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Salaire complet


Bisounours

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C'est bien pour cela que nous sommes libéraux, non ? L'offre et la demande suivent certaines lois générales, mais sont insusceptibles d'être quantifiées à un moment donné parce que personne ne peut agréger l'information en un seul point, et surtout parce que les modifications se font en ce moment même ; c'est en mouvement permanent. Ce qui est bien ce qui rend l'intervention de l'Etat dans l'économie futile.

Certes, et c'est pour cette raison que c'est un mensonge de dire que l'on pourra prévoir l'évolution du salaire total.

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Mais je suis bien d'accord.

Oui, mais bien souvent, je constate une forme d'optimisme naïf ou de mensonge idéologique vis à vis du libéralisme et de ses effets. Si on veut être rigoureux, il faut dire que libéralisme permet de rendre la liberté aux individus, pour certains cela sera à leur avantage (économique), mais pour d'autres non.

Bien évidemment, il faut penser que la liberté "en général" sera finalement bénéfique pour tous (sinon on change de crémerie), mais je pense qu'il y a des inquiétudes légitimes, et qu'il est important d'y apporter des réponses argumentées, étayées par des exemples économiques édifiants.

Paradoxalement, si on veut que le libéralisme devienne un programme de gouvernement et donc autre chose qu'un rêve d'adolescent, il sera nécessaire de prévoir et d'anticiper l'évolution du marché en fonction des réformes, et d'organiser ces réformes dans un ordre et une progressivité qui permettront d'en limiter les effets négatifs pour les individus.

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Oui, mais bien souvent, je constate une forme d'optimisme naïf ou de mensonge idéologique vis à vis du libéralisme et de ses effets. Si on veut être rigoureux, il faut dire que libéralisme permet de rendre la liberté aux individus, pour certains cela sera à leur avantage (économique), mais pour d'autres non.

Bien évidemment, il faut penser que la liberté "en général" sera finalement bénéfique pour tous (sinon on change de crémerie), mais je pense qu'il y a des inquiétudes légitimes, et qu'il est important d'y apporter des réponses argumentées, étayées par des exemples économiques édifiants.

Paradoxalement, si on veut que le libéralisme devienne un programme de gouvernement et donc autre chose qu'un rêve d'adolescent, il sera nécessaire de prévoir et d'anticiper l'évolution du marché en fonction des réformes, et d'organiser ces réformes dans un ordre et une progressivité qui permettront d'en limiter les effets négatifs pour les individus.

Content de voir que je ne suis pas seul dans l'idée de la séquence pour les réformes à mettre en oeuvre. Je n'ai rien à redire, amen !

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Certes, et c'est pour cette raison que c'est un mensonge de dire que l'on pourra prévoir l'évolution du salaire total.

Dans la proposition qu'on avait envisager à Liberté Chérie, on parlait de restitution du salaire complet au salarié sans rien changer des diverses charges. De fait, tout contrat de travail qu'il soit en net ou en brut se verrait transformé en salaire complet au bon taux pour que cela ne change rien pour les deux parties.

L'idée était de faire réaliser aux salariés le coût réel de leur système social que le monde entier nous envie.

Parce qu'aujourd'hui, bien peu de gens sont capables de dire combien ils payent en charge. Du fait, minimisant les coûts, et par contre, constant bien les bénéfices (allocations, remboursement sécu, etc..), ils sont forcément favorables à plus d'allocs & co.

C'était avant tout une proposition d'éducation / faire ouvrir les yeux aux citoyens qu'une libéralisation. Mais compte tenu de l'intoxication mentale des français, il nous semblait que cette première étape était nécessaire avant toute proposition de libéralisation.

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Je vais prendre mon expérience personnelle pour compléter ce que disent mes chers confrères. ça vaut ce que ça vaut Bisounours, à toi de voir:

J'étais il y a deux ans en CDI. Le salaire net ne me convenant pas, mais ne pouvant demander une augmentation puisque ce salaire était dans les prix du marché, j'ai proposé à mon patron que je passe en indépendant et que je lui facture ce qui correspondait à mon salaire complet. Chose faite. Tous les mois mon "patron" me verse l'équivalent de mon salaire complet. Et pourquoi ne le ferait-il pas, ça ne lui coute pas un centime de plus (au contraire).

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Je vais prendre mon expérience personnelle pour compléter ce que disent mes chers confrères. ça vaut ce que ça vaut Bisounours, à toi de voir:

J'étais il y a deux ans en CDI. Le salaire net ne me convenant pas, mais ne pouvant demander une augmentation puisque ce salaire était dans les prix du marché, j'ai proposé à mon patron que je passe en indépendant et que je lui facture ce qui correspondait à mon salaire complet. Chose faite. Tous les mois mon "patron" me verse l'équivalent de mon salaire complet. Et pourquoi ne le ferait-il pas, ça ne lui coute pas un centime de plus (au contraire).

En tant qu'indépendant/libéral, tu dois bien payer des charges sociales qui correspondent aux charges salariés et patronales.

Quels en sont les montants/taux ?

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Oui, mais bien souvent, je constate une forme d'optimisme naïf ou de mensonge idéologique vis à vis du libéralisme et de ses effets. Si on veut être rigoureux, il faut dire que libéralisme permet de rendre la liberté aux individus, pour certains cela sera à leur avantage (économique), mais pour d'autres non.

Bien évidemment, il faut penser que la liberté "en général" sera finalement bénéfique pour tous (sinon on change de crémerie), mais je pense qu'il y a des inquiétudes légitimes, et qu'il est important d'y apporter des réponses argumentées, étayées par des exemples économiques édifiants.

Paradoxalement, si on veut que le libéralisme devienne un programme de gouvernement et donc autre chose qu'un rêve d'adolescent, il sera nécessaire de prévoir et d'anticiper l'évolution du marché en fonction des réformes, et d'organiser ces réformes dans un ordre et une progressivité qui permettront d'en limiter les effets négatifs pour les individus.

Je suis plus que d'accord avec vous, Mr Poe, et je ne saurais pas mieux l'exprimer, merci. On ne peut considérer comme acquis que je percevrais mon salaire complet actuel, comme je l'ai lu dans certains articles
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Dans la proposition qu'on avait envisager à Liberté Chérie, on parlait de restitution du salaire complet au salarié sans rien changer des diverses charges. De fait, tout contrat de travail qu'il soit en net ou en brut se verrait transformé en salaire complet au bon taux pour que cela ne change rien pour les deux parties.

L'idée était de faire réaliser aux salariés le coût réel de leur système social que le monde entier nous envie.

Parce qu'aujourd'hui, bien peu de gens sont capables de dire combien ils payent en charge. Du fait, minimisant les coûts, et par contre, constant bien les bénéfices (allocations, remboursement sécu, etc..), ils sont forcément favorables à plus d'allocs & co.

C'était avant tout une proposition d'éducation / faire ouvrir les yeux aux citoyens qu'une libéralisation. Mais compte tenu de l'intoxication mentale des français, il nous semblait que cette première étape était nécessaire avant toute proposition de libéralisation.

C'est tellement vrai que lorsque je regarde mon bulletin de salaire, j'ai toujours du mal à comprendre toutes ces colonnes, et j'ai un peu plus que deux neurones…

Si votre proposition consiste à me faire percevoir mon salaire complet, et m'assurer moi même sans que ça me coûte plus, voire moins, je signe de suite ! Mais j'ai du mal à être benoitement certaine que ça fonctionne, comme Mr Poe le fait remarquer

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Je vais prendre mon expérience personnelle pour compléter ce que disent mes chers confrères. ça vaut ce que ça vaut Bisounours, à toi de voir:

J'étais il y a deux ans en CDI. Le salaire net ne me convenant pas, mais ne pouvant demander une augmentation puisque ce salaire était dans les prix du marché, j'ai proposé à mon patron que je passe en indépendant et que je lui facture ce qui correspondait à mon salaire complet. Chose faite. Tous les mois mon "patron" me verse l'équivalent de mon salaire complet. Et pourquoi ne le ferait-il pas, ça ne lui coute pas un centime de plus (au contraire).

Tu dois toute de même payer un cabinet comptable en plus. Par ailleurs, ta situation est assez dangereuse, les URSSAF sont prompts à requalifier ton indépendance en salariat déguisé. J'espère que tu as au moins, un autre client.

C'est tellement vrai que lorsque je regarde mon bulletin de salaire, j'ai toujours du mal à comprendre toutes ces colonnes, et j'ai un peu plus que deux neurones…

Si votre proposition consiste à me faire percevoir mon salaire complet, et m'assurer moi même sans que ça me coûte plus, voire moins, je signe de suite ! Mais j'ai du mal à être benoitement certaine que ça fonctionne, comme Mr Poe le fait remarquer

J'ai incité trois de mes salariés à se mettre à leur compte, ils en sont super contents. Il gagnent bien mieux leur vie (beaucoup plus). Il me facturent au forfait pour chaque chantier que je leur soumet. Ils se sont dégottés d'autres clients et au final, ils gagnent plus que moi.

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J'ai pas tous lu, mais en gros, si avant la réforme, le prix du marché est 3500€ pour l'employeur, c'est qu'il y a une raison : l'employeur pouvait très bien payer 2000€ complet (donc 1000€ net), mais s'il ne le fait pas c'est qu'il ne trouve pas d'employés à ce prix.

Eh ben après la réforme c'est pareil (à moins d'une masse critique d'inconscients qui ne prennent pas d'assurance maladie et qui tirent les prix vers le bas, et encore.)

Pareil pour la suppression du SMIC. Toute personne qui touche au moins 1€ au dessus du SMIC l'est pour une bonne raison : l'employeur ne pouvait pas recruter au SMIC, et donc ne pourra pas a fortiori recruter en dessous du SMIC après la réforme.

Par contre et malheureusement, rien n'est dit pour ceux qui sont exactement au SMIC. Ils risquent en effet de voir leur salaire diminuer, on peut toutefois espérer que la diminution du chômage, happé dans des nouveaux jobs peu payés, entraine une baisse de la pression sur les smicards et rééquilibre les salaires vers le haut. Mais faut pas trop rêver non plus.

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Bien évidemment, il faut penser que la liberté "en général" sera finalement bénéfique pour tous (sinon on change de crémerie), mais je pense qu'il y a des inquiétudes légitimes, et qu'il est important d'y apporter des réponses argumentées, étayées par des exemples économiques édifiants.

C'est pas dans un débat public qu'on pourra faire ça…

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Une mesure de transition serait de passer au salaire complet pour tous les contrats de travail actuels, avec l'impossibilité de retoucher à la baisse ces salaires. En revanche, pour tout nouveau contrat de travail, l'entreprise pourra retoucher le salaire complet, il y aura probablement des baisses mais c'est pas certain.

En revanche, la suppression du SMIC ne pourra affecter les contrats de travail existants, mais bel et bien tous les nouveaux contrats de travail.

Mais tout ça doit se faire après avoir véritablement déréglementé et réduit les procédures administratives qui pèsent sur les entreprises par ailleurs.

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il y aura probablement des baisses mais c'est pas certain.

Dans un marcher d'offre et de demande le prix et la quantité sont importants.

Autrement dit, il n'y a pas que le salaire qui compte, il y a aussi le taux de chômage.

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Je suis OK avec Tremendo, un compromis serait d'imposer aux employeurs de verser le salaire complet aux contrats de travail en cours, et idem en maintenant le SMIC.

En revanche, pour tous les nouveaux contrats de travail ces contraintes n'existeraient pas et le salaire serait parfaitement librement négocié. J'imagine qu'au début, les employeurs en profiteront pour "sous-payer" les emplois les moins qualifiés, mais j'imagine que les choses s'équilibreraient assez vite au fur et à mesure que le taux de chômage diminuera et que le pool de main d'oeuvre inutilisée se raréfiera.

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En tant qu'indépendant/libéral, tu dois bien payer des charges sociales qui correspondent aux charges salariés et patronales.

Quels en sont les montants/taux ?

grosso modo 30% de charges, mais en ajoutant les remboursements de frais pro et le fait que j'"épargne" une partie en la laissant dans la tresorerie de la societe (donc sousmise seulement à l'impot sur les societes sur les 38120 premiers euros de benef par an), j'arrive à un taux de charges/impot de 25% environ (sans compter la TVA evidemment). C'était ça ou l'exil :)

Tu dois toute de même payer un cabinet comptable en plus. Par ailleurs, ta situation est assez dangereuse, les URSSAF sont prompts à requalifier ton indépendance en salariat déguisé. J'espère que tu as au moins, un autre client.

Je sais, je connais le risque, mon client principal aussi. Et je vais bientot mettre un terme à mon contrat pour ça d'ailleurs :)

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C'est tellement vrai que lorsque je regarde mon bulletin de salaire, j'ai toujours du mal à comprendre toutes ces colonnes, et j'ai un peu plus que deux neurones…

Si votre proposition consiste à me faire percevoir mon salaire complet, et m'assurer moi même sans que ça me coûte plus, voire moins, je signe de suite ! Mais j'ai du mal à être benoitement certaine que ça fonctionne, comme Mr Poe le fait remarquer

J'ai dit sans rien changer des charges, donc en conservant le monopole de la sécu et compagnie, SAUF que ça serait les salariés qui tous les mois devraient payer 45% de charges directes sur leur salaire complet (correspondant à ce que l'on appelle aujourd'hui charges sociales salariales et charges sociales patronales). Légalement, leur salaire contractuel passerait du net ou brut à un complet pour que cela ne change rien pour aussi bien l'employé que l'employeur.

L'idée est que lorsque les gens paieront eux-mêmes les charges, ils seront sans doute plus favorables à une libéralisation.

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L'idée est que lorsque les gens paieront eux-mêmes les charges, ils seront sans doute plus favorables à une libéralisation.

Oui ça c'est pour l'aspect "politique".

L'intérêt utilitaire, c'est surtout pour l'employeur de se débarrasser de la paperasserie et des tracas liés à l'URSSAF. L'URSS à la française.

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  • 2 weeks later...

Bonjour, je lis ce forum depuis un moment et ce fil m'a donné envie de répondre.

-Les employés de grands groupes bénéficieraient probablement d'assurances privées mais négociées avec un effet groupe et par des gens dont c'est le métier de négocier. C'est ce qui se passe déjà pour les assurances auto pourtant privées.

-Pour les assurance santé privées que se passerait-il pour les gens de santé fragile? malus ? refus d'assurer? Pour notre assureur auto nous sommes avec mon épouse des bons risques: bonus maxi pas d'accident depuis presque 30 ans. Pour un assureur santé privé nous serions un mauvais risque-sans entrer dans les détails-et ce malgré une vie sobre et active (comme quoi!). On ne maitrise pas toujours sa santé.

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-Pour les assurance santé privées que se passerait-il pour les gens de santé fragile? malus ? refus d'assurer? Pour notre assureur auto nous sommes avec mon épouse des bons risques: bonus maxi pas d'accident depuis presque 30 ans. Pour un assureur santé privé nous serions un mauvais risque-sans entrer dans les détails-et ce malgré une vie sobre et active (comme quoi!). On ne maitrise pas toujours sa santé.

Les assureurs privés existent déjà dans la plupart des pays civilisés, il n'y a qu'à observer comment les choses se passent chez eux.

Dans un système totalement libre, je suppose qu'on trouverait des assureurs qui essayeraient de calculer au plus près le risque de façon à avoir une prime qui le reflète, et d'autres qui proposeraient, des primes variables surtout selon l'âge et le sexe comme ce qui se fait avec les mutuelles.

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Dans un système totalement libre, je suppose qu'on trouverait des assureurs qui essayeraient de calculer au plus près le risque de façon à avoir une prime qui le reflète, et d'autres qui proposeraient, des primes variables surtout selon l'âge et le sexe comme ce qui se fait avec les mutuelles.

Il y en aura même qui arriveraient a titriser les assurances des malades en phase terminale, a les trancher, et a vendre le risque à des fonds d’investissements.

:jesors:

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Bonjour, je lis ce forum depuis un moment et ce fil m'a donné envie de répondre.

-Les employés de grands groupes bénéficieraient probablement d'assurances privées mais négociées avec un effet groupe et par des gens dont c'est le métier de négocier. C'est ce qui se passe déjà pour les assurances auto pourtant privées.

L'assurance pour les particuliers en France est remarquablement peu cher.

-Pour les assurance santé privées que se passerait-il pour les gens de santé fragile? malus ? refus d'assurer? Pour notre assureur auto nous sommes avec mon épouse des bons risques: bonus maxi pas d'accident depuis presque 30 ans. Pour un assureur santé privé nous serions un mauvais risque-sans entrer dans les détails-et ce malgré une vie sobre et active (comme quoi!). On ne maitrise pas toujours sa santé.

Malus, non.

Exclusions des suites et conséquences des pathologies existantes avant l'adhésion, sans doute.

Et en cas de pathologies lourdes et délicates (VIH notamment), il est possible que les assureurs forment des "pool" pour gérer ces risques aggravés. Effectivement c'est pas de chance d'avoir une mauvaise santé, mais l'assurance peut apporter une réponse partielle. Il est évident qu'un assureur ne sera pas très chaud à couvrir quelqu'un avec des problèmes longs et coûteux qui vont baiser le rapport sinistre/prime, sa compétitivité, et se répercuter sur l'ensemble des assurés. Ce genre de souci sera insoluble tant que les maladies concernées seront difficilement curables.

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On peut imaginer plusieurs solutions. La première est sûrement de contracter une assurance avant même la naissance, en bon père de famille. Pour ceux qui ne l'ont pas fait, on peut imaginer que des mécanismes de solidarité (la vrai hein) se mettraient en place. Une association des diabétiques proposant de couvrir tous ses membres ne paraît pas incongrue. D'autres groupes pourraient le faire, religion, club de supporters, ou encore fondations ayant un but de recherche scientifique et/ou philanthropique.

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Qu'est-ce qui empecherai un assureur de résilier l'assuré qui cumule les ennuis de santé à un moment de sa vie comme certains ont par malchance plusieurs accidents de voitures de suite et se font virer?

Une telle assurance ferait faillite rapidement. Il suffit de regarder les contrats des assurances étrangères qui stipulent en caractères gras qu'une fois assuré chez elles, on ne peut plus être viré quelque que soit la maladie.

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Une telle assurance ferait faillite rapidement. Il suffit de regarder les contrats des assurances étrangères qui stipulent en caractères gras qu'une fois assuré chez elles, on ne peut plus être viré quelque que soit la maladie.

Probablement par contrainte législative/règlementaire.

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Dans ce cas les assurances qui seraient les interlocuteurs financiers des hopitaux ne risquraient-elle pas de pousser à ne pas faire certaines prescriptions couteuses ? Un médecin étranglé budgétairement soutiendrai à quelqu'un qui a besoin d'un peacemaker qu'il est juste fatigué et doit prendre sur lui.

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Dans ce cas les assurances qui seraient les interlocuteurs financiers des hopitaux ne risquraient-elle pas de pousser à ne pas faire certaines prescriptions couteuses ? Un médecin étranglé budgétairement soutiendrai à quelqu'un qui a besoin d'un peacemaker qu'il est juste fatigué et doit prendre sur lui.

Et qu'est-ce qui empêcherait le malade d'aller se faire soigner ailleurs? Qu'est-ce qui empêcherait des associations de personnes de créer des labels "qualité" pour contrôler les soins prodigués dans les hôpitaux, lesquels hôpitaux seraient incité à se laisser contrôler pour conserver voire faire croître leur clientèle?

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Dans ce cas les assurances qui seraient les interlocuteurs financiers des hopitaux ne risquraient-elle pas de pousser à ne pas faire certaines prescriptions couteuses ? Un médecin étranglé budgétairement soutiendrai à quelqu'un qui a besoin d'un peacemaker qu'il est juste fatigué et doit prendre sur lui.

Si le médecin n'a aucune conscience professionnelle c'est un autre souci.

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