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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

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Oui. Si une évolution de la technique ou une découverte scientifique entraîne plus de désagréments que d'avantages, c'est de tout évidence qu'elle n'est pas un progrès. Par conséquent les progrès scientifiques et techniques sont nécessairement un bienfait pour l'homme, puisque leurs avantages compensent et au-delà leurs inconvénients. CQFD.

 

Non, on ne peut pas poser la question uniquement de cette manière. Il faut d'abord définir ce qu'on considère un bien pour l'homme. Le confort de la vie moderne n'est pas forcément quelque chose qui faisait rêver les générations nombreuses qui nous ont précédées. Si on reste dans la perspective de ce confort moderne, il n'est pas forcément synonyme de bien être. A quoi bon une vie confortable, douillette et longue, si on n'a qu'une envie c'est se faire sauter le caisson ?

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Le confort de la vie moderne n'est pas forcément quelque chose qui faisait rêver les générations nombreuses qui nous ont précédées.

 

C'est pourtant ce qui s'est produit. Et de l'avis de ma grand-mère, le mec le plus féministe du monde est celui qui a inventé la machine à laver.

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C'est pourtant ce qui s'est produit. Et de l'avis de ma grand-mère, le mec le plus féministe du monde est celui qui a inventé la machine à laver.

 

Bien évidemment, tous les éléments du confort moderne ont été adoptés par ceux qui ont les moyens, mais est ce pour autant quelque chose qui faisait rêver les générations antérieures ? Je ne crois pas.

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Tous les éléments du confort moderne ont été adoptés par ceux qui ont les moyens, mais est ce pour autant quelque chose qui faisait rêver les générations antérieures ? Je ne crois pas.

 

Si tu veux dire qu'elles ne pouvaient pas imaginer le confort futur de par leur point de vue dans le temps, c'est évident. Si tu veux dire qu'elles ne le désiraient pas, l'adhésion des masses à la société de consommation démontre le contraire. Le contraste est énorme entre les années 60 et la misère morale et matérielle des années 30, telles que peut les voir dans le Voyage au bout de la nuit notamment.

 

Ne pas oublier que le point de vue des "générations antérieures" nous vient souvent des intellectuels et de leurs œuvres, intellectuels dont les préoccupations et valeurs ne sont pas nécessairement représentatives du reste de leurs sociétés. Rousseau ou les romantiques ne rêvaient certes pas d'aspirateurs sans fil.

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Non, on ne peut pas poser la question uniquement de cette manière. Il faut d'abord définir ce qu'on considère un bien pour l'homme. Le confort de la vie moderne n'est pas forcément quelque chose qui faisait rêver les générations nombreuses qui nous ont précédées. Si on reste dans la perspective de ce confort moderne, il n'est pas forcément synonyme de bien être. A quoi bon une vie confortable, douillette et longue, si on n'a qu'une envie c'est se faire sauter le caisson ?

C'était tellement cool l'époque où on vivait dans des huttes en merde séchée, où l'hygiène et le papier toilette étaient inexistants, où on bossait dix à douze heures par jour de 14 a 40 ans pour pouvoir manger du pain noir et des choux, où deux enfants étaient nécessaires pour avoir un adulte, sans vaccin, sans antibiotiques, sans ambulance,...

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Bien évidemment, tous les éléments du confort moderne ont été adoptés par ceux qui ont les moyens, mais est ce pour autant quelque chose qui faisait rêver les générations antérieures ? Je ne crois pas.

 

Et bien moi je crois que les générations antérieures rêvaient de ne pas craindre que leur progéniture meurt à tout moment, qu'ils puissent toujours se nourrir et s'habiller.

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ils voyaient leurs bebes mourir et revaient de pouvoir le share sur facebook pour que d'autres puissent le like.Ceux qui n'etaient pas d'accord revaient de faire des remarques sarcastiques sur twitter

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On en sait rien en fait. Faut tester. Je peux pas me le permettre pour des raisons familiales, mais les plus jeunes d'entre vous peuvent tenter le coup. Cabane abandonnée au fond de la Sibérie ou dans une forêt canadienne pour les plus timides, île paradisiaque perdue au milieu du Pacifique, tribu isolée au fin fond de l'Amazonie, hutte misérable sur l'Athos, oasis paumé au milieu du désert...profitez en, les endroits sauvages sont de plus en plus rares.

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on sait tres bien, ca prend un livre d'histoire et un peu d'imagination en mode realiste..

 

m'étonne de toi ça, les livres parlent de tout, de la moto, de la guerre, de la paix, de la prison, des voyages à quoi peut bien servir de vivre les choses ?

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Bien évidemment, tous les éléments du confort moderne ont été adoptés par ceux qui ont les moyens, mais est ce pour autant quelque chose qui faisait rêver les générations antérieures ? Je ne crois pas.

Bien sûr que si. L'électricité et l'eau courante n'est arrivée dans la ferme de mes arrières grands que dans les années 1960.

Crois bien qu'ils en révaient et qu'ils ne sont pas revenus en arrière.

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Les socialistes de droite ont encore frappé.

 

La crise, c'est rien qu'a cause du shadow banking.

 

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/08/28/20002-20150828ARTFIG00088-shadow-banking-pourquoi-la-finance-de-l-ombre-n-est-toujours-pas-reglementee.php

• Le «shadow banking» se nourrit de la réglementation financière

Plus la réglementation se durcit, plus le «shadow banking» - déversoir des risques bancaires - se développe et se technicise. Ce constat, largement servi par les banques qui n'ont ni envie ni intérêt à être davantage régulées, n'invalide pas pour autant la démarche réglementaire. «Il faut abandonner toute naïveté en la matière: l'efficacité des réglementations est réduite par les contournements, mais il lui reste malgré tout, en général, une dose suffisante d'effectivité», assure l'économiste Christian de Boissieu dans Le Shadow Banking.

Paye ta logique.

Les réglementations ça marche pas, mais faut garder hein, parce que c'est quand même suffisamment effectif.

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Si vous lisiez, il dit que le problème de la réglementation ne cible que les marchés réglementés et non le shadow banking et que plus le marché règlementé l'est, plus les acteurs de tournent sur le shadow banking. Ils disent donc qu'il faudrait réglementer le shadow banking autant pour équilibrer.

Après shadow banking c'est une expression pour faire peur. Ce n'est pas un truc sombre, c'est simplement ce qui ne fait pas partie de la juridiction des régulateurs traditionnels.

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Après shadow banking c'est une expression pour faire peur. Ce n'est pas un truc sombre, c'est simplement ce qui ne fait pas partie de la juridiction des régulateurs traditionnels.

C'est un peu comme les franc-maçons et les reptiliens, ils agissent dans l'ombre mais on va les réglementer, easy.
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C'est pas dans l'ombre. Ce n'est simplement pas dans la juridiction des régulateurs. Tout le monde connait les agences de notation, les chambres de compensation, les banques d'investissement etc...

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«Le travail d'éclaircissement de la matière ‘shadow banking' est un chantier de longue haleine qui n'en est encore qu'à ses débuts, concède Pascal Blanqué dans un livre intitulé Le Shadow Banking co-écrit par plusieurs économistes. Pour l'instant, nous en sommes toujours à la surface d'un sujet complexe. Il y a encore une marge d'incertitudes et de flous qui posent le risque d'une régulation précipitée.»

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Nulle part l'article explique cette expression de shadow banking. C'est du baratin.

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Ben oui, si tu mets des noms dessus, ça fait tout de suite moins finance de l'ombre et ça fait moins peur. C'est des journalistes qui ont fait le boulot, pas des profs de finance.

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Mon Dieu que c'est complètement con !

J'adore l'argument des concerts qui rapportent plus dans les stades que dans les petits bars.

Ben en fait c'est pas si simple, car les meilleurs rendement sont les concerts privés comme pour les différents nabab du pétrole.

Dans ces cas là le coût de l'organisation est ridicule pour l'artiste, par contre ben c'est pas pour les pouilleux hein.

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