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Présidentielle 2012, round 2


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Franz-o' Gizber'



Remplaçons le coq par l'autruche



mercredi 02 mai 2012, 13:51

Franz-Olivier Giesbert Directeur de l'hebdomadaire « Le Point »



Il était temps que ça se termine. Pendant des mois, les Français auront entendu beaucoup de bêtises, de mensonges et d'approximations. Sans parler des lancers de boules puantes dans la dernière ligne droite. Des vrais et des faux scandales. Des grands duels télévisés comme celui de ce 2 mai, qui doivent, en principe, changer la donne mais qui, au contraire, renforcent chacun dans ses convictions.

En France, les batailles présidentielles se suivent et se ressemblent, sans être jamais tout à fait pareilles. Celle de 2012 fut moins glamour que celle de 2007 qui était elle-même moins surprenante que celle de 2002 où Jean-Marie Le Pen avait fait l'événement en se qualifiant pour le second tour. Par certains côtés, cette campagne fut même une piquette et on n'en redemandera pas. Que faut-il en retenir alors qu'elle est en train de s'achever ?

D'abord, elle ne nous a rien appris sur Nicolas Sarkozy ni sur François Hollande. On a simplement pu vérifier que l'un est pourvu d'un charisme étonnant, comme on n'en a pas vu depuis longtemps, et l'autre, d'une habileté et d'une intelligence politique très au-dessus de la moyenne. Avec leurs qualités et leurs défauts, ils ont assuré. On ne laissera dire personne qu'ils n'ont pas été au niveau.

Ce que la campagne nous a appris, en revanche, et là est la grande leçon de 2012, c'est que les Français étaient toujours dans le « déni », pour reprendre le mot employé par l'hebdomadaire britannique The Economist. Même s'ils sont vaguement conscients de la gravité de la situation financière du pays, ils refusent de la prendre en compte et d'en tirer les conséquences. Ils récusent même toute forme de discours de rigueur comme le montre le score très médiocre de François Bayrou, le seul candidat à avoir parlé à peu près vrai au cours des derniers mois.

Comme emblème national, il me semble que la France devrait remplacer le coq par l'autruche : elle nous correspond mieux. Certes, le premier aime, comme nous, monter sur son tas de fumier d'où il surplombe l'univers afin que son cri résonne loin au-delà de l'horizon. Mais l'autre a, paraît-il, une manie caricaturalement française qui consiste à s'enfouir la tête dans le sol dès qu'un grand danger s'approche.

Si l'on veut interpréter le message que les Français ont adressé à leur classe politique, lors du premier tour, le 22 avril dernier, il n'y a pas à chercher longtemps, il est relativement limpide, décryptons-le : « Cessez de nous parler de cette crise qui nous déprime, racontez-nous ce que vous voulez, faites-nous rêver, mais ne plombez pas l'ambiance en évoquant la dette de l'Etat, la désindustrialisation, la baisse de compétitivité ou le déficit du commerce extérieur, on verra tout ça plus tard. »

François Hollande et Nicolas Sarkozy ont ceci de commun : sur ce qui attend la France, ils n'ont pas dit la vérité, toute la vérité. Le premier a veillé à ne jamais désespérer Billancourt et l'autre Auteuil, Neuilly ou Passy. Ils se sont aussi tous deux bien gardés d'expliquer que, s'il voulait remonter la pente, le pays devait réduire drastiquement ses dépenses publiques et remettre en question son modèle social comme l'a fait naguère le chancelier allemand Gerhard Schröder avec « L'Agenda 2010 » qui a remis l'Allemagne d'aplomb. C'est le discours que nous autres Français ne voulons pas entendre. Il eût été suicidaire de nous le servir.

C'est ainsi qu'aujourd'hui la France ressemble plus à la Grèce qu'à l'Italie. Autrement dit, davantage à un pays qui refuse les sacrifices qu'à un pays qui les accepte. C'est ainsi qu'une grande partie de la classe politique propose sans honte des solutions débiles pour relancer l'économie : la sortie immédiate de l'euro, l'effacement de la dette de l'Etat ou une relance de la consommation qui profiterait d'abord aux Allemands ou aux Chinois.

On est donc en droit de se demander si le problème de la France désormais, ce ne sont pas les Français, en proie à un mélange d'autisme, de déclinisme et de mélancolie. Qu'à cela ne tienne, aurait répondu Bertold Brecht en riant, il n'y a qu'à «

changer de peuple

» !

Pas mal, ça donne envie d'acheter Le Point (au moins une fois).

(Fallait que ça soit qqn avec un nom à consonnance Halemanteuh pour dire ça en Franze)

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Franz-o' Gizber'

Pas mal, ça donne envie d'acheter Le Point (au moins une fois).

(Fallait que ça soit qqn avec un nom à consonnance Halemanteuh pour dire ça en Franze)

Il a bien raison, si on est dans cette situation c'est d'abord la faute des Français. On a d'ailleurs un meilleur article pour l'exposer : http://www.contrepoints.org/2012/05/04/81843-labstention-seul-choix-honorable

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Il a bien raison, si on est dans cette situation c'est d'abord la faute des Français. On a d'ailleurs un meilleur article pour l'exposer : http://www.contrepoi…choix-honorable

En meme temps, si les Francais sont aussi demeurés, c'est aussi la faute de l'éducation nationale qui se borne à ne vouloir instruire absolument AUCUNE notion d'économie aux francais. Avec Artaud comme prof au lycée, faut pas s'étonner…

Pour info, à court terme, les marchés pourraient voir l'arrivée de Hollande au pouvoir comme une bonne chose. Ca forcerait les allemands à accepter de l'inflation en plus de l'austerité. A moyen long terme, par contre, c'est une autre histoire…

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Pour info, à court terme, les marchés pourraient voir l'arrivée de Hollande au pouvoir comme une bonne chose. Ca forcerait les allemands à accepter de l'inflation en plus de l'austerité. A moyen long terme, par contre, c'est une autre histoire…

A 1 an des élections allemandes j'ai des doutes sur le fait que Merkel va céder quoi que ce soit.

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Les militants UMP traitent les journalistes de BFM de gauchistes. Comme quoi il faut vraiment ne rien comprendre à rien pour être dans ce parti smile.gif

http://www.leparisie…012-1983021.php

BFM et BFM Business les rares chaînes qui invitent et donnent la parole à des libéraux….

Les militants ont des QI de poule.

Et les marchés recommenceront à se péter la gueule.

Faut-il donner de la came (liquidité) à un drogué (marchés financiers) ?

Faut-il un plan de reforme crédible à moyen terme?

Je vote pour la 2è solution.

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Pour info, à court terme, les marchés pourraient voir l'arrivée de Hollande au pouvoir comme une bonne chose. Ca forcerait les allemands à accepter de l'inflation en plus de l'austerité. A moyen long terme, par contre, c'est une autre histoire…

Est-ce que l'inflation est vraiment vue comme une bonne nouvelle par les marchés ? J'aurais tendance à penser qu'ils préfèrent la stabilité, ce qui va un peu à l'encontre de ça. Bref, je comprends ton point de vue, mais peux-tu le développer un peu plus ?

Les militants UMP traitent les journalistes de BFM de gauchistes. Comme quoi il faut vraiment ne rien comprendre à rien pour être dans ce parti smile.gif

C'est un peu fatiguant cette tendance française a automatiquement classifier ceux qui ne sont pas d'accord avec toi comme faisant partie du camp d'en face. Les militants politiques, c'est un cas un peu extrême dans cette débilité, mais bon il y a beaucoup de gens qui pensent comme ça…

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Déçu par le résultat de l'élection ? « Venez en Belgique ! »



Certains Français ont annoncé leur intention de quitter le territoire en cas de défaite de leur camp, ce dimanche. CityPlug leur propose un « guide d'acclimatation du Français déçu par les élections ».

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©Sylvain Piraux - Le Soir



A quelques heures du second tour, CityPlug, qui répertorie les bonnes adresses de restaurants, de bars, de services… de Bruxelles, a décidé de proposer « un guide d'acclimatation du Français déçu ».

La cible : les électeurs tellement déçus par le résultat de l'élection qu'ils préféreraient quitter le pays. « Les déclarations de quitter le territoire en cas de défaite de son camp ont fusé de part et d'autre et beaucoup de Français qui s'exilent ont depuis longtemps trouvé refuge à Bruxelles », explique-t-on à CityPlug. « Ce guide est une manière de les aider à s'installer. On a essayé de leur proposer des adresses qui ressemblent à ce qu'ils pourraient trouver à Paris, par exemple ».

Les propositions sont regroupées sous différents chapitres : de « prendre ses quartiers », à quelques conseils pour se restaurer, se divertir (« garder la ligne et se faire des amis »), ou encore découvrir Bruxelles.« C'est une démarche apolitique », précise-t-on du côté de CityPlug. « Le guide vaut quel que soit le gagnant de dimanche ».

Pour découvrir le

« Guide d'acclimatation du Français déçu par les élections », c'est par ici

.

http://www.lesoir.be/dossiers_speciaux/special2/2012-05-04/decu-par-le-resultat-de-l-election-venez-en-belgique-913714.php

:dentier:

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Est-ce que l'inflation est vraiment vue comme une bonne nouvelle par les marchés ? J'aurais tendance à penser qu'ils préfèrent la stabilité, ce qui va un peu à l'encontre de ça. Bref, je comprends ton point de vue, mais peux-tu le développer un peu plus ?

L'inflation, quand elle est modérée est controlée, ca facilite la vie des entreprises pour rembourser les projets de developpement qu'elles ont. Toi, quand t'achetes une maison, t'es content d'avoir de l'inflation, tes paiements pesent de moins en moins lourd dans le temps. Tant que c'est pas de l'inflation a l'Argentine ou a la Zimbabweenne, evidemment. Et le marche des actions a tendance a monter puisque l'inflation detruit les taux d'interets que tu gagnes sur l'obligataire donc les gens vendent leurs obligations pour acheter des actions. C'est de la pure mecanique.

Mais dans ce cas la, c'est aussi de la guerre des nerfs et de la psychologie. Aujourd'hui, les investisseurs voient la crise europeenne avant tout comme une crise politique, due a une absence de vue coherente. On te fait de l'austerite, mais derriere l'Allemagne ne donne rien en retour aux pays du Sud pour s'en sortir. Du coup les marches disent "bon les mecs, ce serait bien que vous montriez une vraie vision politique commune histoire de nous sortir de la melasse".

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L’œuf ou la poule ?

J’ai tendance à dire que pour devenir militant politique, faut déjà avoir une araignée au plafond.

Modification: être militant politique ça rend encore plus con.

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Je ne vois pas ce qui pousse les gens à faire partie de ce genre de meetings. Ca a l'air tellement artificiel, on dirait qu'ils perdent toute humanité et se transforment en troupeau de moutons. :huh:

Une résumé de "Psychologie des foules" de Le Bon :

http://www.scriptobl…logie&Itemid=55

les individus inclus dans une foule baissent « de plusieurs degrés dans l’échelle de la civilisation ».

(…)

Les foules, nous dit Le Bon, sont crédules. Il suffit de faire percevoir à une partie d’une foule les faits sous un certain angle pour que toute la foule adopte cet angle – à la seule condition que cela satisfasse ses besoins instinctifs. Les sentiments de la foule sont très simples et très exagérés, ce qui fait qu’une foule hésite peu – d’autant moins que les foules se sentent irresponsables, sachant qu’il sera très difficile d’isoler des individus au sein d’une foule criminelle. Dans ces conditions, il est conseillé de manipuler les foules en leur proposant des idées simples, voire simplistes. Il ne faut pas leur demander de soutenir une réflexion approfondie : elles en sont incapables. Ce qu’elles demandent, ce sont des mots d’ordre. C’est pourquoi il est non seulement contre-productif, mais même dangereux d’argumenter rationnellement devant une foule. La foule croit avec passion, elle ne supporte pas la contradiction, et peut se montrer violente envers quiconque déstabilise son socle de croyances naïves. A l’inverse, une foule adore facilement un maître rude, qui lui propose une vision du monde simple et cruelle. Toujours prête à se révolter contre une autorité faible, même juste, la foule se courbe devant une autorité forte, même injuste. La foule est un géant à l’âme enfantine, qui se cherche un maître pour le conduire.

http://classiques.uq…ules_alcan.html

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L'inflation, quand elle est modérée est controlée, ca facilite la vie des entreprises pour rembourser les projets de developpement qu'elles ont. Toi, quand t'achetes une maison, t'es content d'avoir de l'inflation, tes paiements pesent de moins en moins lourd dans le temps. Tant que c'est pas de l'inflation a l'Argentine ou a la Zimbabweenne, evidemment. Et le marche des actions a tendance a monter puisque l'inflation detruit les taux d'interets que tu gagnes sur l'obligataire donc les gens vendent leurs obligations pour acheter des actions. C'est de la pure mecanique.

Mais dans ce cas la, c'est aussi de la guerre des nerfs et de la psychologie. Aujourd'hui, les investisseurs voient la crise europeenne avant tout comme une crise politique, due a une absence de vue coherente. On te fait de l'austerite, mais derriere l'Allemagne ne donne rien en retour aux pays du Sud pour s'en sortir. Du coup les marches disent "bon les mecs, ce serait bien que vous montriez une vraie vision politique commune histoire de nous sortir de la melasse".

Ton schéma marchait dans les années 70-80 quand les salaires étaient indexés sur l'inflation. Aujourd'hui ce n'est plus le cas donc une hausse de l'inflation ça se traduira par une baisse du revenu réel et une pression sur les marges des entreprises qui ont du mal à repercuter la hausse des coûts sur leurs prix de vente.

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Je twitte notre charmant ministre de la Défense et des Anciens combattants, sans commentaires ( vidéo du lapsus ci dessus)

Et devinez quoi? Qui retwitte, sans même un mot d'explication, tellement c'est "clair"? tous mes potes gauchos!

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Je twitte notre charmant ministre de la Défense et des Anciens combattants, sans commentaires ( vidéo du lapsus ci dessus)

Et devinez quoi? Qui retwitte, sans même un mot d'explication, tellement c'est "clair"? tous mes potes gauchos!

Longuet se dit libéral, ça va nous retomber dessus…

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Je viens de tomber sur bfm tv, un ténor de l'ump tentait une envolée lyrique (assez nulle) contre le communisme et le drapeau rouge. Je me suis frotté les yeux. On se croirait dans un vieux film de propagande.

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Et devinez quoi? Qui retwitte, sans même un mot d'explication, tellement c'est "clair"? tous mes potes gauchos!

Nonossage requis !

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Mickaël Vendetta écrit à Nicolas Sarkozy

Mickaël Vendetta confirmait il y a quelques jours qu'il quittera la France si François Hollande est élu. Cette fois, l'inventeur du concept de "bogossitude" et professionnel de télé-réalité, adresse un courrier à Nicolas Sarkozy pour lui dire toute son estime.

Si le jeune homme ne trouve aucun défaut au candidat UMP, il qualifie en revanche François Hollande de candidats de "l'immobilisme". Quant aux critiques à l'encontre de Nicolas Sarkozy, son illustre soutien les met sur le compte de la "jalousie".

Monsieur le Président,

Je tiens à vous adresser tout mon soutien pour votre élection. Je suis de tout cœur à vos cotés et je ressens toute votre sincérité dans vos engagements. Je vous ai écouté parler sur la quasi totalité de vos Meetings grâce à internet et votre chaîne youtube.

Je suis d’accord à 100 pour cent avec vos idées. Vous n’avez pas besoin de dire que vous avez fait quelques erreurs pour faire plaisir aux autres, car pour moi, vous n’avez fait aucune erreur durant votre quinquennat. Vous avez su aussi changer d’avis lorsqu’il le fallait suivant l’évolution de notre société. Vous nous avez sauvés à plusieurs reprises d’une catastrophe économique et sociale dans notre pays.

Vous avez su prendre les meilleures décisions et vous les avez assumées alors que tous les autres vous ont critiqué. Monsieur le Président, vous êtes critiqué pas parce que vous faites soit disant des erreurs politiques, vous êtes critiqué car vous êtes jalousé par tous les candidats qui rêveraient d’être à votre place. Ils n’ont même pas l’honnêteté d’avouer que vous êtes un bon président.

Vous êtes le meilleur président que jamais la France a pu connaître depuis De Gaulle.

L’action c’est Vous, l’immobilisme c’est Hollande.

Monsieur le Président je souhaite de tout cœur, pour la France, que vous soyez de nouveau le Président de la république.

Depuis quelques jours, Michael Vendetta continue de surfer sur la vague élection présidentielle, profitant du buzz pour vendre les t-shirts de la marque de prêt-à-porter qu'il vient tout juste de lancer.

Quoi qu'il en soit, le jeune homme régale et consterne les internautes avec ses fines analyses politiques délivrées sur Twitter.

http://www.huffingtonpost.fr/2012/05/04/la-lettre-de-michael-vend_n_1477881.html?ref=tw

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48%, avec des sondages à 2% de marge d'écart, plus un biais gauchiste, je vous laisse en tirer la conclusion que vous voulez, mais mon avis est le suivant : dimanche, à 20H, les journaleux vont tirer une tronche de 10m parce qu'ils vont avoir bien du mal à dire qui a gagné avec certitude.

Et je ne serai pas surpris qu'ils annoncent Hollande à 20H, avec des "on n'est pas sûr", et … que ça se retourne en cours de soirée.

(je ne serai pas surpris de l'exact opposé : Sarko annoncé gagnant à 50K voix près, et pouf, Hollande gagne en fin de soirée).

Je crois qu'on va attendre les résultats définitifs un moment.

Va y avoir du suspens.

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48%, avec des sondages à 2% de marge d'écart

C'est exactement ce que je me suis dit : 2% de marge d'erreur dans les sondages, soit il tombe à 46, soit, je m’apprête à mourir de rire dimanche.

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