Aller au contenu

Frères Bogdanov : 170 scientifiques réclament le droit de les critiquer


Messages recommandés

Frères Bogdanov : 170 scientifiques réclament le droit de les critiquer

2308_bogdanov_inside_0.jpg

Les frères Bogdanov avec le professeur Lubos Motl au salon du Livre 2008 (Audrey Cerdan/Rue89)

Trop, c’est trop. Après la condamnation du cosmologiste Alain Riazuelo, suite à une nouvelle procédure judiciaire des Bogdanov, l’indignation grandit chez les scientifiques.

Le 14 mars 2012, Alain Riazuelo a été condamné à 1 euro de dommages et intérêts et 2 000 euros d’amende avec sursis pour violation du droit d’auteur. Sur sa page web, où il osait critiquer les ouvrages et les thèses des jumeaux, il avait publié la version initiale de la thèse de Grichka Bogdanov sans lui avoir demandé sa permission…

Etait-ce le réel motif de la plainte contre Alain Riazuelo ? « La violation du droit d’auteur était notre dernier moyen de le faire taire pour qu’il cesse de se comporter comme un délinquant », reconnaît en réalité Igor Bogdanov dans les colonnes du Monde. Comprendre : pour qu’il cesse de critiquer nos deux thèses et chacun de nos ouvrages (entachés pourtant de quelques arrangements avec la vérité).

Le 17 avril 2012, une dizaine de chercheurs s’étaient déjà interrogés sur la signification du jugement rendu le 14 mars. Cette fois, c’est plus de 170 chercheurs qui revendiquent leur « droit au blâme ».

Nous publions leur lettre ci-dessous. Nous continuerons à l’avenir de mettre à jour la liste des signataires.

bogdanov_cete.jpg

Affaire Bogdanov (Wordle, Inc - Ciel & Espace)

La lettre des scientifiques

« L’“affaire Bogdanov” : liberté, science et justice, des scientifiques revendiquent leur droit au blâme.

Nous, scientifiques signataires de cette lettre, souhaitons tout d’abord rappeler que l’analyse détaillée des thèses et articles publiés par les frères Bogdanov a montré à l’envi qu’ils n’ont pas de valeur scientifique, comme il ressort entre autres d’un rapport du Comité national de la recherche scientifique, que le journal Marianne a récemment rendu public.

Rappelons aussi que ces thèses seraient pour l’essentiel un patchwork de travaux publiés antérieurement par d’autres auteurs, comme l’a admis leur directeur de thèse, dans une interview de 2002 au Figaro.

Rappelons enfin que les dysfonctionnements de la communauté scientifique, qui ont abouti à ce que les frères Bogdanov publient néanmoins des articles et obtiennent le grade de Docteur de l’Université de Bourgogne, ont été également analysés, par exemple dans un texte publié en 2002 par la Société française de physique, signé de son vice-président, et ont suscité de salutaires auto-critiques comme le “mea culpa” de certains membres de leurs jurys ou des éditeurs de la revue Classical and Quantum Gravity.

La communauté scientifique ne pouvait donc être plus claire dans son jugement, confirmé par le fait que les travaux des Bogdanov n’ont pas eu d’impact sur le développement de la science, comme le prouve le très faible nombre de citations de leurs articles dans les banques de données scientifiques.

L’affaire aurait dû en rester là mais les deux frères ont réagi à ces appréciations négatives de la communauté scientifique par des attaques “ad hominem” par voie de presse, comme l’illustre par exemple un article de Paris-Match de septembre 2011, et par des attaques en justice, dont Alain Riazuelo vient de faire les frais.

Alain Riazuelo, chercheur du CNRS à l’Institut d’Astrophysique de Paris, avait pris connaissance d’une ébauche de la thèse de Grichka Bogdanov que celui-ci avait envoyée à un collègue, et sur laquelle les frères Bogdanov s’appuient dans leur livre “Au commencement du temps”. Après l’avoir analysée il l’a postée sur son site personnel. Mal lui en a pris : il a subi un interrogatoire policier et a été assigné en justice par Grichka Bogdanov qui lui a intenté un procès, non pour en avoir critiqué le fond, mais pour avoir reproduit et diffusé ce document sans son autorisation. Cette diffusion a été considérée par la justice comme une entorse à la loi, bénigne vue la légèreté de la peine : Alain Riazuelo a été condamné à une amende avec sursis et un euro de dommages et intérêts.

Nous souhaitons d’abord dire ici que nous soutenons sans réserve Alain Riazuelo, qui a défendu la science avec conviction, détermination et courage.

Nous souhaitons aussi dire avec force que cette décision de Justice ne doit en aucun cas être interprétée comme une condamnation de l’analyse qu’Alain Riazuelo a faite de ce document. Une telle analyse relève en effet de l’activité professionnelle des chercheurs dont un des rôles est d’étudier, de juger et, dans le cas présent de rejeter, tout travail se réclamant de leur domaine d’expertise.

De manière plus générale, la communauté scientifique a le droit, voire le devoir de blâme, lorsqu’il s’impose, et doit avoir la liberté de pouvoir argumenter ses jugements comme il lui semble, liberté qu’aucune pression, médiatique, policière ou judiciaire, ne doit altérer. »

Les 170 signataires

Nabila Aghanim (Institut d’Astrophysique Spatiale, Orsay), Aikel Ajmia (Université Paris Sud XI ), Evelyne Alecian (LESIA Observatoire de Paris-Meudon), Jean-Michel Alimi (CNRS - Observatoire de Paris-Meudon), Frédéric Arenou (GEPI Observatoire de Paris-Meudon), Jean-Luc Attéia (Université de Toulouse), Jean Audouze (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Christophe Balland (Université Paris Sud), David Baratoux (Université de Toulouse), Rémi Barbet-Massin (CPGE Henri IV Paris), Domingos Barbosa, (Radioastronomy Group, Institut de Télécommunications, Portugal), Didier Barret (CNRS Université de Toulouse), Frédéric Baudin (CNRS-Université Paris 11), Jean-Philippe Beaulieu (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Xavier Bekaert (Université de Tours), Raoul Behrend (Observatoire de Genève), Olivier Berné (CNRS Université Toulouse), Philippe Besse (Université de Toulouse), Matthieu Béthermin (CEA Saclay), Olivier Bienaymé (Observatoire astronomique de Strasbourg, CNRS, Université de Strasbourg), Guillaume Blanc (Université Paris 7), Alain Blanchard (Université de Toulouse), Luc Blanchet (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Céline Boehm (Durham University & LAPTH Université de Savoie), Patrick Boissé (Université Pierre et Marie Curie), Samuel Boissier (CNRS - Université Aix Marseille), Guillaume Bossard (CNRS - Ecole Polytechnique), Samuel Bottani (Université Paris Diderot), François R. Bouchet (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Jacques Le Bourlot (Professeur, Université Paris-Diderot & Observatoire de Paris), Philippe Brax (CEA Saclay), Edouard Brézin (LPT Ecole Normale Supérieure), Martin Bucher (Université Paris XI), Denis Burgarella (Laboratoire d’astrophysique de Marseille), Rémi Cabanac (Université de Toulouse), Damien Calaque (Université Claude Bernard Lyon 1), Pierre Cartier (CNRS - Université Paris-Diderot et IHES), Michel Cassé (CEA Saclay), Corinne Charbonnel (Université de Genève, Suisse, et CNRS-Toulouse), Yann Clénet (Observatoire de Paris), Suzy Collin-Zahn (Observatoire de Paris-Meudon), Stéphane Colombi (CNRS-UPMC), Francoise Combes (Observatoire de Paris), Vincent Coudé du Foresto (LESIA Observatoire de Paris), Morgane Cousin (Institut d’Astrophysique Spatiale, Orsay), Michel Crézé (Université de Bretagne Sud et Université Paris 7), Alain Cros (CNRS - Toulouse), Frédéric Daigne (Université Pierre et Marie Curie), Emmanuel Davoust (Université de Toulouse), Jean-Pierre Dedieu (Institut de Mathématiques de Toulouse), Claire Demuynck (Université Lille1), Karine Demyk (CNRS-Université de Toulouse), Nathalie Deruelle (CNRS-Paris 7), Joaquin Diaz-Alonso (LUTH Observatoire de Paris-Meudon), Hervé Dole, (Univ. Paris-Sud, CNRS), Noël Dolez (CNRS IRAP Observatoire Midi-Pyrénées), Marian Douspis (Institut d’Astrophysique Spatiale, Orsay), Chantal Duprez (Maître de conférences de physique en retraite), Ruth Durrer (Université de Genève), Christian Duthu (Observatoire du Pic du Midi), Michel Dyakonov (Université Montpellier 2), Jean Eisenstaedt, (Observatoire de Paris-CNRS), Gilles Esposito-Farese (Institut d’Astrophysique de Paris), Guillaume Faye, (CNRS Paris 6), Pierre Fayet (Ecole Normale Supérieure), François Forme, (Université Paul Sabatier, Toulouse), Pascal Fouqué (Université de Toulouse), Alexandre Gallenne (Observatoire de Paris), Anne-Lise Gautier (LESIA Observatoire de Paris), Mathieu Génois, (Université Paris Diderot), Martin.Giard (IRAP, CNRS-Université de Toulouse), Julien N. Girard (LESIA Observatoire de Paris-Meudon), éric Gourgoulhon (Observatoire de Paris / CNRS / Université Paris Diderot), Philippe Grandclément (Observatoire de Paris), Jean-Pierre Guelfucci (Université Toulouse 3), Bruno Guillet (Universite de Caen Basse Normandie), Jean-Louis Heudier (Observatoire de la Cote d’Azur), Henk Hilhorst (Université Paris XI), Peter Horvathy (LMPT, Universite de Tours), Elsa Huby (LESIA Observatoire de Paris)), Cyril Hugonie (UM2, Montpellier), Emmanuel Humbert (Université de Tours), Pierre Jean (Université de Toulouse), Marc Knecht (CNRS - Université Aix-Marseille), Laurent Koechin (IRAP Université de Toulouse), Christoph Kopper (CPHT Ecole Polytechnique), Daniel Kunth (Institut d’Astrophysique de Paris), Jean-Michel Lamarre (LERMA, Observatoire de Paris), Xavier Lambert (Université de Toulouse II), Laurent Lamy (LESIA Observatoire de Paris), Jean-Pierre Lasota (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Julien Lavalle (CNRS- Université Montpellier II), Vincent Le Brun (Laboratoire d’Astrophysique de Marseille- Université d’Aix-Marseille), Michèle Leduc (Laboratoire Kastler Brossel CNRS), Alain Léger (Institut d’Astrophysique Spatiale, Orsay), Roland Lehoucq (CEA Saclay), Francois Lignières (Université de Toulouse), Marceau Limousin (Laboratoire d’astrophysique de Marseille), Raphaël Loubère (CNRS-Université de Toulouse), Brice Lousteau (Université de Toulouse), Jean-Pierre Luminet (CNRS-Observatoire de Paris-Meudon), Bruno Macke (Université Lille I -CNRS.), Jacques Magnen (CPT Ecole Polytechnique), Gary Mamon (Institut d’Astrophysique de Paris), Michel Marcellin (CNRS-LAM, Marseille), Jean-Baptiste Marquette (CNRS/UPMC - IAP), Jérome Martin (CNRS-Paris 6), Jean Matricon, Loïc Maurin (Université Paris-Diderot), Philippe Mathias (Université de Toulouse), Roya Mohayaee (Institut d’Astrophysique de Paris), Léonard Monsaingeon (Institut de Mathématiques de Toulouse), Miguel Montargès (Observatoire de Paris - Meudon), Bertrand Monthubert (Université de Toulouse) , Patrick Mora (CNRS-Ecole polytechnique), Stéphane Munier (CNRS-école Polytechnique), André Neveu (UM2, Montpellier), Eric Nuss (LUPM, Université Montpellier 2), Alain Omont (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Henri Orland (IPhT CEA Saclay), Jean Orloff (Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand), François Pajot (CNRS-Université Paris Sud), Thibaut Paumard (Observatoire de Paris), Roser Pello (Université de Toulouse), Daniel Péquignot (Observatoire de Paris-Meudon), Guy Perrin (LESIA Observatoire de Paris), Jose-Philippe Perez (Université de Toulouse), Denis Pesme (CPT Ecole Polytechnique), Patrick Peter (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Patrick Petitjean (Institut d’Astrophysique de Paris), Bernard Pire (CPT Ecole Polytechnique), Cyril Pitrou (Institut d’Astrophysique de Paris), Etienne Pointecouteau (CNRS - Université de Toulouse), Jean-Loup Puget (Institut d’Astrophysique Spatiale, Orsay), Denis Puy, (Université des Sciences Montpellier II), Eric Ragoucy (CNRS-LAPTH Université de Savoie), Damien Rambaud (IRAP, Université de Toulouse), Laurent Ravera (CNRS - Université de Toulouse), Michel Rieutord (Université de Toulouse), Christophe Ringeval (Uniersité de Louvain), Françoise Roques (Observatoire de Paris-Meudon), Cyrille Rosset (CNRS-APC-Paris 7), Daniel Rouan (Observatoire de Paris-Meudon), Carlo Rovelli (Université Aix-Marseille), Lionel de Sá (CEA/DSM/SAp & LERMA Observatoire de Paris), Pierre Salati (Université de Savoie), Arnaud Sevin (LESIA Observatoire de Paris), Paul Sorba (LAPTH Université de Savoie), Geneviève Soucail (Université de Toulouse), Mark Spivakovsky, (CNRS-Institut de Mathématiques de Toulouse), Danièle Steer (Universite de Paris 7), Jean-Francois Sygnet (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Pascal J. Thomas (Institut de Mathématiques de Toulouse), Frank Thuillier (LAPTH Université de Savoie), Petar Todorov (Observatoire de Paris), Laurence Tresse (Laboratoire d’Astrophysique de Marseille), Marie Treyer (Laboratoire d’Astrophysique de Marseille), Jean-Philippe Uzan (CNRS-Institut d’Astrophysique de Paris), Bruno Vallette (Université de Nice Sophia-Antipolis), Charlotte Vastel (Observatoire Midi-Pyrénées), Sébastien Vauclair (Cosmodiff Toulouse), : Jean-Claude Vial (Institut d’Astrophysique Spatiale, Orsay), Alfred Vidal-Madjar (Emerite, IAP-CNRS-UPMC), Daniel Vignaud (Universite de Paris 7), Jacques Vigué (LCAR, CNRS - Université de Toulouse, UPS), Chrsitiane Vilain (LUTH Observatoire de Paris-Meudon), Loïc Villain (Université de Tours), Frédéric Vincent (Université Paris 7), Jean-Paul Zahn (Observatoire de Paris) , Yves Zolnierowski (Université de Savoie).

http://www.rue89.com…ritiquer-231613

Encore une preuve que la propriété intellectuelle c'est des conneries.

Lien vers le commentaire

Toute cette croisade contre les Bogdanov uniquement parcequ'ils se prononcent en faveur de Sarko.

Sont cons mais "les 170" en possèdent une sacrée couche.

Voilà, c'est le pendant d'Elisabeth Teissier dont la thèse de doctorat à été critiquée uniquement par les adversaires de Mitterrand. En plus tous ces scientifiques sont jaloux parce qu'ils n'ont jamais animé d'émission de télé avec de chouettes costumes en alu.

Lien vers le commentaire

Voilà, c'est le pendant d'Elisabeth Teissier dont la thèse de doctorat à été critiquée uniquement par les adversaires de Mitterrand. En plus tous ces scientifiques sont jaloux parce qu'ils n'ont jamais animé d'émission de télé avec de chouettes costumes en alu.

:rolleyes:

Tu dois être du genre à porter une cravate même pour Halloween :mrgreen:

Lien vers le commentaire

La croisade existe en fait depuis longtemps, en tout cas ça fait longtemps que je suis leurs affaires.

Il n'y a aucun doute sur le fait qu'ils n'ont pas mérité que leur thèse soit validée, et qu'ils ont aussi rusé pour qu'elle soit présentée dans les locaux de l'École Polytechnique.

S'il y a bien un truc qui me dégoûte, ce sont les gens qui veulent faire taire la critique.

Lien vers le commentaire

C'est du Foucard & Huet

http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2012/04/affaire-bogdanov-grosse-col%C3%A8re-des-scientifiques.html#.T5l4bBa1Tgc.twitter

http://mobile.lemonde.fr/sciences/article/2012/04/20/les-chercheurs-et-la-menace-bogdanov_1688106_1650684.html

A noter le superbe auto-goal des 170 vaillants chercheur publique qui signent joyeusement le droit de n'importe qui à publier leurs brouillons.

Les mêmes hurleraient aux "heures sombres" si une telle loi passait. L'élite des chercheurs sans aucune logique, c'est possible.

Il faudra agrandir le chapiteaux (à nos frais) les clown bogdanov vont avoir de la compagnie.

Lien vers le commentaire

Je me dis qu'en libéralie, les Bogdanov seraient effectivement docteurs, de l'université de Hache-Aite à Thondiplaume, dans la basse Creuse (désolé pour nos amis creusois). Et les gens seraient au courant que cette université, elle est bien gentille, mais elle a la jambe légère avec les rigolos.

D'autres seraient docteurs, d'université beaucoup plus dures ou élitistes (ce n'est pas un gros mot). Un peu comme pour les diplômes d'ingénieurs aujourd'hui. Ceux du forum qui font passer des entretiens d'embauche pour recruter à la sortie de l'école sont au courant de ce qu'ils peuvent attendre de quelqu'un qui sort de Polytechnique, et de quelqu'un qui sort d'une école de quatrième rang (sans jugement de valeur, c'est juste un constat sur les faits).

Lien vers le commentaire

http://mobile.lemonde.fr/sciences/article/2012/04/20/les-chercheurs-et-la-menace-bogdanov_1688106_1650684.html

Les Bogdanov ont tout l'air de plaideurs quérulents et ce type de comportement ne s'arrange généralement pas avec le temps. J'espère que la prochaine étape ne les portera pas à la violence physique. Pourvu qu'après la défaite prochaine de leur idole, l'élite intellectuelle de la Sarkozie, ie les frères Bogdanov, Nadine Morano et Frédéric Lefebvre, ne se retranche déboussolée dans le QG de campagne du leader déchu en prenant en otage quelques jeunes pop pour un nouveau Waco. Mon Dieu, si le GiGN devait intervenir et faire un carnage en tirant dans le tas, quelle perspective horrible !

Lien vers le commentaire
  • 5 weeks later...

A mon avis, ils sont en train de se transformer en quelque chose. En quoi ? Impossible à déterminer à ce stade.

ah oui, c'est pas impossible, des aliens ! ils ont aussi un peu la tronche à Buzz l'Eclair, le pote à Woody !

Vers l'infiniiiiiii, et au delààààààà

Lien vers le commentaire

Pas que le menton ! Aussi les pommettes ! Je pense qu'ils sont retouchés, ou alors une maladie génétique ?

Beuh, sont trop moches, on dirait des poupées de cire

Ce serai du à la prise d'hormone de croissance pour rester jeune et actif. Les sportifs qui se dopent en prennent sur 10 ans maxi, la on est sur du long cours.

Lien vers le commentaire

Jes les croise souvent au Monoprix d'Auteuil biggrin.gif Apparement ils s'alimentent avec des denrées humaines.

Ouais, mais ça c'est la base, tu sais pas ce qu'ils "achètent" ailleurs (ou pillent, déterrent… brrrr)
Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...