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L'UDI, nouveau parti politique français


Messages recommandés

Oui, tu as juste pour Mitterrand, mais non, le PS s'est d'abord fait sans le PSU.

Tout est relaté durant l'épisode du congrès d'Epinay (1971)

Oui exact, je n'ai plus en tête la timeline des ralliements, mais vu la rivalité entre Rocard et Mitterrand, on peut imaginer que le PSU n'était pas en pole position pour soutenir celui qui allait devenir président!

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Fédéralisme européen. Beurk.

Je sais que c'est sans doute ce qui se rapproche le plus du libéralisme dans ce pays, mais beurk quand même.

Je suis d'accord,

les libéraux en France (et en Europe) font une grave erreur en soutenant l'européisme forcené, l'Europe Fédérale en projet final.

Nous ne serons jamais les Etats-Unis d'Europe. Nous avons des nations, les gens n'accepteront pas un gouvernement europe avec un ministre allemand ou autres qui leurs dira de faire ceci ou cela dans leur pays (c'est deja plus ou moins le cas et ça ne durera pas, les peuples se souleveront pour reprendre leur indépendance totale, on voit bien qu'il est difficilement supportable pour des grecs de subir une politique dictée par Merkel, ce sera partout pareil).

D'autant plus que pour avoir une même monnaie et un même budget il faut une mobilité des travailleurs, or avec notre passé de nations, avec 27 langues, on ne change pas de pays comme de régions. Milton Friedman lui même était contre l'euro unique, pour ces raisons évidentes….. il avait prédit dès le début ce que nous vivons aujourd'hui (pas de mobilité, plus de possibilité d'ajuster les monnaies nationalement (la Grèce avec la même monnaie que l'Allemagne ? allons…, système sociaux différents, pas de budget européen possible, pas de gouvernement européen possible) : http://www.contrepoints.org/2012/07/31/92198-milton-friedman-avait-prevu-la-crise-de-leuro

Je crois qu'il est urgent qu'on revienne a des pays souverains, que l'Europe revienne a ce qu'elle était au début, un marché commun, un espace de coopération sur des projets industriels, recherche, etc, rien de plus (pas de construction supranationale, de fédéralisme, d'uniformisation). C'est en France qu'il faut qu'on impose le liberalisme, l'imposer via une Europe fédérale illégitime que les peuples feront tomber à un moment ou à un autre quand ils subiront des ordres d'étrangers à leur pays ne servira a rien, durant ce processus (deja entamé) ça ne fera que tuer notre industrie et ça aura pour conséquence l'effet inverse recherché : à savoir tuer l'idée de liberalisme chez nous.

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Je suis d'accord,

les libéraux en France (et en Europe) font une grave erreur en soutenant l'européisme forcené, l'Europe Fédérale en projet final.

Nous ne serons jamais les Etats-Unis d'Europe. Nous avons des nations, les gens n'accepteront pas un gouvernement europe avec un ministre allemand ou autres qui leurs dira de faire ceci ou cela dans leur pays (c'est deja plus ou moins le cas et ça ne durera pas, les peuples se souleveront pour reprendre leur indépendance totale, on voit bien qu'il est difficilement supportable pour des grecs de subir une politique dictée par Merkel, ce sera partout pareil).

Bôf, au final, on ne peut pas en être si sûr. Qui aurait pu prédire il y a 100 ans que la France et l'Allemagne finiraient copains comme cochons ? Le problème de l'U.E, c'est de s'être trop agrandie sans avoir poser de bases solides.

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On ne sait pas vraiment ce que les gens veulent comme Europe, il est vrai que parler à leur place est un peu osé de la part des politicards.

Néammoins il y a des indices, lorsque les français furent consultés sur la constitution européenne ils votèrent plus contre le gouvernement en place que contre le traité proposé, lors des élections européennes l'abstention bat des records. Mais même au quotidien, les journaux télévisés, les radios et la presse sont restés à l'actualité nationale (particulièrement en France d'ailleurs) ce qui traduit un désintérêt majeur de ce qu'il se passe ailleurs. Le quidam n'a aucune idée de ce qu'il se passe derrière cette barrière appelée frontière. L'actualité de l'Union européenne est relayée à travers le prisme national, le conseil européen qui réunit chefs d'Etat et de gouvernement bénéficie d'un relai médiatique bien plus important que les travaux du parlement européen.

A mon sens, tous ces indices indiquent un absence complet d'identification à une identité européenne et à un projet commun.

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  • 1 month later...

Ca va jaser :

« Nous sommes européens, sociaux, mais aussi libéraux, n’ayons pas peur du mot », martèle l’ancien ministre Yves Jégo, délégué général de l’UDI, reprenant les trois piliers du discours de Raymond Barre. Avec l’Europe, l’écologie et la République, le libéralisme sera le quatrième chapitre du  $futur projet de l’UDI. « La gauche a caricaturé l’UMP en
parti des riches ; nous devons nous poser en parti des entrepreneurs », poursuit-il.
Le ralliement attendu du petit Parti libéral démocrate d’Arnaud Dassier, très libéral et autrefois proche de l’UMP, serait un signe de ce positionnement.

0202428858314 (1).pdf

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Bon, en attendant, Chatel, Novelli et autres libéraux de gouvernement sont restés dans les décombres de l'UMP... ils n'ont pas rejoint l'UDI... Donc je ne suis même pas sûr que la réponse à la question : "dans quel grand parti trouve-t-on la plus grande concentration de libéraux ?" soit : à l'UDI. Il faut rappeler que lorsque AL s'est associée au Nouveau Centre, il y a quand même eu des réactions effarouchées de certains NC face à cette nouvelle entente : "mais ce sont des ultra-libéraux !".

Peut-être qu'à l'UDI ils sont un epsilon plus libéraux sociétalement et politiquement mais ils sont un epsilon moins libéraux économiquement. Au final, je ne sais pas trop si on a à y gagner.

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Très bien. De toute façon, c'est pas très dur de faire plus libéral que l'UMP.

Mais lol "Avec l’Europe, l’écologie et la République"

 

L'UDI est pour ou contre la gaz de schiste ?

 

C'est la première question que je poserai si je les rencontrai histoire de les tester.

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Peut-être qu'à l'UDI ils sont un epsilon plus libéraux sociétalement et politiquement mais ils sont un epsilon moins libéraux économiquement. Au final, je ne sais pas trop si on a à y gagner.

Rien effectivement sauf si c'est un truc intéressant comme les putes et la drogue (aux retombées économiques énormes par ailleurs).
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Moi je suis contre le gaz de schiste. Pas de bol, ça existe quand même le gaz de schiste. :(

 

Pour aller au bout de mon trollage, j'enchaîne avec une question sur le nucléaire et les EPR. Pour ou contre ?

 

C'est un bon moyen de tester les gens en économie sur les questions d'énergie.

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Donc je ne suis même pas sûr que la réponse à la question : "dans quel grand parti trouve-t-on la plus grande concentration de libéraux ?" soit : à l'UDI.

La concentration, si c'est certain. Et peut-être même en valeur absolue aussi.

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Très bien. De toute façon, c'est pas très dur de faire plus libéral que l'UMP.

Mais lol "Avec l’Europe, l’écologie et la République"

Même avec 25% de libéralisme, ça serait déjà un progrès :mrgreen:

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"Parti libéral démocrate d’Arnaud Dassier"

Oh putain. C'est Aurélien, le président, à ma connaissance. Ca ne pose pas de problème au journaliste d'écrire ça, et de risquer de déclencher peut-être de sacrés remous au sein du PLD ?
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L'UDI est pour ou contre la gaz de schiste ?

 

C'est la première question que je poserai si je les rencontrai histoire de les tester.

 

Le but n'est pas de les tester mais de les faire évoluer. Il ne faut pas attendre de l'UDI des mesures libérales comme si on espérait la pluie dans le désert. Faut leur faire lire CP, aller les gaver sur les marchés, les inciter à troller à l'assemblée, recentrer le débat politique sur les valeurs (plutot que les ajustements technos-bidouilles qui tiennent lieu de programmes ces derniers temps) etc. 

 

Donc il ne faut rien attendre de l'UDI mais plutôt voir comment ce parti (qui a des fonds, des politiciens pro etc.) peut aider dans la mesure où c'est un des moins libéralo-incompatibles. 

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On peut critiquer toutes les formations politiques mais vu que pour la plupart nous résidons en France, je prendrai le moindre d'ouverture aux idées de liberté comme un phénomène extrêmement positif. Donc je demande à voir avant de juger. Mais j'ai un gros doute concernant la personalité de Borloo.

 

Je suis tombé sur leur clip, si cela intéresse quelqu'un.

 

http://www.dailymotion.com/video/xui0ot_je-suis-udi_news

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Pour aller au bout de mon trollage, j'enchaîne avec une question sur le nucléaire et les EPR. Pour ou contre ?

 

C'est un bon moyen de tester les gens en économie sur les questions d'énergie.

 

 

Le droit à construire chez soi, comme on veut sans autorisation du mandarin local. ça touche les gens.

L'EPR, tout le monde s'en fout. 

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« Nous sommes européens, sociaux, mais aussi libéraux, n’ayons pas peur du mot », martèle l’ancien ministre Yves Jégo, délégué général de l’UDI, reprenant les trois piliers du discours de Raymond Barre. Avec l’Europe, l’écologie et la République, le libéralisme sera le quatrième chapitre du  $futur projet de l’UDI. « La gauche a caricaturé l’UMP en

parti des riches ; nous devons nous poser en parti des entrepreneurs », poursuit-il.

 

 

Bon, en attendant, Chatel, Novelli et autres libéraux de gouvernement sont restés dans les décombres de l'UMP

 

 

 

À l'occasion du Congrès de Valence qui s'est tenu ce 2 décembre 2012, Hervé Morin a été réélu président du Nouveau Centre. Il semble qu'il entend jouer au sein de l'UDI la partition libérale que le Parti Républicain a joué au sein de l'UDF, le parti de centre droit, durant les années 80, si l'on s'en tient à son discours dont on peut extraire six phrases clefs

 

http://www.contrepoints.org/2012/12/04/106749-herve-morin-la-voix-liberale-au-sein-de-ludi

 

 

 

C'est toujours comique de voir ce genre de politiciens une fois dans l'opposition montrer toute l'étendue de leurs idées libérales ( trois taxes et une réglementation en moins, à la rigueur une barrette de shit).

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  • 2 weeks later...

 

N'étant pas spécialiste en économie, j'aimerais bien savoir ce qu'il faut entendre concrètement par OPA publique ? Est-ce à dire simplement que l'Etat se proposerait de racheter ArcelorMittal et de faire venir à lui ses actionnaires ? Si oui, je ne vois pas bien en quoi ça serait du communisme. Où est la coercition ?

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N'étant pas spécialiste en économie, j'aimerais bien savoir ce qu'il faut entendre concrètement par OPA publique ? Est-ce à dire simplement que l'Etat se proposerait de racheter ArcelorMittal et de faire venir à lui ses actionnaires ? Si oui, je ne vois pas bien en quoi ça serait du communisme. Où est la coercition ?

 

Je te rassure tout de suite il n'y a rien d'économique la dedans.

 

Mettons nous à la place de ce brave Jean-Louis.

 

Tu ouvres le journal le matin et tu te rend compte que 60% des français sont pour la nationalisation. Mais comme tu n'es pas sensé être un bolchevik tu ne peux pas utiliser le mot nationalisation et comme tu tiens à brosser dans le sens du poil les 60%, tu inventes une expression bidon et un concept encore plus bidon à savoir la sidérurgie franco-européenne qui est un secteur d'avenir comme chacun sait.

 

http://www.boursier.com/actions/actualites/news/arcelormittal-va-passer-des-depreciations-de-4-3-mds-dans-ses-comptes-512007.html

 

C'est plus simple d'inventer des conneries que de dire la vérité.

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Je te rassure tout de suite il n'y a rien d'économique la dedans.

 

Mettons nous à la place de ce brave Jean-Louis.

 

Tu ouvres le journal le matin et tu te rend compte que 60% des français sont pour la nationalisation. Mais comme tu n'es pas sensé être un bolchevik tu ne peux pas utiliser le mot nationalisation et comme tu tiens à brosser dans le sens du poil les 60%, tu inventes une expression bidon et un concept encore plus bidon à savoir la sidérurgie franco-européenne qui est un secteur d'avenir comme chacun sait.

 

http://www.boursier.com/actions/actualites/news/arcelormittal-va-passer-des-depreciations-de-4-3-mds-dans-ses-comptes-512007.html

 

C'est plus simple d'inventer des conneries que de dire la vérité.

 

Je ne suis pas sûr de bien comprendre. Dans la nationalisation, l'entreprise nationalisée n'a pas le choix, on la dessaisi de ses biens (même si on l'"indemnise"). Mais si l'Etat propose à une entreprise privé son achat, que cette dernière est libre d'accepter ou de refuser, il ne me semble pas que ça soit du pareil au même. Bien sûr, ce n'est sûrement pas libéral, car l'argent utilisé pour l'achat sera probablement de l'argent public racketté au contribuable. Mais il me semble exagéré de parler de communisme, si les mots ont un sens. Pourquoi ne pas simplement parler de social-démocratie (mais ça c'est pas nouveau de la part des radicaux de droite comme de gauche) ?

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Je ne suis pas sûr de bien comprendre. Dans la nationalisation, l'entreprise nationalisée n'a pas le choix, on la dessaisi de ses biens (même si on l'"indemnise"). Mais si l'Etat propose à une entreprise privé son achat, que cette dernière est libre d'accepter ou de refuser, il ne me semble pas que ça soit du pareil au même. Bien sûr, ce n'est sûrement pas libéral, car l'argent utilisé pour l'achat sera probablement de l'argent public racketté au contribuable. Mais il me semble exagéré de parler de communisme, si les mots ont un sens. Pourquoi ne pas simplement parler de social-démocratie (mais ça c'est pas nouveau de la part des radicaux de droite comme de gauche) ?

 

La nationalisation aurait couté plus de 1 milliard d'euros soit plus de 1,5 millions d'euros par tête de pipe (630 salariés). Pour une OPA publique, le prix aurait été sûrement plus élevé vu qu'il faut l'accord du vendeur qu'il va te faire banker au prix fort. Bref Jean-Louis est un tartuffe dans cette histoire.

 

On aurait pu assister à une des nationalisations les plus chères de l'histoire.

 

A partir du moment où, l'Etat est propriétaire des moyens de productions j'appelle ça du communisme point barre. :)

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1°) La nationalisation aurait couté plus de 1 milliard d'euros soit plus de 1,5 millions d'euros par tête de pipe (630 salariés). Pour une OPA publique, le prix aurait été sûrement plus élevé vu qu'il faut l'accord du vendeur qu'il va te faire banker au prix fort. Bref Jean-Louis est un tartuffe dans cette histoire.

 

On aurait pu assister à une des nationalisations les plus chères de l'histoire.

 

2°) A partir du moment où, l'Etat est propriétaire des moyens de productions j'appelle ça du communisme point barre. :)

 

1°) Ah oui, en effet, je n'avais pas vu ça comme ça.

 

2°) Tu ratisses large ;) Attention de ne pas confondre privatisation et libéralisation. Théoriquement, il me semble qu'un pays pourrait être tout à fait libéral, même si l'Etat ou les collectivités étaient propriétaires de larges secteurs, à partir du moment où ces secteurs ne seraient pas financés par le contribuable et qu'ils seraient mis en concurrence. En revanche, une société presque entièrement privatisée pourrait être anti-libérale au possible, si le secteur privé y subit une réglementation contraignante et des prélèvements obligatoires exorbitants. C'est pourquoi il ne suffit pas de dire d'un gouvernement qu'il a beaucoup privatisé pour dire qu'il a fait avancer la cause du libéralisme.

Exemple du premier cas : je suis maire d'une commune, j'y organise une grande tombola au profit de la municipalité. Avec les fonds je fais acheter par la commune un terrain pour y faire pousser des patates que je vends ensuite. La source du financement est légitimement acquise, l'acquisition est légitime (achat-vente), la prestation est légitime (commerce de patates), c'est libérhalal, et pourtant c'est du secteur public.

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1°) Ah oui, en effet, je n'avais pas vu ça comme ça.

 

2°) Tu ratisses large ;) Attention de ne pas confondre privatisation et libéralisation. Théoriquement, il me semble qu'un pays pourrait être tout à fait libéral, même si l'Etat ou les collectivités étaient propriétaires de larges secteurs, à partir du moment où ces secteurs ne seraient pas financés par le contribuable et qu'ils seraient mis en concurrence. En revanche, une société presque entièrement privatisée pourrait être anti-libérale au possible, si le secteur privé y subit une réglementation contraignante et des prélèvements obligatoires exorbitants. C'est pourquoi il ne suffit pas de dire d'un gouvernement qu'il a beaucoup privatisé pour dire qu'il a fait avancer la cause du libéralisme.

Exemple du premier cas : je suis maire d'une commune, j'y organise une grande tombola au profit de la municipalité. Avec les fonds je fais acheter par la commune un terrain pour y faire pousser des patates que je vends ensuite. La source du financement est légitimement acquise, l'acquisition est légitime (achat-vente), la prestation est légitime (commerce de patates), c'est libérhalal, et pourtant c'est du secteur public.

 

Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il ne suffit pas de privatiser pour avoir une économie libérale. Cependant je connais la mentalité des élus français et la seule façon de les contrôler c'est de définir un périmètre d'intervention très stricte. Il faut leur interdire toute intervention dans l'économie si on en est là aujourd'hui (56% du PIB en dépense publique) c'est bien parce qu'on a toléré n'importe quoi et qu'on a pas borné leur pouvoir ainsi que celui des partenaires sociaux (sécurité sociale).

 

Il y aussi un problème de compétence : on ne devient pas un stratégiste industriel ou banquier en un claquement de doigt. Il faut laisser les spécialistes se démerder et ils ne demandent pas autres choses pour la plupart d'entre eux.

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1°) Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il ne suffit pas de privatiser pour avoir une économie libérale. Cependant je connais la mentalité des élus français et la seule façon de les contrôler c'est de définir un périmètre d'intervention très stricte. Il faut leur interdire toute intervention dans l'économie si on en est là aujourd'hui (56% du PIB en dépense publique) c'est bien parce qu'on a toléré n'importe quoi et qu'on a pas borné leur pouvoir ainsi que celui des partenaires sociaux (sécurité sociale).

 

2°) Il y aussi un problème de compétence : on ne devient pas un stratégiste industriel ou banquier en un claquement de doigt. Il faut laisser les spécialistes se démerder et ils ne demandent pas autres choses pour la plupart d'entre eux.

 

1°) Certes, à moins d'être schizo, ça va être plus difficile de séparer le pouvoir économique du pouvoir politique, si on en trouve qui ont les deux casquettes.

 

2°) Ce problème là n'en est pas un, àmha. Si un entrepreneur public n'est pas compétent, alors dans un système concurrentiel, il se fera tout simplement laminé, et on n'en parlera plus. Point.

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