Aller au contenu

Gender studies & applications


Messages recommandés

Les "gens" mélangent constamment la fonction et le titre, pour professeur. La plupart de mes profs n'étaient pas Professeur. Mais tous mes Professeurs étaient profs.

 

Un bloggeur moyen qui serait certifié, qu'il s'apelle "professeur", ça me dérangerai pas une seule seconde, un étudiant en 3eme cycle ou un thésard, il connais la différence entre prof de Z et Professeur en Z :P

 

Et c'est un mec qui conchie les diplomes qui parle hein, il y a pire que les gens qui ont un diplome et qui pensent que c'est important, y'a ceux qui l'ont pas et qui font semblant de l'avoir parce qu'ils pensent que c'est important :D

Lien vers le commentaire

Bien sûr, mais venant d'un doctorant c'est amusant d'entretenir ce mélange, ça fait un petit peu oui môôôssieur je suis professeur moaahh.

Mais bon passons, c'est peut-être simplement un truc français que je loupe totalement, chez nous les profs de lycée n'ont aucun titre particulier. Ils ne passent même pas de concours en fait.

 

Tu as raison, je suis parfaitement d'accord avec toi. De toute façon, pour tenir un blog comme ça, avoir un avis sur tout et puis se dire prof, c'est un peu avoir le melon.

 

Un bloggeur moyen qui serait certifié, qu'il s'apelle "professeur", ça me dérangerai pas une seule seconde, un étudiant en 3eme cycle ou un thésard, il connais la différence entre prof de Z et Professeur en Z :P

 

Et c'est un mec qui conchie les diplomes qui parle hein, il y a pire que les gens qui ont un diplome et qui pensent que c'est important, y'a ceux qui l'ont pas et qui font semblant de l'avoir parce qu'ils pensent que c'est important :D

 

Moi je suis très fier de mes diplomes, c'est la consécration d'années de batailles et de luttes, spécialement de mes parents, qui y ont cru plus que moi. Mais bon, je n'en suis pas au point de les afficher à mon mur (j'avais pensé à un moment les mettre dans mes toilettes pour les voir quand je pissais mais ça m'est passé) et encore moins les promener en étendard.

Lien vers le commentaire

Alors moi je peux te dire que l'aggreg externe de maths, c'est du hardcore de chez hardcore l'épreuve : bien plus dur que les concours de l'X, d'Ulm, et même de l'ENSAE (l'école de statistique).

 

L'ENSAI peut-être, l'ENSAE j'en doute un peu mais bon (surtout dans le cas d'un X-ENSAE), sauf si tu parles uniquement du niveau en maths auquel cas oui, peut-être – à l'ENSAE on fait deux ou trois trucs à coté des maths :mrgreen:.

 

edit: ah je vois que tu parles de concours, faut pas oublier que l'aggreg' c'est un concours de sortie, les écoles c'est un concours d'entrée... le caeteris paribus est quelque peu malmené là

Lien vers le commentaire

le caeteris paribus est quelque peu malmené là

Ah merci je me disais bien que quelque chose clochait dans ce que venait de dire Chitah. Il a certainement voulu dire autre chose.

Parce que bon pour entrer à X il faut quand même pas un master de recherche en math appliquées, si ?

Lien vers le commentaire

Alors moi je peux te dire que l'aggreg externe de maths, c'est du hardcore de chez hardcore l'épreuve : bien plus dur que les concours de l'X, d'Ulm, et même de l'ENSAE (l'école de statistique).

 

C'était probablement vrai il y a 10 ans, mais beaucoup moins maintenant. En gros, le niveau requis pour l'admissibilité

à l'agreg externe de Mathématique est franchement faiblard par les temps qui courent. Il y a une dégringolade prononcée dans le niveau

des derniers admissibles depuis 7 ou 8 ans.

Lien vers le commentaire

Les sujets sont moins durs ou la sélection est moins concurentielle ?

 

La sélection est moins concurrentielle (effondrement des inscriptions ainsi que des effectifs des préparations à l'agrégation à l'Université). 

L'an dernier, plusieurs collés à l'agrégation interne ont été admis à l'externe.

 

Actuellement, le nombre moyen de questions à résoudre dans un problème pour décrocher l'admissibilité

est extrêmement faible (pour donner un ordre d'idée, les meilleurs candidats en font 6 à 7 fois plus que le dernier admissible,

alors même que les élèves de l'ENS Ulm ne présentent plus l'agrégation sauf exceptions).

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Application de la théorie du genre à l'école par les pédagogistes : on voit bien que ce n'est qu'un instrument gentil et inoffensif pour neutraliser les stéréotypes de domination. Rien à voir avec du bourrage de crânes.

 

une%20nae36.jpg

 

 

Quelques outils pour lutter contre des savoirs scolaires masculinistes

 

 

L’école a pour objectif l’acquisition de savoirs (être-faire…), pour cela les enseignant-e-s utilisent des outils (programmes, manuels, objet d’études…) doublement centrés sur les hommes : ils-elles n’envisagent l’histoire ou la vie sociale que sous un angle masculin et ce point de vue est présenté comme le seul légitime (définition du « masculinisme », L’Étude et le Rouet, Michèle Le Doeuff, Seuil, 1989, 379 p.)

 

Cela a deux conséquences néfastes : les filles manquent de modèles d’identifications et risquent d’avoir du mal à imaginer ce qu’elles pourraient apporter à la société, à la politique, à la culture, la science ou l’art. Les garçons ont l’impression que les hommes sont supérieurs aux femmes, puisqu’il y a de nombreux « grands hommes » et pas de « grandes femmes ». Chacun-e apprend donc que les filles et les femmes sont moins importantes et cela justifie qu’elles aient une place secondaire dans la société et dans la classe. Pour lutter contre ce phénomène, et grâce aux mouvements féministes, de nombreux outils ont vu le jour ces dernières années. En voici quelques exemples.

 

Pour les plus petit-e-s : les albums jeunesses

Filles d’albums. Les représentations du féminin dans l’album, Nelly Chabrol Gagne, L’Atelier du poisson soluble, Le Puy-en-Velay, 2011, 240 pages, 38 €.

Partant du constat que les meilleures ventes d’albums jeunesse ne mettent pas en scène de personnages féminins (Babar, Petit Ours brun, etc.) ou seulement dans des postures féminines ultra traditionnelles (Martine), l’auteure a repris la production de 1990 à 2009, en analysant les albums narratifs, iconotextuels qui mettent en avant des personnages féminins humains. Elle s’est constituée un corpus de 250 albums et nous livre une étude remarquable d’exhaustivité et de précision, des représentations des femmes dans les albums.

 

Son livre suit les âges de la vie humaine en classant les personnages de la naissance à la vieillesse. On apprendra donc que les « nouvelles-nées » ne sont pas sexualisées par les artistes, les nourrissons se caractérisant dans les albums par une relation fusionnelle avec la mère. Que les petites filles sont moins passives que leur prédécesseures mais que si elles ont acquis esprit d’initiative et goût pour l’expérimentation, elles restent plus limitées que leurs homologues masculins dans leurs mouvements et leurs aventures. Que les adolescentes, rares dans les albums, gardent des centres d’intérêts très stéréotypés (rêvant d’amour hétérosexuel, notons d’ailleurs que l’auteure s’intéresse de près aux sexualités des personnages féminins et note le peu de personnages LBT). Que les femmes adultes sont avant tout des mères, omniprésentes dans les albums et dont la fonction est valorisée si ce n’est sacralisée. Et que doublement travailleuses elles se plaignent rarement. Et que les grand-mères n’existent que par et pour leur fonction maternelle, mère dévouée qui gardent les enfants de ses enfants.

 

Le dernier chapitre s’intéresse aux rescapées et aux oubliées : oubliées de l’Histoire parfois rescapées comme Émilie du Châtelet ou Jeanne d’Arc, rares rescapées marginales, violées ou excisées (tant éditeur-trice-s et artistes sont frileux) qui « tirent la sonnette d’alarme » et luttent pour leur survie. Enfin certaines rarissimes filles d’albums jettent le trouble dans le genre en s’attribuant caractéristiques et traits masculins et redistribuent les cartes des rôles sociaux joués traditionnellement par les filles.

 

En plus de fournir des grilles d’analyses et de renseigner sur les filles et les femmes dans les albums, ce beau livre donnera des idées à tout-e éducateur-trice souhaitant proposer des livres de valeur et mettant en avant des personnages féminins forts à ses élèves. Et donne l’occasion de redécouvrir avec elle, les créations d’Adéla Turin ou les très bons livres de l’ancienne édition Le sourire qui mord.

Analyser les stéréotypes de genre dans la fiction

 

De nombreux sites d’associations proposent des bibliographies d’albums, ou de romans qu’elles considèrent anti-sexistes. Leur qualité est variable, le mieux reste de se créer sa propres bibliographie au fil des lectures. Après analyse de ces sites, les critères sont les suivants :

Critères quantitatifs

Combien de personnages féminins dans l’histoire ? Le personnage principal est-il une fille ou une femme ?

Critères qualitatifs

Les personnages : ces personnages filles ou femmes ont-ils un prénom (ils peuvent souvent exister uniquement par leur fonction, le cas le plus courant est la personnage de « maman » qui n’a souvent pas vraiment d’autre identité) ?

Les femmes ont-elles un métier ? Ce métier appartient-il à un autre domaine que l’éducation, la vente ou les soins ? Y-a-t-il des personnages femmes adultes qui ne sont pas des mères ou des grand-mères ? Les femmes adultes ont-elles des activités récréatives autre que ­s’occuper des enfants ou cuisiner un gâteau…

Les petites filles sont valorisées par un rôle actif : prennent-elles des décisions, partent-elles à la découverte du monde ? Ont-elles confiance en leur potentiel ? Ont-elles des activités et des centres d’intérêts variés ?

Les garçons sont-ils représentés dans des activités dites féminines comme la danse, jouer à la dînette, ? Si c’est le cas, sont-ils valorisés dans ces activités ? Expriment-ils leurs émotions ?

Les rôles d’adultes masculins sont généralement beaucoup plus divers et variés que les féminins, on les voit jouer avec les enfants, avoir des métiers intéressants et avoir d’autres centres d’intérêts que la famille ou le travail (pour donner un exemple caricatural, mais courant, les hommes lisent le journal).

Les relations entre les personnages

Les femmes et les filles ont-elles des relations avec d’autres femmes ou petites filles ? Ces relations sont-elles basées sur la confiance, la solidarité ? Parlent-elles entre elles d’autre chose que des hommes ou des relations amoureuses ? Y-a-t-il de l’amitié, de l’amour, des contacts physiques agréables entre entre ces femmes, ces filles ? Les personnages féminins sont-ils toujours dans le soin et l’attention aux autres ? Y-a-t-il des filles ou des femmes meneuses ? Dans les histoires : les réponses aux oppressions sexistes. Les personnages sont-ils en butte à des oppressions sexistes ? Comment réagissent-ils ? Les filles, les femmes trouvent-elles une réponse à cette oppression ? Seules ou aidées ? Si elles sont aidées, le sont-elles par une autre fille, une autre femme ? Un garçon ? Un homme ?

 

Les nouvelles filles de la littérature jeunesse

J’ai remarqué dans la production éditoriale récente un nouveau phénomène : le personnage féminin parfait. Les auteur-e-s reprennent à leur compte les paroles d’Aragon « la Femme est l’avenir de l’Homme » et imaginent des jeunes filles actives, intelligentes, inventives, drôles, sensibles, attentives aux autres, surtout si les autres sont des garçons qui se sont mis dans des situations difficiles dont ils faut les en sortir. Depuis Hermione Granger dans Harry Potter jusqu’à Madeleine dans Le Yark (Bertrand Santini, Laurent Gapaillard, Grasset jeunesse, 2011) elles souffrent toutes d’une maladie terrible : la perfection… Comme cela doit être pesant comme modèle pour les petites lectrices et rassurant pour les garçons de savoir que des êtres aussi sensationnels n’ont pour objectif que de les aider et prendre soin d’eux ! Gare aux déceptions.

Exploitation pédagogique

Les sites proposent souvent une exploitation pédagogique des lectures, l’association Adéquation propose par exemple une exposition et des fiches pédagogiques pour étudier les stéréotypes en classe. Souvent les enseignant-e-s analysent avec les élèves les stéréotypes d’un album et proposent de récrire l’histoire en inversant les rôles…

 

http://www.cnt-f.org/nautreecole/?Quelques-outils-pour-lutter-contre

Lien vers le commentaire

Entretien instructif avec Judith Butler, gourou de la théorie du genre.

 

Théorie du genre: Judith Butler répond à ses détracteurs

Publié le 15-12-2013

Négation des sexes et des corps, arrière-pensée politique, obsession de la domination: la pionnière du "gender" revient sur les inquiétudes que son courant de pensée suscite en France.

(...)

Les genres, ce sont aussi des normes, que vous critiquez.

 

Les études de genre ne décrivent pas la réalité de ce que nous vivons, mais les normes hétérosexuelles qui pèsent sur nous. Nous les avons reçues par les médias, par les films ou par nos parents, nous les perpétuons à travers nos fantasmes et nos choix de vie. Elles nous disent ce qu'il faut faire pour être un homme ou une femme. Nous devons sans cesse négocier avec elles. Certains d'entre nous les adorent et les incarnent avec passion. D'autres les rejettent. Certains les détestent mais s'y conforment. D'autres jouent de l'ambivalence... Je m'intéresse à l'écart entre ces normes et les différentes façons d'y répondre.

 

Il n'y a donc pas de «nature masculine» ou de «nature féminine»? Jamais on ne peut dire «moi, en tant qu'homme» ou «moi, en tant que femme»?

 

Il se peut qu'existe une nature féminine, mais comment le savoir ? Et comment la définir? A l'instant même où nous commençons à en parler, nous nous devons d'argumenter, de défendre notre point de vue: le genre est toujours l'objet d'une discussion publique, ce n'est jamais une évidence donnée par la nature. Certes, je peux parler en tant que femme. Par exemple, je peux dire qu'en tant que femme je combats les discriminations qui pèsent sur les femmes. Une telle formulation a un effet politique incontestable. Mais décrit-elle ce que je suis? Suis-je tout entière contenue dans ce mot «femme»? Et est-ce que toutes les femmes sont représentées par ce terme lorsque je l'utilise pour moi?

 

Vos travaux s'inscrivent dans une tendance de la pensée américaine qui s'intéresse aux victimes de la domination: les femmes et les homosexuels pour les «gender studies», les minorités raciales pour les «postcolonial studies», les personnes vulnérables pour la «théorie du care». En face, il y a un adversaire commun: le «mâle blanc hétéro riche». Votre réflexion s'adresse-t-elle aussi à lui?

 

Comme tout le monde, le «mâle blanc hétéro riche» est l'objet de demandes variées auxquelles il doit se conformer. Vivre son hétérosexualité, sa «blanchitude», ses privilèges économiques, cela signifie se mouler dans les idéaux dominants, mais aussi refouler les autres aspects de sa personnalité: sa part homosexuelle, sa part féminine, sa part noire... Comme tout le monde, le mâle blanc hétéro négocie en permanence. Il peut prendre certains risques. Mais parfois, lorsqu'il se regarde dans le miroir, il voit... une femme ! Et tout ce à quoi il croyait tombe en morceaux !

 

La théorie du genre a-t-elle une visée politique ?

 

Je pense aux personnes dont le genre ou la sexualité a été rejetée et je voudrais aider à l'avènement d'un monde où elles puissent respirer plus facilement. Prenez le cas de la bisexualité: la notion d'orientation sexuelle rend très difficile d'aimer tantôt un homme, tantôt une femme - on vous dira qu'il faut choisir. Voyez encore la situation des «intersexes», les gens sexuellement ambigus ou indéterminés: certains demandent que leur ambiguïté soit acceptée comme telle et qu'ils n'aient pas à devenir homme ou femme. Comment faire pour les aider ? L'Allemagne vient de créer un troisième genre dans les catégories de l'administration. Voilà une façon de rendre le monde plus vivable pour tout le monde.

...

http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20131213.OBS9493/theorie-du-genre-judith-butler-repond-a-ses-detracteurs.html

 

Lien vers le commentaire
  • 3 weeks later...

L'article s'est fait démonter par des féministes (du moins sur FB), tout n'est pas perdu.

 

 

Je suis une femme et en survolant cet article (je ne vais pas non plus perdre mon temps à le lire, faut pas pousser), je ne peux que me poser cette question : vous vous moquez de qui au juste ? Si vous pensiez passer pour des féministes en publiant un tel article, je peux vous dire que c'est l'inverse que vous provoquez. D'une part, vous provoquez tous ces "mâles" avec leur testostérone en ébullition qui s'imagine qu'il s'agit-là d'un vrai débat et, d'autre part, vous ridiculisez le vrai débat féministe pour le droit et la liberté des femmes... cet article est ridicule et complètement hors sujet. Fichez nous la paix avec vos cartographies et vos études à deux balles au sujet des femmes !! Qu'on se le dise : les vraies féministes ne sont pas misandres !

 

 

Je ne comprend pas tout. Je fais peut-être exprès d'être con mais c'est "Parce-que les grattes ciels ressemblent à des phallus géant" et je reprend les mots cités dans l’article que la ville est un espace trop masculin ? Vous vous foutez pas un peu de notre gueule là ? Vous ne pensez pas par hasard que si les bâtiments s'allongent en hauteur c'est pour gagner de la place ? Je dis ça, je dis rien. Enfin je dis ça comme ça quoi.

Bref, tout ça pour dire que je veux bien admettre/comprendre que "la ville est un espace trop masculin" -et encore je la trouve plutôt neutre- mais il faudra me sortir d'autres arguments quand même monsieur Philippe Gargov.

 

 

Vous rendez vous compte de l'énormité de cette... connerie!?

Donc, les immeubles sont des symboles phalliques parce qu'ils sont longs ? Je rappelle que cette forme a été adoptée naturellement parce que c'est celle qui permet de mieux optimiser l'espace.

Et à Dubaï ou au Qatar, ils sont bien gentils, mais quand on voit comment ils traitent les femmes, je ne pense vraiment pas que les modèles architecturaux qu'ils ont adoptés soient une tentative de "féminisation de l'urbanisme" (rien que le terme est ridicule... L'urbanisme n'est ni masculin, ni féminin... doit être Sur, Utile, et Esthétique!)

Cet "article" (si on peut vraiment appeler ça comme ça ...) est écrit par une personne qui n'a pas encore compris dans quelle époque il vit, et qui essaye juste de mettre encore plus d'huile sur le feux de ce conflit entre les deux sexes qu'ont créée les féministes et qui en vivent depuis des années...

 

Lien vers le commentaire

L'article s'est fait démonter par des féministes (du moins sur FB), tout n'est pas perdu.

Ah zut, je compte en faire un petit billet rigolo.

Si tout le monde l'étrille, c'est pas drôle.

Lien vers le commentaire

Ah zut, je compte en faire un petit billet rigolo.

Si tout le monde l'étrille, c'est pas drôle.

 

Oh, te gêne pas pour autant !

 

L'argument "les tours sont un symbole phallique" est vraiment le plus débile. C'est sans doute l'un des arguments les plus cons que j'ai jamais entendu de ma vie. La cravate aussi d'ailleurs, dans un autre style.

Lien vers le commentaire

Oh, te gêne pas pour autant !

 

L'argument "les tours sont un symbole phallique" est vraiment le plus débile. C'est sans doute l'un des arguments les plus cons que j'ai jamais entendu de ma vie. La cravate aussi d'ailleurs, dans un autre style.

 

J'ai réussi à faire un truc. On verra. Bientôt sur vos écrans.

Lien vers le commentaire

pas mal le coup des jambes ecartees.C'est un de ces endroits du feminisme ou l'on a une vision claire du gloubiboulga mental qui leur sert de terrain de lutte.

On devrai la forcer a s'asseoir genoux ecartes juste pour qu'elle comprenne le sens de l'expression 'position de confort'.

J'aime bien aussi la posture passive-agressive de la gonzesse qui n'a d'autre recours que de photographier des mechants qui ne la genent meme pas personnellement...

Lien vers le commentaire

oh la la trop dure la vie dans le train !
 

 

The number of times I took a stroller on public transportation and forced other people to trip and squish themselves against an ugly, wheeled monstrosity:  ZERO!

Hello, baby sling.

 

sous-etron de sous-connasse.Il ya des gens qui ont mal au dos.Il y a des gros bebes.Il ya des gens qui font beaucoup de marche, des gens qui ont deux bebes, il y a une place reservee EXPRES pour les poussettes dans les bus ( en france je sais pas), et il y a des gens qui ont essaye ces slings de merde et savent ce qu'ils valent: rien.

ca essaye de faire du feminisme de qualite et ca continue a faire du journal intime pourri de merde pour conne.

conne.

 

Lien vers le commentaire

Ouep c'est un billet pour répondre aux hystéries féministes concernant les mecs qui écarteraient trop les jambes. Mais elle part complètement en vrille, comme une petite toupie.

Elle est méga anti-féministe, mais je suis pas sûr qu'on ait vraiment besoin de ce genre d'alliés pour faire sérieux.

Lien vers le commentaire

Et surtout, le baby sling en cas de freinage brutal, bonjour le massacre. Quand tu es proche de quelqu'un qui a une poussette, il n'y a qu'une seule chose a faire: aider a la porter pour descendre du bus. Le reste c'est juste de la mufflerie et de l'egoisme de bas etage.

Lien vers le commentaire

c'est fou comme des qu'elle sort de la critique des autres blogueuses comme elle, elle retombe dans le meme genre de connerie.c'est comme une malediction :lol:

 

 

je reste fascine a l'analyses (c'est plutot du tatonnage aveugle d'ailleurs) des motivations masculines par les feministes.c'est systematiquement a cote de la plaque et bete a manger du foin.

Lien vers le commentaire

Et surtout, le baby sling en cas de freinage brutal, bonjour le massacre. Quand tu es proche de quelqu'un qui a une poussette, il n'y a qu'une seule chose a faire: aider a la porter pour descendre du bus. Le reste c'est juste de la mufflerie et de l'egoisme de bas etage.

Exact. Cependant, un bémol : les constructeurs actuellement ont une tendance assez incroyable à faire des poussettes de plus en plus massives.

Il y a des modèles légers et pas trop gros, qui se replient bien, mais bizarrement, les parents choisissent (ou on leur offre, disons plutôt) le modèle avec ABS, EPS, auto-radio et jantes alliage, porte gobelets et turbo-compresseur. Bilan, c'est lourd, pas du tout maniable et le pov'bébé au milieu se retrouve dans une petite prison capitonnée à roulettes...

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...