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Coaching Et Développement Personnel


Yozz

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+ 1. tabula rasa et consorts = bullshit. Il y a une donne non reporgrammable.

 

Certaines personnes refusent l'idée qu'il est possible de changer, pour une raison assez étrange :

 

en acceptant de changer, et en découvrant la vie d'un oeil neuf, on peut également subir un contrecoup, se dire "merde! pourquoi j'ai pas fait ça plus tôt!! toutes ces années gâchées!!!"

C'est pour ça que les personnes les plus âgées sont souvent les plus réticentes à l'idée du changement : reconnaître comme ça de but en blanc qu'on a vécu toute sa vie comme un con, ça fait mal, et on ne s'imagine pas que les quelques moments de vrais bonheur que l'on gagnerait à changer pourraient compenser ce soudain vertige d'une vie absolument vide, nourrie de misérables illusions.

Je connais des personnes tellement obstinées à combattre, à refouler cette idée de pouvoir changer, si craintives à l'idée de reconnaître qu'elles vivent encore dans l'illusion, qui s'accrochent à cette illusion pourtant désespérante, et d'autant plus désespérées à l'idée que leurs rares illusions de bonheur seraient alors balayées avec toute cette illusion. Au fond d'elles elles le savent, elles le pressentent, cela ajoute à leur angoisse, ça doit être terrible. Si elles mettaient autant d'énergie à essayer, ne serait-ce qu'à envisager cette possibilité de changer... Quelle vie merveilleuse elles auraient.

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en hypnose par exemple on travaille souvent sur des "peurs".

 

En réalité il n'y a pas des masses de peurs fondamentales chez l'être humain : la peur du vide notamment, la peur de la mort...

Les autres peurs sont construites socialement, par le conditionnement, l'éducation...

L'hypnose peut donc démolir ces peurs absurdes (peur du regard des autres notamment, dans le cas de l'affirmation de soi...)

 

Loin de domestiquer nos instincts, il s'agit donc surtout de ne pas en ajouter "d'autres", disons d'intérioriser certains comportements à la manière d'un habitus, intérioriser certains traits culturels au point de les croire naturels.

Démolissons nos fausses natures pour faire rejaillir la vraie, et à partir de là travaillons si besoin à la domestication de certaines pulsions. Je dirais qu'à ce jour nous sommes bien trop domestiqués justement, "domestiqués" au sens péjoratif du terme, les gens sont dociles, soumis, ne s'expriment plus spontanément, réfrènent leurs désirs, se laissent guider, acceptent leur étouffement progressif dans cette société toujours plus aseptisée...

 

Le coaching tel que je l'envisage, le "changement", c'est bien une libération, une émancipation, un retour aux fondamentaux, réveiller la flamme, déchaîner l'envie de tout faire péter dans cette société

 

C'est ce que pourrait dire un born again dans une secte protestante. Mais comme tu disais, l'important est d'y croire et d'en être satisait, les dupes aussi ont leur utilité sociale, comme les mystiques et les escrocs de talent, ce que j'approuve joyeusement.

 

En revanche je ne souscris pas à cet éloge du spontanéisme dans l'éducation, qui correspond à une certaine doxa universitaire pédagogiste qui a pignon sur rue, et que tu désapprouves par ailleurs. Un vrai travail sur soi de longue haleine en vue de s'améliorer, marginalement je le précise, suppose de maîtriser ses passions, contrôler ses pulsions, donc de prendre de la distance et de la hauteur par rapport à nos réactions immédiates, pour les ralentir en les médiatisant.

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Une psychothérapie en ligne ?

 

Non, ça gênait surtout les autres. En fait, au premier abord, je parais souvent très froid, très distant et hautain alors que je suis fondamentalement gentil et chaleureux. A cause de ma timidité naturelle je pense. J'ai souvent essayé de corriger ça et ça me mettait dans des situations qui m'étaient inadaptées dans lesquelles j'étais ridicule, un peu con. J'ai vite pris le parti de rester naturel et cette situation me convient parfaitement.

Et c'est ça la seule chose qui importe.

 

Après, si tu souhaites étendre ton champ de possibles, le coaching peut t'y aider, progressivement.

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Par ailleurs, qualifier d'escroquerie l'astrologie (ce que je veux bien faire, hein) nous ferait presque oublier qu'il s'agit d'un vrai travail : on ne s'improvise pas astrologue du jour au lendemain. Pour faire illusion, il faut avoir une véritable expérience, un véritable savoir-faire d'illusionniste (de "mentaliste"). Sinon on ne fait pas illusion bien longtemps.. Un mauvais astrologue aura du mal à gagner la confiance de ses clients, ils auront du mal "à y croire". Seuls les plus habiles élargissent leur clientèle et peuvent augmenter leurs tarifs. Comme tout illusionniste, à ceci près que dans le cas d'un spectacle de magie on paye l’illusionniste tout en sachant que ce n'est qu'illusion, dans le cas de l'astrologue on le paye en acceptant de plonger complètement dans l'illusion..

 

Étonnamment, il semblerait qu'en fait si. J'ai vu plusieurs reportages sur des centres d'appel en Tunisie qui recrutaient des filles pour des consultations d'astrologie sur le seul critère de savoir parler français sans trop d'accent. Les filles étaient formées en une après-midi et hameçonnaient le client dans la soirée pour la plupart avec succès.On peut voir régulièrement sur le câble des astrologues pratiquer le cold reading avec le charisme d'une moule, etc.

 

Dans un autre style, avez vous déjà lu les écrits fondateurs de Ron Hubbard? C'est vraiment de la merde en barre. Que l'on puisse tomber dans le panneau à la lecture de Freud, pourquoi pas. Mais Hubbard, quelle calamité et quelle pauvreté à tout niveau. Pourtant il s'est certainement vendu des millions d'exemplaires de la Dianétique. 

 

Qu'il y est des as du charlatanisme sans doute. En toute profession l'on trouve des experts et des besogneux malabiles. Mais je doute que le niveau d'accès minimum à la profession soit très élevé. Astrologie ou PNL, l'important comme disait Barnum est que "There's a sucker born every minute". 

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Pour changer de toute façon, à la base, il faut le vouloir.

Typiquement, les gens qui se plaignent de ne pas changer se divisent en deux catégories : ceux qui se sentent bien dans leur situation mais qui se mentent a eux mêmes, et ceux qui attendent tout des autres. 

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Changer le plus profond de la structure psychologique de quelqu'un, le coaching ne le prétend certainement pas, et en quoi serait-ce d'ailleurs souhaitable? Mais changer des comportements, en apprendre de nouveaux, apprendre à vivre certaines choses différemment et répondre différemment a certaines situations.

Le "on ne change jamais" me laisse toujours perplexe. On change tout le temps. On change physiquement, nos goûts évoluent, nos idées changent ou se raffinent, nos réactions et l'importance que l'on accorde aux choses évoluent, etc.

Mais de toute évidence, on ne change pas du tout au tout, des fondamentaux demeurent etc. Mais dans le même temps, entre l'ado de quinze et le cinquantenaire, on autant changé qu'on est méconnaissable.

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Pour changer de toute façon, à la base, il faut le vouloir.

Typiquement, les gens qui se plaignent de ne pas changer se divisent en deux catégories : ceux qui se sentent bien dans leur situation mais qui se mentent a eux mêmes, et ceux qui attendent tout des autres. 

 

A lire pour tous ceux qui pensent que les gens qui ne pensent pas comme eux sont des frustrés, se mentent à eux -mêmes et attendent tout des autres (tiens c'est peut-être un truc à changer ça, pensez-y). Vous verrez, l'idée qu'il existe une nature non reprogrammable se défend bien

 

The blank slate: the modern denial of human nature (steven pinker)

 

http://www.amazon.fr/The-Blank-Slate-Modern-Denial/dp/014027605X/ref=sr_1_8?ie=UTF8&qid=1362505429&sr=8-8

 

The Nurture Assumption: why children turn out the way they do

 

http://www.amazon.fr/Nurture-Assumption-Children-Turn-They/dp/1439101655/ref=sr_1_1?s=english-books&ie=UTF8&qid=1362505532&sr=1-1

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Je ne crois pas qu'un introverti puisse devenir un extraverti par un coaching. Les structures profondes de la personnalité sont plutôt perennes et finissent par resurgir même si on tente de les masquer.

Oui, soit elles ressurgissent soit elles se manifestent d'une manière ou une autre sous la forme de symptôme (ouaip c'est de la psychanalyse, deal with it). Et là pour le coup ça peut devenir pathologique, c'est un exemple de situation où un coaching maladroit envenime la situation.

 

Ta vraie nature n'est jamais ta vraie nature. C'est le conditionnement dont tu as fait l'objet depuis tout petit, par tes parents, l'école, différentes institutions...

L'inné (génétique, développement biologique...) et l'acquis fusionnent dès les premiers stades de la vie pour former une ébauche de personnalité utilisée pour assimiler les expériences moins précoces. C'est du jeu de cette interaction qu'émerge la personnalité mature.

Ce qu'on peut modifier par la suite, c'est bien moins la personnalité elle-même que la manière de l'appréhender. On peut ouvrir la voie à de nouvelles variations ou en éliminer certaines, mais jamais changer le modèle. On ne peut pas devenir un autre (même si on peut s'en convaincre).

 

Vraiment, les pires escrocs de notre société, c'est à l'université que je les ai rencontré, se cachant derrière des titres pompeux de professeurs, de docteurs, de directeurs... 90% sont des trous du cul, des idiots, des ignares, des gens mauvais et malfaisants, sacrifiant la vérité ou l'avancée des étudiants à leur propre petit profit, fric ou publicité. L'obtention d'un diplôme ne protège pas de la bêtise. Tout ceux qui ont un peu poussé les études universitaires savent très bien que tout cela n'est qu'un mascarade. Il faut vraiment s'aveugler soi-même pour oser croire que son mémoire ou sa thèse a une quelconque valeur. ça ne sert qu'à impressionner ceux qui n'ont pu aller à l'université. ou à se reconnaître entre ceux qui ont pu y aller. c'est une forme de code. mais fondamentalement ça ne t'apprend rien de plus ni n'apprend rien aux autres.

Sérieusement, qui oserait soutenir ici que l'université est encore le temple de la raison, de l'intelligence, de la culture, de la quête de vérité ? Qui oserait soutenir ici que les travaux universitaires contemporains ont la moindre valeur de ce point de vue là ? Il y a quelques exceptions, bien sûr, mais plus personne n'est capable de les distinguer de la masse indistincte de la production littéraire de nos universitaires. Tous écrivent, noircissent des pages, que plus personne ne lit, qu'eux mêmes ne relisent plus, ce n'est plus que de la merde, c'est mal écrit, c'est débile, c'est pédant, c'est dire des choses simples de façon tarabiscotée, c'est inutile.

 Je veux bien admettre le premier paragraphe (tout en remarquant que 90% de cons ce n'est pas un si mauvais quota), mais pas le second. Trop facile de tout jeter en bloc.

Bien sûr qu'il y a du déchet, que certains domaines sont pourris par l'idéologie ou les subventions, mais il y a encore des papiers magnifiques, des chercheurs dévoués, de la passion, des débats, des percées, de la surprise, du progrès.

 

Chacun pense capter la réalité dans son essence même, sans soupçonner les innombrables filtres idéologiques qu'il y applique inconsciemment.

Si la réalité n'existe pas, comment confirmer que tel filtre est meilleur que tel autre ?

 

La solution serait que tout le monde s'engage dans un processus de développement personnel complet. Que tout le monde traverse en même temps ce voile de l'illusion sociale. Que plus personne ne soit dupe du jeu des autres. Que la communication soit franche et directe entre toute personne de ce monde.

Démolissons nos fausses natures pour faire rejaillir la vraie, et à partir de là travaillons si besoin à la domestication de certaines pulsions.

[...]

Le coaching tel que je l'envisage, le "changement", c'est bien une libération, une émancipation, un retour aux fondamentaux, réveiller la flamme, déchaîner l'envie de tout faire péter dans cette société.

 Et voilà le mysticisme dont je parlais hier.

 

C'est pour ça que les personnes les plus âgées sont souvent les plus réticentes à l'idée du changement : reconnaître comme ça de but en blanc qu'on a vécu toute sa vie comme un con, ça fait mal, et on ne s'imagine pas que les quelques moments de vrais bonheur que l'on gagnerait à changer pourraient compenser ce soudain vertige d'une vie absolument vide, nourrie de misérables illusions.

Comme un con par rapport à quoi ? Des illusions par rapport à quoi ? On dirait que la réalité est revenue par la fenêtre.

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Yozz, tu as raison d'exprimer ta perplexité. Moi même j'usqu'à environ 17 piges j'étais d'une timidité affreusement maladive. Avec un peu d'aide de proches et un sacré remontage de bollocks je suis complètement passé de l'autre côté.

Ce qu'il faut comprendre de toute façon c'est qu'il y a des habitudes de vie qui conditionnent ta personnalité (ou plus exactement une expression du champ de l'inné). Et que, si tu en as de mauvaises, tu seras mal le jour ou une situation t'imposera d'avoir une attitude tout autre.

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Ce qu'il faut comprendre de toute façon c'est qu'il y a des habitudes de vie qui conditionnent ta personnalité (ou plus exactement une expression du champ de l'inné). Et que, si tu en as de mauvaises, tu seras mal le jour ou une situation t'imposera d'avoir une attitude tout autre.

:chine:
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Yozz, tu as raison d'exprimer ta perplexité. Moi même j'usqu'à environ 17 piges j'étais d'une timidité affreusement maladive. Avec un peu d'aide de proches et un sacré remontage de bollocks je suis complètement passé de l'autre côté.

Ce qu'il faut comprendre de toute façon c'est qu'il y a des habitudes de vie qui conditionnent ta personnalité (ou plus exactement une expression du champ de l'inné). Et que, si tu en as de mauvaises, tu seras mal le jour ou une situation t'imposera d'avoir une attitude tout autre.

 

On ne parle pas d'adaptation au milieu mais du changement permanent et perenne des structures de la personnalité.

 

Moi aussi, je suis timide. Tous les jours, dans mon job, je rencontre des personnes nouvelles et je me suis parfaitement adapté à cette situation qui ne me pose aucun problème (j'apparais avenant et alerte). Il n'empêche que je reste un individu fondamentalement timide et cette timidité réapparait si une situation nouvelle non expérimentée, un contexte nouveau apparait.

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Changer le plus profond de la structure psychologique de quelqu'un, le coaching ne le prétend certainement pas, et en quoi serait-ce d'ailleurs souhaitable? Mais changer des comportements, en apprendre de nouveaux, apprendre à vivre certaines choses différemment et répondre différemment a certaines situations.

Le "on ne change jamais" me laisse toujours perplexe. On change tout le temps. On change physiquement, nos goûts évoluent, nos idées changent ou se raffinent, nos réactions et l'importance que l'on accorde aux choses évoluent, etc.

Mais de toute évidence, on ne change pas du tout au tout, des fondamentaux demeurent etc. Mais dans le même temps, entre l'ado de quinze et le cinquantenaire, on autant changé qu'on est méconnaissable.

 

On peut s'améliorer, mais marginalement : apprendre les rudiments des arts, de la chasse ou de la cuisine sera toujours plus utile qu'un coach, sauf pour les sportifs. Un plouc restera un plouc, même si tu lui apprends à donner le change en ne s'habillant pas comme l'as de pique. Encore que généralement, un plouc relooké ne fait pas illusion, sa gaucherie le trahit et il devient ridicule : typiquement, le bourgeois gentilhomme, ou le provincial qui se pique de snobisme.

 

Gagner en maturité oui, mais aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années. Certains cultivent leur jardin et se bonifient comme un bon vin, pour d'autres la vieillesse est un naufrage, cela dépend du tonneau dont on est fait, mais tu ne feras jamais un grand cru avec une piquette. Reste la fonction de conseiller, conseiller suppose une compétence. Or quelle est la compétence du coach? Comme l'a dit V. : un illusionniste, rien de plus.  

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Comme un con par rapport à quoi ? Des illusions par rapport à quoi ? On dirait que la réalité est revenue par la fenêtre.

 

comme un con par rapport à soi-même. des illusions par rapport à ce que l'on veut vraiment, ou ce qui serait bon pour soi.

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dans ce cas définissons plus précisément "escroquerie".

(...)

Mais dans le cas de l'astrologie, pour les "bons" astrologues, les clients n'ont précisément pas le sentiment de se faire escroquer, ou voler. Et en contrepartie de leur argent, ils reçoivent une prestation d'artiste d'une certaine qualité. Dans ce sens il n'est pas si évident de parler d'escroquerie pour l'astrologie.

(...)

Ah oui, comme la politique, c'est ça ? Puisque tant d'électeurs retournent aux urnes, il n'est pas si évident de parler d'escroquerie. :sorcerer:

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On ne parle pas d'adaptation au milieu mais du changement permanent et perenne des structures de la personnalité.

 

Moi aussi, je suis timide. Tous les jours, dans mon job, je rencontre des personnes nouvelles et je me suis parfaitement adapté à cette situation qui ne me pose aucun problème (j'apparais avenant et alerte). Il n'empêche que je reste un individu fondamentalement timide et cette timidité réapparait si une situation nouvelle non expérimentée, un contexte nouveau apparait.

 

Je ne parlais pas non plus de simple adaptation au milieu. Mais plutôt du fait que les structures de la personnalité ont un range et que selon tes habitudes de vie tu évolurera à un point ou un autre de ce range.

Donc il ne s'agit pas de modifier la structure, ce qui est en effet impossible, mais de déplacer le curseur.

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Je ne parlais pas non plus de simple adaptation au milieu. Mais plutôt du fait que les structures de la personnalité ont un range et que selon tes habitudes de vie tu évolurera à un point ou un autre de ce range.

Donc il ne s'agit pas de modifier la structure, ce qui est en effet impossible, mais de déplacer le curseur.

 

Ok, on dit globalement la même chose.

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Si c'est moi qui décide d'aller voir un psy, un coach ou un astrologue, si je le veux, qui peut condamner cette volonté ?

 

C'est moi qui décide de manger des clous, si je le veux, qui peut condamner ma volonté ? 

Il s'agit pas de condamner, il s'agit de critiquer, et ça c'est à la porté de tout le monde, et c'est d'ailleurs plus efficace quand ça vient de l'extérieur ( un coach sert en partie à ça d'ailleurs :P)

 

Par ailleurs, qualifier d'escroquerie l'astrologie (ce que je veux bien faire, hein) nous ferait presque oublier qu'il s'agit d'un vrai travail : on ne s'improvise pas astrologue du jour au lendemain.

 

C'est clair, on ne devient pas un bon escroc du jour au lendemain, ça demande de l'expérience. 

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Yozz, tu as raison d'exprimer ta perplexité. Moi même j'usqu'à environ 17 piges j'étais d'une timidité affreusement maladive. Avec un peu d'aide de proches et un sacré remontage de bollocks je suis complètement passé de l'autre côté.

 

La timidité ça n'est pas un trait de personnalité structurel, plutôt une phobie, et comme toute les phobies ça disparait par l'accoutumance (plus ou moins progressive).

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La timidité ça n'est pas un trait de personnalité structurel, plutôt une phobie, et comme toute les phobies ça disparait par l'accoutumance (plus ou moins progressive).

 

La phobie, sociale, c'est le stade pathologique d'une forme de timidité. Je ne vois pas ce que tu entends par trait de personnalité structurel.

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La phobie, sociale, c'est le stade pathologique d'une forme de timidité.

 

Ouep.

 

 

Je ne vois pas ce que tu entends par trait de personnalité structurel.

 

Je parle de traits de personnalité a peu près inamovibles, comme la sexualité par exemple.

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La timidité ça n'est pas un trait de personnalité structurel, plutôt une phobie, et comme toute les phobies ça disparait par l'accoutumance (plus ou moins progressive).

 

Par contre, la tendance de certains à appréhender un environnement avec plus de retenue, plus de temps d'observation et de stress que d'autres est une structure psychique basique qui conduit plus facilement à la timidité.

 

2 frères (50% de gènes en commun), quelques années de différences, même environnement, même éducation (globalement), l'un est introverti, très observateur mais stressé, l'autre est peu observateur, fonceur et très social (demande spontanement à prendre la parole en public là où l'autre se cache dans les jupes de sa mère). Comment l'expliquer ?

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Vous parlez de quoi lorsque vous parlez de :

- traits de la personnalité

- personnalité

- structures internes de la personnalité

?

 

Si j'ai bonne mémoire, la définition d'Hayek de la personnalité était quelque chose du genre : un filtre interprétatif de la réalité qui résulte de l'interaction entre le patrimoine génétique et les expériences passées du sujet.

Donc, cela suppose que les expériences présentes sont capables de construire une personnalité future différente

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La réponse est dans ta question, non ? 50% de gènes différents, pas tout à fait la même éducation, en tant que parent, tu n'élèves pas pareil tes enfants, simplement parce que ils sont différents à la base, et toi tu as évolué nécessairement. Tu élèves un peu le second avec les expériences du premier, en t'y référant un peu. Et l'environnement évolue aussi, les rencontres sont différentes

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Si j'ai bonne mémoire, la définition d'Hayek de la personnalité était quelque chose du genre : un filtre interprétatif de la réalité qui résulte de l'interaction entre le patrimoine génétique et les expérience passées du sujet.

Donc, cela suppose que les expériences présentes sont capables de construire une personnalité future différente

 

Personne ne dit le contraire. Certains pensent qu'il existe un trame psychologique inaliénable, une structure basique qui demeure, les autres que les différentes structures de la personnalité sont entièrement modelables.

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La réponse est dans ta question, non ? 50% de gènes différents, pas tout à fait la même éducation, en tant que parent, tu n'élèves pas pareil tes enfants, simplement parce que ils sont différents à la base, et toi tu as évolué nécessairement. Tu élèves un peu le second avec les expériences du premier, en t'y référant un peu. Et l'environnement évolue aussi, les rencontres sont différentes

 

C'est le second garçon qui est timide, il réagit exactement comme moi quand j'étais gosse (j'arrive à lire ses pensées, à les devancer et à prévoir ses réactions). Ce que je veux justement dire, c'est qu'entre eux la plus grosse différence, c'est la donne génétique qui délivre une structure neuro-cognitive de base qui diffère d'un être à l'autre.

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