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Exil fiscal et des talents


Lexington

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Le thème du débat est intéressant mais c'est vrai que parler d'exil fiscal n'est pas forcément approprié.

Le problème est surtout celui des formations supérieures et du monde du travail. Les formations proposées sont bien souvent sans relation avec les besoins réels du monde du travail, et leur qualité est inadapté à la concurrence d'autres formations. Le monde du travail est caractérisé par une certaine rigidité où il est difficile pour un individu de trouver sa place dès qu'il sort du parcours habituel.

C'est pas exactement ça, c'est plutôt que les formations littéraires n'offrent quasiment pas de débouchés en France, faire ce choix c'est donc se préparer à une désillusion certaine sauf à être capable d'arriver dans les tout premiers et suivre une carrière universitaire.

Devenir prof c'est une tarre ? Et Critique littéraire, journaliste, conservateur, … ? Ce sont des métiers dans lequels ont peut faire preuve de talent non ?

Pas "faire des études littéraires" mais "faire des études littéraires en France en faculté pour fautre chose qu'une carrière dans la fonction publique".

Bon ben OK, mais qu'on les ferme alors toutes ces unifs de merde.

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Les formations littéraires n'offrent pas moins de "débouchés" que de ne pas faire d’étude du tout, et de toute façon cette notion de "débouchés" ne veut pas dire grand chose.

Julien va aller apporter son talent et son travail dans un autre pays que la France, et sa licence d'histoire ne l’empêchera pas de le faire.

Débouché, c'est simple et très concret, on regarde le pourcentage d'étudiants qui bossent, quel travail ils effectuent, et leur salaire. Ce genre de chiffres sont disponibles pour pas mal de formations supérieures.

Si tu as les chiffres de filières littéraires, on pourra en discuter sérieusement.

On peut considérer les 3 ou 4 ans nécessaire à une licence serait mieux employés ailleurs si cette formation n'apporte aucune qualification particulière ni n'ouvre aucune porte.

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Quand bébert fait impudiquement étalage de son illettrisme, … T'es un guignole, un souffifre, une sous-merde, t'as perdu tout tes droits sur ce forum, on peut t'insulter, te cracher dessus, te trainer dans la boue et toi tu dois dire merci, tu peux pas répondre, tu peux juste partir, mais non, t'aime trop te faire insulter, alors tu reviens. Va te faire soigner bébert, va lécher le cul des chiens, ce sont les seuls culs qui sont à ta hauteur.

:icon_bave:

N'oublie pas que tu as fait le malheur de ta famille et fait mourir ton père de honte et de chagrin avec ton choix.

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C'est pas exactement ça, c'est plutôt que les formations littéraires n'offrent quasiment pas de débouchés en France, faire ce choix c'est donc se préparer à une désillusion certaine sauf à être capable d'arriver dans les tout premiers et suivre une carrière universitaire.

Une formation, ce n’est pas faire pour avoir un ‘débouché’, sauf peut être une formation de déboucheur de chiottes.

C’est catastrophique cette idée selon laquelle on se forme pour ‘avoir un travail’, on se forme pour enrichir son savoir et ses compétences.

Si on n’a pas compris qu’avoir un travail, c’est fournir un service a d’autres, aucune formation n’est utile, si on l’a compris, on ne choisis jamais une formation pour ses soi-disant ‘débouchés’, on la choisit parce qu’elle nous rend meilleur dans ce qu’on sait et aime faire, donc par définition dans le domaine ou l’on peut mieux rendre service.

Débouché, c'est simple et très concret, on regarde le pourcentage d'étudiants qui bossent, quel travail ils effectuent, et leur salaire. Ce genre de chiffres sont disponibles pour pas mal de formations supérieures.

Comme beaucoup de statistiques, elles ne servent a rien pour guider un choix personnel, a moins d’être tellement vide qu’on n’a aucune idée de ce qu’on souhaite faire et tellement médiocre en tout qu’on a intérêt a être médiocre la ou il y a le plus de travail.

90% des gens qui sortent d’école d’ingénieur ont un taf d’ingénieur, la belle affaire si on n’a pas envie de faire ce taf.

1% des gens qui sortent de la fac de socio-psycho-truc ont le taf qui t’intéresse, et alors, si c’est la fac de socio-psycho-truc qui t’aide le mieux à y être compétent, elle est bien meilleure que l’école d’ingénieur pour toi.

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Une formation, ce n’est pas faire pour avoir un ‘débouché’, sauf peut être une formation de déboucheur de chiottes.

C’est catastrophique cette idée selon laquelle on se forme pour ‘avoir un travail’, on se forme pour enrichir son savoir et ses compétences.

Si on n’a pas compris qu’avoir un travail, c’est fournir un service a d’autres, aucune formation n’est utile, si on l’a compris, on ne choisis jamais une formation pour ses soi-disant ‘débouchés’, on la choisit parce qu’elle nous rend meilleur dans ce qu’on sait et aime faire, donc par définition dans le domaine ou l’on peut mieux rendre service.

Je ne vois pas ce que cela a de catastrophique.

N'importe quel apprenti se forme à un travail et c'est très bien, la plupart des formations sont faites pour permettre d'acquérir des compétences qui permettront ensuite d'exercer telle ou telle activité. Lorsqu'on parle de débouchés, même si le terme est laid, c'est bien de cela qu'il s'agit. Ce qui compte ce sont les compétences acquises et comment elles sont valorisées sur le marché du travail.

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Une formation, ce n’est pas faire pour avoir un ‘débouché’, sauf peut être une formation de déboucheur de chiottes.

C’est catastrophique cette idée selon laquelle on se forme pour ‘avoir un travail’, on se forme pour enrichir son savoir et ses compétences.

Si on n’a pas compris qu’avoir un travail, c’est fournir un service a d’autres, aucune formation n’est utile, si on l’a compris, on ne choisis jamais une formation pour ses soi-disant ‘débouchés’, on la choisit parce qu’elle nous rend meilleur dans ce qu’on sait et aime faire, donc par définition dans le domaine ou l’on peut mieux rendre service.

Comme beaucoup de statistiques, elles ne servent a rien pour guider un choix personnel, a moins d’être tellement vide qu’on n’a aucune idée de ce qu’on souhaite faire et tellement médiocre en tout qu’on a intérêt a être médiocre la ou il y a le plus de travail.

90% des gens qui sortent d’école d’ingénieur ont un taf d’ingénieur, la belle affaire si on n’a pas envie de faire ce taf.

1% des gens qui sortent de la fac de socio-psycho-truc ont le taf qui t’intéresse, et alors, si c’est la fac de socio-psycho-truc qui t’aide le mieux à y être compétent, elle est bien meilleure que l’école d’ingénieur pour toi.

DANS MES BRAS!

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N'importe quel apprenti se forme à un travail et c'est très bien, la plupart des formations sont faites pour permettre d'acquérir des compétences qui permettront ensuite d'exercer telle ou telle activité.

Oui

Lorsqu'on parle de débouchés, même si le terme est laid, c'est bien de cela qu'il s'agit.

Non, quand on parle de débouchés, tu l'a toi meme dit au dessus, on parle de statistiques, ça n'a aucun rapport.

Ce qui compte ce sont les compétences acquises et comment elle sont valorisées sur le marché du travail.

Tu veux savoir la valeur réelle d'une compétence acquise sur le marché du travail : 0, peau de zob.

Ce qui a de la valeur sur le marché du travail, c’est le travail, l’exécution, le présent et le futur, pas le passé, le passé ce n’est pas de la valeur, c’est des coûts irrécupérables.

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1% des gens qui sortent de la fac de socio-psycho-truc ont le taf qui t’intéresse, et alors, si c’est la fac de socio-psycho-truc qui t’aide le mieux à y être compétent, elle est bien meilleure que l’école d’ingénieur pour toi.

Si 1% des gens qui sortent de socio ont le taf qui t'intéressent, c'est que soit les places sont rares et donc tu sais que tu vas devoir bosser salement, soit ce n'est pas la formation adaptée parce que 99% des gens font autre chose.

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Bien, je suis en total accord avec Neuneu.

Faut se dire que si demain tout le monde se jettent sur les diplômes " a débouché", on se sera pas plus avancé avec un sur-offre, spécialement remplie de gens démotivés, en vrais zombies-a-boulot.

Moi je n'aurais jamais pu faire un tel job. C'est pas plus mal que je ne m'y sois jamais risqué.

Je suis programmé génétiquement pour être anthropologue. Je le sais, j'ai ça dans le sang et je suis plutôt bon là dedans. Je pense que je ferai un bon chercheur, pas parce que j'en rêve la nuit, mais parce que c'est l'avis de mes deux directeurs de recherche.

Mais si demain, je n'arrive pas a rentrer au CNRS ou ailleurs, j'en ferais pas un drame.

Je suis sur qu'il y a un tas d'entreprises qui seraient contentes d'avoir un gars débrouillard, pas trop con, avec une formation universitaire, prêt à apprendre, avec l'esprit de synthèse, de rédaction (oui, en vrai, je fais un peu mieux que sur un forum internet), prêt à bosser pour aider ces entreprises à s'installer en Afrique.

Et si elles n'existent pas, je monterai ma boite de consultance "poney consulting for bizness in Africa", et le Kapitalimse vainquera chez les Noirs, et pis c'est tout. :dentier:

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Moi je n'aurais jamais pu faire un tel job. Je suis programmé génétiquement pour être anthropologue. Je le sais, j'ai ça dans le sang et je suis plutôt bon là dedans. Je pense que je ferai un bon chercheur, pas parce que j'en rêve la nuit, mais parce que c'est l'avis de mes deux directeurs de recherche.

Sauf qu'apparemment, tu as pris quelque temps pour comprendre cela.

Le problème de beaucoup d'étudiants c'est que pour la plupart qu'ils n'ont qu'une vague idée de ce qu'ils veulent faire pour la raison simple qu'ils ne savent bien souvent pas en quoi consiste le monde du travail.

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DANS MES BRAS!

Exactement ce qui m'est venu a l'esprit quand j'ai lu le message de neuneu2k :)

Et celui d’après aussi: travailler, c'est pour rendre un service aux autres.

Débouché, c'est simple et très concret, on regarde le pourcentage d'étudiants qui bossent, quel travail ils effectuent, et leur salaire. Ce genre de chiffres sont disponibles pour pas mal de formations supérieures.

Si tu as les chiffres de filières littéraires, on pourra en discuter sérieusement.

Ceux qui ne trouve pas de travail c'est pas a cause de leurs études, même sans études on y arrive très bien. Je pari que Julien trouvera du boulot, car il semble avoir envie de bosser.

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C’est catastrophique cette idée selon laquelle on se forme pour ‘avoir un travail’, on se forme pour enrichir son savoir et ses compétences.

Si on n’a pas compris qu’avoir un travail, c’est fournir un service a d’autres, aucune formation n’est utile, si on l’a compris, on ne choisis jamais une formation pour ses soi-disant ‘débouchés’, on la choisit parce qu’elle nous rend meilleur dans ce qu’on sait et aime faire, donc par définition dans le domaine ou l’on peut mieux rendre service.

Mouais bof il faut vraiment avoir des capacités exceptionnelles ou des parents friqués pour oser dire cela.

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Mouais bof il faut vraiment avoir des capacités exceptionnelles ou des parents friqués pour oser dire cela.

Il n’empêche que c'est vrai, et qu'on a pas besoin de capacités exceptionnelles pour bénéficier de ce conseil.

Et je vois d'ailleurs pas trop pourquoi il faudrait avoir des capacités exceptionnelles pour oser le dire.

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C'est fou comme les gens oublient l'avantage comparatif de Ricardo au quotidien.

Un trisomique moins bon que tout le reste de l'humanité en tout à tout intérêt à bosser LE truc ou il est le meilleur, fut il toujours moins bon que tout le monde même dans ce domaine.

Donc non, pas besoin d'être exceptionnel, il suffit d'être unique ce qui est donné à tout le monde.

Quand a avoir du fric ou à être un génie, ça ne change strictement rien en terme d'allocation optimale du capital, juste en terme de combien de capital on a a allouer.

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Il n’empêche que c'est vrai, et qu'on a pas besoin de capacités exceptionnelles pour bénéficier de ce conseil.

Et je vois d'ailleurs pas trop pourquoi il faudrait avoir des capacités exceptionnelles pour oser le dire.

Parce que des études d'Histoire de l'Art, c'est super intéressant mais pour fournir un service avec ce bagage, il faut vraiment être le meilleur.

Les études, n'en déplaise à Neuneuk, c'est un investissement et un investissement ça doit avoir un rapport dépense/profit maximum.

Alors non, on ne choisit pas forcément ce que l'on aime le plus et même pas les études qui nous permettent d'accroitre notre potentiel naturel. On choisit des études dont le potentiel de profit futur est optimum en fonction de nos capacités.

C'est fou comme les gens oublient l'avantage comparatif de Ricardo au quotidien.

Un trisomique moins bon que tout le reste de l'humanité en tout à tout intérêt à bosser LE truc ou il est le meilleur, fut il toujours moins bon que tout le monde même dans ce domaine.

Non si ce domaine n'intéresse personne.

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J'aurais bien aimé, à 20 ans, être passionnée par un projet, d'études, de travail, mais je savais pas, et voyez où ça m'a menée !!!

Aussi, j'ai sans hésiter laissé ma fille mener à bien son projet d'études en art appliqué, ce qu'elle souhaite faire depuis des années. Bien sûr qu'il n'y a aucune certitude relative à son avenir professionnel, mais elle s'éclate dans ses études, et pour moi, c'est le plus important. Peut être elle ne sera pas un grand designer, juste un petit rouage dans ce monde professionnel, ou bien fera t elle tout autre chose. C'est pas facile, à 20 ans, de savoir bien ce qu'on aime faire, ou pas

Le problème des facs, c'est que tout bâchelier peut en intégrer une, quel que soit son niveau, et souvent, les choix se font par défaut, sans réelle motivation, ce qui rend encore plus aléatoire la réussite et explique les abandons très rapides. Dans le "meilleur" des cas, ou le moins pire, c'est le concours pour intégrer la fonction publique et là, clac, le piège se referme, pour ceux qui, nombreux, suivent le mouvement mollement.

Les autres, ceux qui ont la volonté, la passion, pas de souci

Les autres, ceux qui ont échoué et n'ont pas bifurqué, ça craint…

Mieux vaut un bon cap qu'une licence qui sert à rien, même pas à s'élever intellectuellement

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Alors non, on ne choisit pas forcément ce que l'on aime le plus et même pas les études qui nous permettent d'accroitre notre potentiel naturel. On choisit des études dont le potentiel de profit futur est optimum en fonction de nos capacités.

Tu fait une différence que je ne comprend pas entre "potentiel naturel" et "capacités", mais de toute façon je pense qu'on est loin de l’idée de départ.

Des Julien qui réussissent parce qu'il ont compris qu'il fallait se rendre utile j'en ai vu pas mal, et inversement des gens avec des super diplôme qui étaient complètement inutile j'en ai vu aussi.

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Les études, n'en déplaise à Neuneuk, c'est un investissement et un investissement ça doit avoir un rapport dépense/profit maximum.

Alors non, on ne choisit pas forcément ce que l'on aime le plus et même pas les études qui nous permettent d'accroitre notre potentiel naturel. On choisit des études dont le potentiel de profit futur est optimum en fonction de nos capacités.

Tiens à mon sens encore un biais qui résulte de notre modèle socialisant. Si le profit est en effet nécessaire on se rend compte que finalement il y à une tendance générale à ne plus regarder que ça de nos jours. On a en fait très peu d'entrepreneurs, d'étudiants etc vraiment passionnés par ce qu'ils fonts. Notre système social et économique génère en fait tellement d'instabilité et d'insécurité qu'il pousse plutôt à un comportement d'homo œconomicus.

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Tu fait une différence que je ne comprend pas entre "potentiel naturel" et "capacités", mais de toute façon je pense qu'on est loin de l’idée de départ.

C'est très simple, je vais prendre un exemple.

Toto est passionné par l'architecture et la peinture de la période baroque. Ce n'est pas une lumière mais sa passion lui permet d'apprendre et de retenir ce qui la concerne.

D'un autre côté, il a la possibilité de faire des études d'informatique et il constate que les embauches sont nombreuses et les gens fort bien payés.

Son "potentiel naturel", son inclinaison, c'est l'Histoire de l'Art mais il a également la capacité de faire des études d'informatiques pas très intéressantes mais qui lui assureront des revenus confortables.

Si Toto suit son inclinaison naturelle, il deviendrait certainement quelqu'un de compétent mais il a intérêt à avoir des parents friqués.

En revanche, s'il choisit l'informatique, il ne deviendra qu'un informaticien lamda mais assurera son gite, son couvert et bien plus encore.

Tiens à mon sens encore un biais qui résulte de notre modèle socialisant.

Au contraire. Le modèle socialisant tente de gommer la performance et la spécialisation. Il permet de mettre en place des études généralistes qui durent le plus longtemps possible.

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Toto est passionné par l'architecture et la peinture de la période baroque. Ce n'est pas une lumière mais sa passion lui permet d'apprendre et de retenir ce qui la concerne.

D'un autre côté, il a la possibilité de faire des études d'informatique et il constate que les embauches sont nombreuses et les gens fort bien payés.

Son "potentiel naturel", son inclinaison, c'est l'Histoire de l'Art mais il a également la capacité de faire des études d'informatiques pas très intéressantes mais qui lui assureront des revenus confortables.

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Si Toto suit son inclinaison naturelle, il deviendrait certainement quelqu'un de compétent mais il a intérêt à avoir des parents friqués.

Dans ce cas il n'aura pas compris que le but de travailler c'est de rendre un service aux autres, ce qui est le message principal ici.

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Neuneu2k a (très bien) réussi en ayant un parcours académique moisi mais en ayant su valoriser et montrer ses compétences. Essayez de vous mettre en tête que ces gens sont rares, surtout en France. (oui je suis jaloux de Neuneu2k)

Le parcours académique c'est un label qui donne de la visibilité sur les capacités de la personne qui l'a suivi. Alors vous êtes surement disposés à embaucher des p'tits jeunes volontaires sans bagages reliés aux compétences techniques requises par le poste que vous offrez. Essayez de vous mettre en tête que vous êtes rares, surtout en France.

Vous encouragez vos enfants à poursuivre leurs rêves d'être chanteurs ou médiateurs culturel, bravo.

Maintenant, suivre une formation où il faut être le meilleur pour réussir, où le vrai écrémage se fait à bac+8 avec un gros risque de retomber à 0 c'est couillu, bravo.

La gestion des risques ça se conçoit aussi au niveau de la formation. C'est plus facile pour moi qui suis ingé de me lancer comme vigneron, restaurateur ou de créer un nouveau service web relié à ces passions que si j'étais travailleur agricole de me lancer dans l'ingénierie.

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Pkoi tu pourrais plus facilement faire vigneron ou restaurateur ? En étant ingénieur plutôt que médiateur culturel ?

C'est quoi, un parcours académique ?

En partant d'ingénieur j'ai plus de possibilité de crédit, plus de capital accumulé. J'ai étudié tout et rien dont des choses qui débordent vers vigneron ou restaurateur, j'ai l'habitude d'apprendre des choses nouvelles dont je ne connaissais rien. (et quand je dis vigneron ou restaurateur, je parle de monter des entreprises, pas d'être le chef le plus renommé ou le nouveau Guigal)

Le parcours académique ça correspond aux bouts de papiers que donne les institutions qui ont le droits de donner des bouts de papiers avec écrit " - dit plôme : - plôme" dessus.

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"j'ai l'habitude d'apprendre des choses nouvelles dont je ne connaissais rien"

Oui comme tous ceux qui ont fait des études. Le mythe de l'ingénieur qui peut tout faire c'est un peu français comme truc… Et heureusement j'peux vous dire, parce que pour bosser dans une boîte dirigée par des ingé pur jus j'vous dit pas les dégâts…

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C'est bien ce que je disais plus haut : vos facs sont moisies, mais ça n'a rien avoir avec les disciplines dont on parle. En Belgique, c'est le double (un peu moins en Master, mais les exos à rendre sont costaud et je m'en suis pas tiré à moins de 40h de boulot par semaine, sauf au milieu de l'année).

Je ne savais pas que tu parlais des fac' de Belgique.

Il dit pas qu'il a raté, il dit qu'il y a 15 places pour 3000, on peut réussir sans être classé (ce qui du coup, fait que tu ne passes pas, bien sur).

Il l'a pas eu, donc il a raté son concours, c'est le principe, cruel, mais très simple. :dentier:

Ne t'inquiètes pas pour moi, au contraire, je ne suis pas Français :dentier:

:icon_boire:

Mais le débat à dévié sur "un mec qui se lance dans des étude litéraire est forcément un looser" et je ne partage pas cette avis.

Personne ici n'a dit un mec en fac de lettre était automatiquement un loser. Arrêtes de simplifier le débat à ta sauce !

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