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Venezuela : l'autre grande réussite du socialisme


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Le pire, c'est que si d'aventure cette bande d'assassins se fait déposer par l'Armée, tu va voir que ça sera la fotalextreme droite, l'ultraliberalisme rampant qui vient mettre fin à la très pacifique révolution bolivarienne et point Pinochet-Klein à tous les étages.

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  • 4 weeks later...

Selon la Banque Centrale, 30% des produits ne se trouvaient pas à un instant T en rayon en février, voir plus de 70% pour certains aliments de base comme le café

 

Arriver à manquer de café en Amérique du sud, c'est quand même balaise. Bientôt ils vont manquer de pétrole.

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Venezuela : Nicolas Maduro a réussi à fracturer son opposition

 

 

Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, continue à prouver son habileté politique, malgré une situation économique et sociale plus que problématique, avec une inflation qui risque d’atteindre les 75% cette année, des taux de pénuries de produits de base si élevés que la banque centrale a renoncé à les publier, une croissance qui n’a pas dépassé 0,7% en 2013 et qui devrait péniblement atteindre 0,5 % en 2014 selon le FMI.

 

 

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  • 1 month later...

 

Le Venezuela se lance à son tour dans l'exploitation du gaz de schiste, en partenariat avec les compagnies brésilienne Petrobras et américaine Williams International Oil & Gas, a annoncé mercredi 21 mai le ministre du pétrole, Rafael Ramirez.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/05/22/le-venezuela-va-extraire-du-gaz-de-schiste_4423323_3222.html

 

 

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  • 3 weeks later...

Venezuelan Prostitutes Earn More Selling Dollars Than Sex

 

 

The bolivar has fallen to 71 to the dollar from 23 on the black market since President Nicolas Maduro succeeded his mentor Hugo Chavez in April 2013. The government tightened currency handouts to stem the outflow of foreign reserves, which are near a decade low. The official exchange rate, reserved for imports of food and medicine, is 6.3 bolivars per dollar.

 

 

“We can make more in two hours here than working in a shop in a month,” said a prostitute who calls herself Giselle, as she sipped a 12-year-old whiskey in Club 440 striptease joint.

 

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  • 4 weeks later...

 

L’industrie automobile au Venezuela s’effondre faute de devises

Les lignes d’assemblage au Venezuela tournent au plus bas, produisant à peine un cinquième des véhicules montés l’année dernière. Quatre des sept assembleurs du pays - Toyota, Ford, Chrysler et Iveco - ont dû peu à peu suspendre leur production depuis février, faute de pouvoir importer des pièces détachées. En raison du strict contrôle des changes instauré depuis 2003 au Venezuela, tout acteur économique souhaitant disposer de devises pour importer biens et produits doit en faire la demande aux autorités, qui les délivrent au compte-goutte. Le secteur automobile n’aurait perçu en 2014 que 1 % des devises accordées aux importateurs.

http://www.ccfa.fr/L-industrie-automobile-au,135551

 

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Bon, c'est chez les voisins, mais ça m'a fait tiquer...

 

La Bolivie autorise le travail des enfants dès 10 ans

 

Travailler dès l'âge de 10 ans sera désormais autorisé en Bolivie. Après le Sénat, le Parlement bolivien a approuvé, mercredi 2 juillet, le nouveau code de l'enfant et de l'adolescent qui prévoit de baisser, dans certains cas, l'âge minimum légal en deçà des 14 ans requis pour travailler.

 

 

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

 

Caracas - L'impossibilité, pour les Vénézuéliens, de trouver nombre de produits de première nécessité cache une autre réalité : la situation désastreuse de nombreuses entreprises publiques, paralysées par une faible productivité et leur manque de finances.

Principal groupe public du Venezuela, la compagnie pétrolière PDVSA en est le parfait exemple avec une productivité par employé divisée par trois en 15 ans de chavisme.

En 1999, date de l'accession au pouvoir du défunt président Hugo Chavez, elle comptait près de 51.000 employés, avec une production de 63 barils par salarié et par jour.

Aujourd'hui, elle emploie 140.000 personnes... mais chacune d'entre elles ne produit plus que 20 barils par jour.

Et même si elle s'appuie sur les plus importantes réserves de pétrole au monde, elle accumulait en 2013 une dette de 16 milliards d'euros envers ses fournisseurs.

Quant à l'aciérie Sidor, la plus grande d'Amérique latine, six ans après avoir été expropriée au groupe argentin Techint sur ordre de Hugo Chavez (décédé en 2013), sa production ne représente plus qu'un tiers de ce qu'elle était alors, selon José Luis Hernandez, président du Syndicat des travailleurs de l'industrie sidérurgique (Sutiss).

Nous avons perdu des ressources à cause de la bureaucratie et de la corruption, affirme-t-il.

En 2008 (le gouvernement) avait approuvé plus d'1,2 milliard de dollars pour redresser Sidor, et cinq ans plus tard on n'avait reçu que 20% de cette somme, dit-il.

Difficile pour l'entreprise d'envisager l'avenir alors qu'elle ne peut pas élever sa production, en raison notamment du manque d'investissements, de matières premières et de pièces de rechange pour les machines ou encore de la détérioration des relations avec les fournisseurs - à qui nous devons 920 millions de dollars.

Car, à cause d'un strict contrôle des changes instauré en 2003, les entreprises doivent demander au gouvernement les dollars nécessaires pour financer leurs importations de biens ou de pièces indispensables à la production... souvent sans succès.

- Une fièvre d'expropriations -

Au quotidien, cela se traduit par une terrible pénurie pour les Vénézuéliens : du déodorant aux cercueils en passant par les bouchons de bouteille en plastique, la farine ou les médicaments, un produit de première nécessité sur quatre est introuvable, dans un contexte de crise économique inquiétante avec une inflation annuelle de 60%.

Les nationalisations d'entreprises ont encore aggravé ce phénomène.

Entre 2002 et juin 2014, l'Etat vénézuélien a exproprié 1.288 entreprises, selon le décompte établi par Conindustria, l'association des entreprises du pays.

Sur 30 millions d'habitants, le pays compte aujourd'hui 2,6 millions d'employés publics, pour 5,4 millions dans le privé.

Au départ, ces expropriations sont plutôt un geste louable, destiné au bénéfice de la collectivité, tout comme les généreuses subventions sur les prix de nombreux produits, commente Luis Vicente Leon, du cabinet d'études de marchés Datanalisis.

Mais elles ont eu un impact dramatique sur la productivité et la capacité d'approvisionnement de ces sociétés, raconte-t-il, en ôtant notamment tout élément de motivation pour les fonctionnaires.

Les politiques du gouvernement central, ces 15 dernières années, ont été orientées vers le +Socialisme du 21e siècle+, un modèle appliqué par Hugo Chavez puis son successeurs Nicolas Maduro, explique Anabella Abadi, économiste à la société de conseils ODH Grupo Consultor.

Parmi ses lignes directrices, détaille-t-elle, l'avancée vers l'hégémonie politique du parti au pouvoir, le rejet de la propriété privée et la mise en place d'une planification centrale ayant le contrôle de l'économie.

Chaque expropriation, chaque rachat forcé d'une entreprise ou création d'une nouvelle unité de production socialiste représente une avancée vers l'instauration de ce nouveau modèle, note-t-elle.

Mais au total, ce programme est le même que celui du socialisme du 20e siècle.

http://www.romandie.com/news/Derriere-la-penurie-au-Venezuela-la-debacle-des-entreprises-publiques/508113.rom?utm_source=Kazi+Media+France&utm_medium=Kazi+Media+France

 

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Tout va bien au Venezuela : http://www.zerohedge.com/news/2014-08-21/trouble-socialist-paradise-maduro-rating-plummets-shoppers-prepare-be-fingerprinted

 

 

The socialist South American country has been grappling with shortages of basics like cooking oil and flour for more than a year. The administration blames the shortages on companies speculating and people smuggling subsidized staples out of the country.

 

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Au Venezuela, ça va de mieux en mieux, pays de liberté toussa toussa
 Venezuela : Maduro veut contrôler les achats
 
 

Des lecteurs d'empreintes digitales, pour contrôler les achats de chacun: telle est la mesure choc que veut implanter leVenezuela d'ici la fin de l'année, voulant ainsi s'attaquer à la contrebande, responsable selon le gouvernement de la pénurie extrême dont souffre le pays.

"L'ordre a été donné pour la mise en place d'un système biométrique dans tous les établissements et réseaux de chaînes de distribution et commerciales du pays", a déclaré le président Nicolas Maduro, assurant que ce programme est une "bénédiction anti-fraude". Cette annonce s'ajoute à celle, en début de mois, d'une fermeture la nuit de la frontière avec la Colombie, destinataire d'une grande partie de cette contrebande. 

"Maintenant, nous achèterons quand le gouvernement en aura envie", a réagi en une le journal populaire 2001. "Cela n'est rien d'autre que le livret de rationnement cubain. Le gouvernement ne peut pas décider ce que va manger chaque famille", a dénoncé jeudi le député Alfonso Marquina, du parti de l'opposant Henrique Capriles. Ce dernier a jugé la mesure inutile : "cela ne mettra pas fin à la pénurie dans le pays". Au Venezuela, "nous parlons de contrebande à grand échelle. On ne peut pas combattre ça avec des lecteurs d'empreintes", renchérit le président de l'Association nationale d'usagers et consommateurs (Anauco), Roberto Leon.

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Confrontée à une grave pénurie de médicaments et à la vétusté des appareils médicaux, l'Association vénézuélienne de cliniques et hôpitaux (AVCH) demande au gouvernement de déclarer l’urgence humanitaire. Faute de moyens - dont des anesthésiants - 6 000 Vénézuéliens attendent actuellement de pouvoir être opérés.

Paula Vasquez, anthropologue vénézuélienne à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) à Paris, confirme le diagnostic des médecins. Selon elle, il y a une vraie crise humanitaire dans le pays. « Il y a des enfants qui sont en train de grandir sans lait. Au Venezuela, par exemple, il n’y a pas de lait, les familles doivent faire six heures de queue pour avoir du lait en poudre. Il n’y a pas de lait frais. C’est inimaginable dans la tête des Vénézuéliens des classes populaires qu'il peut y avoir du lait frais. Il y a une génération d’enfants qui vont passer six mois voire un an de leur vie sans lait. »

Il y a une pénurie de denrées de base telle que l’huile pour cuisiner, poursuit Paula Vasquez. « La planète entière a rigolé avec la crise du papier toilette. C’était grave, mais bien plus grave encore c’est le manque de denrées alimentaires de premières nécessité », dit-elle.

Pénurie de médicaments et de fournitures pour les hôpitaux

Le Venezuela doit importer 90 % de ses fournitures pour la santé, mais comme il impose un strict contrôle des changes qui paralyse les importations des entreprises, il est confronté à de graves problèmes de pénurie.

« Il n’y a pas de médicaments pour soigner le diabète ou le cancer ou tout ce qui est maladie chronique comme l’épilepsie, explique l’anthropologue vénézuélienne. Maintenant, vous pouvez vous promener à Caracas et voir des gens qui font des crises d’épilepsie en pleine rue puisqu’ils n’ont pas accès à des neuroleptiques. Donc à mon avis, il y a une vraie crise humanitaire au Venezuela dans un des pays les plus riches de la planète en termes de réserves de pétrole. »

Les professionnels de santé manquent notamment d'anesthésiant, de gants, de sérum ou encore de matériel pour réaliser les sutures. Un manque qui met en danger la vie des malades. Lundi, le ministre de la Santé, Francisco Armada, a reconnu qu'il y avait des « failles » dans la distribution de certains médicaments. Les sociétés importatrices estiment la pénurie en médicaments à 60 % et jusqu'à 85 % en ce qui concerne les fournitures.

http://www.rfi.fr/ameriques/20140821-venezuela-medecins-alertent-crise-humanitaire-le-pays/?aef_campaign_date=2014-08-21&aef_campaign_ref=partage_user&ns_campaign=reseaux_sociaux&ns_linkname=editorial&ns_mchannel=social&ns_source=twitter

 

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Le Venezuela fait l'impasse sur les statistiques

Etrangement, les données officielles disparaissent alors que l'économie plonge.

La Banque centrale du Venezuela est soupçonnée de cacher la poussière sous le tapis ! Ce ne serait pas la première fois qu'un pays, en proie à des difficultés économiques majeures, tenterait de masquer ainsi la vérité. Dans ce cas précis, voilà plusieurs mois que le premier pays producteur de pétrole de la planète par les réserves n'a pas publié de statistique économique. Les chiffres de l'emploi et de la balance des paiements sont aux abonnés absents depuis le quatrième trimestre 2013. De même, l'ampleur de la baisse du PIB relève du secret d'Etat. De quoi compliquer la vie des entreprises qui ne peuvent se projeter à quelques mois et finissent par établir leurs propres statistiques. Selon elles, le PIB a chuté de 4 % au premier semestre et pourrait perdre 5 % cette année. Bien loin de la statistique officielle qui n'est toujours pas révisée et qui table pour l'année sur une hausse de 4 % du PIB.

Inflation galopante

Rien pour l'instant ne transpire sur les éventuelles difficultés qu'éprouverait l'institut émetteur du Venezuela à collecter des données et à les rendre publiques. Mais ce silence ne trompe personne. Fin 2013, une interruption dans les séries sur l'inflation avait eu lieu mais elle n'avait duré qu'un mois. Le gouvernement socialiste de Nicolas Maduro avait alors délibérément bloqué les chiffres de novembre, le temps de passer le cap des élections municipales. L'intérêt politique qu'aurait, aujourd'hui, ce même gouvernement à suspendre la parution des chiffres semble tout aussi évident. Le pays fait face, depuis de longs mois, à une réelle dégradation de son activité sur fond d'inflation galopante. Du moins l'était-elle tant que les comptes étaient tenus. En mai, dernier mois connu, Caracas affichait… + 61 %, record absolu. Depuis, la valse des étiquettes n'a fait que s'accélérer.

A interrompre ainsi la divulgation d'informations, les autorités prennent un double risque. Celui d'un rappel à l'ordre par le Fonds monétaire international qui oblige les pays à fournir des données de bonne qualité et de façon régulière. Il s'expose, tout autant, à une nouvelle explosion de colère de la population, capable une fois encore de se dresser contre sa politique. Car, s'il est un domaine où les statistiques ne sont pas indispensables, c'est bien celui du quotidien.

Les Vénézuéliens passent des heures à chercher, chaque jour, du papier toilette, de l'eau en bouteille ou des médicaments. Un rapport publié en mai stipulait alors que 19 catégories de produits de première nécessité souffraient de sérieux problèmes d'approvisionnement.

 

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"producteur de pétrole de la planète par les réserves"

 

WTF ?

 

Au train qu'ils en sont, ils vont être premier importateur de pétrole si c'est pas déjà le cas.

http://www.americanthinker.com/blog/2014/09/venezuelan_socialism_accomplishes_the_impossible_starts_importing_oil_.html

http://www.the-american-interest.com/blog/2014/09/06/venezuela-set-to-import-oil/

 

There was a popular riddle bandied about the Soviet Union back in communist days that went something like this: Question: if the Soviet Union conquered the Sahara, what would happen? Answer: nothing for 50 years, then a shortage of sand.

 

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