Aller au contenu

Venezuela : l'autre grande réussite du socialisme


Messages recommandés

"Victime de la crise"

 

Mouarf! Les commentaires sur cet article!

 

Même sur "Le Monde" les lecteurs critiquent le socialisme, j'y crois pas, on relève la tête, on ouvre les yeux ?

 

 

A tous ceux qui rêvent de grand soir, la réalité du socialisme est là

 

 

Il faut leur envoyer Super-Mélenchon d'urgence!

Lien vers le commentaire

La racine du socialisme, c'est la jalousie (couplée à d'autres truc).

C'est un trait de caractère personnel.

La personne qui ne se donne pas les moyens (en se hissant par ses efforts) et n'arrive pas à dominer ce trait de caractère restera socialiste toute sa vie.

Et même une submersion sous des arguments rationnels n'y peut rien changer. Puisque l'état de jalousie est un état personnel voulu, d'où le socialiste refuse de sortir (car en sortir demande des efforts importants sur plusieurs plans, efforts dont le jaloux est (génétiquement) incapable).

Demander à un jaloux de ne plus être jaloux, c'est comme demander à un scorpion de renoncer à piquer.

 

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

La racine du socialisme, c'est la jalousie (couplée à d'autres truc).

C'est un trait de caractère personnel.

La personne qui ne se donne pas les moyens (en se hissant par ses efforts) et n'arrive pas à dominer ce trait de caractère restera socialiste toute sa vie.

Et même une submersion sous des arguments rationnels n'y peut rien changer. Puisque l'état de jalousie est un état personnel voulu, d'où le socialiste refuse de sortir (car en sortir demande des efforts importants sur plusieurs plans, efforts dont le jaloux est (génétiquement) incapable).

Demander à un jaloux de ne plus être jaloux, c'est comme demander à un scorpion de renoncer à piquer.

 

Je ne pense pas que la racine du socialisme soit la jalousie. Je pense que c'est surtout un système bâti sur la naïveté des gens. Dans la plupart des pays du monde,une jeunesse dorée avec des idéaux progressistes a emergé et refuse de suivre la voie tracée par leurs parents. La plupart de ces jeunes sont mû par une certaine flemmardise. Il rêve de lendemains qui chantent et d'un monde nouveau dans lequel le travail se ferait dans la joie et la bonne humeur, dans lequel on pourrait vivre confortablement sans trop travailler.

Ces jeunes se mettent alors à voter et à élir des politiciens populistes et démagogues qui leur proposent de réaliser leur société idéale à conditions que des boucs-émissaires soit sacrifié(les étrangers,les patrons,les banques,les riches...). Ces mêmes politiciens après avoir "triomphé" leur promettent que les richesses prises aux riches et aux étrangers seront redistribués sous la forme d'aides sociales généreuses.

Les gens qui élisent des politiciens socialistes déchantent très vite quand ils découvrent qu'une fois arrivé au pouvoir,l'ensemble des richesses du pays sont captés par les dirigeants du pays et leur proches et que comme les entreprises et les banques sont nationalisés et donc ne produisent plus rien,ben l'économie s'effondre et l'inflation,les pénuries,le chômage de masse explosent. Ce que je veux dire par là c'est que le socialisme ne fait que remplacer un capitalisme libéral par un capitalisme étatisé infiniment moins performant.

Et c'est à cause de la naïveté des gens que des Mélenchons,des Chavezs,des Tsipras ou des Marine le Pen existent.

Lien vers le commentaire

Je ne pense pas que la racine du socialisme soit la jalousie. Je pense que c'est surtout un système bâti sur la naïveté des gens.

 

Les deux existent. Typiquement les gens s'insurgent chaque fois que les média parlent de la rémunération "indécente" de X ou Y. Ils adhèrent plus ou consciemment à la théorie marxiste de l'exploitation ou aux sophismes de la masse de travail / richesses fixe ("Les étrangers viennent voler nos emplois, etc"). Ils ne cherchent pas à comprendre le monde dans lequel ils vivent, ou alors ont des désirs irréalistes. J'entendais ce matin le secrétaire général de la CGT faire dans ce bisounoursisme-là: "Il faut que les gens partent à la retraite à 60 ans avec des pensions correctes". Que voulez-vous répondre à ça sans être taxé de rabat-joie sans cœur...

 

Dans un autre domaine, mais toujours dans l'émotivisme insensé, j'ai eu l'occasion de lire ça: "Je suis bien content de ma monnaie [l'euro] qui transcende les nationalités et les Etats, une monnaie qui n’est peut-être pas aussi malléable que celle d’un Etat disposant d’une autonomie avec sa propre banque centrale mais qui témoigne d’un rêve et d’une utopie plus belle que la simple équation budgétaire. A une époque où tout est tourné vers l’économie, où tout semble n’être qu’une équation mathématique dont le but est d’arriver à l’efficience ultime, il reste ce petit bastion d’imaginaire. Et tant pis si pour continuer à rêver il faille souffrir un peu, on ne met pas un terme à 60 ans d’effort sous le simple prétexte que tout seul on réussit mieux économiquement qu’à plusieurs !"

Lien vers le commentaire

Je ne pense pas que la racine du socialisme soit la jalousie. Je pense que c'est surtout un système bâti sur la naïveté des gens.

Il y a de la naïveté, mais de la naïveté consentie, et même de la naïveté dans laquelle le gaucho se complait.

Donc, c'est finalement assez loin de la naïveté "pure".

C'est plutôt l'adhésion consciente, délibérée et volontaire, à des théories, aussi farfelues soient-elles, théories qui expliquent l'échec personnel, qui dédouanent l'individu (et même nient son existence), et qui rendent l'échec et le pillage socialement acceptables.

 

Le socialisme, c'est la meilleure théorie du monde pour les gens improductifs. Et c'est pour cela que cette théorie pourra probablement toujours compter sur une belle quantité d'adeptes.

Lien vers le commentaire

Il y a de la naïveté, mais de la naïveté consentie, et même de la naïveté dans laquelle le gaucho se complait.

Donc, c'est finalement assez loin de la naïveté "pure".

C'est plutôt l'adhésion consciente, délibérée et volontaire, à des théories, aussi farfelues soient-elles, théories qui expliquent l'échec personnel, qui dédouanent l'individu (et même nient son existence), et qui rendent l'échec et le pillage socialement acceptables.

 

Le socialisme, c'est la meilleure théorie du monde pour les gens improductifs. Et c'est pour cela que cette théorie pourra probablement toujours compter sur une belle quantité d'adeptes.

 Oui mais ce que je veux dire c'est que le gaucho entretient cette dualité libérale-libertaire tel qu'elle a été developpée par Michel Clouscard dans idéologie du désir:

Le gaucho rêve de sociétés idéales qui passe par des coups d'état,des révolutions,des insurrections qui aboutissent à la mise en place de dictatures. Il pense qu'on peut changer la société et l'homme par la force. Mais d'un autre côté,le gaucho veut conserver le mode de vie capitaliste hérité de sa famille.Il veut continuer à vivre luxueusement et confortablement:

D'autre part le gaucho est animé par l'oedipe c'est à dire que le gaucho est en rivalité et conflit avec la figure du père au sein de la famille.Le gaucho de condition aisé rejette le père bourgeois car pour lui quelqu'un qui a gagné sa vie en faisant travailler les autres est nécessairement un réactionnaire,un fasciste,un exploiteur.Il estime également que travailler pour gagner honorablement sa vie est de la perte de temps. La vie est courte il faut donc en profiter. Il rejette également les codes sociaux de la haute bourgeoisie qu'il trouve rigide et ringards. Il est en quête perpétuelle d'un père idéalisé qu'il n'a jamais eu dans sa vie.

Et il trouve ce père idéalisé à travers les figures du personnalité charismatiques comme Che Guevara(dans les années 1960) et Hugo Chavez(de nos jours). En effet Che Guevara et Hugo Chavez propose aux gauchos de détruire la société capitaliste et la société de consommations par un ordre nouveau dans lequel l'homme serait émancipé du capital et n'aurait plus besoin de travailler pour vivre.

A la différence d'un De Gaulle vieillissant ou d'un Hollande insipide,Che Guevara et Hugo Chavez incarne la figure du héros romantique qui agit comme un sex-symbol de part leur jeunesse,leur  virilité,leur violence physique et verbale et un certain courage car pour les gauchos Che Guevara et Hugo Chavez défendent les "faibles et les opprimés" contre les "puissants".

Et c'est pour cette raison que le gaucho est prêt à idolatrer aveuglément des hommes providentiels et à nier la réalité des méfaits de ces dits hommes providentiels(crimes de masse pour Che Guevara et destruction de l'économie Vénézuelienne pour Chavez. Ils estiment que la cause pour laquelle se battaient Che Guevara et Hugo Chavez est magnifique.

 

2 photos qui illustrent mes propos:

 

N%C3%BA%C3%B1ez-Beauvoir-Sartre-Che_Guev

Sartre et sa compagne Simone de Beauvoir en admiration devant Che Guevara

 

Chavez serrant dans ses bras Mélenchon:

http://gauche.blog.lemonde.fr/files/2012/07/chavez-530x397.jpg

Lien vers le commentaire

 Oui mais ce que je veux dire c'est que le gaucho entretient cette dualité libérale-libertaire tel qu'elle a été developpée par Michel Clouscard dans idéologie du désir:

Le gaucho rêve de sociétés idéales qui passe par des coups d'état,des révolutions,des insurrections qui aboutissent à la mise en place de dictatures. Il pense qu'on peut changer la société et l'homme par la force. Mais d'un autre côté,le gaucho veut conserver le mode de vie capitaliste hérité de sa famille.Il veut continuer à vivre luxueusement et confortablement:

D'autre part le gaucho est animé par l'oedipe c'est à dire que le gaucho est en rivalité et conflit avec la figure du père au sein de la famille.Le gaucho de condition aisé rejette le père bourgeois car pour lui quelqu'un qui a gagné sa vie en faisant travailler les autres est nécessairement un réactionnaire,un fasciste,un exploiteur.Il estime également que travailler pour gagner honorablement sa vie est de la perte de temps. La vie est courte il faut donc en profiter. Il rejette également les codes sociaux de la haute bourgeoisie qu'il trouve rigide et ringards. Il est en quête perpétuelle d'un père idéalisé qu'il n'a jamais eu dans sa vie.

Et il trouve ce père idéalisé à travers les figures du personnalité charismatiques comme Che Guevara(dans les années 1960) et Hugo Chavez(de nos jours). En effet Che Guevara et Hugo Chavez propose aux gauchos de détruire la société capitaliste et la société de consommations par un ordre nouveau dans lequel l'homme serait émancipé du capital et n'aurait plus besoin de travailler pour vivre.

A la différence d'un De Gaulle vieillissant ou d'un Hollande insipide,Che Guevara et Hugo Chavez incarne la figure du héros romantique qui agit comme un sex-symbol de part leur jeunesse,leur  virilité,leur violence physique et verbale et un certain courage car pour les gauchos Che Guevara et Hugo Chavez défendent les "faibles et les opprimés" contre les "puissants".

Et c'est pour cette raison que le gaucho est prêt à idolatrer aveuglément des hommes providentiels et à nier la réalité des méfaits de ces dits hommes providentiels(crimes de masse pour Che Guevara et destruction de l'économie Vénézuelienne pour Chavez. Ils estiment que la cause pour laquelle se battaient Che Guevara et Hugo Chavez est magnifique.

 

2 photos qui illustrent mes propos:

 

N%C3%BA%C3%B1ez-Beauvoir-Sartre-Che_Guev

Sartre et sa compagne Simone de Beauvoir en admiration devant Che Guevara

 

Chavez serrant dans ses bras Mélenchon:

http://gauche.blog.lemonde.fr/files/2012/07/chavez-530x397.jpg

 

 

je rêve où je viens de lire du bullshit psychiatrique là dedans ?

Lien vers le commentaire

je rêve où je viens de lire du bullshit psychiatrique là dedans ?

 

Tu sais je ne suis pas tellement le seul à analyser le socialisme sous l'angle psychiatrique

Von Mises l'a fait également:

http://www.wikiberal.org/wiki/Antilib%C3%A9ralisme

 

Ce que je veux dire c'est que des bourgeois comme Sartre ou Mélenchon en soutenant des dirigeants comme Che Guevara ou Chavez,ils espèrent qu'une fois le capitalisme aboli,ils feront parti de la nomenklatura du régime socialiste mis en place. Et en faisant parti de cette nomenklatura,ils pourront à la fois conserver leur mode de vie bourgeois et prêcher pour le socialisme.

Mais ce qu'ils ignorent c'est que dans les régimes socialistes,les plus corrompu et les plus tyrannique restent en place

par exemple Che Guevara(trop utopiste) a rapidement été marginalisé au profit de Fidel Castro et de sa famille à Cuba.

Lien vers le commentaire

 

On Monday, Jefferies warned any relief for Venezuela’s currency would be short lived, and said that there’s still no clear road map for how the nation will manage their financing gap through next year.

Today, Caracas Capital’s Russ Dallen has another downbeat note on Venezuela. He notes that the nation’s reserves fell $614 million in one day, and that as of Friday, the country had $15.35 billion in reserves, its lowest level since May of 2003.

In all, Venezuela is on the hook for $15.84 billion in various bond payments through the end of 2016, and as they stand now, reserves could almost cover that.

Not so fast, says Dallen—in reality, with so much of its reserves in gold, the country really only has about $2.26 billion liquid. Moreover, the country includes money that it can borrow from the International Monetary Fund as part of its reserves, which about halves that liquid amount. (Not to mention that the country also holds precious stones and metals in its reserves as well, which further knocks down that liquid amount.)

And what about the New York visit that Finance Minister Rodolfo Marco Torres made, to calm investors? At the meeting Torres said that “government entities…hold” up to 25% of Venezuela’s debt stock and the nation has also bought back some of its bonds maturing in the next two years.

Dallen says there are reasons to be skeptical of these reassurances:

First, Venezuela said roughly the same thing last year – that everything was under control and that it had purchased a significant portion of the bonds maturing in October 2014 as well — yet PDVSA had to issue $3 billion in a new U.S. dollar bond to the Central Bank later that same month.

But, to analyze the comments of Marco Torres at face value, that would mean he is saying that Venezuela “holds” 20-25% of its $70 billion in existing debt.  First, the key word is going to be “holds” as in March, the government ordered private banks to transfer all bonds – whether they are held abroad or locally to the Central Bank for custody.

Second, that $3 billion in PDVSA 6% of 10/28/2022 that PDVSA issued to the Central Bank last year after telling markets that there was nothing to see here still lies in the coffers of the Central Bank, as Venezuela has been unable and/or reluctant to sell it into markets where it would fetch just 36 cents on the dollar (where the similar PDVSA 6% of 2024 and the PDVSA 6% of 2026 currently trade).

Third, when Marco Torres used “government entities,” he would also be including PDVSA and other pension funds and banks.

Fourth, we are unsure of whether he is including domestic debt, including massive PDVSA debts to the Central Bank and at what FX rate.

His conclusion? “Caveat emptor.”

http://blogs.barrons.com/emergingmarketsdaily/2015/10/20/the-dire-state-of-venezuelas-reserves-caracas-capital/

 

Lien vers le commentaire

Franklin Nieves, l'un des procureurs qui avaient instruit le dossier à l'encontre de l'opposant, «a été destitué et a bien sûr perdu ses droits à la retraite, malheureusement», a déclaré Mme Ortega dans un entretien à la chaîne privée Venevision.

Il s'agit d'un licenciement pour «abandon de son poste de travail», a-t-elle précisé.

Dans une vidéo diffusée vendredi, M. Nieves avait annoncé qu'il quittait le pays sud-américain avec sa famille en raison de «pressions» du gouvernement et de ses supérieurs pour défendre la condamnation de Leopoldo Lopez à 13 ans, neuf mois et sept jours de prison.

«Vous allez entendre des critiques et des injures à mon encontre, car j'ai refusé de continuer avec ce simulacre» de procès, dont l'appel doit être jugé prochainement, affirme M. Lieves dans cette vidéo, ne disant pas dans quel pays il se rend, mais promettant de livrer bientôt de nouveaux détails sur ce dossier.

http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201510/26/01-4914071-venezuela-un-procureur-trop-critique-demis-de-ses-fonctions.php

Et :

Les parlementaires vénézuéliens du Parti socialiste (PSUV) au pouvoir ont déposé plainte mercredi contre le principal chef d'entreprise du pays, Lorenzo Mendoza, accusé de «trahison à la patrie», ce qui pourrait lui valoir de nombreuses années de prison, a annoncé un des plaignants.

M. Mendoza, 50 ans, est également accusé d'«usurpation de fonctions» car, selon les plaignants, il aurait remplacé le gouvernement dans la négociation de possibles accords avec le Fonds monétaire international (FMI).

La plainte, déposée par 101 députés - sur les 167 que compte le Parlement monocaméral - accuse aussi l'homme d'affaires d'«association de malfaiteurs», a expliqué le parlementaire Pedro Carreño en présentant le document.

 

Selon un avocat pénaliste consulté par l'AFP, s'exprimant sous couvert d'anonymat, le délit de trahison à la patrie peut mener, dans les cas les plus graves, à des peines de 20 à 30 ans de prison.

Lorenzo Mendoza dirige les entreprises Polar, le plus grand producteur alimentaire du pays, et figure à la 690e position du classement mondial des personnes les plus riches établi par la revue Forbes, avec une fortune estimée à 2,7 milliards de dollars.

La plainte à son encontre se fonde sur un dialogue téléphonique qu'il aurait tenu avec l'économiste vénézuélien Ricardo Hausmann, diffusé le 14 octobre dernier dans une émission télévisée présentée par le président de l'Assemblée et numéro deux du PSUV, Diosdado Cabello.

Dans ce dialogue, M. Hausmann dit avoir été en discussions avec le FMI et estime que le pays, en grave crise économique, ne peut s'en sortir sans une aide internationale de 40 à 50 milliards de dollars, ce à quoi Lorenzo Mendoza acquiesce.

M. Mendoza, qui affirme que la conversation incriminée était privée et a été enregistrée de manière illégale, assure que les accusations sont «une tentative de manipuler l'opinion publique» dans un climat politique compliqué pour le parti au pouvoir, qui multiplie les offensives à l'encontre de ses opposants.

http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201510/21/01-4912415-le-principal-chef-dentreprise-du-venezuela-accuse-de-trahison.php

Lien vers le commentaire

 

 

30 ans de prison ? Pour avoir répondu oui à une question sur l'état catastrophique du pays ?!!

 

"Trahison à la patrie" c'est encore trop classique comme formule. Qu'ils retournent tout de suite aux bons vieux chefs d'accusations du temps de Staline, du genre "défaitisme contre-révolutionnaire"...

Lien vers le commentaire

 

Juste un sursis pour essayer d'éviter en vain l'inévitable comme disait ZeroHedge:

 

 

As for Venezuela, after it runs out of gold in its inexplicable quest to placate creditors and postpone a default which at this point is unavoidable, at least it will have toilet paper.

maduro%20TP_0.jpg

Actually, no it won't.

 

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...