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Dans le dernier numéro de Challenges :

Le roi des « pigeons » pigeonné par Jérôme Cahuzac
Polytechnicien un peu bourru, Jean-David Chamboredon dirige le fonds de capital-risque Isai et l'association France Digitale. Rapide et intuitif, mais aussi stratège, il est à l'origine de la révolte des « pigeons » contre le projet fiscal du gouvernement visant à surtaxer les plus-values de cessions d'entreprises. Il nous raconte dans le détail comment il a allumé le 28 septembre la traînée de poudre qui a enflammé les réseaux sociaux, les semaines d'autisme du gouvernement, les rendez-vous surréalistes avec des conseillers ministériels ignorant tout de l'entreprise, le dogmatisme des élus socialistes menés par Christian Eckert et Karine Berger. Fin octobre, après avoir fini par trouver un « amendement qui fait consensus », il a fermé sa page Facebook et « supprimé le mouvement ». Mais voilà qu'il nous envoie un courriel quelques heures après notre entretien, pour nous annoncer qu'à l'Assemblée nationale, le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, vient d'enterrer le texte pour plusieurs mois en reportant sa discussion après d'obscures Assises de l'entrepreneuriat. Profitant à la fois de la récupération du mouvement par le Medef et de la trêve hivernale, le gouvernement a pigeonné le roi des « pigeons ». Furieux, ce dernier promet de reprendre la lutte. 

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Ce gars est bizzare

 

 

latribune.fr | 19/10/2012, 16:42 - 182 mots

 

L'initiateur du mouvement des Pigeons, patron du fonds des entrepreneurs internet ISAI, estime que le nouveau texte du gouvernement sur les plus-values ne pose plus de problème, dans 80 à 85% des cas. En revanche, il critique le sort réservé aux business angels

 

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20121019trib000726044/jean-david-chamboredon-le-gouvernement-resout-le-probleme-des-pigeons-mais-oublie-les-business-angels.html

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Comment les Pigeons se sont fait baiser, c'est à peine croyable :

 

 

 

 

 

Au détour d’un dîner, j’ai appris comment s’était fait le deal entre le gouvernement et les Pigeons. Lors de la négociation, en échange de la modification de l’art.6 de la loi de finances, le gouvernement a demandé aux Pigeons de se dissoudre et d’arrêter de communiquer dans les médias. Aussi folle que peut paraître cette demande (de disparaître), elle a tout de même été acceptée par Les Pigeons (!).

Ils ont donc décidé de fermer la page Facebook (rassemblant alors plus de 70 000 personnes) et d’arrêter d’interpeller l’opinion bien avant que la loi ne soit votée. Ils ont sûrement pensé que les promesses suffisaient et que le rapport de forces n’était plus nécessaire. Pourtant c’est bien le rapport de forces qui avait contraint le gouvernement à ouvrir en urgence et “hors des cadres traditionnels” une négociation sur l’impact de la loi de finances sur l’économie numérique. Une capacité de web-mobilisation impressionnante, des prises de paroles quotidiennes, la pertinence des arguments… bref la dynamique avait largement dépassé les initiateurs et le gouvernement s’était retrouvé sous pression. Mais une fois la page Facebook fermée, l’arrêt brutal du débat dans l’opinion, le gouvernement ne s’est plus senti obligé de faire quoi que ce soit et a fini par ne pas tenir les engagements qu’il avait pris. En remettant la décision finale entre les mains du gouvernement, en promettant de se taire et d’être sages pour être entendus, les Pigeons ont arrêté d’être un contre-pouvoir, et ont perdu ce premier combat.

 

Texte en plus extrêmement savoureux quand on sait qui est Julie Coudry.

 

En gros, c'est Delphine Batho en plus jeune, même filière, même parcours.

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Comment les Pigeons se sont fait baiser, c'est à peine croyable :

 

 

 

 

Texte en plus extrêmement savoureux quand on sait qui est Julie Coudry.

 

En gros, c'est Delphine Batho en plus jeune, même filière, même parcours.

 

En effet, c'est ce qui s'appelle se faire mettre à sec et sans vaseline :)

 

Croire un politique sur parole...

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Pigeons : les investissements auraient chuté de 30% fin 2012

http://pro.clubic.com/actualite-e-business/investissement/actualite-534672-pigeons-investissements-auraient-chute-30-fin-2012.html

Les défenseurs des start-up, appelés les Pigeons, publient un rapport dans lequel ils dénoncent les effets du projet de loi de finances 2013 auprès des investisseurs, qui auraient anticipé ses effets.

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Pigeons : les investissements auraient chuté de 30% fin 2012

http://pro.clubic.com/actualite-e-business/investissement/actualite-534672-pigeons-investissements-auraient-chute-30-fin-2012.html

Les défenseurs des start-up, appelés les Pigeons, publient un rapport dans lequel ils dénoncent les effets du projet de loi de finances 2013 auprès des investisseurs, qui auraient anticipé ses effets.

 

On attend avec impatience le futur forum des entrepreneurs prévu à Bercy en 2013, ça va chauffer à nouveau. :)

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Pigeons : les investissements auraient chuté de 30% fin 2012

http://pro.clubic.com/actualite-e-business/investissement/actualite-534672-pigeons-investissements-auraient-chute-30-fin-2012.html

Les défenseurs des start-up, appelés les Pigeons, publient un rapport dans lequel ils dénoncent les effets du projet de loi de finances 2013 auprès des investisseurs, qui auraient anticipé ses effets.

La partie importante est là :

 

 

« la baisse relative plus importante en nombre de tours de table qu'en valeur laisse également à penser, du fait de la nature pyramidale de l'écosystème, que les plus jeunes et/ou les plus petites start-up sont encore plus touchées par le ralentissement observé »

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Pour ma part, je m'étonne qu'il y a ait encore plus d'un euro d'investissement. Avec de tels taux confiscatoires, quel est l'intérêt??

Je suppose qu'il y avait des investissements programmés. Ou bien il faut croire à un retour à la normale sitôt les fous socialistes boutés hors du pouvoir. Quelle naïveté.

 

A ceux qui se posent la question, le taux de 60,5% d'imposition n'a pas d'échappatoire pour les business angels. Pour eux, ce n'est pas au taux marginal, c'est LE taux auquel ils seront soumis.

Quant aux chefs d'entreprise propriétaires de leurs parts, dans le meilleurs des cas, au bout de 10 ans, le taux sera égal à 34,5%. C'est criminel.

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