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Le PLD appelle à voter Sarkozy


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Mais pour Romney, il faudrait être naïf (ce que les libéraux sont dès qu'on leur fait un peu du pied) pour croire qu'il ne va pas faire des conneries énormissimes aussi (guerre en Iran ou autre).

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C'est exactement ce que je me dis quand je lis ou entends "il vaut mieux un peu de libéralisme que pas du tout et Romney veut faire un peu conservative economy".

Au mieux, Romney va sabrer dans le budget de l'éducation et des pensions, c'est tout. Ce qui d'ailleurs ne fera qu'empirer la situation des gens potentiellement touchés par ces décisions, car supprimer ces aides sans mettre en place par derrière les conditions pour un véritable système d'aide au sens ou nous libéraux l'entendons est tout simplement scandaleux à mes yeux. Et je suis prêt à parier qu'il ne baissera pas le budget de l'Etat pour autant et que cet argent économisé a gauche, servira, à droite, à remplir les poches de quelques crony capitalism's friends. Ce qui, pour un libéral, n'a strictement rien de réjouissant. Il ne va pas arrêter la politique extérieure américaine, il ne va pas arrêter de sauver les banques, il ne va pas s’asseoir sur le dogmatisme keynésien de l'ensemble (ou peu s'en faut) de la classe politique moyenne (qu'elle soit américaine ou pas).

J'espère qu'Obama se fera dégager pour la beauté du geste. Mais jamais, jamais, je n'irai supporter Romney.

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Toi, si t'avais été juif, t'aurais fait un talmudiste vraiment retors. Bah, tu aurais toujours pu te recycler dans la psychanalyse lacanienne si tu n'avais pas été bien au dessus de ce bullshit. ;)

:lol: Je me souviens d'un éminent belge qui m'avait dit "toi tu mériterais d'être belge". Et c'est le même belge qui m'a fait lire L'Elu de Chaim Potok, où justement on parle de la communauté des hassidim je crois, du pilpoul, toussa toussa.

Une vision: Chitah, assistant de recherche d'Israel Kirzner :)

:)

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L'idéologie c'est peut-être pour les cons mais précisément les cons ils sont nombreux ergo l'idéologie est importante.

La fonction de l'idéologie c'est précisément de dissimuler les rapports de pouvoir (merci Marx & Pareto), mais ce voile jeté sur les rivalités de classes est une institution de camouflage psychologique indispensable en démocratie. Il est donc vain de reprocher à l'idéologie d'être un voile ou une dérivation, on montre par là qu'elle marche et qu'elle est utile en tant que rationalisation du discours adressé aux masses. Partant, la critique de l'insincérité psychologique des prétendants à l'élection ou de leur hypocrisie est aussi un coup d'épée dans l'eau, ce qui compte c'est leur talent en tant qu'élite gouvernementale.

Je suis d'accord avec le premier point, si ce n'est que l'idéologie sur les masses me semble moins efficace que sur les élite. D'où la stratégie pour les libéraux non pas de monter un parti politique, mais d'essayer d'influencer des gens qui comptent.

Sur le second, certes, nous le savons tous bien, et tu as raison de le souligner.

Enfin sur le troisième point je pense que je vais réviser mon jugement et adopter le tien. Mais en continuant à troller quand même.

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Dans une vision ou le gouvernement n'a pour seule fonction que d'être le conseil d'administration de l'état, sa compétence est en effet le critère majeur.

Mais pour un manager, la capacité à exiger de ses troupes d'être compétentes est aussi important, voir plus, que sa compétence propre, et pour le coup, son discours public est important.

Ensuite, il faut bien dire que les orientations idéologiques jouent sur les compétences.

Enfin, à partir du moment ou certains membres du gouvernement (le président en particulier dans la Veme république) ont une fonction de représentation du 'peuple français' il est important, non seulement qu'il ne fasse pas de conneries, mais également qu'il ne dise pas de conneries en son nom.

Donc que l'idéologie, ou plus précisément le discours idéologique, soit sincère ou non, il n'est en rien inconséquent ou mineur dans le travail d'un politique.

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Obama a surtout rehaussé l’image des Etats-Unis dans Le Monde, ce qui est à la fois beaucoup pour les journalistes parisiens, mais finalement assez négligeable à l’international. Car si quelqu’un a constaté une érosion marquée de l’anti-américanisme dans les « points chauds » de la planète, qu’il nous donne d’urgence ses sources. Les récentes manifestations dans les pays arabes, où le drapeau américain a été brûlé des milliers de fois, en sont la preuve. On rappellera à toutes fins utiles les bombardements réguliers par des drones d’un pays doté de l’arme nucléaire, le Pakistan, malgré ses protestations
One of the most controversial aspects of U.S. foreign policy received mere seconds of discussion in the 90-minute final presidential debate.

“We already know President Obama’s position on this,” said moderator Bob Schieffer. He turned to Mitt Romney. “What is your position on the use of drones?”

“I believe that we should use any and all means necessary to take out people who pose a threat to us and our friends around the world,” Romney responded. “The president was right to up the usage of that technology and believe that we should continue to use it to continue to go after the people who represent a threat to this nation and to our friends.”

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La fonction de l'idéologie c'est précisément de dissimuler les rapports de pouvoir (merci Marx & Pareto), mais ce voile jeté sur les rivalités de classes est une institution de camouflage psychologique indispensable en démocratie. Il est donc vain de reprocher à l'idéologie d'être un voile ou une dérivation, on montre par là qu'elle marche et qu'elle est utile en tant que rationalisation du discours adressé aux masses. Partant, la critique de l'insincérité psychologique des prétendants à l'élection ou de leur hypocrisie est aussi un coup d'épée dans l'eau, ce qui compte c'est leur talent en tant qu'élite gouvernementale.

Pourquoi seulement en démocratie ?

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La question c'est de savoir si Romney va etre un Republicain a la sauce Reagan ou a la sauce W.

Charles Gave penche pour le premier.

Je crains qu'il n'y ait pas deux mais trois points de comparaison là. W, le Reagan réel et le Reagan fantasmé par de nombreux libéraux.

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Je crains qu'il n'y ait pas deux mais trois points de comparaison là. W, le Reagan réel et le Reagan fantasmé par de nombreux libéraux.

Ce n'est pas très grave, une idéologie comme le libéralisme a besoin de se structurer autour de figures contemporaines. Un peu comme la droite avec le Général de Gaulle, qui n'a pas forcément le cul propre sur tous les sujets. C'est aussi une figure fantasmée pour eux.

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Sans remettre en cause ton post (avec lequel je suis d'accord), je tiens à préciser qu'il y a un autre enjeu qui est fondamental (pour les pro-life) : l'avortement. Et sur ce point, contrairement à la politique étrangère, il y a une différence nette entre Romney et Obama.

Romney, qui est pro-life, va appointer des juges conservateurs à la Cour Suprême ; c'est peut-être la fin de Roe v. Wade. D'autre part, il pourra faire usage de son droit de veto pour bloquer les projets de loi favorisant d'une manière ou d'une autre l'infanticide l'avortement.

Etant tout aussi attentif que toi à la culture de vie, je trouve la position de Romney insoutenable, ou du moins assez hypocrite. Comment peut-on prétendre défendre la vie en politique intérieure et s'en soucier comme de son premier brushing quand il s'agit de guerres extérieures ? Là encore, le relativisme moral est alimenté par le système démocratique américain, qui veut qu'on flatte les aspirations morales de sa clientèle électorale sans chercher à pointer ses insuffisances ou ses incohérences. Un bébé mort américain, c'est grave, une victime étrangère collatérale dans un pays lointain, osef. On en parle pas, parce que de toute façon, l'électeur moyen a déjà des difficultés à placer Washington dc sur une carte.

Sur la nomination des juges à la cour Suprême : je n'y compterai pas trop, à en juger l'historique des nominations précédentes (de Reagan à Bush Jr). Le sujet est très délicat, et est l'une des lignes de mire de la guerre culturelle entre progressistes et conservateurs. Les dernières nominations vraiment conservatrices ont été très contesté (je pense bien sûr à l'échec de Bork, mais aussi à la campagne anti C. Thomas), ce qui fait que Bush jr a choisi de nommer des modérés, voire des techniciens du droit (Roberts, Alito et Miers) pour surtout ne pas déterrer la hache de guerre. Sur les hard cases, ils ne diffèrent pas tellement de leurs collègues progressistes (ils témoignent surtout de leur conservatisme dans leur volonté de faire revivre le fédéralisme j'ai l'impression).

Donc mon opinion à moi que j'ai, c'est non possumus.

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(ils témoignent surtout de leur conservatisme dans leur volonté de faire revivre le fédéralisme j'ai l'impression).

C'est, de mon point de vue, la seule issue saine pour les U.S.A., le fédéralisme implique la compétition inter-états, et la population libertarienne ou assimilée aux US est suffisamment nombreuse pour que cette compétition pousse les états a se tirer la bourre sur les libertés, alors oui, ça ne sera peut être pas le même état qui dépénalisera les drogues et celui qui dépénalisera la production et la vente d'armes lourdes, mais au final, je pense que tout le monde y gagnera, même en république socialiste du Massachusetts.

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Etant tout aussi attentif que toi à la culture de vie, je trouve la position de Romney insoutenable, ou du moins assez hypocrite. Comment peut-on prétendre défendre la vie en politique intérieure et s'en soucier comme de son premier brushing quand il s'agit de guerres extérieures ? Là encore, le relativisme moral est alimenté par le système démocratique américain, qui veut qu'on flatte les aspirations morales de sa clientèle électorale sans chercher à pointer ses insuffisances ou ses incohérences. Un bébé mort américain, c'est grave, une victime étrangère collatérale dans un pays lointain, osef. On en parle pas, parce que de toute façon, l'électeur moyen a déjà des difficultés à placer Washington dc sur une carte.

Oui je ne dis pas le contraire, ce double standard est absurde.

Sur la nomination des juges à la cour Suprême : je n'y compterai pas trop, à en juger l'historique des nominations précédentes (de Reagan à Bush Jr). Le sujet est très délicat, et est l'une des lignes de mire de la guerre culturelle entre progressistes et conservateurs. Les dernières nominations vraiment conservatrices ont été très contesté (je pense bien sûr à l'échec de Bork, mais aussi à la campagne anti C. Thomas), ce qui fait que Bush jr a choisi de nommer des modérés, voire des techniciens du droit (Roberts, Alito et Miers) pour surtout ne pas déterrer la hache de guerre. Sur les hard cases, ils ne diffèrent pas tellement de leurs collègues progressistes (ils témoignent surtout de leur conservatisme dans leur volonté de faire revivre le fédéralisme j'ai l'impression).

Donc mon opinion à moi que j'ai, c'est non possumus.

Ok… Ce n'est pas aussi évident que ce que je pensais. Et ce d'autant plus que Mitt, en tant qu'ancien gouverneur du Massachussetts, est certainement plus enclin au compromis que Bush.

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Ce n'est pas très grave, une idéologie comme le libéralisme a besoin de se structurer autour de figures contemporaines. Un peu comme la droite avec le Général de Gaulle, qui n'a pas forcément le cul propre sur tous les sujets. C'est aussi une figure fantasmée pour eux.

? Reagan c'est pas le type qui à fait prendre le bouillon à la dette américaine ?

Pour les libéraux qui crient à la folie sur la dette, est-ce que ça fait sérieux de prendre Reagan comme modèle ?

Sinon je pensais que le libéralisme n'était pas une idéologie, en quoi est-ce que c'est une idéologie selon toi ?

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? Reagan c'est pas le type qui à fait prendre le bouillon à la dette américaine ?

Pour les libéraux qui crient à la folie sur la dette, est-ce que ça fait sérieux de prendre Reagan comme modèle ?

En effet, et ça n'échappe pas à tout le monde.

On se rappellera que dans l'article du PLD, le problème de la dette est particulièrement mis en avant dans l'échec d'Obama et que Reagan est présenté comme modèle que Romney suivrait face à un Obama pendant de Carter. Mais bien sûr, Reagan a été le champion de la dette publique à son époque. Ca fait désordre.

Pour expliquer cette étrange dissonance cognitive, les spéculations de Rothbard sur le sujet me semblent assez sensées:

Reaganomics, as enunciated by Reagan himself before the convention and by conservatives generally, promised the following program: a sharp cut in the federal budget, a drastic cut in income taxes, a balanced budget by 1984, deregulation of the economy, and return to a gold standard. Reagan has managed to convince both conservatives and liberals, and the American public, that he did accomplish the first and second points of this list. For a year or two, it was hardly possible to watch news on TV without watching some bozo wailing about how he and the rest of the world were about to come to an end because the federal Scrooge had cut his budget or his grant. Conservatives bought this myth because they wanted to see Reagan accomplish what he had said he would; liberals were happy to adopt it so that they could wail about how Reagan was causing untold misery and starvation by his drastic cuts.

Il me semble que le mythe de Reagan accomplit la même fonction aujourd'hui.

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Voilà merci d'avoir un peu documenté, ça me pose pas de problème de choisir une ancienne personnalité pour se structurer, mais tant qu'à faire autant choisir quelqu'un comme Thatcher.

Comparer Tony Blair au travaillistes des années 60 devrait permettre de comprendre l'influence qu'elle a eu dans son pays.

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Oui comme orateur il est assez mauvais. Il faudrait qu'il prenne des cours et qu'il étoffe un peu plus ses arguments.

A comparer à Guy Sorman qui peut se prendre de face trois coco chez Tadeï et leur faire comprendre que le monde qu'ils se figurent est juste débile et que globalement le monde sort de la pauvreté grâce au libre échange.

J'ai pris la fin de son interview, il s'est fait bouffer sur "la spéculation sur les matières premières" parce qu'il investit dans le développement de l'agriculture.

Arriver à ne pas se montrer à son avantage sur ce sujet est un peu dommage, car on peut mettre le cuistre devant sa contradiction en deux secondes.

Après peut-être que la télé inhibe les capacités intellectuelles des intervenants, mais c'est triste de perdre la face sur des sujets aussi facile.

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Non, il est con, c'est un UMP qui a lu Capitalime et Liberté une fois, dans ses chiottes.

Il aime bien Romney et Ryan, il a été incapable de dire que oui, l'individualisme c'est bien, et il pense que la spéculation c'est mal, mais lui il n'en fait pas hein, ou si peu…

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Je viens de regarder la vidéo de son passage dans l'émission et c'est vrai qu'il ne démontre pas clairement pourquoi le projet de loi de finance est dangereux.

Parfois je me demande si la meilleure façon de défendre le libéralisme est d'en parler sans jamais prononcer le mot libéral.

Les deux journalistes qui l'interrogent sont des pignoufs de compétition qui ne comprennent rien à l'économie (cf la question sur les matières premières).

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Si ceux qui se revendiquent libéraux sont mauvais c'est une raison pour leur distribuer des baffes, pas pour abandonner le terme.

Je n'ai jamais compris ce concept d'avancer masqués, au contraire il faut leur montrer que les vrais méchants libéraux extrémistes ça existe, et c'est pas ce qu'on croit.

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Si ceux qui se revendiquent libéraux sont mauvais c'est une raison pour leur distribuer des baffes, pas pour abandonner le terme.

Je n'ai jamais compris ce concept d'avancer masqués, au contraire il faut leur montrer que les vrais méchants libéraux extrémistes ça existe, et c'est pas ce qu'on croit.

Ce qui est frappant dans cet interview c'est que le journaliste raconte des conneries socialistes voir communistes et tout le public applaudit. Le journaliste est au niveau 0 de la compréhension des phénomènes économiques et personne n'est choqué dans la pièce. Je me demandais juste si les gens arrêtaient de réfléchir à partir du moment où l'invité se dit libéral et qu'il est donc par nature un mangeur d'enfant. Après c'est vrai que la prestation de l'invité est moyenne car vu l'ignorance des 2 clowns journalistiques leur mettre une fessé en public me semblait largement possible vu le niveau des questions.

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Rien de plus con qu'un public : suffit d'avoir la bonne intonation, le rythme qui va bien, la gestuelle, éventuellement deux ou trois complices dans la salle et c'est facile de se faire applaudir quoi qu'on soit en train de raconter. C'est pas une question de mangeur d'enfant ou pas ni de réflexion, dans ces débats les gens se focalisent sur la forme exclusivement.

Du coup, si on commence à avoir honte de nos idées, tout le monde en déduira qu'elles sont honteuses et du point de vue de l'image c'est catastrophique.

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Oui je ne dis pas le contraire, ce double standard est absurde.

(…)

Jack Hunter vient de publier dans The American Conservative un article qui va dans le même sens que ce que je disais précédemment à propos de la culture de vie (même si sa cible semble plutôt être obama que Romney) :

http://www.theameric...ans-anti-drone/

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Rien de plus con qu'un public : suffit d'avoir la bonne intonation, le rythme qui va bien, la gestuelle, éventuellement deux ou trois complices dans la salle et c'est facile de se faire applaudir quoi qu'on soit en train de raconter.

Tout à fait vrai.

J'avais assité à un meeting du PS il y a pas mal d'années (sous Mitterrand) et les orateurs successifs s'efforçaient d'expliquer les mesures à prendre devant une salle amorphe et endormie .

Tout à coup un mec est monté à la tribune, il n'avait aucune idée précise à exposer mais il a simplement pris le micro et a gueulé fort dedans " Je vous ai tous écouté patiemment jusqu'ici mais moi la question que je veux poser c'est :B. de M., quand est-ce qu'on va vraiment faire une politique de gauche dans ce pays? "

Le type est sorti sous un tonnerre d'applaudissements alors qu'il n'avait rien apporté au débat.

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Charles est serial entrepreneur. Globalement, il a très peu de temps disponible, et ce qui fait la faiblesse des entrepreneurs en politique : manque de temps, donc de formation intellectuelle. Depuis peu, il s'engage activement au PLD. A l'université d'automne, il est venu passer une journée et échanger avec Cécile Philippe, Jean-Philippe Feldman, Vincent Bénard. Mais il faut être patient et l'aider plutôt que le casser. Peu d'entre nous ont un tel accès aux médias, nous devons investir plutôt que refuser cette ouverture. Pierre Chappaz était comme lui avant d'évoluer (lorsqu'il a vendu et a eu beaucoup de temps libre pour lire et se former) et de devenir ouvertement libertarien.

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Charles est serial entrepreneur. Globalement, il a très peu de temps disponible, et ce qui fait la faiblesse des entrepreneurs en politique : manque de temps, donc de formation intellectuelle. Depuis peu, il s'engage activement au PLD. A l'université d'automne, il est venu passer une journée et échanger avec Cécile Philippe, Jean-Philippe Feldman, Vincent Bénard. Mais il faut être patient et l'aider plutôt que le casser. Peu d'entre nous ont un tel accès aux médias, nous devons investir plutôt que refuser cette ouverture. Pierre Chappaz était comme lui avant d'évoluer (lorsqu'il a vendu et a eu beaucoup de temps libre pour lire et se former) et de devenir ouvertement libertarien.

Hahaha

J'avoue, j'ai bien ri.

Charles Gave a passé 20 ans en contact étroit avec Milton Friedman qui a meme préfacé son premier livre. Niveau formation intellectuelle, il te met la race internationale.

Sans compter que son business d'entrepreneur, GaveKal, est une boite de recherche et d'analyse politique et économique de grosse renommée, donc la encore, niveau formation intellectuelle, il est tout la-haut la-haut.

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