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Venezuela : l'autre grande réussite du socialisme


Messages recommandés

https://mises.org/blog/venezuela%E2%80%99s-march-toward-default

 

"Venezuela's march toward default"

 

 

It is only a matter of time until Venezuela will default on its foreign debt. After a short peak in 2009, when the country’s foreign exchange reserves stood at over $40 billion, Venezuela has been steadily hemorrhaging its reserves down to $10 billion. In 2016, Venezuela started to sell gold in order to compensate for the loss of its monetary reserves. As a consequence, Venezuela’s gold reserves plunged from over 360 tons down to less than 190 tons. Other than in the case that some foreign power, such as China, for example, would jump in as a lender, Venezuela’s default seems unavoidable

 

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La dette n'est pas payable de toute façon. 5200 milliards c'est bien trop.

Tout est payable. Ça dépend du prix qu'on met sur une livre de chair...

  • Yea 1
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La Venezuela j'ai commencé des exercises militaires.

 

"ejercicios de acción integral Antimperialista" (exercises d'action intégrale anti- impérialiste).

 

 

 

 

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  • 2 weeks later...

http://foreignpolicy.com/2017/01/26/venezuela-is-so-broke-it-cant-even-export-oil/?utm_content=bufferb411d&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer

 

Le pays est tellement sinistré qu'il n'est plus capable d'exporter son pétrole correctement, on a déjà dépassé le stade de plus investir correctement depuis bien longtemps !

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En ce moment sur M6 : Enquête exclusive
 

Violences, pillages, marché noir : panique au Venezuela

 

En quelques années, l'économie du Venezuela s'est littéralement effondrée. Inflation record, pénurie alimentaire, hôpitaux à l'abandon, corruption, violentes émeutes... cet Etat fédéral d'Amérique du Sud est sur le point d'imploser. L'approvisionnement en nourriture est géré et protégé par l'armée. A Caracas, la capitale, les ultra-riches ont accès à tous les produits à condition d'en payer le prix. La sécurité reste leur préoccupation majeure car les enlèvements contre rançon sont fréquents.

 

Il y a à peine 5 ans, c'était encore l'une des principales puissances d'Amérique du Sud ; un pays à l'économie florissante, premier producteur mondial de pétrole. En quelques années, le Venezuela s'est littéralement effondré. Inflation jamais vue (+ de 1 000% en 2016), pénurie alimentaire, hôpitaux à l'abandon, émeutes quotidiennes, criminalité record... Une incroyable descente aux enfers.

Pendant plusieurs mois, les équipes d'Enquête Exclusive ont sillonné un Venezuela au bord du chaos, où la principale préoccupation de millions d'habitants est de trouver à se nourrir. Devant les magasins, aux étals aux trois quart vides, les files d'attente sont interminables. L'armée doit même intervenir pour éviter les pillages et les émeutes.

Pour le gouvernement actuel, dirigé par le président Nicolas Maduro, la raison principale de cette crise sans précédent est la chute du prix du pétrole. En réalité, le projet politique de son prédécesseur, Hugo Chavez, a vite montré ses limites : nationalisations aveugles, non modernisation de l'outil de production, dévaluation de la monnaie, dépenses sociales mal maîtrisées… sans compter une corruption galopante. Résultat, aujourd'hui les usines tournent à vide, l'agriculture ne produit plus rien, le pays manque de tout à commencer par les produits de première nécessité (nourriture, médicaments) et le bolivar (la monnaie locale) a perdu 99% de sa valeur.

Pourtant, tous les Vénézuéliens ne sont pas logés à la même enseigne. Marché noir, contrebande, restaurants clandestins, nos caméras ont eu accès au Caracas des ultra-riches et des proches du pouvoir. Dans ce monde très fermé, on trouve de tout, à condition d'en payer le prix.

Pour ces privilégiés, si les pénuries ne sont pas un problème, la sécurité reste leur préoccupation numéro un. Caracas est aujourd'hui la capitale la plus violente du monde. Les gangs armés se multiplient, les enlèvements contre rançon y sont monnaie courante et on peut tuer pour un sac de riz.

« Violences, pillages, marché noir : panique au Venezuela », c'est une plongée sidérante et effrayante au cœur d'un grand pays (classé en 2 000 parmi les 30 puissances les plus riches de la planète) aujourd'hui au bord du gouffre.

 

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Comment on peut être à côté de la plaque à ce point-là ?

Par exemple pour la dernière assertion de la citation d'Hplo, c'est vérifiable en trois secondes sur Google. Comment ça a passé les relectures ? Y a-t-il ne serait-ce qu'une personne qui a relu ce qu'ils racontent ?

La nullité (ce n'est même plus de la médiocrité, on a passé le cap depuis un bout de temps) à ce point-là me dépasse.

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Il faut sauver le colonel Chavez.

 

Avec ça:

 

. En réalité, le projet politique de son prédécesseur, Hugo Chavez, a vite montré ses limites : nationalisations aveugles, non modernisation de l'outil de production, dévaluation de la monnaie, dépenses sociales mal maîtrisées… sans compter une corruption galopante. Résultat, aujourd'hui les usines tournent à vide, l'agriculture ne produit plus rien, le pays manque de tout à commencer par les produits de première nécessité (nourriture, médicaments) et le bolivar (la monnaie locale) a perdu 99% de sa valeur.

Je ne vois pas comment tu le sauves.

Je trouve qu'au contraire de vous qui pensez lire un article pro-Chavez, moi j'y lis:

Avant Chavez, c'était florissant.

Chavez est arrivé, il a profité de la situation en place quelques années puis ses politiques ont fait leur effet et c'est la merde que Maduro continue.

J'y vois absolument rien de pro-Chavez là dedans.

Alors oui, ok, c'est pas:

Chavez, politicien pire qu'Hitler et Staline réunit suivit de Maduro, ce Pol Pot en puissance ont ruiné ce pays.

C'est un rien plus mesuré.

Je vous l'accorde.

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J'ai pas compris non plus ce qui vous choque dans cet article. Ils démontent complètement les politiques socialistes de Chavez, avec en plus en bonus le fait qu'elles favorisent une poignée d'ultra riches proches du pouvoir. Ça fait plutôt bien plaisir de voir un article de presse générale enfin atomiser ces salauds au lieu de les défendre en mode "c'est la faute au pétrole".

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Ils racontent des absurdités (le Venezuela n'a jamais été le premier producteur mondial de pétrole, ça fait un peu plus de 5 ans que l'économie est en bordel...) ça décrédibilise le reste du propos.

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Enfin ceci dit c'est pas souvent que les médias français enquêtent sur ce qui se passe là-bas, en Espagne c'est constamment. J'étais sidéré de voir les réactions sur Twitter qui ignoraient à quel point c'y était la merde au Venezuela . Sidéré par beaucoup de commentaires également qui disaient finalement que notre système n'était pas si mal..,wait what?

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Ils racontent des absurdités (le Venezuela n'a jamais été le premier producteur mondial de pétrole, ça fait un peu plus de 5 ans que l'économie est en bordel...) ça décrédibilise le reste du propos.

Mouais.

 

C 'est un peu comme je m'énerve quand dans un article de contrepoints sur les avantages des fonctionnaires, ils amalgament fonctionnaires et emploi public (et pour le coup, il y a une énorme différence niveau avantage).

 

Maintenant, il faut reconnaitre que celui qui connait le nombre de fonctionnaire et le nombre d'emploi public, c'est comme celui qui sait que cela fait 10 ans et non 5 que le Vénézuela part en couille.

Il a pas besoin d'un article de presse ou d'un reportage pour savoir ce qu'il en est.

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  • 2 weeks later...

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