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Parti anarcap


ts69

Parti anarcap  

49 membres ont voté

  1. 1. Pensez-vous qu'un parti anarcap soit souhaitable?

    • Oui
      23
    • Non
      26
  2. 2. Vous impliqueriez-vous dans ce parti s'il voyait le jour?

    • Oui
      18
    • Non
      31


Messages recommandés

Le PLD à une bonne image auprès de notre coeur de cible (qui nous connaît). Mais de l'appréciation à l'adhésion, le pas est grand. L'adhesion suit le sentiment que nous sommes crédibles : médias, élus et personnalités visibles.

Je vais donc me répéter : le succès d'un parti ne tient pas tant à la justesse de ses idées qu'à son travail sur le terrain pour peser électoralement, ce qui exige des accords, des prises de risque, etpour recruter des figures plus visibles avec un projet vendeur en termes de performances. Ce qui signifie crédible.

Bref, un parti n'est pas un think tank mais un gros engagement de terrain, de temps et d'argent. Cet aspect-là est absolument absent des projets lancés un peu en l'air, ce qui renforce leur côté farfelu. Quand on ne cesse de défendre le marché, c'est bien de s'appliquer ce principe à soi-même aussi. Et de se renseigner sur les principes qui régissent le marché politique.

Question, pour voter quoi une fois élu ?

Plus d'impôts, taxes et charges et déficits et dettes et règlementations et atteintes à la liberté ? Comme tous les élus de tous les partis "libéraux" ?

Ou promets-tu une position à la Ron Paul : "non, je ne vote pas ça" ?

Parce que sinon, une fois élu, tu vas juste pousser des politiques socialistes.

Je rate certainement quelque chose mais tu vas me dire quoi.

PS: la réponse "on en est loin" est évidemment mauvaise, puisque la seule raison de faire la politique est d'arriver à être élu.

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Très Bonn question qui concerne d'abord les motivations individuelles, bien plus qu'une structure partisane. Anarcap, libéral classique ou étatiste sont jugés sur leur discours… et leurs actes. Et parmi les figures libérales françaises, je connais un paquet d'opportunistes qui tueraient père et mère pour avoir une médaille ou un titre (le pouvoir prend de multiples formes).

Je ne peux donc te répondre, mais la question se pose aussi bien aux membres d'un parti libertarien.

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Question, pour voter quoi une fois élu ?

Plus d'impôts, taxes et charges et déficits et dettes et règlementations et atteintes à la liberté ? Comme tous les élus de tous les partis "libéraux" ?

Ou promets-tu une position à la Ron Paul : "non, je ne vote pas ça" ?

Parce que sinon, une fois élu, tu vas juste pousser des politiques socialistes.

Je rate certainement quelque chose mais tu vas me dire quoi.

PS: la réponse "on en est loin" est évidemment mauvaise, puisque la seule raison de faire la politique est d'arriver à être élu.

C'est marrant parce que instinctivement je me pose d'abord la question du "qui" avant celle du "quoi". En effet, concernant le "quoi", j'ai déjà maintes fois dit que le poids et le pouvoir de la technostructure étatique sont tels que les politiciens ne proposent en réalité rien, ils choisissent ce que l'administration leur propose. Par exemple, si un libéral avait été élu président en mai dernier, il aurait vu exactement les mêmes dossiers s'empiler :

- le prix de l'essence est trop élevé

- que faire pour les entreprises Fralib, Peugeot, etc. avec leurs plans sociaux

- que faire pour la Syrie

- que proposer pour la rentrée scolaire

La différence à mes yeux se situe donc au niveau du "qui", pas du "quoi", car c'est la nature de l'individu qui est élu qui détermine les choix, les programmes politiques c'est du vent, tout le monde le sait.

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Mon cher Salatomatonion, vous me copierez 10 fois

"Ne jamais oublier la règle de base:r ce que l'on voit, et ce que l'on ne voit pas" :icon_biggrin:

Allez je m'exécute :

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

"Ne jamais oublier la règle de base de l'alliance foireuse : ce que l'on voit de mauvais chez Bayrou et ce que l'on ne voit pas de bon chez Bayrou"

Dites les gars, vous allez pas reprocher au PLD ces histoires de Bayrou-Sarko et compagnie jusqu'à la fin des temps non?

Non y en a juste pour 50 ans…

Les règles du jeu politique étant ce qu"elles sont, et tant que nous n'aurons pas réussi à les changer, c'est à nous de faire preuve d'intelligence et de nous adapter…

Les règles du jeu politique sont en train et vont exploser avec Internet (cf topo très pertinent de h16 sur le sujet je ne sais plus où sur le forum). A mon humble avis il faut justement jouer le mépris des règles poussiéreuses.

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D'abord, les militants ( et surtout, surtout, les militantes du Modem) et Bayrou, ce n'est pas la<même chose, et j'aime bien, aussi, travailler avec des filles..

Moi, localement, ces élections présidentielles puis législatives, au sein du PLD, mais avec le Modem, j'ai bien aimé!

oui,

Les règles du jeu politique sont en train et vont exploser avec Internet (cf topo très pertinent de h16 sur le sujet je ne sais plus où sur le forum). A mon humble avis il faut justement jouer le mépris des règles poussiéreuses.

il faut en effet jouer le mépris de ces règles poussiéreuses., en les détournant, utilisant autrement, de façon créative….

Picasso ou Dali maîtrisaient parfaitement les règles de leur art, Gainsbourg est un grand musicien "classique" à la base, …

Moi, j'aime bien voir un militant politique capable d'expliquer le chèque éducation à sa grand mère, ou connaître les premiers articles de la constitution de 59!

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Comparons les faits tangibles.

Faits.

Tangibles.

Après un article dans Trouw, le Libertarische Partij fait maintenant le Une de Het Parool.

La Une.

D'accord, mais que peut on inférer à partir de ces deux faits sur la nécessité d'un parti libertarien en France ?

Pas grand chose.

Personnellement, Trouw et Het Parool, ça ne me dit strictement rien, mais ce n'est pas important, ce qui est important, c'est de savoir :

1.histoire de ce parti (Libertarische Partij) : naissance, composition, cotisants…

2.idéologie et propositions

3.stratégie ayant permis de faire la une de ce journal

4.la suite ? faire la une n'est pas une fin en soi, et faire la une est probablement pour eux plutôt l'aboutissement d'un travail en amont, lequel ?

5.peut on transposer ces éléments en France ?

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Moi, je vote pour Clint Eastwood, avec son sourire, il séduit les tapettes et les femmes, et avec son artillerie lourde, il s’occupe des vrais mecs et leur fout une raclée pas virtuelle du tout! ! icon_diablotin.gif

Oh oui, il est trop beau :icon_aime: ! Déjà petite je l'aimais, je devais être libérale en devenir

Je suis passée à Carmel, il y a quelques années, j'ai eu une pensée émue pour lui

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(Au passage, je suis très attachée à Liberté chérie, et je pense aussi que ce serait une bonne chose de faire vivre cette asso plutôt que d'en réinventer d'autres tous les jours…leur fond de boutique, vidéos, entre autres, est un trésor…et pour ceux qui ne veulent pas se mouiller en politique, c'est un bon compromis…)

J'y suis très attaché aussi. Sauf que personne ne sait où les anciens ont rangé la clé. :(

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Très Bonn question qui concerne d'abord les motivations individuelles, bien plus qu'une structure partisane. Anarcap, libéral classique ou étatiste sont jugés sur leur discours… et leurs actes. Et parmi les figures libérales françaises, je connais un paquet d'opportunistes qui tueraient père et mère pour avoir une médaille ou un titre (le pouvoir prend de multiples formes).

Je ne peux donc te répondre, mais la question se pose aussi bien aux membres d'un parti libertarien.

Soyons clairs. Sinon en droit, du moins en morale, faire campagne sur réduire la dépense, pour se faire élire, pour vivre de l'argent pris de force à autrui, pour voter une augmentation de dépense, ce n'est rien d'autre que de l'escroquerie.

Factuellement.

Tu sais, le chef de l'UMP à Bruxelles, Georges Seingry, c'est un Madeliniste convaincu, il m'a dit, sincèrement scandalisé, "le DALO, mais c'est du soviétisme" … et il appuie tout ce que fait l'UMP, c'est à dire toutes les augmenatations de dépense, dette, déficit, règlementation, atteintes à la liberté, tout, tout le temps.

Ce genre d'individu, ATLRQJLD, je n'éprouve que du mépris pour lui. Il a un bon poste, il gagne bien sa vie, avec l'argent pris de force à ses concitoyens, et en son for intérieur, il est sincèrement libéral.

Je ne sais pas ce qui va arriver à tous ces gens quand le système va sérieusement craquer et que des gens en colère vont les approcher.

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Oh oui, il est trop beau :icon_aime: ! Déjà petite je l'aimais, je devais être libérale en devenir

Je suis passée à Carmel, il y a quelques années, j'ai eu une pensée émue pour lui

Comme quoi, on peut etre dans la force de l'age, et rester midinette ;).

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Comme quoi, on peut etre dans la force de l'age, et rester midinette ;).

Tu es bien gentil !

Mais avec Clint, c'est facile ! Il est beau, politiquement largement acceptable, c'est un bon cinéaste et acteur, que demander de plus pour être fan ?

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3-4% à l'ELECTION nationale qui concentre l'attention du monde, pas génial, mais pas mal. Et surtout, suffisant pour influencer le résultat, et ça c'est bien.

http://www.policymic...aining-traction

Pays-Bas : :) une pluie de faux billets de € 14 euros tombant du ciel pour faire passer le message que nous utilisons une fausse monnaie.

http://www.parool.nl...ondelpark.dhtml

*: les libertariens ont le numéro de liste 14

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Un parti anarcap ça peut être marrant à condition de bien comprendre que le but n'est pas et ne sera jamais d'avoir le pouvoir, mais bien de critiquer le système en place et éventuellement d'influencer le jeu politique dans notre sens, comme l'ont fait des ultra-minorités comme les écolos et les communistes. Et f*ing keep your day job.

Si vous espérez avoir des postes, du blé et/ou du pouvoir par contre, aucune chance que ça dure plus de 3-4 ans.

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  • 2 weeks later...

Tiens, Alternative Libérale, bien qu'elle n'existe plus en tant que parti, va toucher vos sous*.

Elle vous dit merci.

*: Via le European Liberal Forum, le pseudo think tank de l'ELDR, dont la mission est d'arroser des partis (enfin, pas officiellement, le parti crée son "think tank" hu hu hu), raison pour laquelle tous les partis sont rabiquement eurolâtres. Par ici la bonne soupe pour un machin qui existe à peine et ne représente personne :)

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Lien d'intérêt à méditer

The state's only function is as an apparatus of coercion and compulsion. That is its distinguishing mark. It is what makes the state the state. To the same extent that the state responds well to arguments that it should be larger and more powerful, it is institutionally hostile to anyone who says that it should be less powerful and less coercive. That is not to say that some work from the "inside" cannot do some good, some of the time. But it is far more likely that the state will convert the libertarian than for the libertarian to convert the state.

We've all seen this a thousand times. It rarely takes more than a few months for a libertarian intellectual headed for the Beltway to "mature" and realize that his or her old ideals were rather childish and insufficiently real world. A politician promising to defang Washington later becomes the leading expert in applying tooth enamel. Once that fateful step is taken, there are no limits. I know a bureaucrat who helped run martial law in Iraq who once swore fidelity to Rothbardian political economy.

The reason has to do with ambition, which is not normally a bad impulse. The culture of Washington, however, requires that ambition work itself out by paying maximum deference to the powers that be. At first, this is easy to justify: how else can the state be converted except by being friendly to it? The state is our enemy, but for now, we must pretend to be its pal. In time, the dreams are displaced by the daily need to curry favor. Eventually the person becomes precisely the kind of person he or she once despised. (For Lord of the Rings fans, it's like being asked to carry the ring for a while; you don't want to give it up.)

I've known people who have gone this route and one day took an honest look in the mirror, and didn't like what they saw. They have said to me that they were mistaken to think it could work. They didn't recognize the subtle ways in which they themselves were being drawn in. They recognize the futility of politely asking the state, day after day, to permit a bit more liberty here and there. Ultimately you must frame your arguments in terms of what is good for the state, and the reality is that liberty is not usually good for the state. Hence, the rhetoric and finally the goal begin to change.

The state is open to persuasion, to be sure, but it usually acts out of fear, not friendship. If the bureaucrats and politicians fear backlash, they will not increase taxes or regulations. If they sense a high enough degree of public outrage, they will even repeal controls and programs. An example is the end of alcohol prohibition or the repeal of the 55 mph speed limit. These were pulled back because politicians and bureaucrats sensed too high a cost from continued enforcement.

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  • 1 month later...

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