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TIL - today I learnt...


Hayek's plosive

Messages recommandés

à l’instant, poney a dit :

Si on peut même plus faire confiance à l'extreme droite pour sauver la Race Française CPEF

Bah, de toute façon Riton a une grand-mère guatémaltèque. Tu parles d'une race pure... :lol: 

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TIL que le duel est légal en suisse:

 

"Cependant, l'interdiction n'est plus universelle depuis que la Suisse a abrogé les articles 130, 131 et 132 de son Code pénal réprimant le duel (respectivement sur la provocation en duel, le duel, et l'excitation au duel). Depuis le 1er janvier 1990, ce mode de règlement y est ainsi à nouveau légal, sous réserve de ne pas tomber sous le chef d'inculpation d'assassinat ou de tentative d'assassinat, en vertu du principe pénal « Tout ce qui n'est pas interdit est permis. "

 

Et TIL sur le fils naturel de Napoléon:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Léon

  • Yea 1
  • Ancap 2
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14 minutes ago, poney said:

Duel au premier sang, j'en déduis ? 

 

Parce que avec chacun un colt sans tentative d'assassinat ça va être difficile. 

Après le problème, n'est pas la tentative d'assassinat, ça si personne ne porte plainte, c'est pas un problème.

 

C'est plus l'assassinat lui même qui sera problématique dans un duel à mort.

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Just now, poney said:

Mais si tu signes une décharge ? 

 

Je doute que la Suisse aille jusque là dans son libéralisme.

 

Faudrait vérifier, mais je pense qu'il n'y a pas de pays qui aurait acquitté Armin Meiwes (alors que sa victime était consentante).

 

 

 

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Experimental replication shows knives manufactured from frozen human feces do not work

 

Our experiments assessed the functionality of knives made from human feces in controlled conditions that provided optimal conditions for success. However, they were not functional. While much research has shown foragers to be technologically resourceful, innovative, and savvy, we suggest that this ethnographic account should no longer be used to support that narrative.

  • Huh ? 1
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TIL:

 

" Combien de temps et de moyen a nécessité le développement du superbe Meurtre En Série et pouvez-vous nous en dire plus sur sa conception ?

C'est une histoire incroyable ! En effet, à cette époque, la société était déjà installée à Chalon et un jour j'ai eu la visite d'une personne qui souhaitait utiliser nos compétences informatiques. C'était un détective privé qui avait eu l'occasion de mener, inopinément, une enquête dans l'Île De Sercq alors qu'il était en train de se rendre à Guernesey. Il avait accepté de tenter de résoudre une affaire mais à son grand désappointement, la journée qu'il avait passée sur l'île ne lui avait pas suffit et il était assez vexé de cet échec.

Mais il s'intéressait à l'informatique et s'était dit qu'avec les éléments dont il disposait (témoignages, notes, photos, etc.), il avait sans doute la réponse sous les yeux sans pouvoir pour autant trouver le coupable. Et il souhaitait que nous réalisions une espèce de système expert dans lequel on injecterait le contenu de ses carnets et un système de déplacement qui permettrait de vérifier les alibis des uns et des autres en simulant les déplacements sur la carte de l'île en tenant compte des différents mode de transport : à pied, en vélo voire en tracteur ! Bref, de refaire après coup ce qu'il n'avait pas eu le temps de faire sur place.

Nous avons réalisé cet outil, mais aussi fou que cela paraisse, le client n'est jamais revenu en prendre livraison, nous n'avons pas réussi à reprendre contact ! On a laissé passer un certain temps sans s'inquiéter puis il a fallu se rendre à l'évidence... et plutôt que de laisser ce travail dans un carton nous avons décidé de le rentabiliser en le publiant sous forme de jeu. Je suis allé à Sercq moi aussi, et je suis tombé sous le charme ! Évidemment, j'ai inventé certains éléments et complété l'histoire à ma façon car il nous manquait évidemment des morceaux dans le puzzle. On voit d'ailleurs que le jeu fonctionne très différemment de Meurtre À Grande Vitesse ou Meurtres Sur L'Atlantique.

Je suis retourné plusieurs fois à Sercq. La fabrication des indices et de la boite a été une sage extraordinaire avec plein de péripéties. Le jeu a été un succès incroyable !"

 

 

J'avais vu le test à l'époque mais n'ayant pas l'ordi j'y ai pas joué.
Mais l'histoire de sa création est juste incroyable.

 

 

http://obligement.free.fr/articles/itwbrocard.php

  • Yea 1
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@Hayek's plosive Elle n'a pas seulement « voulu » le faire assassiner : elle a réussi. Elle a d'ailleurs été condamnée pour complicité d'assassinat.

 

https://static.wixstatic.com/media/e98db4_96443a5f48dc4fa38709fb98e81c90c9~mv2_d_1575_2070_s_2.jpg

 

C'est un drôle de numéro, cette femme (elle est toujours en vie d'ailleurs) :

 

Citation

Née à Orléans le 10 juin 1924, dans une famille bourgeoise, Marie-Élisabeth Cons-Boutboul [...] a prêté serment d'avocat devant la cour d'appel de Paris le 29 janvier 1949. Les choses deviendront un peu plus complexes sur son exercice de la profession d’avocat : pas d’adresse professionnelle, pas d’inscription à la CARPA (Caisse de règlement professionnel des avocats), pas de traces non plus de dossiers dans lesquels elle serait intervenue.

 

Arrivée à Paris, Marie-Élisabeth Cons s'éprend, à la fin des années 1950, d'un dentiste juif tunisien, le docteur Robert-Nessim Boutboul, avec lequel elle aura une fille, Darie Boutboul. Tous deux désireux de mener chacun leur vie propre, le couple se séparera peu après. Par souci de convenances sociales et d'un commun accord, la séparation est maquillée en décès du docteur Boutboul.

 

En 1982, Darie Boutboul fait la connaissance sur les champs de course de Jacques Perrot, avocat et ami de Laurent Fabius (ils se sont connus sur les bancs du lycée Janson-de-Sailly) ; Darie étant enceinte de leur fils, Adrien, le mariage a lieu rapidement en 1982, Laurent Fabius sera d'ailleurs le témoin du marié.

 

Concernant la radiation de sa belle-mère, Jacques Perrot découvre très rapidement, en se faisant recevoir par le bâtonnier de l'ordre des avocats à la Cour d'appel de Paris, que celle-ci, contrairement à ce qu'elle affirmait jusqu'alors, n'était plus avocate depuis plusieurs années, ayant été radiée de l'ordre en 1981, pour des faits de corruption et de détournements de fonds.

 

En effet, saisie en sa qualité d'avocate, à la fin des années 1960, par la Société des Missions étrangères de Paris d'un dossier relatif à un contentieux opposant l'Ordre à des organismes africains, Marie-Élisabeth Cons-Boutboul fait durer la procédure de telle sorte que celle-ci, de report en report, dure une dizaine d'années. Elle n'omet cependant pas de facturer ses honoraires aux prêtres missionnaires qui, en dix ans, lui verseront plus de dix millions de francs de l'époque, sur ses comptes numérotés en Suisse.

 

Ne s'apercevant de la supercherie qu'en 1980, l'ordre des Missions étrangères, soucieux de ne pas éventer l'affaire, se contente de demander la radiation de Maître Cons-Boutboul, obtenue en 1981.

 

Jacques Perrot souhaite se séparer de Darie et obtenir un divorce à l'amiable assorti de la garde alternée de son fils Adrien. Le 28 novembre 1985, après une audience de non-conciliation, le juge confie la garde d'Adrien à Darie, mais il obtient un droit de visite libre et l'interdiction de sortie du territoire pour son fils. Fort de toutes ces découvertes sur la mystérieuse vie de sa belle-mère, il prend rendez-vous avec elle, le 27 décembre 1985, pensant pouvoir faire pression, en menaçant de tout révéler à Darie s'il n'obtient pas de revoir Adrien.

 

Le rendez-vous n'aura jamais lieu ; le 27 décembre au soir, Marie-Élisabeth Cons-Boutboul, après avoir « fixé » son gendre au 29, avenue Georges-Mandel où il réside dans le seizième arrondissement de Paris dans l'appartement de ses parents depuis qu'il est séparé de sa femme, décommande le dîner au dernier moment. Un dîner-alibi est organisé le soir même à 20 h 15 avec Darie et sa mère Marie-Élisabeth chez son vieil ami et ancien patron, maître Pierre Delphy.

 

Quand, après avoir pris rendez-vous avec un ami pour dîner, Perrot sort de son appartement, il est abattu à 20 h 20 sur son palier, de trois balles de 22 Long Rifle, deux dans la tête tirées à bout portant (une balle dans l'œil gauche, une autre dans la tempe) et une troisième en plein cœur. L'un des pneus de sa voiture a été crevé et l'antivol de sa moto bloqué, ce qui suggère un guet-apens.

 

La Police judiciaire, arrivée sur les lieux, suspecte dès les premiers jours de l'enquête Marie-Élisabeth Cons-Boutboul d'être le commanditaire du meurtre de son gendre, sans pour autant que cette dernière n'avoue quoi que ce soit et que des preuves tangibles puissent être apportées.

 

C'est dans ce contexte que, plus de deux ans après le meurtre, le 5 mai 1988, est retrouvé dans le port du Havre le corps d'une personne identifiée comme étant Bruno Dassac, un représentant de commerce en lingerie. Ce truand havrais est un familier du monde des courses et connaît bien Marie-Élisabeth Cons-Boutboul qui a acheté plusieurs chevaux de course grâce à la fortune qu'elle a acquise frauduleusement.

 

Les enquêteurs parviennent alors à faire le lien entre Bruno Dassac et Marie-Élisabeth Cons-Boutboul, un des comptes suisses de cette dernière ayant été débité de 140 000 francs, afin d'alimenter celui du premier.

 

Il apparaît à la police que, bien que Marie-Élisabeth Cons-Boutboul l'ait toujours nié, Bruno Dassac avait été engagé par celle-ci pour assassiner Jacques Perrot, dont l'enquête personnelle et ses découvertes la menaçaient directement.

 

Dans un deuxième temps, le tueur, devenu gênant, aurait à son tour été exécuté.

 

Placée en garde à vue, en détention provisoire à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis puis à la maison d'arrêt de Rouen, elle est inculpée pour « complicité d'homicide volontaire » dans l'affaire du meurtre de Bruno Dassac et « complicité d´assassinat » dans le meurtre de Jacques Perrot. L'instruction dure des années et plusieurs pistes sont évoquées (le milieu, la Loge P2, les affaires secrètes du Vatican, le SAC, Albert Spaggiari) pour expliquer l'assassinat de Jacques Perrot.

 

Henri Leclerc et Philippe Sarda sont les avocats de la famille Perrot. Olivier Schnerb est l'avocat de Darie Boutboul. Jacques Mouton est l'avocat général.

 

Le 24 mars 1994, la cour d'Assises de Paris condamne Marie-Élisabeth Cons-Boutboul à 15 ans de prison ferme pour « complicité d´assassinat » dans le meurtre de son gendre.

 

Marie-Élisabeth Cons-Boutboul est libérée le 28 décembre 1998 pour raisons de santé et bonne conduite, n'ayant jamais avoué sa participation au crime.

 

Citation

Cons-Boutboul, une "affabulatrice de génie"

 

La mère de Darie Boutboul a-t-elle commandité le meurtre de son gendre en 1985 ? Confidences de Catherine Driguet, ancienne inspectrice à la Crim.

 

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Lui, Jacques Perrot, l'influent avocat, ami intime de Laurent Fabius, "cavaleur et cavalier", relatent les enquêteurs. Elle, Darie Boutboul, première femme jockey à avoir remporté une course, chroniqueuse aux Grosses Têtes. En 1982, le couple se marie. Celui qui est aujourd'hui ministre des Affaires étrangères sera le témoin de mariage. Trois ans plus tard, Jacques Perrot est en procédure de divorce et se bat pour obtenir la garde de son fils, quand il est retrouvé mort sur le palier de l'appartement de ses parents.

 

C'était le 27 décembre 1985 alors qu'il devait dîner le soir même avec Marie-Élisabeth Cons-Boutboul, son ex-belle-mère. Mais cette dernière avait décommandé au dernier moment, incitant Perrot à aller boire un verre en ville. La concierge de l'immeuble entend trois coups de feu. L'avocat a été abattu de trois balles de 22 long rifle. Darie et sa mère sont auditionnées le soir même par la police. Des proches du couple se pressent et veulent parler aux enquêteurs qui les interrogent en priorité, négligeant d'autres éventuels témoins. "C'est peut-être là une faiblesse de l'enquête : tous les amis de Perrot sont arrivés. L'enquête de voisinage traditionnel n'a donc été faite que quelques jours après, c'est dommage. Des pneus de la voiture de Perrot avaient été crevés. Peut-être quelqu'un avait-il vu quelque chose", témoigne pour la première fois Catherine Driguet, ancienne inspectrice à la Crim.

 

"On avait trouvé des lettres qui montraient que le divorce ne se passait pas bien. Jacques Perrot avait notamment demandé que Darie ne puisse pas quitter le territoire", poursuit l'inspectrice. De son côté, Darie craignait que Perrot n'utilise ses relations haut placées pour obtenir le droit de garde. Très vite, les soupçons des policiers vont se porter sur Marie-Élisabeth Cons-Boutboul. "Une affabulatrice de génie", soutient Catherine Driguet. Elle prend ses rendez-vous chez le coiffeur sous un faux nom et s'invente une nouvelle vie partout où elle va. Elle se disait avocate, mais ne l'était plus depuis longtemps après avoir été radiée du barreau pour escroquerie. "Aucun dossier professionnel ne sera retrouvé à son domicile", explique Catherine Driguet.

 

Cons-Boutboul affirmait que son mari avait disparu. "En réalité, ils n'ont jamais vécu ensemble. Socialement, elle l'a fait disparaître, mais il est bien vivant. C'est un dentiste qui ne s'est jamais occupé de sa fille et n'a jamais versé la moindre pension alimentaire. Elle s'est installée progressivement dans son rôle de veuve", raconte l'inspectrice. Cons-Boutboul avait également des chevaux et une voiture au nom d'une de ses cousines. Enfin, son argent, issu en grande partie d'escroqueries, avait été placé en Suisse. On la sait là-bas en relation d'affaires avec un prêtre sans que l'on parvienne à en savoir davantage. Jacques Perrot, lui-même avocat, avait mené sa petite enquête et avait découvert les étranges secrets de sa belle-mère.

 

Les investigations se portent sur le milieu des courses hippiques. Parallèlement, les dossiers que Perrot traitait sont examinés à la loupe. Mais les deux pistes n'aboutissent à rien et sont mises de côté. Après le meurtre, Cons-Boutboul est mise sur écoutes et elle le sait. Elle téléphone souvent depuis la charcuterie voisine (elle aussi écoutée !) à un mystérieux inconnu à qui elle donne des rendez-vous. Mais la police n'arrive pas à l'identifier. Jusqu'à ce que des officiers de Rouen, qui enquêtent sur la mort d'un certain Bruno, docker au Havre, rendent visite à la charcuterie : l'inconnu vient d'être identifié. "C'était un voyou qui faisait respecter les créances et vivotait de petites escroqueries", explique Catherine Driguet. Sa voiture sera retrouvée en flammes et son appartement fouillé avant le passage des policiers. Alors que Cons-Boutboul avait jusqu'ici évité la prison, elle sera mise en examen et incarcérée à Rouen.

 

La police ne dispose que de très peu d'indices. L'enquête va cependant établir que l'homme était à Paris le jour du meurtre de Jacques Perrot. Un chauffeur de taxi affirme avoir vu Cons-Boutboul lui remettre une enveloppe. Mieux, la police va découvrir que des sommes d'argent ont transité avant le meurtre entre le compte bancaire de Bruno et celui de la belle-mère. Les examens balistiques ont montré que Perrot avait été tué par une arme ancienne. On sait que Bruno en possédait, mais elles n'ont pas été retrouvées. Marie-Élisabeth Cons-Boutboul, qui ne cachait pas beaucoup sa haine envers son gendre, était-elle l'instigatrice du meurtre ? Les preuves s'arrêtent ici. Elle sera condamnée à 15 ans de prison, avant d'être libérée pour des raisons de santé, sans qu'aucune preuve tangible puisse être apportée. Tous les points de l'affaire ne seront pas éclaircis. Catherine Driguet conclut : "Je n'ai pas le sentiment d'avoir travaillé sur une erreur judiciaire. Mais c'était peut-être plus compliqué que ça..."

 

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sur "Mack the knife" (la chanson):

 

Citation
  • Kurt Weill and Bertolt Brecht wrote this song in 1928 for the German play The Threepenny Opera. "Mack" is Macheath, the title character, portrayed as a criminal. The light melody can make this feel like an upbeat song, but it contrasts sharply with the lyrics, which are about a murderer.
  • Darin decided to perform this song when he saw a production of The Threepenny Opera in Greenwich Village in 1958. He thought up his own way of presenting the song, and started performing it in his nightclub act, where it was well received. The song was included on Darin's album That's All, which was released in March 1959. In May of that year, Darin's "Dream Lover" became a huge hit, and demand was building for "Mack The Knife," which was growing increasingly popular thanks to Darin's nightclub performances and sales of the album.

    Darin, however, had a teen idol image to uphold, and a song from the '20s about a murderous sot could derail that train quickly. He was recording for Atlantic Records, who made lots of good decisions, and label boss Ahmet Ertegun ordered it released as a single. Finally, in late August, the single came out and was a massive hit. Whatever teen idol cred Darin scrubbed, he more than made up for in adult appeal, as the song introduced him to an audience that went well beyond "Splish Splash." He became a regular on various TV shows, played a lot of high-end resorts and became the youngest headliner at the Sands Hotel in Las Vegas, where he was once a busboy. The song's success also earned him a second spot on The Ed Sullivan Show, where he made a total of six appearances.
  • The original German lyrics were far more graphic, making it clear that this is a murderer we're talking about. For American audiences, the translation was more ambiguous to soften the killings, essential in eluding censors in the conservative 1950s.

    Here is how Marc Blitzstein softened the blow:

    (German original)
    On a beautiful blue Sunday
    Lies a dead man on the Strand

    >>
    On the sidewalk, Sunday morning
    Lies a body oozing life


    (German original)
    Jenny Towler was found
    With a knife in her chest
    And on the wharf walks Mack the Knife

    >>
    Louie Miller disappeared, dear
    After drawing out his cash
    And MacHeath spends like a sailor
    Did our boy do something rash?

 

Plus ici:

 

https://www.songfacts.com/facts/bobby-darin/mack-the-knife

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2 hours ago, poney said:

Un truc apporté par le libéralisme qu'on oublie trop souvent : il y avait au 12eme 23 péages fluviaux entre Châlons sur Saône et Avignon...

 

23 ! 

On peut aussi voir ça comme un "apport" de la centralisation... 

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TIL que l'intelligence et la qualité du sperme ne sont pas corrélés. C'est le genre de questions que je ne m'étais jamais posées, dont je suis un tantinet surpris de voir que c'est un gros débat (le début de l'article qui passe sans transition de many traits à au hasard ejaculate quality me fait bêtement rire), mais je suis content qu'on m'ait donné la réponse. https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/1474704920960450

Citation

For instance, women’s assessments of men’s facial attractiveness correlate positively with sperm motility and morphology in a sample of Spanish men (Soler et al., 2003). A later study found a positive correlation between an index of ejaculate quality and facial attractiveness ratings (of the same Spanish men) provided by a different sample of men and women (Soler et al., 2014).

edit ça aurait presque sa place dans le thread a e s t h e t i c s :mrgreen:

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Ouah merci ❤️ Grâce à Sapolsky j'avais appris des trucs sur la compétition spermatique chez les mouches polyandriques avec des spermatozoïdes qui sécrètent des toxines les uns contre les autres et des agrégats de spermatozoïdes de mâles différents qui se forment en proportion de leur parenté pour nager plus vite en avant. Ca m'avait soufflé.

  • Yea 1
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il y a 58 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

Grâce à Sapolsky

Son bouquin, ou son cours de Stanford ?

 

Je crois qu'il y a aussi chez les mammifères (pas sûr du niveau de clade) trois grands comportements chez les spermatozoïdes : ceux qui foncent façon peloton en avant, ceux qui font bloc pour empêcher de passer ceux d'un mâle rival passant après (et c'est là qu'on voit que les spermatozoïdes malformés ne sont pas inutiles), et ceux qui ont pour tâche de déloger les blocs dus au mâle précédent.

 

il y a 57 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

Ca m'avait soufflé.

C'est plus rigolo en anglais. ;)

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