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Les syndicats qui nous veulent du bien contre notre gré


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Apres Bricorama qui doit supprimer des emplois grace aux syndicats qui refusent de travailler, c'est Arkema qui investit en Chine ou aux US parce que les syndicats ne veulent pas qu'ils investissent en France.

Toujours aussi futés, ces syndiqués.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/11/16/arkema-je-pensais-que-le-personnel-allait-m-embrasser_1791816_3234.html

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Allez, c'est l'occasion de ressortir Coluche :

La CGT…le Cancer General du Travail, encore que c'est faux, le cancer évolue, pas la CGT

edit : autant passer directement au sketch (vous aurez peut-être remarqué que je suis à fond dedans depuis quelques jours)

crédit maison (pendant 2min20) + syndicat, combo.

Syndicat + communisme

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Pour une fois que ca se passe aux US :

http://www.hostessbrands.com/Closing.aspx

Les syndicats ont refusé une baisse de 8% des salaires. Résultat, faillite et 18,000 personnes sur le carreau. Bon apparemment, les syndicats avaient accepté pas mal de concessions auparavant, mais ils avaient été prévenus qu'une greve tuerait l'entreprise.

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Ca me rappelle une discussion avec des militants de Lutte Ouvrière (oui j'étais un peu à LO mais je vais mieux).

Je leur avais demandé si augmenter le smic à 1500€ net et interdire les licenciements n'allait pas tuer toutes les entreprises

Ils m'ont répondu que ce ne sont que des "mesures de transition" vers le communisme, qui méneraient à l'effondrement du capitalisme… qui est incompatible avec de hauts salaires et la sécurité de l'emploi. Et puis de toute manière après l'effondrement du capitalisme, il y aurait le communisme, donc youpi.

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Ils m'ont répondu que ce ne sont que des "mesures de transition" vers le communisme, qui méneraient à l'effondrement du capitalisme… qui est incompatible avec de hauts salaires et la sécurité de l'emploi. Et puis de toute manière après l'effondrement du capitalisme, il y aurait le communisme, donc youpi.

Bon sang mais c'est bien sûr, pourquoi je n'y ai pas pensé ces cinq dernière minutes.

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  • 2 weeks later...

A Singapour, certains ont essayé de se mettre en grève, en suivant les conseils d'un potentiel leader syndicaliste...Bien tenté, mais dommage, ça sera retour maison.

 

Ici

 

Et les nationaux se sont pris de la prison et des amendes. J'approuve.

 

C'est pas non plus le libéralisme de se faire mettre en prison par l'état pour une réunion syndicale.

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C'est pas non plus le libéralisme de se faire mettre en prison par l'état pour une réunion syndicale.

 

Je sais. Mais en l’occurrence, les employés ont signé un contrat. Ce contrat, ils le respectent ou démissionnent. C'est facile de partir et de retrouver un boulot.

Se mettre en grève, perturber les services et prendre les usagers en otage, non merci. Ici, on se retrouve avec l'application des lois et le respect des contrats par un Etat régalien. Rien de plus. 

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Je leur avais demandé si augmenter le smic à 1500€ net et interdire les licenciements n'allait pas tuer toutes les entreprises

 

Ce n'est pas cela le problème. Le vrai problème c'est que si on augmente le smic, alors nécessairement les prix dans les grandes surfaces (notamment) vont mécaniquement augmenter, absorbant ainsi l'augmentation.

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Ce n'est pas cela le problème. Le vrai problème c'est que si on augmente le smic, alors nécessairement les prix dans les grandes surfaces (notamment) vont mécaniquement augmenter, absorbant ainsi l'augmentation.

 

Quand on donne ce genre d'argument à un mec lambda, la réponde est automatique : "bah suffit de réglementer l'augmentation des prix et voilà".

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Quand on donne ce genre d'argument à un mec lambda, la réponde est automatique : "bah suffit de réglementer l'augmentation des prix et voilà".

 

Ce à quoi, il faut lui répondre:" Ah ouais, on pourrait imaginer une agence qui règlementerait tes besoins afin que tu n'achètes pas plus que ce dont tu as réellement besoin avec un système de ticket de rationnement par exemple. Du coup , vu que la demande serait règlementée et connue à l'avance, les prix serait contrôlés. Le paradis quoi !!"

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Il y a des gens qui sont tout a fait à vivre en enfer à condition d'y emmener le reste de l'humanité avec eux, au delà du manque d'éducation économique, c'est contre un manque d'éducation morale que nous luttons.

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Je sais. Mais en l’occurrence, les employés ont signé un contrat. Ce contrat, ils le respectent ou démissionnent. C'est facile de partir et de retrouver un boulot.

Se mettre en grève, perturber les services et prendre les usagers en otage, non merci. Ici, on se retrouve avec l'application des lois et le respect des contrats par un Etat régalien. Rien de plus. 

 

Il y quand même un pas entre la rupture de contrat et la privation de liberté. Non ce n'est pas forcément facile de partir et de retrouver un boulot , cela dépend du profil de la personne. Mais ce genre d'exactions de la part d'un état , ne vaut pas mieux que tous les états-providence du monde au final il ne respecte pas les droits fondamentaux de l'individu.

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Ce à quoi, il faut lui répondre : "Ah ouais, on pourrait imaginer une agence qui règlementerait tes besoins afin que tu n'achètes pas plus que ce dont tu as réellement besoin avec un système de ticket de rationnement par exemple. Du coup, vu que la demande serait règlementée et connue à l'avance, les prix serait contrôlés. Le paradis quoi !!"

La pente glissante nous semble tout à fait évidente parce que nous sommes sensibilisés, mais le mec lambda de tout à l'heure ne voit absolument pas le lien entre "empêcher les entreprises de saboter les politiques sociales en régulant leur comportement sur ce point précis" et une société orwellienne. C'est bien le problème...

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Je sais. Mais en l’occurrence, les employés ont signé un contrat. Ce contrat, ils le respectent ou démissionnent. C'est facile de partir et de retrouver un boulot.

Se mettre en grève, perturber les services et prendre les usagers en otage, non merci. Ici, on se retrouve avec l'application des lois et le respect des contrats par un Etat régalien. Rien de plus. 

 

On peut toujours souhaiter renégocier le contrat et faire pression en ce sens, en refusant de travailler ; et en assumant bien sûr les conséquences possibles : se faire virer. Ne pas honorer un contrat qui ne nous convient plus, ce n'est pas du même genre que de violer les droits naturels de quelqu'un (en brimant sa liberté de circulation notamment). En raison du principe d'inaliénabilité de la volonté humaine, on ne peut pas forcer quelqu'un à travailler contre sa volonté, même s'il s'est engagé à travailler par un contrat dont il a reçu sa part.

 

Le syndicalisme serait donc respectable si :

1°) son action s'abstenait de porter atteinte aux droits des individus pour se concentrer exclusivement sur le refus de travailler, l'appel au refus de travailler, le boycott et l'appel au boycott ;

2°) s'il n'était pas financé par l'argent public et s'il n'était pas imposé de force dans les entreprises par la puissance étatique ;

3°) si les "avancées sociales" résultantes ne relevaient que d'un accord contractuel entre syndicat et patronat, plutôt que de faire l'objet de réglementations étatiques inscrites dans le code du travail et donc imposés à tous par la coercition.

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Le syndicalisme serait donc respectable si :

1°) son action s'abstenait de porter atteinte aux droits des individus pour se concentrer exclusivement sur le refus de travailler, l'appel au refus de travailler, le boycott et l'appel au boycott ;

2°) s'il n'était pas financé par l'argent public et s'il n'était pas imposé de force dans les entreprises par la puissance étatique ;

3°) si les "avancées sociales" résultantes ne relevaient que d'un accord contractuel entre syndicat et patronat, plutôt que de faire l'objet de réglementations étatiques inscrites dans le code du travail et donc imposés à tous par la coercition.

 

Absolument, le syndicalisme est tout à fait liberhallal.

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