Aller au contenu

Exil fiscal et des talents


Lexington

Messages recommandés

non, mais tu comprends pas : si t'as pas fait éco/gestion/info, t'es un bon a rien.

Ce serait pas mal, en effet.

La vraie question, et en ça je suis à moitié (sans doute) en accord avec Lameador, c'est pourquoi des gens qui font des études littéraires ou dans les sciences sociales n'arrivent à vendre leurs qualités (d'analyse, littéraire -justement-, de concision, d'enquêtes, … la liste est longue).

J'ai envie de dire, pour en cotoyer des tas, qu'il y a deux raisons. La première est que beaucoup sont bêtement gauchistes et refuse de bosser pour le kapitamilsme et ceux là sont, de fait, des losers doublés de crétins que j'espère voir longtemps pourrir au chômage. La seconde est que beaucoup d'entreprises d'UE ne se rendent pas compte des opportunités réelles que peuvent amener du personnel avec notre qualification, telles que décrite en partie par le liens de la AAA que j'ai filé plus haut.

Personnellement, je ne me fais aucun souci pour mon avenir.

Pourquoi les étudiants en sciences humaines sont catalogués comme des cas sociaux dans notre pays ? Parce qu'ils viennent de la fac.

De la sociologie par exemple, on en voit dans toutes les formations marketing, et c'est extraordinairement utile de savoir étudier qui sont ces gens à qui on essaie de vendre des trucs et qu'est ce qu'on pourrait leur vendre d'ailleurs ? Or c'est pas un mec avec une maîtrise de socio qui va m'aider dans ce cas.

Lien vers le commentaire

Et un mec qu'a fait les beaux arts et qui vends des oeuvres qui valent une fortune, c'est pas un talant ?

Un grand sportif ? Un gran dpianiste ?

"Non, gardez les ingénieurs, y a que ceux là qui servent, les autres laissez les pourir"

Lien vers le commentaire

Aux USA et en UK, les matières typés "humanities" sont effectivement reconnues, cela pour deux raisons:

- n'importe qui n'a pas accès à l'étude de ces matières, il y a donc une sélection à l'inverse de la France ou l'analphabète moyen peu s'inscrire en fac

- les étudiants de ces cursus suivent souvent des "mineures" qui correspondent aux réalités économiques (un étudiant en philosophie peut suivre la finance en "mineure" dans le cadre de son diplôme par exemple)

Ce système à l'avantage de fournir des cadres sup' disposant d'une bonne culture générale et titulaires de connaissances exploitables économiquement parlant. Ce que les écoles de commerces arrivent à faire en France mais pas les fac'.

Parce que le système français est ripou de chez ripou et hyper socialiste, mais ça n'enlève rien aux qualités des gens qui ont fait ces formations, du moins ceux qui l'ont fait avec un peu d'attention (y a des cons partout, n'est-ce pas).

Pourquoi les étudiants en sciences humaines sont catalogués comme des cas sociaux dans notre pays ? Parce qu'ils viennent de la fac.

De la sociologie par exemple, on en voit dans toutes les formations marketing, et c'est extraordinairement utile de savoir étudier qui sont ces gens à qui on essaie de vendre des trucs et qu'est ce qu'on pourrait leur vendre d'ailleurs ? Or c'est pas un mec avec une maîtrise de socio qui va m'aider dans ce cas.

J'ai eu un cours de droit privé, un cours de droit public, un cours de droit international et un cours "d'intro au droit", ça ne fait pas de moi un juriste.

Y a un monde entier entre avoir deux cours et demi de socio (spécialement pour un bande de types qui s'en foutent et qui suivent le cours parce qu'il est obligatoire et qui sont persuadés que la socio c'est un truc pour vilains gauchistes -ce qui, je l'accorde, est parfois un peu vrai-), et une réelle (et bonne -j'insiste-) formation en sciences sociales.

C'est même pas un monde, ça n'a juste strictement rien a voir.

Lien vers le commentaire

Et d'ailleurs si l'on prend talent dans son sens premier ce n'est qu'une capacité naturelle ou acquise dans un domaine précis.

L'un, l'autre, ou les deux. La plupart des gens ont du talent, certains plus que d'autres. Ca peut être inné ou acquis, généraliste ou lié à une technique précise. … etc

La taxonomie des talents représente une activité assez oiseuse. Laissons chacun vivre de son talent plutôt que des impôts des autres.

Lien vers le commentaire

L'un, l'autre, ou les deux. La plupart des gens ont du talent, certains plus que d'autres. Ca peut être inné ou acquis, généraliste ou lié à une technique précise. … etc

La taxonomie des talents représente une activité assez oiseuse. Laissons chacun vivre de son talent plutôt que des impôts des autres.

Tout à fait.

Lien vers le commentaire

Pourquoi les étudiants en sciences humaines sont catalogués comme des cas sociaux dans notre pays ? Parce qu'ils viennent de la fac.

De la sociologie par exemple, on en voit dans toutes les formations marketing, et c'est extraordinairement utile de savoir étudier qui sont ces gens à qui on essaie de vendre des trucs et qu'est ce qu'on pourrait leur vendre d'ailleurs ? Or c'est pas un mec avec une maîtrise de socio qui va m'aider dans ce cas.

Mais arrêtes cette hypocrisie. Un étudiant en master d'histoire ou de socio dans une fac lambda ne connait pratiquement rien aux matières des intitulés de ses diplômes. Tu sais combien d'heure de cours à un étudiant en première année de socio ? Tu connais la nature des examens ? Une fois je m'étais penché sur ceux de première année de philo, c'était des sujets de niveau bac ! Tout ça n'est qu'une vaste arnaque, 20 minutes sufisent à le comprendre.

En France, quelqu'un qui est calé en histoire ou en socio fait une prépa et termine à la rue d'ulm. Et s'il veut travailler dans le privé, il n'aura pas de problème pour se faire recruter.

Lien vers le commentaire

Ben oui un patissier c'est pas un talent, ça sert à rien un patissier. Et que tous ces gros cons de touristes qui viennent en France pour la bonne bouffe aillent faire leur séjour gastronomique ailleurs plutôt que de venir nous faire chier avec leur pognon.

Arrête ton char. Je sais pertinemment que mon pâtissier n'a pas de talent. Il en va de même pour 99% des pâtissiers, des écrivains, des artisans plombiers, des chefs d'entreprise, etc.

Ce n'est pas le sujet. J'ai été maladroit avec mon exemple de Claudie Haigneré, je n'ai aucun mépris pour le travailleur manuel, bien au contraire.

Mais je suis désolé, un pâtissier ou un plombier qui émigre, ça ne fait pas rêver sauf en cas de réussite.

Lien vers le commentaire

Quand bébert fait impudiquement étalage de son illettrisme, …

T'es un guignole, un souffifre, une sous-merde, t'as perdu tout tes droits sur ce forum, on peut t'insulter, te cracher dessus, te trainer dans la boue et toi tu dois dire merci, tu peux pas répondre, tu peux juste partir, mais non, t'aime trop te faire insulter, alors tu reviens.

Va te faire soigner bébert, va lécher le cul des chiens, ce sont les seuls culs qui sont à ta hauteur.

Lien vers le commentaire

Mais arrêtes cette hypocrisie. Un étudiant en master d'histoire ou de socio dans une fac lambda ne connait pratiquement rien aux matières des intitulés de ses diplômes. Tu sais combien d'heure de cours à un étudiant en première année de socio ? Tu connais la nature des examens ? Une fois je m'étais penché sur ceux de première année de philo, c'était des sujets de niveau bac ! Tout ça n'est qu'une vaste arnaque, 20 minutes sufisent à le comprendre.

En France, quelqu'un qui est calé en histoire ou en socio fait une prépa et termine à la rue d'ulm. Et s'il veut travailler dans le privé, il n'aura pas de problème pour se faire recruter.

Je suppose que tu t’adressais à Poney.

Je constate qu'on est d'accord, le problème des sciences humaines en France c'est qu'elles sont enseignés surtout à la fac'. Le problème c'est la fac' pas les matières.

Lien vers le commentaire

Mais je suis désolé, un pâtissier ou un plombier qui émigre, ça ne fait pas rêver sauf en cas de réussite.

C'est sur. Alors que des politiciens qui émigreraient ça c'est le rêve. En Corée du nord par exemple.

Le maçon, le plombier ou le pâtissier ont un métier honnête, fournissent à leurs clients des prestations appréciées (la preuve, les clients les payent) et fournissent des maisons, de l'eau chaude et du pain que tu serais bien emmerdé de te procurer sans leur service. Ils ne t'imposent rien. Certains laissent un métier et un patrimoine à leurs enfants. Ce sont d'honnêtes citoyens qui participent à une société.

Ils n'ont pas le talent exceptionnel d'un Usain Bolt. Mais la monde n'a pas besoin de huit milliards de Usain Bolt (le type qui s'est entrainé 20 ans pour aller au final moins vite que toi à vélo).

Je suppose que tu t’adressais à Poney.

Je constate qu'on est d'accord, le problème des sciences humaines en France c'est qu'elles sont enseignés surtout à la fac'. Le problème c'est la fac' pas les matières.

Disons que la fac a surtout des problèmes dans certaines matières. Et que le profil du licencié en sciences humaines de la fac française est assez différent de celui de son collègue anglo-saxon.

Lien vers le commentaire

Mais arrêtes cette hypocrisie. Un étudiant en master d'histoire ou de socio dans une fac lambda ne connait pratiquement rien aux matières des intitulés de ses diplômes. Tu sais combien d'heure de cours à un étudiant en première année de socio ? Tu connais la nature des examens ? Une fois je m'étais penché sur ceux de première année de philo, c'était des sujets de niveau bac ! Tout ça n'est qu'une vaste arnaque, 20 minutes sufisent à le comprendre.

En France, quelqu'un qui est calé en histoire ou en socio fait une prépa et termine à la rue d'ulm. Et s'il veut travailler dans le privé, il n'aura pas de problème pour se faire recruter.

Y a de la place pour combien d'étudiant à normal sup ? 50 ? 100 ? 200 ? si je comprend bien, les millers d'autres étudiant qui n'ont pas le cerveau matheux sont de pauvres types , je note.

Lien vers le commentaire

Mais arrêtes cette hypocrisie. Un étudiant en master d'histoire ou de socio dans une fac lambda ne connait pratiquement rien aux matières des intitulés de ses diplômes.

Bien sur, bien sur, t'en connais une dizaine et tu leurs a tous posé la question ?

Tu sais combien d'heure de cours à un étudiant en première année de socio ?

32 minimum, 36 max.

Tu connais la nature des examens ?

Plutôt bien, oui.

Une fois je m'étais penché sur ceux de première année de philo, c'était des sujets de niveau bac !

J'sais pas, j'ai pas le bac.

Tout ça n'est qu'une vaste arnaque, 20 minutes sufisent à le comprendre.

20 minutes pour comprendre Levy-Strauss ? Bourdieu ? Marx ? Levy-Bruhl ? Evans-Pritchard ? Giddens ? Becker ? Aron ? Quoi qu'on pense d'eux ?

Faudra penser à postuler au Nobel un jour.

En France, quelqu'un qui est calé en histoire ou en socio fait une prépa et termine à la rue d'ulm. Et s'il veut travailler dans le privé, il n'aura pas de problème pour se faire recruter.

Ou boulevard Raspail.

Lien vers le commentaire

Je suppose que tu t’adressais à Poney.

oui.

Je constate qu'on est d'accord, le problème des sciences humaines en France c'est qu'elles sont enseignés surtout à la fac'. Le problème c'est la fac' pas les matières.

Oui, mais tout n'est pas la faute du système. Quand on a 18 ans et qu'on commence ses études on peut avoir de la jugeotte, ne pas se mentir à sois même sur la réalité de ses études c'est le premier facteur de réussite.

Lien vers le commentaire

Mais c'est ni'mporte quoi ce que tu raconte Wallace, y a plein d'étude ltéraires qui peuvent t'assurer un avenir radieux.

Si tu veux je peux aussi te parler d'études scientifiques qui ne mènent à rien. Comme un de mes amis qui à un master en biologie machin truc et qui est au final devenu programmeur.

Et puis en plus, tous les pays du monde n'ont pas les facs de merde qu'a la France.

En Belgique, on a pas de grandes écoles, nos fac sont bonnes et le plus souvent mieux réputées que nos écoles supérieures.

Je peux te cité au hasard Solvay qui est la Faculté d'économie et de Gestion de l'Université libre de Bruxelles(ULB).

Pour nos études littéraires c'est pareil.

Lien vers le commentaire

Y a de la place pour combien d'étudiant à normal sup ? 50 ? 100 ? 200 ? si je comprend bien, les millers d'autres étudiant qui n'ont pas le cerveau matheux sont de pauvres types , je note.

Librekom, on parle talent dans ce fil. Un apprenti pâtissier qui va faire l'équivalent de la chapelle sixtine dans son domaine va recevoir toutes les félicitations de tous les membres de ce forum (sauf Jesrad) surtout s'il intègre une patisserie réputée en tant qu'apprenti. Et bien, un apprenti historien qui intègre normale sup' (il n'a pas fait de math') c'est pareil. L'apprenti historien qui va faire des éclairs à la boulangerie du coin ne recevra pas d'éloges. L'apprenti historien qui trouvera un moyen de faire fortune en vendant ses éclairs en recevra.

Aller en fac', en France, en premier cycle, c'est comme faire apprenti kebabier au Macdo du coin.

Ce n'est pas indigne, mais ce n'est pas le meilleur choix possible.

Oui, mais tout n'est pas la faute du système. Quand on a 18 ans et qu'on commence ses études on peut avoir de la jugeotte, ne pas se mentir à sois même sur la réalité de ses études c'est le premier facteur de réussite.

On peut, mais c'est difficile. A 18 ans on a envie de faire ce qu'on aime et on est encouragé à le faire. A 18 ans si ta passion c'est jongler dans la rue tu vas le faire.

J'suis un jeune ingé qui regrette son dilettantisme dans le choix de son avenir il y a 10 ans. On finit toujours par se positionner mais ça prend du temps.

A 20 ans on ne peut pas embrasser du regard toutes les conséquences de nos choix.

Si les formations susceptibles d'accueillir le plus de monde, les facultés, produisaient un enseignement avec des débouchés dès le premier cycle, ça irait beaucoup mieux pour tout le monde.

Lien vers le commentaire

"Les diplômes sont faits pour les gens qui n’ont pas de talent. Vous avez du talent? Ne vous emmerdez pas à passer le bac." Desproges

Edit : ah voilà, j'ai retrouvé la citation en entier.

"Tout petit, je voulais être célèbre et je ne faisais rien pour. à l’école, je m’avérais très vite un élève inexistant. Par goût. J’ai toujours été persuadé – je le suis encore – que les diplômes sont fait pour les gens qui n’ont pas de talent. Malheureusement, il ne suffit pas de ne pas avoir de diplômes pour avoir du talent."

Lien vers le commentaire

Le maçon, le plombier ou le pâtissier ont un métier honnête, fournissent à leurs clients des prestations appréciées (la preuve, les clients les payent) et fournissent des maisons, de l'eau chaude et du pain que tu serais bien emmerdé de te procurer sans leur service. Ils ne t'imposent rien. Certains laissent un métier et un patrimoine à leurs enfants. Ce sont d'honnêtes citoyens qui participent à une société.

En d'autres termes, ce que voulait démontrer l'article de contrepoints, c'est que les gens utiles, quel que soit leur statut social, quittent le pays?

Parce que sinon, je ne vois pas pourquoi tu me réponds en ces termes.

Lien vers le commentaire

Bien sur, bien sur, t'en connais une dizaine et tu leurs a tous posé la question ?

Je suis un pur produit de la fac' ! Je sais un peu de quoi je parle.

32 minimum, 36 max.

Ceux que je cotoyais avaient en moyenne 15 heures de cours par semaine.

Plutôt bien, oui.

Eh bien apparemment le niveau n'est pas super, puisque le Julien de l'article après 5 ans de fac' n'est pas capable de réussir un concours de catégorie B de la FP ! C'est à hurler tellement c'est à la fois tragique et grotesque.

On peut dire qu'une proportion non négligeable de bac + 5 issue des filières dont nous parlons, n'a pas beaucoup de méthode de travail et ne sais pas rédiger un texte théorique et bien organisé intellectuellement. Ce constat fait l'objet d'un très large consensus, le déni ne sert à rien.

J'sais pas, j'ai pas le bac.

J'ai toujours eu une pensée émue pour la tranche des 20 % ! (J'avoue je cherche :icon_diablotin: !)

20 minutes pour comprendre Levy-Strauss ? Bourdieu ? Marx ? Levy-Bruhl ? Evans-Pritchard ? Giddens ? Becker ? Aron ? Quoi qu'on pense d'eux ?

Faudra penser à postuler au Nobel un jour.

Tu ne comprends pas ce que j'écris. J'ai dis qu'il fallait 20 minutes pour comprendre que le niveau en fac n'est pas très élevé.

Mais c'est ni'mporte quoi ce que tu raconte Wallace, y a plein d'étude ltéraires qui peuvent t'assurer un avenir radieux.

Si tu veux je peux aussi te parler d'études scientifiques qui ne mènent à rien. Comme un de mes amis qui à un master en biologie machin truc et qui est au final devenu programmeur.

Et puis en plus, tous les pays du monde n'ont pas les facs de merde qu'a la France.

En Belgique, on a pas de grandes écoles, nos fac sont bonnes et le plus souvent mieux réputées que nos écoles supérieures.

Je peux te cité au hasard Solvay qui est la Faculté d'économie et de Gestion de l'Université libre de Bruxelles(ULB).

Pour nos études littéraires c'est pareil.

Tu ne comprends pas les nuances, et dans ton cas c'est assez irritant. Je généralise pas en disant que tous les faqueux sont des nuls (d'ailleurs je viens de la fac) et dans un autre post je dis justement que dans d'autres pays le niveau des fac' est bien plus élevé et ne mène pas les gens à un CAP patissier ou Pole emploi.

Lien vers le commentaire

En d'autres termes, ce que voulait démontrer l'article de contrepoints, c'est que les gens utiles, quel que soit leur statut social, quittent le pays?

Parce que sinon, je ne vois pas pourquoi tu me réponds en ces termes.

Je laisse l'auteur répondre

Mais moi c'est comme cela que je le comprends.

Lien vers le commentaire

On peut, mais c'est difficile. A 18 ans on a envie de faire ce qu'on aime et on est encouragé à le faire. A 18 ans si ta passion c'est jongler dans la rue tu vas le faire.

J'suis un jeune ingé qui regrette son dilettantisme dans le choix de son avenir il y a 10 ans. On finit toujours par se positionner mais ça prend du temps.

A 20 ans on ne peut pas embrasser du regard toutes les conséquences de nos choix.

Si les formations susceptibles d'accueillir le plus de monde, les facultés, produisaient un enseignement avec des débouchés dès le premier cycle, ça irait beaucoup mieux pour tout le monde.

Il y a un autre point à souligner et qui me paraît important, c'est qu'en France avec le SMIC et tout le tintouin du Droit du travail, peu d'entreprises acceptent de former des débutants (et je ne parle pas des perspectives d'évolutions de carrière ensuite) alors qu'ailleurs c'est déjà moins le cas. Ce qui fait que quand tu as merdé tu peux quand même essayer autre chose, on va dire, plus facilement.

Lien vers le commentaire

En d'autres termes, ce que voulait démontrer l'article de contrepoints, c'est que les gens utiles, quel que soit leur statut social, quittent le pays?

Ben oui, c'est comme ca que je l'ai compris en tout cas.

L'association n'est pas du tout borderline. On peut dire que 2/3 des bacheliers qui s'inscrivent en licence d'histoire sont par nature des losers (mais rassure toi c'est pire pour "psycho", "socio", ou le summun: "histoire de l'art" !). Il faut arrêter l'hypocrisie.

Les études c'est juste quelques années de ta vie qui ne sont pas si importantes que ça, elles ne déterminent certainement pas si tu es un loser ou pas.

Et puis non être pâtissier ce n'est pas être un loser, je me demande comment on peut penser ca.

De toute façon on est bien plus que la profession qu'on exerce a un moment de sa vie. J'ai été manœuvre sur les chantiers et j'ai pas fait sup de co, ça fait de moi un loser ?

Lien vers le commentaire

Ceux que je cotoyais avaient en moyenne 15 heures de cours par semaine.

C'est bien ce que je disais plus haut : vos facs sont moisies, mais ça n'a rien avoir avec les disciplines dont on parle. En Belgique, c'est le double (un peu moins en Master, mais les exos à rendre sont costaud et je m'en suis pas tiré à moins de 40h de boulot par semaine, sauf au milieu de l'année).

Eh bien apparemment le niveau n'est pas super, puisque le Julien de l'article après 5 ans de fac' n'est pas capable de réussir un concours de catégorie B de la FP ! C'est à hurler tellement c'est à la fois tragique et grotesque.

Il dit pas qu'il a raté, il dit qu'il y a 15 places pour 3000, on peut réussir sans être classé (ce qui du coup, fait que tu ne passes pas, bien sur).

On peut dire qu'une proportion non négligeable de bac + 5 issue des filières dont nous parlons, n'a pas beaucoup de méthode de travail et ne sais pas rédiger un texte théorique et bien organisé intellectuellement. Ce constat fait l'objet d'un très large consensus, le déni ne sert à rien.

Si ils ne le sont vraiment pas capable, ils ne devraient pas être diplômé puisque c'est le B.A.-BA de la sociologie ou de l'histoire, la base de chez base.

J'ai toujours eu une pensée émue pour la tranche des 20 % ! (J'avoue je cherche :icon_diablotin: !)

Ne t'inquiètes pas pour moi, au contraire, je ne suis pas Français :dentier:

Tu ne comprends pas ce que j'écris. J'ai dis qu'il fallait 20 minutes pour comprendre que le niveau en fac n'est pas très élevé.

ok, my bad

Lien vers le commentaire

Ce qui est con, c'est qu'en voulant touché plus de pognon pour aiderles pauvres, la politique du gouvernement fait fuire les payeurs de taxes dans leur ensemble, les plus nantis comme les autres.

Cette politique suprime des opportunités à tous, du gars de 25 ans qui change d'orientation à celui de 30 qui a une carrière bien entamée en passant par celui qui a 40 ans et une boite à faire tourner.

Les seuls qui ont intérêt à rester sont ceux qui veulent profiter du système ou ceux qui sont réellement dépendant pour une raison ou une autre.

Alors que les exemple choisi ne vous ai pas convaincu, soit.

Mais le débat à dévié sur "un mec qui se lance dans des étude litéraire est forcément un looser" et je ne partage pas cette avis.

Et puis il reste ceux qui ont tout intérêt à partir mais qui parce qu'il sont attaché à leur terre ou leur famille, ou parce qu'ils préfère rester dans leur cercle de confort, font le choix de rester et de subir.

Lien vers le commentaire

Ce qui est con, c'est qu'en voulant touché plus de pognon pour aiderles pauvres acheter des voix, la politique du gouvernement fait fuire les payeurs de taxes dans leur ensemble, les plus nantis comme les autres.

Fixed

Lien vers le commentaire

Le thème du débat est intéressant mais c'est vrai que parler d'exil fiscal n'est pas forcément approprié.

Le problème est surtout celui des formations supérieures et du monde du travail. Les formations proposées sont bien souvent sans relation avec les besoins réels du monde du travail, et leur qualité est inadapté à la concurrence d'autres formations. Le monde du travail est caractérisé par une certaine rigidité où il est difficile pour un individu de trouver sa place dès qu'il sort du parcours habituel.

Mais le débat à dévié sur "un mec qui se lance dans des étude litéraire est forcément un looser" et je ne partage pas cette avis.

C'est pas exactement ça, c'est plutôt que les formations littéraires n'offrent quasiment pas de débouchés en France, faire ce choix c'est donc se préparer à une désillusion certaine sauf à être capable d'arriver dans les tout premiers et suivre une carrière universitaire.

Lien vers le commentaire

C'est pas exactement ça, c'est plutôt que les formations littéraires n'offrent quasiment pas de débouchés en France,

Les formations littéraires n'offrent pas moins de "débouchés" que de ne pas faire d’étude du tout, et de toute façon cette notion de "débouchés" ne veut pas dire grand chose.

Julien va aller apporter son talent et son travail dans un autre pays que la France, et sa licence d'histoire ne l’empêchera pas de le faire.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...