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Motivation du mariage gay


Messages recommandés

Tu as bien lu et va lire ici: http://www.actuppari...php?article5028

LOL

  • La mort dans l’indifférence la plus totale de milliers de trans et de pédés à la suite de l’épidémie de Sida ni les dizaines de milliers de contaminations en France et dans le monde entier du fait du refus de la promotion du préservatif

L'Eglise refuse la promotion du préservatif et donc des milliers d'homo meurent.

C'est tellement gros que j'ai du mal à croire qu'ils sont sérieux :dentier:

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C’était pas mon impression, j'ai quand même lu des choses comme "et pourquoi pas avec des animaux alors ?".

Et puis la la nouveauté c'est juste le mariage gay, l’idéologie anti-discrimation elle est pas nouvelle.

Tout le monde ici s'en fout j'entend. Libéralement, le mariage gay est sans intérêt puisque de toute façon, l'état n'a pas à mettre son pif dans le mariage.

L'anti-discrimination n'est pas une idéologie, ce n'est qu'une sous-catégorie de l'égalitarisme. Comme le mariage gay.

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combat d'handicapés….

Pourquoi handicapés? Les groupes d'oppression sont organisés, leurs factions sont mobilisées comme une seule troupe, leurs menaces de procès en homophobie fonctionnent et ils en tirent licence pour mener des actions violentes, les médias complaisants leurs sont acquis, ils sont gavés d'argent public et leurs méthodes d'agitprop bien rodées :

http://www.rue89.com...res-fort-237264

Ce n'est pas ce qu'on peut appeler un camp d'handicapés.

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free jazz, "combat d'handicapés" fait référence à la stupidité abyssale des deux camps.

Tu passes complètement à côté, aveuglé par ton obsession du moment.

Voilà des années que j'analyse la montée en puissance concomitante de la tyrannie des minorités et du totalitarisme doux.

Il ne suffit pas de poster des facepalms puérils en prenant une posture indignée pour se situer au-dessus du niveau de la mêlée.

Les libéraux, dans cette affaire, ne sont pas plus intelligents ni plus clairvoyants que la moyenne et ce genre de ricanement satisfait est assez sot. Ils sont peu nombreux ceux qui ont vu au-delà de l'escalade de droits communautaires et ont analysé correctement cette menace d'un nouvel ordre pénal qui pèse sur les libertés individuelles.

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Peut on me donner un exemple de liberté fondamentale des hétérosexuels qui a été remise en cause par une des actions des "lobbys gays" ?

Je ne peux pas les appeler "bande de gros pédés". Bon même si cela ne m'était jamais venu à l'esprit, je ne peux pas.

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Non, t'as toujours le droit d'être un gros con malpoli :dentier:

Je pense qu'il fait référence à l'extension des lois sur les propos racistes, aux propos homo"phobes".

D'ailleurs j'en avais profité avant que la loi passe, puisque il y a prescription. Je ne retrouve plus le post :(

Ménon, c'est comme niggers, entre eux ils ont le droit.

Hmmm. Du coup la moitié des propos antisémites doivent être autorisés.

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J'avais bien compris :icon_biggrin:

Ceci dit, tu peux toujours dire "sale PAYDAY" hein, ou "enculé va", ça fait partie de mon panel d'injures à l'encontre de mes proches, m'f'rais mal d'être puni pour ça, tiens.

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Si cousins germains

Libre pour le mariage civil.

Accord papal pour le mariage catholique.

Le mariage entre cousins germains a toujours été beaucoup pratiqué, les dispenses étant toujours obtenu. C'était très fréquent dans ma région très catholique jusqu'à une époque récente.

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Le mariage entre cousins germains a toujours été beaucoup pratiqué, les dispenses étant toujours obtenu. C'était très fréquent dans ma région très catholique jusqu'à une époque récente.

C'est même encore pratiqué, ici (les familles royales) ou ailleurs (les fameux "cousins croisés").

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Menace d'un nouvel ordre pénal, menace je te trouve bien timoré, le crime de pensée existe déjà, ce n'est pas une spéculation sur le futur.

La France n'est pas la plus touchée mais la pénalisation de la différence non politiquement correcte, elle est bien présente, d'ailleurs elle a commencé par toucher les musulmans, mais quand je défendait les musulmans, personne n'a vu que je défendait juste les chrétiens a l'avance…

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Le mariage entre cousins germains a toujours été beaucoup pratiqué, les dispenses étant toujours obtenu. C'était très fréquent dans ma région très catholique jusqu'à une époque récente.

c'était aussi une pratique courante dans les familles nobles françaises, d'ailleurs souvent la dispense papale n'était pas demandé ce qui donnait une justification pour une annulation quand le couple se révélait incapable d'engendrer.

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Le communautarisme? Un monstre

Philippe Muray

Tout récemment, dans l’émotion soulevée par un crime odieux, et aux applaudissements d’un certain nombre d’associations, on a pu voir le garde des Sceaux Dominique Perben annoncer qu’il allait soumettre au Premier ministre des propositions tendant à sanctionner les « injures homophobes » ; ce qui d’abord, précisa-t-il, impliquait de « modifier la loi de 1881 sur la liberté d’expression ».

On ne saurait trop conseiller à ce garde des Sceaux de ne pas perdre son temps à modifier la loi de 1881 sur la liberté d’expression mais de la supprimer sans façon, car très bientôt elle ne servira plus à rien dans la mesure où, par la grâce des sanctions qu’il prépare, c’est l’expression en soi, toute possibilité d’expression quelle qu’elle soit, et non pas seulement ses « abus » comme par le passé, qui va disparaître. Et nul ne s’en alarmera puisqu’une fois de plus, « dans le silence de l’abjection », l’on n’entendra « retentir que la chaîne de l’esclave et la voix du délateur ». Sauf que le délateur, aujourd’hui, loin de raser les murs, couvert de crachats et de honte, tient sous le nom jamais tout à fait revendiqué de communautariste le haut du pavé, dicte ses volontés au ministre de la Justice et déploie son hystérie sans limites sous forme de lois imposées, via les médias amplificateurs, au nom de la tolérance et de la liberté.

Et lorsque les nouvelles sanctions qu’il aura exigées seront votées, ce n’est plus seulement l’expression de ce qui lui déplaît dont il réclamera la répression accrue, mais même sa manifestation potentielle ou virtuelle. Ainsi se constituera un nouveau délit non prévu par Orwell : le crime d’arrière-pensée (ou de sous-pensée, ou de non-pensée, ou de pensée in statu nascendi). L’annonce de cette répression nouvelle et prévisible réjouit déjà les belles âmes officielles, et on a pu lire dans Le Monde un éditorial où, après quelques hypocrites bouffonneries (« Trop de loi tue peut-être la loi, comme le dit l’adage. Mais dans notre société – même si l’on peut regretter cette dérive légaliste –, sans doute faut-il un texte pour arrêter le sexisme ordinaire, celui qui fait mal et peut tuer », etc.), on s’empressait de désigner à la vengeance un journaliste de province coupable d’avoir parlé de « lynchage » ou d’«Inquisition» à propos de ce début de croisade contre l’homophobie. Et il était aisé de deviner qu’on regrettait de ne pouvoir encore le traîner devant un tribunal.

Chez les plus logiques des communautaristes, la persécution emprunte d’ores et déjà les voies du principe de précaution, et implique qu’on abatte tout le troupeau avant même qu’il ait fait la preuve de sa nocivité : pourquoi se gêneraient-ils puisque les ministres se couchent devant eux et s’empressent de transposer en mesures législatives leur délire ? Bien d’autres maîtres chanteurs, également groupés en associations de malfaisance patentée, piaffent déjà derrière la porte, avec à la main leurs innombrables pétitions qui se résument pour la plupart à exiger des pouvoirs publics un accroissement de l’arsenal répressif, ainsi qu’une politique enfin efficace de prévention, dans des domaines variés : contre les actes et propos handiphobes, contre les actes et propos féminophobes, contre les actes et propos islamophobes, contre les actes et propos jeunophobes, contre les actes et propos zoophobes, etc. Dans l’apocalypse communautariste où nous nous enfonçons, chaque groupe de pression particulier peut bien être en guerre avec les autres, ou faire semblant de l’être ; ils n’ont ensemble qu’un seul ennemi : la liberté. Du moins le peu qui en reste. Et ils sont décidés à l’achever.

Le communautarisme est un monstre. Par là, il reflète bien notre époque monstrueuse qui semble n’avoir plus d’énergie que pour en terminer de toutes les manières possibles avec la définition fondamentale de l’être humain. Et c’est bien à cela que l’on travaille lorsqu’en exigeant, par exemple, que les grands singes bénéficient des droits de l’homme on contribue à faire disparaître la barrière qui se dresse encore entre l’humanité et le monde animal ; et c’est à cela aussi que l’on s’adonne lorsque, à l’occasion d’un crime, on fait ressortir que la victime était homosexuelle avant d’être une personne humaine. D’un côté comme de l’autre, c’est l‘anthropos en général qui est nié ou en passe de l’être. Le communautarisme n’est certes pas un humanisme. Il ressemblerait plutôt à ces maladies qu’on appelle auto-immunes où le système immunitaire, brusquement, ne reconnaît plus comme siens certains constituants de l’organisme et s’attaque à eux. Dans un cas comme dans l’autre, la destruction est aussi et d’abord une autodestruction.

Ce n’est pas seulement jouer sur les mots que de remarquer qu’entre communisme et communautarisme il n’y a que quelques lettres de différence, et que tous deux ont la même origine latine, communis. Ce n’est pas non plus se laisser aller à des abus historicistes que de noter le parfait synchronisme avec lequel on a vu finir le communisme et, presque aussitôt, apparaître les délires des communautarismes et leurs premières actions d’éclat. Comme si, des ruines de l’un, avaient émergé les autres. Et comme si le dogme de la dictature du prolétariat n’avait attendu que l’occasion de se transformer en despotisme des minorités dans un monde décentralisé, désorbité, où le centralisme démocratique de jadis accouche finalement d’un décentralisme frénétique tout aussi ennemi de la démocratie, bien sûr, que l’ancien centralisme. Dans le même temps, est rétablie la vieille notion bolchévique de « suspects », indispensable dans toute situation de terreur, et sont désignés de nouveaux « ennemis du peuple » (les homophobes, les sexistes, les islamophobes, etc.). La nuisance a horreur du vide. Les espoirs d’égalité illimitée que l’ancienne idéologie avait donné à l’homme, même s’il ne vivait pas en régime communiste, et même si ces espoirs avaient été rapidement bafoués, loin de disparaître avec cette idéologie, se reconstituent mais par morceaux, de manière éclatée, en poussière de néo-soviets ou de milices vigilantes qui exercent d’abord et comme de juste leur tyrannie sur ceux qui appartiennent au groupe, puis répercutent cette tyrannie et l’étendent à l’ensemble de la société, contrainte dès lors de s’incliner devant leurs exigences particulières et de les reconnaître comme autant de bienfaits. Tous les droits à la différence additionnés débouchent alors sur l’unique droit qui reste à l’individu ordinaire, celui qui ne peut se réclamer d’aucun particularisme : le droit à la déférence.

Ces exigences, d’ailleurs, se chantent sur l’air du Bien absolu et de la positivité la plus irréfutable. Les « offres » communautaristes sont de celles qu’on ne peut pas refuser puisqu’elles parlent de justice, de tolérance, d’amour, d’équité, de métissage et d’ouverture à l’autre. Ce qui se traduit aussitôt en demandes insatiables de lois répressives. Car c’est bien sûr le Mal, ce Mal que l’on entend éradiquer (sous les divers masques du « phobe »), qui est d’ores et déjà passé avec armes et bagages dans le charabia du Bien. Il habite tout entier là même où se rabâche sa dénonciation. Il est la maladie qui parle de remède, il est la contention qui s’intitule liberté, et la haine qui tremble d’amour. Il est la mort qui vit une vie humaine et qui lui emprunte sa force. Il est la perversion qui se nomme Loi. Sous son action, les lois elles-mêmes, par principe protectrices, deviennent meurtrières. Un programme total, pour ne pas dire totalitaire, constitue l’unité cachée de mille programmes communautaristes en apparence ennemis. C’est ainsi qu’aux militantes qui affirment vouloir « imposer la défense des revendications féministes à l’ensemble du mouvement altermondialiste », fait curieusement écho l’islamiste radical qui dit sans jamais vraiment le dire qu’il veut l’islamisation de la modernité.

Le démoniaque, un nouveau démoniaque, un démoniaque moderne, n’est pas loin. Si la définition du démon est de manquer d’être, et donc de se venger de ce manque en nuisant, il est à noter que le communautariste, par manque d’être aussi, empoisonne tout le monde. Cette ancienne victime (mais le diable, « celui à qui on a fait du tort », en est une aussi) se sent menacée de disparition par intégration. La certitude de ne plus être persécutée s’échange pour elle contre le risque de mourir d’inexistence. C’est alors qu’elle se met à hurler à la discrimination et qu’elle transforme un fait-divers criminel en marchepied de ses nouvelles conquêtes. L’homme communautariste, l’homme des associations est l’homme du ressentiment sous sa figure contemporaine. Son impuissance à être l’a conduit vers les officines où bout l’esprit de vengeance. Il lui faut sans cesse des combats, des revendications, des pressions pour se sentir être parce qu’il ne peut plus éprouver l’excitation vitale que sous la forme de la persécution : celles dont il se dit menacé justifiant celles dont il demande la mise en œuvre.

Mais tout cet enfer est si bien emballé dans le pathos de l’empathie qu’on l’entend à peine crépiter. En tout cas, ce serait une erreur de croire que le bruit qui s’en élève est la mélodie du bonheur.

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La loi Perben modifie (entre autre) des délits déjà existant depuis 1881, en particulier l'injure, donc j'ai bien compris que la principale oppression des lobbys gays, c'est d'empecher d'insulter les autres, terrible, je me sens opprimé depuis 8 ans maintenant :icon_biggrin:

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