas réguler, et les habitudes de consommation sur internet en font partie. Elles sont aujourd'hui ancrées, et si l'on est parti d'un excellent sentiment, on se trompe de cible », explique la sénatrice.

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L'article linké sur le libraire à Paris est instructif : "le loyer m'étrangle parce que je n'ai pas une boutique de fringues ou les marges sont énormes". Donc, le métier de libraire est difficilement rentable parce que ses marges sont mauvaises, bien plus qu'au cause d'Amazon.

Ça serait marrant que le prix des livres soit, dans une perspective socialiste, fixé par l’État.

 

Oh, wait...

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L'article linké sur le libraire à Paris est instructif : "le loyer m'étrangle parce que je n'ai pas une boutique de fringues ou les marges sont énormes". Donc, le métier de libraire est difficilement rentable parce que ses marges sont mauvaises, bien plus qu'au cause d'Amazon.

Ça serait marrant que le prix des livres soit, dans une perspective socialiste, fixé par l’État.

 

Oh, wait...

 

On relèvera aussi le loyer, artificiellement surélevé grâce aux règles d'urbanisme de qui ?

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  • 2 weeks later...

Les Allemands arrivent.

 

 

Peter Hartz avait conseillé Gerhard Schröder pour réformer le marché du travail allemand. Il est désormais pressenti pour conseiller François Hollande.

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20140128trib000812219/le-pere-des-reformes-allemandes-pour-conseiller-hollande-l-elysee-dement.html

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Dans Le Monde (oui, je sais...) :

Comment les banques ont profité de la crise grâce aux garanties d'Etat
 
« Les investisseurs sont persuadés qu'en cas de crise grave, les gouvernements agiront pour les empêcher de faire défaut », commente Laurence Scialom, spécialiste du sujet à l'université Paris-X - Nanterre. C'est ce que les économistes appellent la garantie ou subvention implicite des Etats.
A priori, on pourrait juger que c'est une bonne chose, puisque cette garantie n'est quasiment jamais utilisée. L'ennui, c'est qu'elle a de nombreux effets pervers. D'abord, elle incite les banques à prendre plus de risques sur les marchés financiers. « C'est l'aléa moral : la certitude d'être aidé par l'Etat pousse à adopter des comportements moins prudents », explique Bruno Colmant, économiste à l'Université catholique de Louvain.
Ensuite, la garantie implicite crée des distorsions de concurrence. Les banques qui en bénéficient profitent de conditions de financement plus favorables que les autres établissements sur les marchés, puisqu'elles sont jugées plus sûres.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/27/les-banques-europeennes-et-le-jackpot-des-garanties-d-etat_4354966_3234.html

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Dans Le Monde (oui, je sais...) :

 

They're connected !

Et bien sur, ils ne disent absolument pas que les États ont donné toutes les garanties possibles et inimaginables, ceux-ci sont présentés comme d'innocentes victimes qui sauvent les méchantes banques de façon purement altruiste et désintéressée. C'est donc la faute à l'ultralibéralisme.

Reprendre une analyse de libéraux sur le kroony, la modifier pour en accuser le libéralisme et justifier plus d'interventionnisme, les socialauds sont forts pour détourner les faits à leur avantage…

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Le Japon désarçonne la théorie économique. Depuis son arrivée au pouvoir, le Premier ministre, Shinzo Abe, s'efforce de rallumer une croissance durable en encourageant les exportations par une dépréciation graduelle de la monnaie nippone. Sur les douze mois de 2013, le yen a perdu 21 % de sa valeur face au dollar. Selon les manuels de macroéconomie - effet de « la courbe en J » -, cette dévaluation aurait progressivement dû doper l'envoi vers l'étranger de produits made in Japan, soudain devenus meilleur marché. Mais le miracle n'a pas eu lieu. Pis, Tokyo a dévoilé, hier, le plus lourd déficit commercial de son histoire moderne.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203271679172-le-japon-enregistre-un-deficit-commercial-historique-645930.php

 

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  • 2 weeks later...
 L’acteur belge Poelvoorde nous a dit combien les manifestations françaises contre le mariage unisexe faisaient rigoler les Belges (...) Les Belges sont un peuple sympathique, doué pour l’humour et le dessin. Les Flamands connaissent une réussite économique à la mesure de leur acharnement dans le travail et les affaires. La Belgique n’est pas une nation, mais un Etat en sursis qui préfigure ce que pourrait être l’Europe fédérale (...) La riche Flandre supporte de plus en plus mal le boulet économique wallon. Bruxelles rêve de devenir district fédéral européen où la guerre linguistique sera dépassée par l’usage de l’Anglais, la langue des affaires et de la politique internationale à côté de laquelle le Français devient un patois rétrograde. Bref, la Belgique montre le chemin d’une non-nation, peuplée de non-citoyens, seulement de travailleurs et surtout de consommateurs avisés, de pas mal de technocrates qui le sont moins, et de beaucoup de chômeurs francophones.

 

 

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Lors de sa visite-éclair à San Francisco, François Hollande a inauguré le French Tech Hub. Un enfant de la bureaucratie au paradis de la libre entreprise.

 

Le French Tech Hub est une créature nourrie par plusieurs ruisseaux d'argent public. National, avec la participation - entre autres - de la Banque publique d'investissement. Régional surtout, puisqu'il est piloté par l'Agence régionale de développement de la région Ile-de-France. L'ARD : une institution qui ressemble plus à une bureaucratie plan-plan qu'au fer de lance de la France qui gagne. Son rôle ? C'est écrit en énarque dans le texte : "Favoriser l'émergence de partenariats économiques et technologiques internationaux". Le président du directoire semble d'ailleurs plus féru d'économie sociale et solidaire que de création d'entreprises en milieu concurrentiel. Cet ancien élève de l'Ena a passé près de trente ans au Crédit coopératif, dont les dirigeants s'intéressent généralement plus au grand architecte de l'univers qu'au modèle de croissance de Twitter.

http://www.lepoint.fr/monde/hollande-dans-la-silicon-valley-french-usine-a-gaz-13-02-2014-1791190_24.php

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L'autre coup il y en avait un sur BFM. C'était vraiment du n'imp de compétition. Il aurait tenu la dragée haute à Sapir. Un type de l'OFCE (alors que Éric Heyer est pas totalement idiot). 

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Avalanche de :facepalm: dans la suite de ses arguments…

 

Comme ils ont l'air bizarre, ces piponomistes atterrants. Des marginaux, des paumés, à côté de leurs pompes…

 

Ceci dit, il a raison sur un truc : quand on dit que les dépenses publiques représentent 56 (57 maintenant) % du PIB, ça ne veut pas dire en effet que l'Etat gaule 57%. Pour au moins du raison, ahma de non economiste, c'est qu'une partie est effectivement redonnée aux gens (ce qui, du reste, est a mon avis très con, prendre de la main gauche pour redonner de la main droite) et de l'autre, une partie non négligeable du PIB est "créé" par l'Etat, puisqu'on prend en compte les fonctionnaires.

 

Tout ceci étant approximatif, est à corrigé par un plus calé en économie.

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Ceci dit, il a raison sur un truc : quand on dit que les dépenses publiques représentent 56 (57 maintenant) % du PIB, ça ne veut pas dire en effet que l'Etat gaule 57%. Pour au moins du raison, ahma de non economiste, c'est qu'une partie est effectivement redonnée aux gens (ce qui, du reste, est a mon avis très con, prendre de la main gauche pour redonner de la main droite) et de l'autre, une partie non négligeable du PIB est "créé" par l'Etat, puisqu'on prend en compte les fonctionnaires.

 

Tout ceci étant approximatif, est à corrigé par un plus calé en économie.

Tout ce qui est pris est redonné à quelqu'un (en échange d'autre chose). Si tu parles de ce qui est redonné à ceux qui ont payé, ça n'en reste pas moins de la vente forcée (d'assurance, de placement retraite, etc..), exactement comme on force la vente des services publiques rendus par les fonctionnaires. Et le fait que le PIB intègre la production publique fait des 56% un indice de socialisme sous-évalué (comparer les dépenses publiques à la seule production privé donnerait un résultat bien pire). Et comme la production publique est forcée, on peut tout à fait dire que l'Etat prend plus de 56% (à nous ou nos petits enfants). L'Etat soviétique produisait plein de choses, l'Etat n'en prenait pas moins aux gens (et même plus en fait).
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Henri Sterdyniak?

 

Voilà.

 

Ceci dit, il a raison sur un truc : quand on dit que les dépenses publiques représentent 56 (57 maintenant) % du PIB, ça ne veut pas dire en effet que l'Etat gaule 57%. Pour au moins du raison, ahma de non economiste, c'est qu'une partie est effectivement redonnée aux gens (ce qui, du reste, est a mon avis très con, prendre de la main gauche pour redonner de la main droite) et de l'autre, une partie non négligeable du PIB est "créé" par l'Etat, puisqu'on prend en compte les fonctionnaires.

 

Tout ceci étant approximatif, est à corrigé par un plus calé en économie.

 

C'est pas parce que ton bailleur va faire ses courses dans ton épicerie que tu ne lui paies pas moins de loyer. Et puis l'État ne redistribue pas exactement à ceux à qu'il a pris. 

 

Tout ce qui est pris est redonné à quelqu'un (en échange d'autre chose). Si tu parles de ce qui est redonné à ceux qui ont payé, ça n'en reste pas moins de la vente forcée (d'assurance, de placement retraite, etc..), exactement comme on force la vente des services publiques rendus par les fonctionnaires. Et le fait que le PIB intègre la production publique fait des 56% un indice de socialisme sous-évalué (comparer les dépenses publiques à la seule production privé donnerait un résultat bien pire). Et comme la production publique est forcée, on peut tout à fait dire que l'Etat prend plus de 56% (à nous ou nos petits enfants). L'Etat soviétique produisait plein de choses, l'Etat n'en prenait pas moins aux gens (et même plus en fait).

 

Plus le poids des réglementations.

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hop, j'ai pas dit le contraire hein.

Si :

Ceci dit, il a raison sur un truc : quand on dit que les dépenses publiques représentent 56 (57 maintenant) % du PIB, ça ne veut pas dire en effet que l'Etat gaule 57%.

Si pour toi c'est parce que ce chiffre prend en compte les impôts que payent les fonctionnaires, alors avec 99% de fonctionnaires l'Etat ne prendrait selon toi presque rien (et ce même si les fonctionnaires en question étaient très sous-payés). Si c'est parce que certains contribuables recoivent par ailleurs du pognon, l'Etat soviétique ne prennait rien puisque tout le monde dépendait largement de l'Etat.

Essayer de le quantifier me parait vain (la monnaie n'est qu'une petite partie de la richesse et de ce que nous prend l'Etat) mais il est très probable que l'Etat prenne plus que 57% de l'argent hônnetement acquis (à nous ou nos petits-enfants), puisque la partie PIB de ce chiffre intègre déjà l'activité publique et que cette dernière a peu de chance d'être créatrice net de richesse.

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