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Abductions massives et viols d'enfants par l'État


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J'ai la faiblaisse de ne pas considerer l'homo ou la bi sexualité comme un mauvais penchant.

Je réponds à un post de neuneu2k, on ne parlait plus vraiment de ça en fait, pas d'inquiétude. ;)

D'ailleurs je ne pense pas qu'on puisse présenter ça comme un penchant, mauvais ou non. Au sens que ça n'est pas quelque chose qui se manifeste de temps en temps. :P

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Allons allons, l'hétérosexualité et l'homosexualité ne sont pas aussi compartimentés qu'on veut bien le croire, il y a de l'homosexualité plus ou moins bien refoulée chez tout hétéro, et vice-versa ; tout comme il y a de la féminité chez tout homme et de la virilité chez toute femme. 

 

En attendant Godot.

 

godot-sniff.gif

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Il y a un gros malentendu, voilà tout. Régalien, ce n'est pas ça du tout, ça veut juste dire qu'ils se régalent.

 

http://www.sheffieldtelegraph.co.uk/news/local/researcher-who-tried-to-expose-rotherham-abuse-feared-for-life-after-police-officers-threat-1-6831507#.VBFNroiXU2c.twitter

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La protection de l'enfance. Il n'y a pas qu'au Royaume-Uni que c'est tout pourri : http://www.france5.fr/emission/enfants-en-souffrance-la-honte/diffusion-du-16-09-2014-20h40

J'ai de plus en plus l'impression que l'existence des services de protection de l'enfance augmentent leurs risques d'être maltraité, au lieu de les diminuer...
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De fait le reportage évoque des centres d'hébergements dans lesquels les gamins placés sont soumis à des tabassages en règles et à des agressions sexuelles renouvelées. Pour certains, ce n'est certainement pas pires que les dangers qui ont motivés leur placement sous la "protection" de l'aide à l'enfance. Et on ne parle des asiles de la Transnistrie orientale au XIXème siècle, mais de la France des années 2010 et, visiblement, tout le monde s'en fout.

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Le problème c'est que tous les enfants ne sont pas là parce que maltraités, beaucoup y sont parce que leur(s) parent(s) est (temporairement ou pas) dans l'incapacité de s'occuper d'eux: trop handicapé ou gravement malade, en prison, disparu/enlevé, etc.

Du coup pour ceux-là le risque est très accru à cause de l'intervention de l'état. Et je me demande si pour l'ensemble des enfants du pays, du coup, en moyenne c'est pire quand le service existe.

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Sans parler des enfants qui, malgré le défaillance parentale, qu'elle qu'en soit la nature, ont encore une famille (grands-parents, oncles, tantes, cousins, frères ou soeur plus âgés) qui pourraient les prendre en charge et qui sont tout de même placés.

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 la France des années 2010 et, visiblement, tout le monde s'en fout.

 

Les gens n'arrivent pas à concevoir que le gentil État qui veut tout faire pour prendre soin des enfants n'est pas trop regardant de l'endroit ou ils les envoient. Le kidnapping des services sociaux est 100% étatique, et pour les gens ça veut dire 1000% sûrs sauf quelques tarés. Ils te répéteront à l'envie que c'est contrôlé etc. sans savoir ce qu'il y a dans les contrôles, la fréquence, qui contrôle etc. Quand l'État intervient les gens n'arrivent plus à réfléchir. On n'incrimine pas les pouvoirs publics en Angleterre, mais que les individus, alors que si c'était une entreprise privée, le scandale serait attaché à l'entreprise elle-même (et la responsabilité des administrateurs seraient sûrement mise en cause et heureusement). Personne n'est responsable de rien dans la fonction publique. Le flic ne se fait même pas virer. 

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Les gens n'arrivent pas à concevoir que le gentil État qui veut tout faire pour prendre soin des enfants n'est pas trop regardant de l'endroit ou ils les envoient. Le kidnapping des services sociaux est 100% étatique, et pour les gens ça veut dire 1000% sûrs sauf quelques tarés. Ils te répéteront à l'envie que c'est contrôlé etc. sans savoir ce qu'il y a dans les contrôles, la fréquence, qui contrôle etc. Quand l'État intervient les gens n'arrivent plus à réfléchir. On n'incrimine pas les pouvoirs publics en Angleterre, mais que les individus, alors que si c'était une entreprise privée, le scandale serait attaché à l'entreprise elle-même (et la responsabilité des administrateurs seraient sûrement mise en cause et heureusement). Personne n'est responsable de rien dans la fonction publique. Le flic ne se fait même pas virer. 

 

Moi cela me fait surtout penser aux critiques contre l'Eglise au sujet des abus commis sur les enfants, et la volonté de l'Eglise de couvrir ces abus pendants des années. Beaucoup de gens autour de moi utilisent cet argument pour critiquer la religion et sont en faveur de la dissolution pure et simple de l'Eglise, etc...

 

Mais on entend pas beaucoup de voix pour la dissolution des gouvernements ou des organisations para-étatiques de protection de l'enfance...

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J'apporte quelques précisions, de mon expérience du boulot

 

A la base, l'ASE intervient lorsqu'elle connait une situation.

Donc, si elle est informée de l'empêchement ponctuel d'un parent, c'est soit parce que l'autre parent a fait part de son indisponibilité, soit que l'école, le médecin, bref, un tiers l'a signalé aux services sociaux.

Dans tous les cas, un travail sérieux consiste à vérifier si cet enfant a de la famille, ou de l'entourage "digne de confiance", cette formule pouvant être reconnue administrativement et permettre une indemnisation....

 

Les retraits d'enfants de leur famille sont l'exception, prévalent les aides à domicile, soutien éducatif, travailleuse familiale

Un enfant est retiré de sa famille lorsque les autres aides n'ont pas été suffisantes pour le protéger, ou elles ne sont pas tentées lorsque le danger est avéré.

 

Il y a le placement dit "administratif", non judiciarisé, à l'amiable, en quelque sorte, un contrat signé entre l'ASE et les responsables légaux, à durée limitée et renouvelable avec l'accord des parents

Il y le placement judiciaire ordonné par le Juge des enfants, qui détermine les causes, les objectifs et la durée de ce retrait de l'enfant. Mis en œuvre lorsque la famille dangereuse n'est pas coopérante.

 

Bon. Ça c'est la théorie, et on essaie de l'appliquer au mieux.

Reste à définir la notion de danger, la solution la moins pire entre rester chez les parents ou le placement.

 

En fait, c'est un peu comme l'incarcération....  à ce détail près que c'est la victime que l'on sanctionne en la retirant de son lieu de vie habituel, lequel serait toxique et dangereux, physiquement ou mentalement

 

En effet, les  établissements pour enfants en difficulté, bah ils sont fréquentés par des enfants en difficulté, scoop ! Donc on y trouve de beaux spécimens élevés à bonne école. Certains font subir au plus faibles les sévices qu'ils ont connus. (cf la vie carcérale).

 

 

 

 

 

 

 

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  • 1 month later...

Le point de vue libéral-libertaire, une certaine idée de la propriété de soi et du principe de non-agression. Au moins est-il cohérent.
 

 

Faire des enfants est immoral et dangereux

Par Ruwen Ogien
 
Faire des enfants est-il immoral?
 
Dans la France d’aujourd’hui, certaines personnes n’ont pas accès à l’assistance médicale à la procréation (PMA), parce qu’elles sont seules, homosexuelles, jugées trop âgées, etc. On peut estimer (comme c’est mon cas) que cette exclusion est injuste et relève d’un paternalisme d’État complètement dépassé, tout en essayant de faire une petite pause philosophique pour demander: mais pourquoi faire des enfants ?
 
N’est-ce pas un acte immoral et dangereux si on prend en considération le fait que notre espèce est la plus nuisible de la planète en raison des conséquences désastreuses de ses actions sur les autres espèces et l’environnement naturel?
 
N’est-il pas mieux de ne pas faire d’enfants, car quand on n’en fait pas, on ne risque pas d’augmenter la quantité de souffrance et de destruction dans le monde ?
 
Ces arguments sont conséquentialistes.
 
Il en existe d’autres qui ne le sont pas mais qui aboutissent aux mêmes conclusions.
 
Ils visent à prouver que faire des enfants est toujours immoral, que le monde soit surpeuplé ou pas, que les conséquences de la procréation humaine sur l’environnement soient désastreuses ou pas.
 
Il y a d’abord ceux qui reposent sur l’idée antique que la vie, n’importe quelle vie, ne vaut pas la peine d’être vécue, même si elle est pleine de petites joies passagères. En venant au monde, nous nous exposons au risque d’être un jour seul, méprisé, malade, mourant, horriblement malheureux, ce qui ne peut évidemment pas nous arriver si nous ne naissons pas.
 
On trouve cet argument dans la pièce de Sophocle Œdipe à Colone, mais aussi chez Woody Allen de façon un peu plus drôle, quand il dit : « La vie est si terrible qu’il aurait mieux valu ne pas être né. Mais qui a cette chance? Pas une personne sur mille ! »
 
Contre cet argument, on peut objecter que même si vivre n’est pas toujours une joie, la plupart des individus vivants sont contents d’être nés et de rester en vie, comme le démontre amplement le fait qu’ils souhaitent généralement mourir le plus tard possible ou, pour les plus irréalistes, ne pas mourir du tout.
 
Et c’est là qu’intervient la deuxième catégorie d’arguments, ceux qui reposent sur l’idée de consentement. Ces arguments partent du principe que tout ce qu’on fait subir aux autres sans leur consentement est immoral.
 
Par conséquent, même si les enfants sont globalement contents de vivre, ce n’est pas une raison morale suffisante de les mettre au monde, car ils n’ont jamais consenti à naître.
 
Plus formellement, le raisonnement a l’allure suivante:
1) Tout ce qu’on fait subir aux autres sans leur consentement est immoral.
2) Quand on fait des enfants, c’est nécessairement sans leur consentement.
3) Il est immoral de faire des enfants.
 
Certains diront que le critère du consentement n’est pas le meilleur pour savoir si une action est morale ou pas, surtout quand elle est dirigée vers des personnes qui n’ont pas, en principe, la capacité de consentir, comme c’est le cas des tout jeunes enfants. On ne fait rien d’immoral, à première vue, quand on sauve la vie de personnes qui n’ont pas pu consentir aux soins parce qu’elles sont dans le coma.
 
Je crois pourtant que l’argument du consentement des enfants doit être pris en considération quand on s’interroge sur la valeur morale de la procréation. Il devrait nous amener à la conclusion suivante (qui n’exclut pas une certaine forme d’optimisme soit dit en passant).
 
Seuls nos enfants pourront un jour nous absoudre de la faute morale qui consiste à les avoir mis au monde.
 
Comment ?
En acceptant de nous pardonner de les avoir fait naître.

http://liberationdephilo.blogs.liberation.fr/mon-blog/2014/11/faires-des-enfants-est-immoral-et-dangereux.html

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