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TIL - today I learnt...


Hayek's plosive

Messages recommandés

il y a 58 minutes, Antoninov a dit :

Cheeserolling...

En tant que > 40 ans, j'ai mal rien que de regarder...

 

 

 

Le top comment :

Citation

This is what happens when health care is free

 

Sinon, je suis le seul à qui ça fait au moins un tout petit peu envie ?

  • Haha 4
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11 hours ago, Mégille said:

 

Le top comment :

 

Sinon, je suis le seul à qui ça fait au moins un tout petit peu envie ?

Suis trop vieux pour y participer, mais c'est dans les endroits que j'ai prévu d'aller voir.

 

J'ai décidé de me lancer pour faire régulièrement des voyages "sportifs" en tant que spectateur.

Sport fun et plus classique.

 

J'en faisais déjà, mais c'était épisodique.
Maintenant, vais essayer de concilier sport et gastronomie lors de mes voyages.

(Dans le même style, j'ai prévu par exemple d'aller manger un Haggis lors des Highland Games.

 

Edit:

 

D'ailleurs il y a une série Netflix sur les sports étranges avec un épisode dédié à cette course. :)

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Just now, Lancelot said:

Le haggis c'est pas dégueu mais pas fou non plus.

Ah mais le but n'est pas de manger du 5étoiles.

 

Mais pour moi manger du haggis en écosse, cela va dans l'ambiance.

 C'est pas le top du top de la gastronomie, mais si je vais en Ecosse ce n'est pas pour manger un steak frite ou un cassoulet.

 

 

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Le haggis, c'est à l'image de la cuisine british : rarement mauvaise, mais pas particulièrement raffinée, ce qui me convient bien.

 

Ils mettent le haggis dans le petit déjeuner (full English). Ce n'est pas mauvais, avec oeufs, saucisses, bacon, beans, champignons et pommes de terre, et un bon plan quand on fait des ballades / randos : pas besoin de pause midi car on tient jusqu'au diner (étonnant, non?) ; efficace.

  • Love 1
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il y a 25 minutes, MXI a dit :

 c'est à l'image de la cuisine british : rarement mauvaise

 

Le "fish and chips" n'est pas bon, le goût n'est pas bon.

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J'ai mangé un fish and chips en angleterre dégueulasse, et un fish & chips dans un léon de Bruxelles à tomber par terre. Comme quoi :lol: 

 

Du haggis c'est l'espèce de boudin noir qu'ils te foutent dans les petits déj ? 

  • Yea 1
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J'ai dit que ce n'était pas la même chose, pas que c'était forcément meilleur :lol:

 

Le fish and chips anglais, c'est un filet énorme de cod (genre 400g) enroulée d'une pâte fine, deep-fried pas longtemps (juste que l'extérieur commence à être golden brown). Servi avec des chips (donc pas des frites) et le tout recouvert de vinaigre. C'est tout sauf de la cuisine fine, mais ça peut être très bon ou complètement ignoble.

 

J'ai testé pas mal de fish and chips dans d'autres pays et 95% du temps, c'est des petits bâtonnets de poisson avec une pâte extérieure beaucoup trop épaisse. Rien à voir niveau texture.

  • Yea 2
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il y a 59 minutes, NoName a dit :

Du haggis c'est l'espèce de boudin noir qu'ils te foutent dans les petits déj ? 

 

Non, je crois que leur boudin noir, ils l'appellent black pudding.

Le haggis, j'en avais mangé du boucher en Ecosse, c'était une tuerie.

 

PS : le B&B qui nous avait fait ça était également une tuerie, et ils nous avaient ouvert une bouteille de vin, donc ça joue.

 

 

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Tiens d'ailleurs, il existe une recette kabyle de panse de brebis farcie, c'est curieux comme d'ailleurs le teint clair et cheveux roux de certains kabyles...

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1 hour ago, POE said:

Tiens d'ailleurs, il existe une recette kabyle de panse de brebis farcie, c'est curieux comme d'ailleurs le teint clair et cheveux roux de certains kabyles...

Il y a même une BD qui joue sur ce cliché : "Boule est Kabyle". 

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Il y a 8 heures, Cthulhu a dit :

De mon expérience, le fish and chips anglais et l'équivalent dans d'autres pays ne sont pas vraiment la même chose.

 

J'ai mangé le "fish and chips" anglais (en Angleterre) et pour moi le goût n'est pas bon.

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Crime vient du latin crimen, qui désigne quelque chose en suspens et qui reste à trancher ; et l'acte de trancher ce suspens est le discrimen, qui a donné "discriminer".

 

(Hat tip Frank van Dun)

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François Mitterrand, qui était ministre du gouvernement de Joseph Laniel (plus précisément, ministre d'État, chargé du Conseil de l'Europe), en 1953, a démissionné au bout de deux mois pour deux raisons : d'une part, la politique du gouvernement en Indochine ; d'autre part, l'intention du gouvernement de ramener l'âge de la retraite de 65 à 60 ans.

 

Mais je suppose que c'est le vent qui tourne, et non la girouette. :D

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Il y a 5 heures, Rincevent a dit :

François Mitterrand, qui était ministre du gouvernement de Joseph Laniel (plus précisément, ministre d'État, chargé du Conseil de l'Europe), en 1953, a démissionné au bout de deux mois pour deux raisons : d'une part, la politique du gouvernement en Indochine ; d'autre part, l'intention du gouvernement de ramener l'âge de la retraite de 65 à 60 ans.

 

Mais je suppose que c'est le vent qui tourne, et non la girouette. :D

 

Toi aussi tu regardes les videos de JM Daniel sur BFMTV.

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il y a 27 minutes, Hayek's plosive a dit :

Toi aussi tu regardes les videos de JM Daniel sur BFMTV.

Je reçois ses cinq minutes de podcast chaque matin. :)

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Citation

 

L'histoire ubuesque du Code de la route

Le premier vrai Code de la route est paru le 27 mai 1921, il y a cent ans. Bien après l'essor de l'automobile… et le premier Code privé paru en 1904.

Révélation

 

Le Code de la route naît le 27 mai 1921. Dans la clandestinité, car ce n'est en réalité qu'un décret. Un code aurait dû être voté par l'Assemblée nationale. Mais il y avait urgence. Depuis que le projet avait été lancé, en 1909, le nombre de voitures circulant en France avait été multiplié par sept ! Et les conducteurs avaient tendance à suivre un code de 1904 qui avait l'immense tort… d'être privé.

L'automobile commence à se répandre dans la dernière décennie du XIXe siècle. En France, l'Etat définit les premières règles de circulation adaptée à cette nouveauté dans un décret de 1899, limitant notamment la vitesse à 30 km/h. Le pays compte alors moins de 2.000 véhicules.

Des moteurs qui effraient les chevaux

Mais les progrès sont rapides. Cinq ans plus tard, leur nombre a décuplé. Des clubs d'usagers apparaissent un peu partout. Jules Perrigot, qui préside l'Automobile-Club vosgien, publie alors un code de dix articles qui propose la priorité à droite et des règles de solidarité envers les automobilistes accidentés ou en panne d'essence. Son succès dépasse les frontières.

C'est tout de même vexant pour un Etat français qui s'y connaît en normes en tout genre, y compris pour la circulation. Louis XV avait limité le nombre de chevaux par charrette en fonction du nombre de roues, afin de préserver les routes. Napoléon avait imposé la circulation à droite pour bien montrer que la France n'était pas l'Angleterre. Au milieu du XIXe siècle, une loi très complète déterminait « la police du roulage et des messageries publiques », autorisant même les engins à moteur pourtant « de nature à effrayer les chevaux et à mettre le feu aux récoltes ».

Commission sur commission

Cinq ans après le code Perrigot, en 1909, est donc créée par décret une commission chargée d'élaborer un Code de la route valable à la fois pour les cochers des voitures à cheval, les automobilistes et les cyclistes. Après moult enquêtes et auditions, un projet finit par sortir fin 1911. Il est adopté par ladite commission trois mois plus tard.

Ce n'est cependant que le début. Une vaste consultation s'engage. Fin 1913, une commission spéciale est créée pour en faire la synthèse. C'est chose faite fin mai 1914. Mais le début de la guerre, deux mois plus tard, interrompt le processus. Nous sommes déjà dix ans après le code Perrigot…

Comme les cochers

Et même si la guerre n'avait pas éclaté, le code n'aurait sans doute pas été adopté rapidement. Car le projet issu de ce long cheminement était aberrant. Il définissait six niveaux de priorité, mais aucun ne concernait les croisements de routes de même catégorie.

Et après d'interminables débats, il prônait… le retour à une circulation à gauche. Après d'autres longues discussions pour savoir si le conducteur devait avoir sa place à droite, comme les cochers, qui fouettaient les chevaux le plus souvent de la main droite et préféraient donc se placer de ce côté pour éviter de blesser par inadvertance leurs passagers.

Priorité à droite !

Après-guerre, il n'est plus temps de tergiverser. L'industrie automobile est en plein essor. En mai 1919, une nouvelle commission est formée. Deux ans plus tard, la France a enfin son « décret concernant la réglementation de l'usage des voies ouvertes à la circulation publique » qui fixe la priorité à droite, comme le bon vieux code produit par Jules Perrigot. Deux semaines après le décret, le ministre en charge du dossier, Yves Le Troquer, appellera enfin le texte de son vrai nom : « Code de la route ».

 

https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/lhistoire-ubuesque-du-code-de-la-route-1318342

 

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