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Un libéral président de l'UMP ?


Nicknem

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Mmmmh je pense qu'ils sont réellement dans la phase pluraliste.

Je pense que si quelqu'un (qui n'est pas un vulgaire petit journaleux) mais le trésorier de l'UMP, prétend qu'il y aura moins de trois candidats postulants qui auront pu rassembler le nombre (exagéremment élevé) de parrainages requis, c'est qu'il est bien conscient de la situation.

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Il est pas trop mal Dumait non?

Fiscalement très conservateur (c'est le moins qu'on attende d'un mec de Contribuables Associés). Mais un peu trop ouvert au FN à mon goût (quoique je n'aie pas de détails supplémentaire à ce sujet. Je ne sais pas si il s'exprime beaucoup sur des questions non-fiscales.

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Fiscalement très conservateur (c'est le moins qu'on attende d'un mec de Contribuables Associés). Mais un peu trop ouvert au FN à mon goût (quoique je n'aie pas de détails supplémentaire à ce sujet. Je ne sais pas si il s'exprime beaucoup sur des questions non-fiscales.

Qu'entends tu par fiscalement conservateur? Il me semble avoir lu qu'il était pour la Flat tax.

Je suis chez Contribuables associés et je milite pour la Flat tax (d'ailleurs ils ont fait récemment une pétition sur le sujet pour un taux de 13%).

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Qu'entends tu par fiscalement conservateur?

Moins d'impôts (en montant, en complexité et en nombre), moins de dépenses publiques, et une position tenue de manière relativement ferme.

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Moins d'impôts (en montant, en complexité et en nombre), moins de dépenses publiques, et une position tenue de manière relativement ferme.

Ah oui donc ce n'est pas une critique^^!

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Ça devrait au moins être 9000.

C'est précisément 7924 ! !

L'obligation d'envoi de la carte d'identité, c'est limite illégal, non ?

J'ai jamais vu aucune association réclamer une pièce d'identité à un adhérent.

Cher(e) ami(e),

Comme vous le savez certainement chaque candidat à la présidence de l’UMP doit recueillir 7924 signatures dans 10 départements et la commission d’organisation et de contrôle des opérations électorales (COCOE) a fixé la période de collecte des signatures entre le 18 juillet et le 15 septembre.

Je vous invite à apporter votre parrainage à FranÇois FILLON et à diffuser largement ce formulaire autour de vous selon les modalités précisées ci-après. Ces parrainages constituent la première étape du grand rassemblement que FranÇois FILLON propose de conduire. Nous avons besoin de votre mobilisation.

Je vous remercie encore pour votre concours essentiel à nos yeux et vous prie de croire en mon amical souvenir.

Eric CIOTTI :feuroue: :feuroue:

Directeur de campagne

1. Tout adhérent à jour de sa cotisation au 30 juin 2012 au plus tard, est en mesure de parrainer un candidat.

2. Seul le bulletin officiel de parrainage en ligne sur le site internet de l’UMP est autorisé, son modèle vierge peut être librement imprimé ou photocopié à partir de la version électronique en téléchargement : UMP congrès bulletin de parrainage

3. Un adhérent ne peut parrainer qu’un seul candidat.

4. Les parrainages, accompagnés de la copie d'une pièce d'identité en cours de validité, seront à adresser directement à FranÇois FILLON: 46, rue Saint Dominique 75007 PARIS :chine: :chine:

http://www.francoisf.../site-officiel/

On comprend que des gens comme Herlin sont foutus.

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Le libéralisme avenir de l'UMP?

Henri Guaino pendant la campagne des législatives, en mai.

INTERVIEW - L'ex-conseiller spécial de Nicolas Sarkozy veut sortir du duel Copé-Fillon.

Henri Guaino, plume de l'ancien président de la République, est député UMP des Yvelines.

LE FIGARO.- Êtes-vous candidat à la présidence de l'UMP?

Henri GUAINO.- Oui, je suis candidat.

Nous sommes à quinze jours du dépôt des candidatures, pourquoi avez-vous attendu si longtemps?

C'est une décision qui ne se prend pas à la légère. Je n'avais pas, au départ, l'intention de me lancer dans cette aventure. C'est la tournure qu'a pris le débat qui m'a poussé à prendre cette décision. Il y a dans cette histoire écrite d'avance quelque chose qui ne correspond pas à ma conception de la politique. Le débat à l'UMP ne peut se résoudre à cet affrontement dans lequel beaucoup d'adhérents, et moi le premier, ne se retrouvent pas. A-t-on jamais vu une élection où seuls deux candidats auraient le droit de se présenter? Après mûre réflexion, une réflexion qui a cheminé tout l'été, j'ai souhaité offrir aux adhérents la possibilité de mettre un terme à ce tête-à-tête.

Est-ce une présélection des primaires pour les présidentielles?

Certainement pas. Le moment n'est pas venu. Si j'ai décidé de me présenter, c'est aussi pour affirmer haut et fort que le candidat qui sera élu ne devra pas se prendre pour le candidat désigné pour la présidentielle. Il ne doit y avoir aucune ambiguïté sur ce sujet. Nous allons désigner le président de l'UMP pour trois ans et rien d'autre. Comptez sur moi pour que chacun se pénètre de cette vérité!

Combien de parrainages espérez-vous?

Je ne fais aucun pronostic. La question qui se pose à chacun est de savoir s'il tolère que tout se passe dans l'entre-soi des notables de la politique ou s'il le refuse absolument. À chacun donc, en son âme et conscience, en fonction de l'idée qu'il se fait de son engagement, d'apporter son parrainage à des candidats qui se situent délibérément en dehors de cet «entre-soi» et qui veulent être la voix de ceux que l'on entend jamais.

Ferez-vous équipe avec Christian Estrosi?

Vous le saurez d'ici au 18 septembre.

Est-ce la tournure que prend le match Copé-Fillon qui vous a décidé à «y aller»?

Ce qui m'a décidé, c'est le fait que je ne me reconnais absolument pas dans ce que je vois et ce que j'entends.

Vous incarnez le courant du gaullisme social, n'est-ce pas déjà le cas d'un François Fillon?

Je ne distribue pas de brevet de gaullisme. Mais si je retrouvais ma conception du gaullisme ou du séguinisme dans l'un des candidats, je ne me présenterais pas. Je vois qu'on peut être centriste, libéral et beaucoup d'autres choses encore. Mais j'ai l'impression que l'on a presque honte de dire que l'on est gaulliste. Eh bien moi, je veux qu'à l'UMP on soit fier d'être gaulliste. Je veux incarner cette fierté. Si j'obtiens assez de parrainages, j'irai à la rencontre des militants pour qu'ensemble nous discutions de la meilleure manière de redonner du sens à ce mot. Si nous voulons parler à la France du «non», celle de cette grande majorité de Français qui ont envie de dire non à tout et d'abord à la politique, il faut déjà que nous sachions pour nous-mêmes ce que nous voulons incarner, à quelles valeurs, à quels principes, à quelle idée de la France, de l'État, de la République nous nous référons.

Nicolas Sarkozy soutient-il votre initiative?

Il faut tenir Nicolas Sarkozy en dehors de tout cela. C'est la seule façon de le respecter. Son talent, son intelligence, son énergie nous avaient permis de ne pas avoir à répondre à la question du sens de notre action collective. Il y répondait pour nous. Maintenant qu'il n'est plus là, nous ne pouvons plus éviter d'y répondre. C'est le grand défi des trois ans à venir pour l'UMP. Nous gagnerons ou nous perdrons selon ce que nous représenterons aux yeux des Français.

La popularité de l'ancien président s'améliore dans l'électorat de droite, les candidats n'évoquent plus le droit d'inventaire du sarkozysme

Je crois que l'histoire rendra plus vite encore que l'on ne pouvait le penser il y a trois mois justice à Nicolas Sarkozy. Quant aux tentatives dérisoires de se démarquer d'une action dont nous sommes tous comptables ensemble, elles ne seraient pas dignes et elles me trouveraient sur leur chemin.

Votre projet consiste-t-il à expliquer et amplifier dans les cinq ans qui viennent les axes de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012?

Nous avons défendu un projet pour cinq ans devant les Français. Il évoluera naturellement au cours des années à venir parce que le monde va changer. Mais pour l'instant, c'est notre projet commun. Ce n'est pas négociable. Que diraient les Français si nous tournions le dos à ce que nous leur avons proposé pendant la présidentielle?

La présidence de François Hollande sort déjà de l'état de grâce. Les Français se lassent-ils déjà du président normal?

Les Français découvrent qu'on leur a menti. Le président normal vient de reconnaître que notre pays affronte une crise sans précédent après avoir expliqué que, lorsque Nicolas Sarkozy serait parti, il n'y aurait plus aucun problème. Le président normal, c'était le président menteur. Mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde.

Que pensez-vous de la polémique sur le mandat du Conseil confié par le gouvernement à la banque Lazard dont l'un des associés-gérants a embauché la compagne d'un ministre?

Les socialistes découvrent les joies du soupçon de conflit d'intérêts avec lequel ils ont tant joué pendant cinq ans.

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  • 2 weeks later...

On n'entend plus parler de Philippe Herlin.

je suppose qu'il doit être très loin d'avoir atteint le nombre minima de parrainages pour être candidat.

Même avec très peu de chances d'être élu, il aurait pu profiter de la situation pour faire campagne et "mettre sur la table" de bonnes idées qu'on attendrait en vain de la part de Copé, Fillon ou Guaino.

Ne pas pouvoir être candidat, c'est se voir refuser les moyens financiers et médiatiques dont dispose l'UMP pour faire passer un discours politique.

Il pourra toutefois, s'il en a les moyens, polémiquer sur la façon d'écarter des candidats et les methodes d'etouffements des idées pratiquées à l'interieur de l'UMP.

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Philippe herlin aurait déposé sa candidature et ses parrainages. ( "loin des 8000 parrainages nécessaires")

Il attend, peut-être, de se voir notifier officiellement son rejet de candidature, pour réagir.

Dans la "presse mainstream " il y a déjà des polémiques sur la façon dont l'UMP a réglementé le scrutin et la selection des candidatures. Méthodes qualifiées d'archaiques et qui ne favoriseraient que les "dinosaures" du parti.

Après l'echec de Guaino, Le Maire et Kociusko-Morizet pour obtenir le nombre requis de parrainages, les annonces triomphalistes de Fillon et Copé sur le nombre de parrainages récoltés rappellent les parodies électorales dans certains pays africains.

En effet, pourquoi cette volonté de "montrer ses petits muscles" chez ces deux là, qui auraient pu se contenter de fournir les 8000 parrainages requis, sans en rajouter dans une surenchère de demonstration de puissance de type stalinien.

L'ex-premier ministre François Fillon a affirmé mardi avoir réuni 45.000 parrainages d'adhérents.

Le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé a revendiqué "plus de 30.000" parrainages ce matin.

http://www.lefigaro....parrainages.php

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  • 3 weeks later...

Je sais que demain, comme chaque jour, tous les membres et lecteurs de ce forum iront acheter un Figaro mais voici un sondage dont les résultats présentent un découpage idéologique de l'UMP:

Électorat UMP : à droite, sans états d'âme

Perrault, Guillaume

3 octobre 2012 | Mise à jour : 20:18

INFOGRAPHIE - Selon une enquête OpinionWay pour Le Figaro, cette tendance est manifeste sur les questions de société.

Près de cinq mois après l'élection de François Hollande, les sympathisants UMP assument des convictions tranchées, selon une enquête OpinionWay pour Le Figaro. Les électeurs proches de l'UMP interrogés par l'institut sont 86 % à se dire pas du tout d'accord ou plutôt pas d'accord avec le droit de vote des étrangers aux élections locales. De surcroît, 78 % se déclarent tout à fait ou plutôt favorables à la suppression de l'aide médicale d'État pour les étrangers en situation irrégulière.

Les mêmes sont 74 % à manifester leur opposition - totale ou plus nuancée - au mariage et à l'adoption pour les couples homosexuels. Sur ce sujet, l'électorat UMP et les dirigeants de ce parti ne sont donc pas à l'unisson. François Fillon et Jean-François Copé, en effet, ne semblent pas vouloir en faire un cheval de bataille. «Les trois quarts des personnes interrogées ont des positions très conservatrices sur les questions de société, commente Bruno Jeanbart, directeur des études d'OpinionWay. Dans ce domaine, au sein de l'électorat UMP, l'équilibre s'est déplacé vers la droite.»

Sur les sujets économiques et sociaux, les avis sont moins catégoriques. Quatre familles de pensée peuvent être distinguées parmi les sympathisants UMP. Les «gaullistes», qui représentent 31 % de l'échantillon et comptent beaucoup de seniors, arrivent en tête. Attachés à la tradition en matière de question de société, ils sont favorables à l'intervention de l'État dans l'économie. Les emplois d'avenir reçoivent le soutien de 63 % d'entre eux. Le poids de cette sensibilité à droite explique que 64 % des sympathisants UMP jugent qu'il faut construire des logements sociaux dans toutes les villes.

Les «conservateurs antilibéraux» - 24 % de l'échantillon - arrivent deuxième ex æquo parmi les familles de pensée UMP. Stricts sur les questions de société, ils nourrissent aussi une grande défiance envers le marché. Ils sont 81 % à se dire opposés à la suppression de l'ISF, 60 % à l'assouplissement des conditions de licenciement. Cet électorat, plus populaire, présente quelque analogie avec celui du FN. C'est d'ailleurs le seul groupe où on demeure assez favorable à une alliance avec Marine Le Pen - 45 %, contre 29 % pour l'ensemble de l'électorat du grand parti de la droite.

Les «progressistes» - 24 %, dont de nombreux jeunes - représentent l'aile gauche de l'électorat UMP. Mais, même dans leurs rangs, on ne trouve qu'une majorité modeste (52 %) en faveur du mariage et de l'adoption pour les couples gays. Et seuls 39 % soutiennent le droit de vote des étrangers aux élections locales.

Les «libéraux» - 21 % - «ne le sont en réalité qu'à moitié», explique Jeanbart. Très attachés à la récompense de l'esprit d'entreprise - 77 % d'entre eux sont favorables à l'abrogation de l'ISF -, ils demeurent conservateurs sur les questions de société. Les authentiques libéraux-libertaires se trouveraient plutôt dans les partis centristes.

Pas facile, pour les dirigeants de l'UMP, de satisfaire en même temps ces quatre familles de pensée. Mais, à en croire Jeanbart, elles partagent «une unité idéologique assez forte».

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. Les authentiques libéraux-libertaires se trouveraient plutôt dans les partis centristes.

Les libéraux-libertaires ? Je veux bien que libertarien ne soit pas dans le vocabulaire des journalistes, mais de là à sortir des oxymores pareils…

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  • 1 month later...
Je vois qu'on peut être centriste, libéral et beaucoup d'autres choses encore. Mais j'ai l'impression que l'on a presque honte de dire que l'on est gaulliste. Eh bien moi, je veux qu'à l'UMP on soit fier d'être gaulliste. Je veux incarner cette fierté

Donc, à l'UMP, il est plus honteux d'être gaulliste que libéral? Intéressant.

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