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Les belles montres & autres tocantes


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Les montres érotiques

Quand le sexe, le libertinage et le vice rencontrent l’horlogerie

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Décembre 2014 - Les catalogues d’enchères contiennent régulièrement quelques montres érotiques représentant sans équivoque possible des barons honorant leur femme de chambre ou des marquises offrant bien plus que leur jarretière à leur cocher. Et je passe les représentations de moinillons défroqués, de nonnes très ouvertes d’esprit et plus, ou, plus scabreux, d’animaux un peu trop curieux des sous-vêtements de leur maîtresse. Les montres érotiques sont un témoignage délicieux de l’histoire du libertinage depuis le XVIIIème siècle. Délicieux et malicieux, car le plus souvent, les décors et les animations érotiques ne sont visibles par le propriétaire de la montre que lorsque celui-ci l’ôte de son poignet ou soulève un couvercle. Et oui, on peut être libertin, curieux, attiré par le vice, mais néanmoins cacher ses penchants libidineux aux premiers observateurs venus. Mais le point commun de toutes les montres érotiques conçues depuis trois siècles, c’est sans doute l’humour des représentations érotiques, plus proches du Con d’Irène que de celui de Justine ou d’O…

 

Sexe et horlogerie: un pied de nez aux pudeurs morales et religieuses

 

Le premier obstacle à l’émergence des montres érotiques à automates était d’ordre technique, lié à la miniaturisation des automates, aussi appelés « jacquemarts ». Car intégrer des automates dans une montre est une opération délicate, car les personnages animés consomment beaucoup de l’énergie du mouvement. C’est d’autant plus délicat si ces jaquemarts sont associés à une autre complication comme une répétition minute. Et l’on imagine bien comment, même à la fin du XXème siècle, cette contrainte, déjà considérable dans une montre de poche ou une horloge, le devient davantage dans une montre-bracelet.

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Mais le second obstacle était – encore que le présent s’applique tout aussi bien à cette phrase – encore plus épineux:  puisqu’il s’agit du niveau de tolérance ou plutôt d’intolérance des autorités morales, religieuses et politiques. Pour ne pas être accusé d’attentat à la pudeur, les horlogers rivalisèrent d’ingéniosité et de fantaisie pour tenter les acquéreurs potentiels de ces gardes-temps libertins.

Les autorités religieuses ayant pris connaissance de cette mode, elles formèrent une alliance dans les cantons suisses de Genève et Neuchâtel pour combattre le « libertinage horloger ». Ainsi, la production de montres érotiques fut interdite et la plupart des modèles existants furent saisis. Le destin des montres confisquées est à la fois prévisible et sinistre : elles furent purement et simplement détruites. Ces objets, qui pour des raisons de coûts étaient des pièces très rares, le devinrent naturellement encore davantage.

L’ingéniosité des horlogers sera donc salvatrice pour quelques unes de ces raretés. Car au lieu de placer les automates de manière ostensible sur le cadran de la boîte, certains ont imaginé un double couvercle permettant de mettre les automates à l’abri des regards inquisiteurs. Lorsque la charnière est fermée, rien ne distingue la montre érotique d’un banal garde-temps.

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Mais ce qui est frappant, c’est que souvent, la montre propose deux décors: la scène coquine se cache sous une image pieuse ou purement naïve. Et parfois même, le couvercle ne laisse entrevoir qu’une partie du décor, souvent romantique, mais une fois le couvercle relevé, ce tête à tête amoureux dévoile un jeu de main ou autre des plus enivrant.

Finalement, le subterfuge reste le même, quelque soit la montre: jusqu’au XXème siècle, la montre-bracelet n’existant pas, l’érotisme est caché par un système de couvercle plus ou moins complexe. Mais avec l’apparition de la montre-bracelet et l’invention de système de réversibilité, de nouvelles perspectives se sont ouvertes pour les horlogers. Certains se contente de proposer un décor côté fond, d’autres vont plus loin, comme Svend Andersen, qui permet à l’envie de changer la face de la montre que l’on veut afficher sur son poignet.

 
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STEINHART "ST 10.." Limited Edition - Art.Nr. L0810 
Delivery January 2015 !!!

Swiss Made - 2 years warranty

10 years STEINHARTthat is 10 years German design and Swiss precision at reasonable prices, 10 years of passion for mechanical timepieces, 10 years in which, through hard work and courage, a brand has grown which consistently goes its own way and takes much pleasure in further developing. This anniversary, this milestone we celebrate with not one but three strictly limited special editions! The final watch of this trilogy is also our most personal, because it reflects everything that we love about our watches. The ST.10, also limited to 111 pieces, features our first in-house designed wrist watch case that was introduced in the form of the original Le Mans GT nearly eight years ago. The cushion-shaped stainless steel case has received a restrained, matte finish to create a strong contrast to the highly polished glass ring. Through the slightly domed sapphire crystal, which has been treated to two layers of anti-reflective coating on the inside, you will be immediately drawn to the unusual sandwich dial. The upper layer shimmers in a metallic gray, through whose generous cut-outs one gets a view of the lower level, where multiple grooves cut their patths through the matte black metal like the pattern in a Zen garden. Above the engraved minute markers and the round, cut-out hour markers, the shiny gold hands make their rounds, while around the second's subdial at 9 o'clock, two subtle references refer to the the occasion, for which the ST.10 was created. As if these where not already enough highlights to be found, when viewing through the window of the screw-down case back, another surfaces, the anthracite ST.1 premium. The nearly indistructable base caliber was supplied by the Swiss manufacturer ETA, which we have modified in-house with upgrades like our three-quarter bridge, swan neck regulator, screw balance as well as unique decorations and other individual modifications. The leather strap that secures the ST.10 to the wrist, was again, as with the previous two anniversary models, handmade exclusively by MEVA. A second strap is of course also part of the generous package, as well as a strap changing tool and a personalized certificate. For us, the ST.10 is the culmination of the first ten years of STEINHART TIMEPIECES and the foundation for the next decade in which the brand will continue to boldly produce with great passion and joy a wide range of watch models for our loyal customers and friends.
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Technical Details
Type: ST 10..
Item no.: L0810

Movement
Base caliber ETA Unitas 6497-1, 16 1/2'', handwinding, Swiss made
17 jewels 
18,000 vibrations per hour 
3/4-bridge with escape wheel island of our own production ..
Radial, decentralized Geneva stripes ..
Pallet fork bridge pearled ..
Two-spoke screw balance ..
Bevelled swan-neck fine adjustment of our own production ..
Skeletonized and brushed ratchet wheel ...
Perlage under the ratchet wheel ...



Functions
Hour and minute hands gold with Super -Luminova Bgw9..
Second hand by "9" gold...


Case: stainless steel, matt...
Back: Stainless steel screwed, sapphire crystal...
Diameter: 44,0x 44,0 mm
height: 14,8 mm
Weight: 137 g
Dial: SANDWICH gray/ black with Superluminova C3..
Crystal: Sapphire domed, with double anti-reflecting coatings on the interior side
Bezel: Stainless steel polished..
Indices: SANDWICH Superluminova Bgw9...
Lug width: 24 mm, screwed-in...
WaterRes: 5 ATM.(.limited water resistant, no swimming, no shower)..
Strap: Spezial Strap MEVA handmade, vintage leather brown with gold stitches..24x22mm
Buckle: Stainless steel pin buckle, PRE-V 22 mm, screwed, with LOGO..

Accessoires
2.Strap:Vintage strap black, calfskin 24x24mm...
2. buckle: stainless steel pin buckle, PRE-V 24mm screwed, with LOGO..
wooden box, coated with piano lacquer, black..
Certificate limited..
metal plate limited...
Cleaning cloth...
Watchtool..
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... Swiss precision at reasonable prices,

 

 

...ça représente quoi un reasonable price...?

 

Je rêve depuis des années d'une Breitling, Bell&Ross et autres Blancplain ou IWC et même Rolex, mais je me heurte quand même au montant de la facture...

Au point que je me suis fait avoir 2 fois avec des bouses intergallactiques: Hindenberg et André Belfort: ces saloperies sont vendues pour mécanismes Suisse, mais se révèlent par la suite n'être que du chinois de (très) mauvaise qualité. Bilan: 2 montres réparées 2 fois par mon horloger, mais qui maintenant sont au fond d'un tiroir, attendant que je les fracasses d'un coup de marteau.

Enfin, un jour peut-être.

 

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...ça représente quoi un reasonable price...?

Je rêve depuis des années d'une Breitling, Bell&Ross et autres Blancplain ou IWC et même Rolex, mais je me heurte quand même au montant de la facture...

Au point que je me suis fait avoir 2 fois avec des bouses intergallactiques: Hindenberg et André Belfort: ces saloperies sont vendues pour mécanismes Suisse, mais se révèlent par la suite n'être que du chinois de (très) mauvaise qualité. Bilan: 2 montres réparées 2 fois par mon horloger, mais qui maintenant sont au fond d'un tiroir, attendant que je les fracasses d'un coup de marteau.

Enfin, un jour peut-être.

Entre 400 et 1000 euros (voire 1500 pour Sinn) mais il faut de la patience, c du quasi MTO
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Oui tu as d'excellents modèles chez Steinhart à 350€ (plongeuses type Submariner, j'en ai une et la qualité est au RDV), et jusqu'à 1000-1200€ pour des modèles premiums (tel que celui mentionné plus haut)

 

Le RQP est excellent et sans concurrent aujourd'hui en mouvement suisse ; seul Seiko sait produire des montres de la même qualité dans la même gamme de prix.

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Je ne sais pas quelles sont tes connaissances en horlogerie, mais tu veux des conseils (de moi ou d'autres) sur de l'entrée de gamme de qualité, n'hésite pas à nous solliciter !

Envoyé de mon iPad en utilisant Tapatalk

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Je ne sais pas quelles sont tes connaissances en horlogerie, mais tu veux des conseils (de moi ou d'autres) sur de l'entrée de gamme de qualité, n'hésite pas à nous solliciter !

Envoyé de mon iPad en utilisant Tapatalk

Ha ben c'est gentil de se proposer pour un tel exposé.

Concrètement l'entrée de gamme de qualité c'est quoi et ça démarre à combien ?

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Je ne sais pas quelles sont tes connaissances en horlogerie, mais tu veux des conseils (de moi ou d'autres) sur de l'entrée de gamme de qualité, n'hésite pas à nous solliciter !

 

 

En fait, j'aime les "belles mécaniques" automatiques. Le coté métaux précieux et/ou pierres précieuses me laisse assez froid. Je trouve les complications fascinantes, y compris le prix.

Je me damnerai pour une Bréguet Aeronavale, une IWC Quantième Perpetuel ou Pilot ou ecore une Breitling Navitimer.

Curieusement, je n'aime pas trop les Rolex.

 

Donc voilà, sauf à gagner un jour au loto, je ne me vois pas raisonnablement mettre plus de 5 ou 600 € dans une montre, c'est pourquoi celles que je mentionne plus haut me sont innaccessibles. Mais bon, ça fait quand même du bien de rêver.

 

Je n'ai pas encore eu le temp d'aller faire un tour chez Steinhart, mais je vais le faire ce w.e.

 

Et merci pour ta proposition d'aide.

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Bon vous avez l'air de vous y connaître alors je vais aller à l'essentiel, et pardon des imprécisions qui relèvent de la caricature et de la simplification pour aller vite. 

 

L'important dans une montre c'est le mouvement ; le reste est non négligeable, mais n'intervient qu'après, de la qualité de la finition, au type d'emboîtage, du design au style. 

 

S'il fallait classer les mouvements sur une échelle de qualité, et bien on aurait tout en haut les mouvements suisses de manufacture, fiables, qui intègrent parfois des complications, qui ont la meilleure tenue de l'heure, réserve de marche et que sais-je. Ceux des grands noms de l'horlogerie, Audemars Piguet, Bréguet, Blancpain, Rolex, IWC, Zenith et tant d'autres, sans même parler de la haute horlogerie qui est un cas à part. Ce sont des mouvements manufacturés aux prix stratosphériques et dont je ne parlerai donc pas ici. 

 

Ensuite on trouve, toujours chez les Suisses, les mouvements d'usine de qualité, qui proviennent de la fin de l'âge d'or de l'horlogerie mécanique (années 1960-70), et qui n'ont pas été modifiés depuis. Ils répondent aux doux noms de Peseux, Unitas (manuels), 2824-2 (auto 3 aiguilles), 2893-2 (auto GMT), Valjoux (chronographe à quantième), ... Ils ont la particularité d'être produits par la société ETA (suite à diverses fusions), qui a longtemps détenu un monopole de fait sur 80% au moins de la production des mouvements suisses. ETA était à l'origine une subdivision de la marque Eterna, avant de rejoindre grâce à Nicolas Hayek le Swatch Group, dont il fait toujours partie. Alors que l'écrasante majorité des marques suisses a été décimée par l'ouragan du quartz et des japonais (Seiko, Casio, ..) à partir de 1975-6, et que certains ont vendu jusqu'aux bijoux de famille (Breitling, Omega...), ETA a continué à produire des mouvements mécaniques fiables. Avec le retour en grâce de l'horlogerie depuis environ 20 ans, les mouvements ETA sont certes vieillots mais extrêmement réputés, fiables, et connus par tous les horlogers, même du dimanche. Or, il se trouve que Swatch Group a décidé il y a 3 ans de cesser de fournir les marques concurrentes, et ferme progressivement le robinet (officiellement, parce qu'ETA ne peut plus faire face à la demande, croissante). Le Swatch Group c'est un mastodonte (Omega, Blancpain, Bréguet, Longines, Hamilton, Glashütte Original, Jaquet Droz, Tissot, et j'en passe...) mais comme ETA inondait la quasi totalité du marché hors mouvements manufacturés, son départ fait très très mal. 

 

Les concurrents cherchent donc des solutions alternatives, et le choix n'est pas immense : 

- prendre un clone chinois des mouvements ETA, avec une base Sea-Gull : des marques d'entrée de gamme type Alpha, Parnis, ... font cela, et sont d'ailleurs spécialisées dans l'hommage pour ne pas dire le plagiat. Les montres coûtent 100 à 300€, mais on est tout de même loin de la qualité suisse ;

- prendre un clone suisse des mouvements ETA (par exemple le Sellita qu'on trouve chez Eterna, Oris...) : bof, les retours en atelier semblent nombreux

- monter en gamme, et prendre un mouvement suisse non ETA plus moderne et réputé meilleur que les ETA : on trouve dans cette catégorie le Soprod par exemple

- se tourner vers Seiko, qui produit des mouvements certes moches mais fiables et réputés (par exemple le 6R15, équivalent du 2824-2), ce qu'a fait Breitling par exemple (mais sans trop le dire...)

 

Dans tout ça, honnêtement, l'idéal me parait encore à ce jour, parce que des montres mécaniques ça s'entretient régulièrement, ça se révise, c'est quand même si possible de partir d'une base ETA. C'est une garantie de sécurité évidente. Et si les montres du Swatch Group ne vous plaisent pas ou vous semblent trop cher, il reste quelques fabricants qui ont encore des stocks de mouvements. Des microbes (les Français HOF par exemple), ou des bien plus gros (Glycine, ...)

 

Raisonnablement, une montre qui emboîte un mouvement ETA coûte entre 300 € et 3000€ : en bas de l'échelle Steinhart, et d'autres allemands (Archimède, Rotor, Laco, Stowa...), en haut Tudor par exemple (l'autre marque de Rolex). 

 

Si j'avais un conseil à donner c'est celui-ci : prenez un mouvement ETA chez Steinhart (ou éventuellement les mouvements maisons ST.1, ST.5 et ST.10, qui sont des ETA traficotés... mais je me méfie un peu), ou un 6R15 (ou mieux encore, 8L35...) de Seiko. Vous avez des montres de grande qualité pour pas cher (350 à 600 €). 

 

Seiko : on connait bien, la plupart des bijoutiers en vendent. Sauf qu'ils vendent de la merde. Seiko produit toutes sortes de quartz (il est même à l'origine de l'ouragan), qu'on trouve partout, mais aussi des mouvements mécaniques qui vont de 50€ (Seiko Five, très bien aussi pour démarrer le mouvement 7s26) à 10 K€ pour les Grand Seiko (qui font la nique à Rolex). C'est donc une marque, en occident, largement sous-évaluée par rapport à ce qu'elle est réellement. Les Seiko sont donc vendues chez nous bien moins cher qu'elles le seraient si elles étaient Swiss Made (au moins moitié prix). Et puis la gamme est gigantesque (encore plus grande si on ajoute sa sous-marque Orient)

 

Steinhart : ils sont très décriés pour avoir produit des hommages appuyés à Rolex, ce qui est indéniable. Mais ils ne font pas que cela - voir sur leur site, la gamme comprend six ou sept types de montres différents. Ils emboîtent de l'ETA a un prix défiant toute concurrence. La qualité est réellement au rendez-vous (Deutsche Qualität), et n'importe quel horloger pourra s'en occuper. Difficile de faire mieux à mon sens. Qui plus est, Gunter Steinhart, qui est un passionné d'horlogerie et non un aigrefin, a pour ambition de casser un marché oligopolistique où les Suisses augmentent chaque année depuis 10 ans de 10% le prix de leur production, sans raison objective sinon pour créer de la rareté. Et puis si vous aimez la submariner de Rolex, ici vous en avec une à 350€, c'est imbattable. 

 

Et à défaut de ces deux-là, il y a d'autres excellents allemands (anciens, récents...) que je vous conseille, plus chers parfois, mais vous pouvez y aller les yeux fermés : Archimède, Stowa, Rotor, Sinn (aah la U1...), Laco, Damasko, Nomos, Junghans, ..

 

Là vous avez un bon mouvement + une bonne finition. Reste le style (plongeuse, flieger, chrono, ...), qui vous appartient, et enfin le design (plus ou moins original). C'est extrêmement subjectif mais si je m'en tiens au design, mes préférences là sont clairement suisses : Rolex (submariner, voire explorer), Omega (j'adore tout), Tudor (pareil), Oris, Frédérique Constant... Ce ne sont pas forcément les montres les moins chères, mais pas forcément les plus chères non plus !

 

On pourrait poursuivre pendant des heures, mais ce post est déjà bien assez long.

 

PS : l'emboîtage de mouvements ETA est bien plus complexe que je ne le décris ici, voir par exemple : http://forumamontres.forumactif.com/t25378-qui-emboite-quoi?highlight=emboite

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