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Belgique, garnaalkroketten, stoemp & mitraillette


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Pareil. "Je n'aime pas spécialement la monarchie, mais je déteste la république" est une bonne manière de résumer les choses. En revanche je ne connais rien du nouveau roi, quelqu'un peut-il en dire plus?

Une réputation de benêt. Je crois plutôt à un gars coincé qui a du mal à communiquer. Assez apprécié des entreprises avec lesquelles il mène des missions économiques en tant que Prince. Il a parfois surpris à vouloir avoir des couilles, notamment pour taper sur le Vlaams Belang ce qui lui donne des points de sympathie chez moi.

Je ne suis pas fort les questions de la royauté, mais à vue de nez, je dirais un Roi peu charismatique mais qui ne fera pas de tort et pourrait réserver l'une ou l'autre bonne surprise. Toute la question est comment il gérera les élections de 2014.

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Je ne suis pas fort les questions de la royauté, mais à vue de nez, je dirais un Roi peu charismatique mais qui ne fera pas de tort et pourrait réserver l'une ou l'autre bonne surprise. Toute la question est comment il gérera les élections de 2014.

Merci pour les détails.

C'est tout de même mieux un roi charismatique pour faire contrepoinds au parlement non? 

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Merci pour les détails.

C'est tout de même mieux un roi charismatique pour faire contrepoinds au parlement non?

Le Roi ne peut pas faire contrepoids au Parlement chez nous. Le seul poids politique qu'il a encore c'est l'organisation post-électorale. Et une forme d'autorité morale dont tout le monde se contrefout malheureusement.
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Et une forme d'autorité morale dont tout le monde se contrefout malheureusement.

Si tout le monde s'en contrefout, alors ce n'est pas de l'autorité. C'est rien.
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Sinon, du feedback sur la newsletter du Parti Libertarien est le bienvenu. Enfin, pour ceux qui l'ont ouverte, HEIN PONEY?!

 

Ben écoute, y a que le mot du prez' et son mot tombe sous le sens pour un libéral, j'ai pas grand chose à dire à part "oui, tu as raison Patrick".

Le lien vers Contrepoint, c'est bien. Ce serait sans doute une bonne idée de mettre plusieurs liens vers quelques articles allant dans le sens du poil du parti libertarien comme celui là, en plus de ceux que vous écrivez déjà.

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un roi charismatique pour faire contrepoinds au parlement non? 

C'est la dernière chose qu'il nous faudrait. 

 

Il y a déjà trop de grands hommes en Belgique et dans le monde. On crève sous les leaders charismatiques qui veulent imposer leur vue à tout le monde.

Au contraire, Philippe est doux et timide et c'est très bien comme ça. Ça donnera un modèle plus humain à tout le monde.

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Ça donnera un modèle plus humain à tout le monde.

 

ça me fait penser qu'un pote ardennais me racontait qu'un jour, alors qu'il buvait un coup dans un bar avec son père (du coca vu son age, j'imagine), le roi à débarqué boire une bière. Comme ça.

Il se promenait à moto (BMW !). Juste deux flics pour l'escorter.

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

 

Cagoulés, armés d’un pistolet et d’un marteau, les malfrats ont débarqué jeudi sur le coup de 19h30, jeudi dernier, au « Ch’ti Magasin » à Herseaux. Au lieu de repartir avec la caisse, l’un d’eux a terminé son braquage à l’hôpital après avoir croisé le chemin de « Momo », le gérant. Son acolyte a réussi à s’échapper. Un ami du gérant a été sérieusement blessé en recevant la caisse sur la tête.

On connaît désormais la véritable identité de Sanksion, qui serait belge ascendant étranger, gérant d'une superette et prénommé Momo.

 

http://www.lavoixdunord.fr/region/herseaux-les-braqueurs-recoivent-une-veritable-ia0b0n1444862

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En étudiant mon cours de droit public, je me suis rappelé de quelque chose à laquelle j'avais pensé à propos des problèmes en Belgique.

Si je comprends bien, les problèmes entre flamands et francophones, ce n'est pas si compliqué que ça. La majorité des problèmes viennent du fait qu'il faut répartir les impôts de la Belgique et que les politiques flamands et francophones essayent d'avoir le plus possible pour distribuer des subventions.

En fait s'il n'y aurait plus d'impôts et que le gouvernement ne ferait plus rien (ou presque) pour que le privé s'en occupe, il n'y aurait plus de problèmes en Belgique...   

 

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  • 2 weeks later...

Non, mais sérieusement, quoi ! Demander l'urgence pour une réforme pareille, WTF ? Et puis la défendre avec un discours d'enfant de 8 ans...

Le pire, c'est que de temps en temps, c'est pas des idées complètement stupide. On sent que le gaillard lit des trucs pas trop loin des nôtres, mais il comprend juste pas le fil conducteur.

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  • 2 weeks later...

C'est honteux et il faut absolument que le PL fasse du bruit autour de ça, le PTB est déjà sur le coup et il ne faut surtout pas laisser passer un truc pareil.

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Non, mais sérieusement, quoi ! Demander l'urgence pour une réforme pareille, WTF ? Et puis la défendre avec un discours d'enfant de 8 ans...

Le pire, c'est que de temps en temps, c'est pas des idées complètement stupide. On sent que le gaillard lit des trucs pas trop loin des nôtres, mais il comprend juste pas le fil conducteur.

 

Le problème, c'est qu'il ne trouve pas assez de livres avec des dessins, donc il lui est impossible de trouver un fil conducteur.

 

 

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J'avais loupé que Demotte avait appelé à un "nationalisme wallon".

 

Un socialiste qui veut faire du nationalisme, ça me rappelle des trucs "marrants".

 

La réponse de Bacquelaine (un des rares pas trop mauvais au MR) est très bien (on verrait pas ça en France)

 

 

Nationalisme: « Demotte, rastreins »

 

 

« Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde » disait Albert Camus.  Rudy Demotte ne s'est manifestement pas inspiré de cette citation.  Son apologie d'un nationalisme wallon a surpris.  Ce qui aurait pu de prime abord apparaître comme une maladresse dans le chef de celui qui est – malgré tout – le président de la Fédération Wallonie-Bruxelles s'est mué en une véritable divagation politico-idéologique lorsqu'il lui fut demandé de préciser sa pensée. 

 

Ainsi, il existerait un bon nationalisme – le wallon, de gauche – et un mauvais nationalisme – le flamand, de droite.  Pour Rudy Demotte, le nationalisme n'est bon que s'il est le sien.  C'est bien là le problème du nationalisme qui postule toujours une exclusion des identités autres, une affirmation d'une supériorité et même comme le disait Romain Gary, la haine des autres. 

 

Quant à la distinction entre nationalisme de gauche et nationalisme de droite, elle me parait pour le moins peu académique et en tout cas fumeuse autant qu'indigente quand on observe le référentiel historique en la matière.  Comme le rappelle le politologue Vincent Laborderie dans le Libre Belgique du 22 août « à l'origine, le mouvement nazi est aussi un mouvement social, qui a des aspirations de gauche ».  Une chose est sûre : le nationalisme est aux antipodes du libéralisme.  Il repose en effet sur une transcendance sociale qui réduit l'individu à un élément parmi d'autres d'un projet étatique visant à l'établissement d'une supériorité d'un groupe ou d'une communauté.  Le nationalisme est une théorie groupale qui aboutit toujours – le vingtième siècle en atteste à suffisance avec les ravages du fascisme, du nazisme et du communisme - à l'écrasement de l'individu et à la négation de ses droits fondamentaux.

 

Le libéralisme, au contraire, place l'individu au premier rang des préoccupations sociétales et tend à le prémunir des oppressions potentielles venant des groupes, des communautés ou des institutions quelles qu'elles soient.

L'Etat libéral construit les normes et les règles nécessaires au lien social et au bien commun.   Ces « règles de la liberté », comme les nomme la philosophe Monique Canto-Sperber, favorisent la liberté réelle de l'individu, sa capacité d'agir et son accès aux biens publics.  L'Etat libéral rencontre à la fois les exigences de préservation des libertés, de solidarité et de fraternité.  Il se méfie des « avenirs radieux » et des transcendances collectives qu'elles soient religieuses, sociales ou politiques.  Il est à cet égard une alternative au nationalisme socialiste ou au socialisme nationaliste wallon à la Demotte qui ne représente en rien une solution ou un projet pour la Wallonie d'aujourd'hui.

 

Heureusement, toute la gauche n'est pas nationaliste et ne partage pas cette vision autoritaire et saint-simonienne du socialisme, « un socialisme du ressentiment » comme le nomme Michel Onfray.  Il existe un socialisme plus pragmatique, dans la tradition de Proudhon et de Jaurès, qui s'écarte de toute démiurgie sociale et opte pour l'universalisme plutôt que pour l'exaltation identitaire du nationalisme.

 

 

 

 

Certains leaders NVA n'ont pas manqué de congratuler leur nouveau collègue nationaliste Demotte dont la démarche crée une alliance objective préjudiciable au pays.  Il conviendra d'en tenir compte au moment de choisir le 25 mai prochain entre la voie de l'apaisement ou celle de la déstabilisation.

 

Quant à l'identité wallonne, elle est légitime pour autant qu'elle puisse s'inscrire dans l'identité propre, plurielle, de chacun d'entre nous. 

Elle peut être une facette de l'identité complexe de chaque individu.

Quant elle devient une identité collective, quasi décrétale, elle rejoint le nationalisme cher à Rudy Demotte. 

 

Je partage, sur le thème de l'identité, le propos de Mario Vargas Llosa : « le seul fait de se soucier de l'identité d'un groupe humain me fait dresser les cheveux sur la tête, car le temps m'a appris que s'y cachait toujours le signe avant-coureur d'un complot contre la liberté individuelle ...

Ce concept d'identité dès lors qu'il s'applique non à un individu mais un conglomérat, est réducteur et déshumanisant, car il fait abstraction de tout ce qu'il y a d'original et de créateur dans l'être humain, de tout ce qui ne lui a pas été imposé par l'héritage, le milieu géographique, la pression sociale, mais résulte de son pouvoir de résistance et d'opposition à ces influences, de sa liberté d'action, de son invention personnelle ».

 

Les propos tenus par Rudy Demotte n'ont pas été entendus au café du commerce mais bien de la bouche du Ministre président de la Région wallonne et, accessoirement semble-t-il, de la Fédération Wallonie-Bruxelles.  Ma fierté wallonne – et surtout principautaire et liegeoise – en a pris un coup.  Je ne veux pas d'un président nationaliste.  Alors, « Demotte, rastreins ».

 

 

 

 

 

 

 

Daniel BACQUELAINE

Député fédéral MR

 

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Actualité Ecetia va acheter pour 200 millions d’euros de certificats verts.
Le scandale de la "bulle photovoltaïque" en Wallonie provoque encore pas mal de remous. Les sommes à payer par Elia (le transporteur de l’électricité à haute tension) pour racheter les certificats verts (CV) à 65 euros garantis s’élèvent à des centaines de millions d’euros. Pourquoi ? Car la surabondance de l’offre de ces mêmes certificats verts a littéralement cassé le marché et fait s’effondrer les prix.

Problème : Elia répercute le coût du rachat obligatoire à un prix plus élevé que le marché des certificats verts sur ses tarifs. Cette augmentation pour les consommateurs s’ajoute à l’augmentation des factures des fournisseurs d’électricité (Electrabel, etc.) qui, eux, répercutent leur propre surcoût lié à l’obligation d’achat de certificats verts destinée à atteindre des quotas annuels obligatoires d’énergie verte (20 % environ actuellement).

Le poids des dérives du mécanisme repose donc complètement sur les épaules des consommateurs wallons. En conséquence, le gouvernement régional essaie de trouver désespérément une solution financière visant à alléger l’impact d’un système devenu fou…

L’idée : Ecetia, une intercommunale liégeoise dont la directrice générale n’est autre que Sylvianne Portugaels, la chef de cabinet du ministre Marcourt (PS), va devoir racheter pour 200 millions d’euros de certificats verts (au maximum) pour soulager Elia. Et, à terme donc, en tout cas c’est espéré, pour alléger les factures des consommateurs d’électricité. La somme précise doit faire l’objet d’une négociation entre le gouvernement régional, Elia et Ecetia. Mais ce que l’on sait déjà, c’est que la période de rachat s’étalera tout au long de 2014.

Les autres avaient dit non…

C’est en effet ce qui ressort du P-V de la réunion du conseil d’administration d’Ecetia, tenue mardi. Petit problème : 200 millions, ça ne se trouve pas si facilement et le risque financier pour l’intercommunale pose question. D’ailleurs, Ecetia, dans ce dossier, n’est qu’un troisième choix. En effet, le gouvernement wallon s’était initialement tourné vers d’autres autres outils financiers - la SRIW et la Sogepa - pour effectuer ce rachat. Mais, à chaque fois, la Région s’est heurtée à un refus clair et net. Trop risqué. Et, finalement, c’est Ecetia qui devra s’y coller. Mais les risques n’ont pas été gommés pour autant du dossier.

D’ailleurs, la décision n’a pas été facile à prendre par Ecetia. En termes prudents, le conseil d’administration mentionne ses craintes : "En tout état de cause, il doit s’agir d’une opération sans risque pour Ecetia, l’intégralité des capitaux et des charges de la dette devant être couverts à terme par Elia", précise le P-V du conseil d’administration d’Ecetia.

Encore quelques infos : Ecetia financera les 200 millions d’euros à payer à la place d’Elia par un emprunt de type obligataire. L’intercommunale pourra toutefois revendre ses CV pour peu que leur prix sur le marché soit égal ou supérieur au prix d’achat initial (soit les 65 euros par CV garanti par Elia).

http://www.lalibre.be/economie/actualite/l-olivier-wallon-charge-une-interco-d-eponger-le-gouffre-des-certificats-verts-5227fc3d3570934083d3845f

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  • 3 weeks later...

 

Sudpresse vous le révélait en exclusivité vendredi dernier : le salaire de Stéphane Moreau, le tout-puissant patron de Tecteo et par ailleurs bourgmestre socialiste d’Ans, est estimé à 588.000 euros par an pour son travail à Tecteo, via une société anonyme. Une somme à laquelle on peut ajouter une assurance-groupe qui lui garantira un capital de 2,25 millions d’euros au terme de sa carrière…

 

http://www.lameuse.be/819656/article/regions/verviers/actualite/2013-09-25/pour-la-socialiste-vervietoise-muriel-targnion-le-salaire-de-stephane-morea

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C'est marrant de voir une socialiste s'en offusquer. La Murielle Tartempion (que je connais bien pour être vervietois) souhaite certainement sa place.

J'y penserai en allumant mon voocoder demain matin.

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