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Compte Non Déclaré En Suisse : Cahuzac Avoue


Messages recommandés

Le nouveau titre : "Cahuzac, le come-back prévisible".

 

Avec quelle vitesse Cahuzac va réussir à rebondir d'après vous? Je parie qu'il sera sur la liste municipale de sa ville l'an prochain. Sans souci.

 

Ha ben en même temps Cahuzac est un exemple pour nous tous au niveau de la gestion du patrimoine. 

 

Ce serait plus moral qu'on revoie Cahuzac avant Strauss-Khan quand même...

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Ha ben en même temps Cahuzac est un exemple pour nous tous au niveau de la gestion du patrimoine. 

 

Ce serait plus moral qu'on revoie Cahuzac avant Strauss-Khan quand même...

J'ai parié sur le come back de DSK le jour où il est allé en taule à Rykers Island. Bon, l'affaire du Sofitel ça ralentit un peu l'histoire quand même.

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Remarque, Cahuzac devait être un des seuls au gouvernement à avoir gagné de l'argent "honnêtement". Maintenant plus que jamais on aura plus que des enarches et des politicards.

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En 1932 :

 

 

M. Fabien Albertin, député socialiste : Si l'on lit ce matin les journaux suisses, on voit que l'opinion publique, en Suisse, est extrêmement émue, qu'on y redoute les retraits massifs des sommes qui ont été déposées dans ses banques, dont c'est le profit principal, je pourrais dire le profit exclusif.

L'opinion publique redoute que, à la suite de ces retraits massifs de fonds, une véritable chute du franc suisse ne se produise.

M. le ministre des finances sait très bien que, depuis dix ans, la préoccupation de tous ses prédécesseurs a été de dépister cette fraude, qui est connue. Pour la réprimer, il faut la saisir. Or jusqu'ici, les renseignements qu'on avait pu obtenir étaient extrêmement vagues. Quand des documents parvenaient aux mains de la justice, c'étaient des carnets informes, sur lesquels les titulaires des comptes ne figuraient que sous un simple numéro d'ordre. Les employés des banques intéressées ne connaissaient pas les noms des titulaires des comptes. Ces noms sont connus du seul directeur de la banque, auquel les clients font défense absolue de correspondre avec eux, tellement ils sont soucieux de conserver l'anonymat. [...]

Il y a eu dans les journaux un récit, que je crois fidèle, des circonstances dans lesquelles, un juge d'instruction a été désigné par le parquet à la suite de la plainte de M. le ministre des finances. Le juge d'instruction a donné une commission rogatoire à la sûreté générale. Un commissaire du contrôle des recherches s'est présenté dans un hôtel de la rue de la Trémoille, située dans l'aristocratique quartier des Champs-Elysées. Le commissaire savait que les dirigeants de la banque suisse occupaient un appartement de cinq pièces. Il a trouvé dans le salon d'attente une foule de clients impatients de faire régler leurs coupons. Il a pénétré directement dans les bureaux. Il a pu dresser procès-verbal et opérer la saisie d'un certain nombre de documents.

Il est regrettable que cette opération de police n'ait pas eu lieu plus tôt. C'est le 26 octobre, à seize heures dix, très exactement, que M. Barthelet, commissaire au contrôle des recherches, s'est présenté rue de la Trémoille. Mais il faut qu'on sache que les employés, que le directeur même - car l'opération était à ce point importante que le directeur de Bâle s'était dérangé et était présent - il faut qu'on sache que ces paiements avaient commencé dix jours avant et s'étaient poursuivis sans aucune interruption.

A l'heure où le commissaire de police s'est présenté, il ne restait plus que quelques clients, car l'opération allait prendre fin vers six heures. Cependant - voici des chiffres qui nous fixent sur l'importance des opérations qui avaient été accomplies - le commissaire de police a pu saisir sur les employés de la banque une somme de 245 000 francs en argent français et 2 000 francs en argent suisse, sommes qui devaient permettre de faire face aux besoins de cette fin de journée.

Si l'on n'avait trouvé que cela, ce ne serait pas grand chose. Fort heureusement, on a saisi un répertoire, un livre de caisse, un fichier, et - retenez cette précision - dix carnets d'assez grandes dimensions.

Ces dix carnets contenaient environ 2 000 noms. On a dit 1 400. Un membre du Gouvernement disait 1 400 ou 1 500. Ne chicanons pas sur ces chiffres. Disons qu'il y a dans ces carnets un nombre considérable de noms.

A l'extrême gauche : Nous voulons les connaître. [...]

M. Fabien Albertin : Je disais, messieurs, que ces carnets sont tenus avec un soin tellement minutieux, qu'il a suffi à un secrétaire de la sûreté générale de quatre ou cinq heures pour dresser la liste complète des 2 000 noms, liste qui a dû être portée immédiatement au Gouvernement, en tout cas, au chef responsable de cet important service. Cette liste est connue. Le ministre la connaît...

M. le ministre des finances : Ah ! non ! Monsieur Albertin, j'affirme que je ne connais pas du tout cette liste.

M. Xavier Vallat : Puisque le ministre ne connaît pas la liste, c'est le moment de la lui lire.

M. Fabien Albertin : Je vais satisfaire votre curiosité. [...] On nous dira : « Ah ! comme vous êtes heureux, socialistes, de faire ces constatations, de déshonorer des adversaires politiques et de montrer qu'il y a des classes dans la société ! »

Oui, il y a des classes. Et les classes dirigeantes, l'élite de la société, viennent, à l'occasion de ce scandale, de montrer en même temps que leur égoïsme, la volonté qu'elles ont de ne pas se soumettre à la loi française.

Il y a des personnages dont le rôle est de faire les lois : trois sénateurs - leurs noms ont été donnés - des personnages dont le rôle est d'appliquer les lois, des magistrats, de l'ordre administratif et judiciaire.

Il y a des hommes qui sont d'un patriotisme particulièrement chatouilleux et qui, sans doute, ignore que l'argent qu'ils constituent en dépôt à l'étranger est prêté par la Suisse à l'Allemagne.

Nous trouvons sur cette liste une douzaine de généraux ! [...] Sur ces listes figurent, outre des généraux, un contrôleur général de l'armée.

M. Renaud Jean : Lequel ?

M. Fabien Albertin : Vous serez bien avancé, quand j'aurai dit qu'il s'appelle Delalande. [...]

Il en est un que je peux prononcer sans hésitation, parce qu'on ne le trouve pas seulement dans le répertoire. Le titulaire de ce nom, si j'ose dire, a pris contact avec le commissaire de police. Il s'est présenté de lui-même rue de la Trémoille pour toucher ses coupons. C'est M. Viellard, sénateur de Belfort.

M. Lionel de Tastes : Il y en a d'autres.

M. Fabien Albertin : C'est exact. M. de Tastes sera heureux d'apprendre qu'il y a M. le sénateur Jourdain. Il y en a un troisième, c'est M. le sénateur Schrameck. [...]

M. Gustave Guérin : Y a-t-il des députés sur cette liste, monsieur Albertin ?

M. Fabien Albertin : Monsieur de Tastes et monsieur Vallat, qui m'avez interrompu tout à l'heure, voulez-vous que je vous dise aussi qu'il y a des évêques, en particulier l'évêque d'Orléans ?

M. le Président : Le règlement ne me permet pas de vous laissez la parole, monsieur Albertin.

M. Fabien Albertin : Il n'y a pas de règlement qui puisse empêcher un député de remplir son devoir au regard du pays. [...]

Je disais, puisqu'on m'a obligé à donner cette précision, qu'en effet, il y a de hauts dignitaires de l'Eglise, deux évêques dont, évidemment, le royaume n'est pas de ce monde mais qui, certainement, grâce à d'habiles restrictions mentales, ont pu concilier à la fois la nécessité du serment fiscal, qui doit être sincère, avec le juste souci de mettre à l'abri leur fortune

Il y a de grands chefs d'une industrie automobile, dont le siège est à Valentigney ; il y a un fabricant de meubles...

A droite : Les noms ! [...]

M. Fabien Albertin : On y trouve surtout des chefs de la grande industrie automobile, les frères Peugeot, puisque vous voulez leur nom. On trouve aussi un fabricant de meubles dont la T.S.F. nous proclame assidûment la pérennité de la fabrication ; je crois qu'il se nomme Lévitan.

Jamais, messieurs, une liste de noms n'a fait un pareil emprunt à l'armorial français. Je vais, messieurs, montrer que je ne recule devant aucun des risques que peut comporter mon attitude.

La presse est une grande puissance. Je ne sais pas quel lien de droit unit au directeur de l'Ami du peuple Mme Henriette François Coty, je ne sais pas s'il s'agit d'un compte qui appartient en propre à Mme Coty ou si cette dernière n'est ici qu'une personne interposée. Je ne sais pas si le nom de M. Sapètre s'applique bien au directeur du Matin. Ce que je sais, messieurs, c'est qu'il n'y a rien de plus douloureux, de plus attristant et de plus tragique, rien qui puisse décourager plus profondément la masse des travailleurs français que de voir, chaque jour, des hommes qui dirigent et qui inspirent l'opinion française faire, du haut des colonnes de leurs grands quotidiens, appel au patriotisme fiscal du pays, faire prévoir de nouveaux sacrifices que l'on demandera nécessairement aux petits fonctionnaires, aux victimes de la guerre, ou, par l'établissement de nouveaux impôts indirects, à la masse énorme des consommateurs et frauder pour leur part.

En face de semblables constatations, nous avons le droit d'être profondément attristés.

Source : Journal Officiel des Débats de la Chambre des députés, 10 novembre 1932, p. 2997 et suiv.

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Remarque, Cahuzac devait être un des seuls au gouvernement à avoir gagné de l'argent "honnêtement". Maintenant plus que jamais on aura plus que des enarches et des politicards.

 

Ce n'est pas faux. Toutefois, quand tu es ministre du budget et que tu multiplies les taxes, tu peux difficilement te permettre ce genre de "petit écart".

 

Quant à Flanby, l'homme de la République exemplaire, il a bonne mine!

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Ce n'est pas faux. Toutefois, quand tu es ministre du budget et que tu multiplies les taxes, tu peux difficilement te permettre ce genre de "petit écart".

 

Quant à Flanby, l'homme de la République exemplaire, il a bonne mine!

 

Pas d'accord, je trouve plus scandaleux les augmentations de salaires dans la fonction publique lorsque les taxes augmentent que d'apprendre qu'untel à planquer du flouze.

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Cahuzac est grillé

 

La clique socialiste a désormais intégré que lacher un des siens quand il n'est plus tenable de le soutenir est préférable. Attendons-nous à voir des tombereaux de merde se déverser sur l'excommunié, dans l'espoir que le bouc-émissaire emportera avec lui tous les crimes de sa caste.

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Le nouveau titre : "Cahuzac, le come-back prévisible".

Avec quelle vitesse Cahuzac va réussir à rebondir d'après vous? Je parie qu'il sera sur la liste municipale de sa ville l'an prochain. Sans souci.

Pour moi:"Cahuzac a raison avant tout le monde"
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Cahuzac est grillé

 

La clique socialiste a désormais intégré que lacher un des siens quand il n'est plus tenable de le soutenir est préférable. Attendons-nous à voir des tombereaux de merde se déverser sur l'excommunié, dans l'espoir que le bouc-émissaire emportera avec lui tous les crimes de sa caste.

 

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Oui d'ailleurs il est amusant d'entendre le repris de justice Harlem Desir jouer les vierges effarouchées et indignées. Bal des faux-culs au PS, auquel répondent les gesticulations chez ceux d'en face.

 

 

Le porte-parole du PS, David Assouline, qui devait tenir un point presse mardi en fin d'après-midi pour dénoncer la «radicalisation» de la droite, a dû changer de braquet pour commenter une affaire qui entache la «République exemplaire» revendiquée par François Hollande. Le sénateur PS, qui avait dû prendre la défense du ministre du Budget avant que celui-ci ne quitte le gouvernement, a fait part de la réaction du premier secrétaire, Harlem Désir, «stupéfait» et «choqué» par des faits «inacceptables» et le «mensonge». «Il va de soi qu'à notre avis Jérôme Cahuzac doit aussi tirer les conclusions de cet aveu en ne prétendant pas revenir comme député à l'Assemblée nationale», a poursuivi le porte-parole. Avant d'exécuter l'ancien ministre. «Pour nous, il est évident qu'il s'est mis de facto en dehors du Parti socialiste

 

 

Que Desir commence par s'appliquer à lui-même cette discipline.

 

Soupçonné d'avoir bénéficié d'un emploi fictif de 1986 à 1987, alors qu'il dirigeait SOS Racisme, il a été condamné dix ans plus tard, en décembre 1998, à dix-huit mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende (4.573 euros). Il était accusé d'avoir perçu illégalement au cours de cette période 202.560 francs (30.880 euros) de salaires, de l'Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants (Arfem), basée à Lille.

 

Ayraut fut lui aussi condamné (quoique pour des faits moins graves de favoritisme). Symboliquement, ce scandale arrive à point nommé au moment où les français sont fiscalement saignés par la "république exemplaire" de Mr Hollande et une classe politique exigeant des sacrifices pour maintenir ses privilèges, par celui-là même que le président avait chargé de les mettre en oeuvre.

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Oui d'ailleurs il est amusant d'entendre le repris de justice Harlem Desir jouer les vierges effarouchées et indignées. Bal des faux-culs au PS, auquel répondent les gesticulations chez ceux d'en face.

 

Dommage qu'on n'entende pas la presse ressortir les faits de toutes ces gens soi-disant choquées.

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La pièce de théâtre continue. Tout le vocabulaire y passe. Il faut bien mettre le PS en dehors de toute polémique, alors on exagère.

 

http://www.lefigaro.fr/politique/2013/04/02/01002-20130402ARTFIG00374-sonnes-les-socialistes-se-sentent-trahis-par-jerome-cahuzac.php

 

Sonnés, les socialistes se sentent «trahis» par Jérôme Cahuzac

...

«Les bras m'en tombent, je n'ai pas de mots.» Cette réaction à chaud du ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, en marge d'un déplacement à Marseille, résumait mardi soir l'état d'esprit des socialistes

...

«C'est la stupeur!», lançait le député PS de la Nièvre Christian Paul, contrit de devoir s'extirper des «vrais sujets» (l'examen par les députés du projet de loi sur la sécurisation de l'emploi) pour commenter l'affaire. «C'est inréagissable», renchérissait la tenante de l'aile gauche, Marie-Noëlle Lienneman, qui a même inventé un mot pour l'occasion.

...

C'est à l'Assemblée nationale, où les députés étaient «atterrés», «assommés», «révoltés», que les réactions ont été les plus dures

...

Mardi, le porte-parole du groupe PS, Thierry Mandon, s'est montré intraitable, jugeant que l'ex-ministre, qui peut théoriquement retrouver son siège de député d'ici à la fin du mois, était «disqualifié moralement» pour «revendiquer un mandat de parlementaire». «Qu'il n'imagine pas côtoyer ceux et celles qu'il a trompés, a réagi le député de l'Essonne. Nous ne voulons pas qu'il siège à nos côtés. Qu'il disparaisse de la vie politique, c'est tout. Il a menti à la France, au travers de sa représentation nationale, c'est inqualifiable.»

...

Pour Mandon, il n'y a pas de «pardon» qui tienne: «Nous ne sommes pas aux États-Unis! Que Jérôme Cahuzac tire les leçons de son comportement, qu'il redevienne chirurgien s'il le souhaite. Sa parole n'a plus aucun pouvoir. Ce pardon, c'est aussi son retrait de la vie politique nationale.»

...

Le député Carlos Da Silva, proche du premier secrétaire du PS, enfonce le clou: «C'est très grave. C'est indigne d'un ministre de la République. Le fait qu'il avoue est bien le seul mérite qu'on puisse lui trouver.» «Un menteur professionnel, ajoute le député Malek Boutih. Il a scotché tout le monde!»

...

Harlem Désir, «stupéfait» et «choqué» par des faits «inacceptables» et le «mensonge».

...

Avant d'exécuter l'ancien ministre. «Pour nous, il est évident qu'il s'est mis de facto en dehors du Parti socialiste.»

...

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Apparemment selon des journaux suisses, depuis le 12 mars, les autorités françaises étaient informées que Cahuzac y avait eu un compte (avant de le transférer à Singapour).

On peut donc penser que Moscovici, mais aussi Ayraut et Flanby étaient au courant au moins depuis le 12 mars.

 

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La meute s'acharne et le cloue au pilori, c'est lamentable. Finalement, il n'a fait que protéger son argent du fisc, ce qui est inexcusable de là où il était, bien sûr.

Ils feraient mieux de modérer leur propos, tous ces faux culs car imaginons qu'il mette fin à ses jours, ce serait 'amusant' d'entendre les commentaires de ceux là même qui hurlent aujourd'hui.

Quelle indécence, quelle belle bande de charognards hypocrites

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La meute s'acharne et le cloue au pilori, c'est lamentable. Finalement, il n'a fait que protéger son argent du fisc, ce qui est inexcusable de là où il était, bien sûr.

Ils feraient mieux de modérer leur propos, tous ces faux culs car imaginons qu'il mette fin à ses jours, ce serait 'amusant' d'entendre les commentaires de ceux là même qui hurlent aujourd'hui.

Quelle indécence, quelle belle bande de charognards hypocrites

 

Moi je me fiche que l'on fraude en mettant son pognon à l'étranger.

Mais s'agissant de politiciens, ceux qui nous taxent pour vivre à nos dépends mais échappent à leur propre système confiscatoire, tout en donnant des leçons de vertu à des Gérard Depardieu, et bien c'est rageant.

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C'est simple, si un politicien ne paye pas ses impôts alors qu'il soutient publiquement qu'il faut les payer, il fait tomber le restant de doute que l'on pouvait avoir sur le fait que l'impôt est un vol.

 

En tout cas dans le cas de Cahuzac, il démontre bien qu'il est d'accord avec les libéraux quant à la nature confiscatoire de l'impôt en France.

 

Tiens Flanby est outragé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/03/97001-20130403FILWWW00397-cahuzac-hollande-denonce-un-outrage-a-la-republique.php

François Hollande a dénoncé, dans une déclaration enregistrée ce matin et retransmise ce midi, "un outrage à la République", dans l'affaire Jérôme Cahuzac.

Le président a affirmé que "Jérôme Cahuzac n'a bénéficié d'aucune protection" de l'Etat, répondant aux mises en cause de plusieurs membres de l'opposition.

François Hollande a déclaré que "les élus condamnés pour corruption seront interdits de tout mandat public". Il a annoncé qu'il "entend lutter de manière impitoyable contre les conflits d'intérêts" et a annoncé des textes sur le patrimoine des élus.

"L'exemplarité des responsables publics sera totale" a encore ajouté le président. Il a fait part d'un vote prévu "dès cet été" d'une réforme du Conseil supérieur de la magistrature.

Je crois que je vais aller dormir

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C'est simple, si un politicien ne paye pas ses impôts alors qu'il soutient publiquement qu'il faut les payer, il fait tomber le restant de doute que l'on pouvait avoir sur le fait que l'impôt est un vol.

 

Parfaitement.

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