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Grand Débat Contrepoints 15 Juin Matin, Ne Le Manquez Pas !


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http://www.contrepoints.org/2013/06/10/127448-fausterite

 

Et si vous y croisez G7H+, allez-y franchement de d'une bonne tape sur l'épaule, d'un ferme poignée de main, d'un doux compliment et d'un chaleureux sourire, parce qu'il aura fait les 12 travaux d'Hercule à lui tout seul sur ce coup là.

 

Et filez lui un petit coup de main car il aura bien du pain sur la planche.

 

:)

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09h00-10h00 – Débat : La politique économique du  gouvernement face à la crise en France et en Europe

Débat sur les sujets qui font l’actualité dont notamment les nouvelles mesures fiscales et la crise économique et sociale.

Intervenants : Charles Beigbeder (secrétaire national de l'UMP, président de la commission entreprenariat du Medef), Aurélien Véron (président du PLD, membre du comité exécutif de l'UDI), Nordine Idir (secrétaire general du Mouvement Jeunes Communistes), Guillaume Cairou (fondateur du Club des Entrepreneurs, PDG de Didaxis)

 

 

 

:lol:

 

 

Problème technique avec la police et pb de redirection vers le web mobile on dirait.

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J'ai bien aimé l'intervention du jeune communiste, c'était courageux de sa part et pas complétement inintéressant.

 

Justement, je me demandais si il allais etre interessant ou juste rageux, j'espere que l'expérience était enrichissante pour lui aussi et qu'il n'a pas été juste le souffre douleur, il a eu des belles couilles de venir tout seul a ce genre d'evenement.

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J'ai bien aimé l'intervention du jeune communiste, c'était courageux de sa part et pas complétement inintéressant.

Je veux bien croire que ses propos aient été roboratifs. Car comme le dit le proverbe qui Nordine.

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J'ai grandement apprécié l'ambiance générale. Les interventions de Aurélien Véron et Charles Beigbeder ont été très bonnes. Celle de Fourgous m'a bien marqué, et la personne qui m'accompagnait aussi (un parent, plutôt de droite, qui a trouvé les interventions pleines de bon sens).

Il y avait quelques accents libertariens qui ne m'ont pas déplu, c'est peu dire. M. Pinera a été très direct et percutant, et les deux américains, surtout avec l'évocation de Bastiat, m'ont donné le sourire pour toute la journée.

Les interventions du communiste étaient pas mauvaises, on ne l'a pas stigmatisé et lui a joué le jeu.

 

Passons aux points négatifs:

-La traduction simultanée était... perfectible, mais l'exercice est compliqué je pense.

-Je n'ai pas entendu assez le mot "libéral" ou "libéralisme". Deux mentions pour libertarien en revanche, c'est pas mal.

-M. Zimmern était difficilement compréhensible.

 

Bref, je viendrais probablement sans hésiter au prochain événement de ce type.

 

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De mon côté, j'ai un regret. Les intervenants ont exposé l'intéret du libéralisme mais personne n'aborde la question "comment faire". Et c'est celle qui retient le plus mon attention.

Aussi, si j'avais à proposer un prochain débat, ce serait un thème sur "un changement libéral en France, mode d'emploi".

Il y aurait quatre parties/débats:

1- Pourquoi en est-on là?

Étude des particularités du fonctionnement de la France dans une vision dynamique/historique pour offrire des clefs de compréhension. C'est répondre pour partie à la question "La France est-elle compatible avec le libéralisme?"

2- Initier une approche libéral dans le domaine assuranciel

Propositions pour organiser la bascule de la redistribution vers des mécanismes assuranciels libéraux. Je ne suis ici pas sûr qu'il suffise de dire "demain, c'est retraite par capitalisation" pour que cela soit faisable.

3- Initier une approche libéral dans la réglementation française

Comment initier une libéralisation de l'économie. Identifier les priorités. S'il n'y avait qu'une mesure, laquelle mettre en œuvre?

4- Introduire le libéralisme dans la société est-il un processus doux ou violent?

La question ici serait celle des tensions que provoqueraient la "redécouverte" de la liberté dans une société complètement étatisée. Suffit-il de dire "Demain, on est des grands garçons." ou faut-il procéder par étape? Au-delà des groupes étatistes, la logique libérale peut-elle être comprise facilement chez des individus étatisés?

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Je ne jugerai pas de la qualité "grammaticale" de la traduction, par contre effectivement il y avait des blancs: l'orateur parle, le traducteur n'arrive pas à traduire plusieurs mots, et doit rattraper le discours au vol en éclipsant certains termes, ce qui a rendu ma compréhension plus difficile. Une espèce de manque de cohérence en fait. Je pense que j'aurais peut être mieux compris certains passages en écoutant en anglais.

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Il y avait simplement un problème de son. Le traducteur n'entendait pas l'intervenant quand celui-ci parlait avec le micro trop éloigné. Dans la cabine, ils ne peuvent entendre et donc traduire sans le micro.

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4- Introduire le libéralisme dans la société est-il un processus doux ou violent?

 

Le progrès technique introduit en permanence, et de manière douce, du libéralisme dans la société.

Le souci est que dans les pays crypto-coco comme la France, ces avancées sont rapidement bouffées ou mises sous le boisseau par nos politocards.

(A mon échelle micro, j'ai arrêté ma boite quand il est devenu clair que chacune de mes augmentations de productivité était systématiquement et de manière récurrente bouffée par l'état via les augmentations de charges + harcèlement administratif.)

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Le progrès technique introduit en permanence, et de manière douce, du libéralisme dans la société.

...

 

 

?

 

Le poids de l'Etat augmente, en gros, partout.

 

Quand l'heure d'un petit reality check arrivera-t-il pour les croyants de l'inexorable libéralisme ?

 

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Le poids de l'Etat augmente, en gros, partout.

Quand l'heure d'un petit reality check arrivera-t-il pour les croyants de l'inexorable libéralisme ?

Mon post faisait 4 lignes. Pas juste la 1°.

Oui, "le poids de l'Etat augmente, en gros, partout", je l'avais aussi noté, sinon je serais pas ici.

Mais le poids de l'état n'augmente pas tout seul, au milieu de rien.

Il y a, en permanence, 2 termes dans la balance.

Le souci est qu'un coté de la balance va systématiquement piocher dans l'autre (et le faire muter).

 

Si le progrès technique n'existait pas pour contrebalancer la connerie étatique (mais aussi l'engraisser), nous serions déjà en Corée du nord.

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