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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

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C'es un peu ça: ils sont inconsolables que le capitalisme libéral remplisse les promesses du socialisme à sa place.

 

Les gens comme Moore savent très bien que le socialisme a échoué partout dans le monde. Ils savent pertinemment que les révolutions et les coup d'état n'ont pas conduit au socialisme qui conduit au communisme qui serait le paradis des travailleurs.

Ca c'était avant du temps de la guerre froide que les gauchos croyaient à ça.

Aujourdhui les gauchos français et ricains ils rêvent d'un nouveau De Gaulle ou d'un nouveau F.D Roosevelt qui imposerait son autorité aux entrepreneurs et aux banques d'une poigne de fer. Ils rêvent d'un commissariat au plan qui planifierait l'économie.

Ils rêvent de retourner aux trente glorieuses ou au New Deal.

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Les gens comme Moore savent très bien que le socialisme a échoué partout dans le monde. Ils savent pertinemment que les révolutions et les coup d'état n'ont pas conduit au socialisme qui conduit au communisme qui serait le paradis des travailleurs.

Ca c'était avant du temps de la guerre froide que les gauchos croyaient à ça.

Aujourdhui les gauchos français et ricains ils rêvent d'un nouveau De Gaulle ou d'un nouveau F.D Roosevelt qui imposerait son autorité aux entrepreneurs et aux banques d'une poigne de fer. Ils rêvent d'un commissariat au plan qui planifierait l'économie.

Ils rêvent de retourner aux trente glorieuses ou au New Deal.

 

Exact. Difficile de dire si c'est un progrès ou une régression.

 

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Derrière la prétention de résoudre tous les problèmes de nos sociétés par les nouvelles technologies se cache un populisme d’un nouveau genre, non plus par excès mais par défaut de politique, celle-ci s’étant dissoute dans l’économie hyper-capitaliste. L’ubérisation est l’arme de « disruption » massive de ce populisme paradoxal, porté par l’esprit libertarien de la Silicon Valley et qui porte en lui la perspective d’une société homogénéisée de femmes et d’hommes sans qualité.

 

:facepalm:

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Ariel Kyrou, né en novembre 1962, est un journaliste [...] Diplômé de Sciences Po Paris [...] professeur d'histoire critique des cultures actuelles [...].

Tu t'attendais à quoi sinon des monceaux de bullshit ?

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Exact. Difficile de dire si c'est un progrès ou une régression.

 

 

C'est un progrès dans le sens où les gauchos d'aujourd'hui acceptent la démocratie et l'état de droit. C'est aussi un progrés dans le sens où il accepte l'économie de marché. Ce n'est plus comme du temps de la guerre froide où les gauchos étaient persuadés que la dictature du prolétariat était non négociable et qu'elle seule permettrait la destruction du capitalisme et  l'avénement d'une société idyllique où tous le monde vivrait heureux.

C'est une régression dans le sens où le systéme gaulliste ou rooseveltien qui promeut un état-providence colossal et de multiples interventions dans l'économie ne fonctionne que dans des petits pays comme la Finlande qui ont que 6 millions d'habitants.

Dans un pays comme la France de plus 60 millions d'habitants ou les USA de plus de 300 millions d'habitants,l'Etat ne peut pas tout superviser,tout contrôler,tout administrer. On revient au problème soulevé par l'école autrichienne(Hayek,Mises) que la société(surtout si elle comprend un nombre élevé de personnes) est faites d'intêréts contradictoire et que l'Etat n'a ni le budget,ni l'information suffisante pour orienter la société dans le sens où il le désire.

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C'est un progrès dans le sens où les gauchos d'aujourd'hui acceptent la démocratie et l'état de droit. C'est aussi un progrés dans le sens où il accepte l'économie de marché. Ce n'est plus comme du temps de la guerre froide où les gauchos étaient persuadés que la dictature du prolétariat était non négociable et qu'elle seule permettrait la destruction du capitalisme et  l'avénement d'une société idyllique où tous le monde vivrait heureux.

Tu confonds communistes et "gauchistes" (trotskystes, maoïstes, situationnistes, etc.). Certes, ils sont tous socialistes et révolutionnaires. La plupart revendiquent la dictature du prolétariat, terme lui-même susceptible de plusieurs acceptations. Mais il y a entre eux une différence de perception sur la possibilité d'une révolution anticapitaliste. Comme les communistes, sous exception, la croient encore lointaine, ils essayent de faire reculer le marché en étendant la part d'entreprises nationalisées, la législation, etc, pensant que cela va améliorer la situation des classes populaires, dans l'attente du grand soir. A l'inverse, les gauchistes sont anti-institutionnels, ils refusent de conquérir des avantages dans le cadre du capitalisme (toute amélioration augmentant l'adhésion au "système"), prônent une révolution immédiate. D'un point de vue libéral, ils sont nettement moins dangereux, parce que désorganisés et anti-Etat.

C'est pour cela que je disais que l'évolution de ces groupes pourrait être qualifiée de régression. La gauche radicale d'aujourd'hui, bien que chaotique, impuissante et en voie de social-démocratisation, est infiniment plus étatiste que ses ancêtres à la gauche du PCF. Elle se rallie à l'Etat-Providence et donc l'étatisme ne peut que se renforcer...

 

On revient au problème soulevé par l'école autrichienne(Hayek,Mises) que la société(surtout si elle comprend un nombre élevé de personnes) est faites d'intêréts contradictoire et que l'Etat n'a ni le budget,ni l'information suffisante pour orienter la société dans le sens où il le désire.

Mises soutient au contraire ce qu'il appelle "la doctrine de la solidarité des intérêts". Tous les membres de la société ont intérêts au libéralisme et aux gains de la division du travail ; la lutte des classes est donc selon lui une illusion propagée par les intellectuels socialistes.

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Trotski et Mao n'étaient pas communistes ?

J'ai écris que "sauf exceptions", l'approche des communistes était plus attentiste (tendance à l'économisme, à laisser le capitalisme développer ses contradictions fatales) que celle des "gauchistes", et que cette différence entraîne un rapport à l'Etat différent. Ensuite, la "Révolution culturelle" et la "Révolution permanente" sont des théories de la purge politique au sein d'Etat communistes (totalitaires). Elles ne disent rien de l'attitude à adopter face à un Etat "bourgeois" (conquêtes graduelles ou insurrection immédiate).

La Révolution de 1971 est aussi un cas particulier, elle déroge aux dogmes du marxisme (la Russie est un pays arriéré), et précède le développement du communisme moderne. D'ailleurs les trotskystes se posaient en héritiers de 1917, révolutionnaires contre les "staliniens" attentistes. C'est visible au moment du Front populaire, notamment.

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Une fois élu, @HenrydeLesquen annexera la Belgique et libérera les îles normandes. #Lesquen2017

 

Non, mais on peut ajouter Monaco, Andorre et les enclaves espagnoles.

 

Oui. Le Luxembourg aussi. Pa-ci-fi-que-ment ! La paix, non la guerre.

 

a-ci-fi-que-ment. Il faut d'abord restaurer la grandeur de la France pour que les Belges aient envie de devenir français.

 

Les Flamands apprendront le français.

 

:facepalm:

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Cf le sujet sur les présidentielles. Sinon, Lesquen est rentré dans sa phase trollesque mais avec le club de l'horloge il représente depuis longtemps une forme aberrante de droite française se réclamant du libéralisme de manière superflue et contradictoire.

 

Il a du croire que c'était son heure mais je ne vois pas pourquoi.

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Ah mais @Lesquen2017 c'est un vrai compte en fait ?

 

Je sais pas. J'aimerais bien aller à une de leurs réunion pour voir si les mecs sont aussi perchés ou si c'est des faux. Avec 5g dans le sang, ça doit passer.

 

"La supériorité de l'industrie allemande", y en a qui seraient en prison pour moins que ça XD.

 

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Outch, j'espère qu'on ne me sortira jamais son nom lorsque je parlerai du libéralisme. :icon_eek:

 

Malheureusement, les journalistes français sont sur le coup. http://www.tuxboard.com/henry-de-lesquen-interview-france-inter/

Du coup proposer de supprimer le salaire minimum => proposer le rétablissement de l'esclavage puisque Henry est pour les deux.

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Comme l’a bien vu Hayek, le libéralisme est une doctrine juste, mais incomplète : il faut y ajouter encore la tradition. Celle-ci inclut aujourd’hui l’idéal de la nation. Loin d’adhérer à un libéralisme utopique et irresponsable, les Français attachés à la liberté défendront un libéralisme national, considérant que la nation et la liberté sont des valeurs complémentaires, comme le veut au demeurant notre tradition républicaine.

 

 

Lesquen arrive à citer des auteurs libéraux et à détourner leurs propos à son profit....

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<<Dans la mesure du possible, il faudrait que les animaux de boucherie redeviennent sauvages.>>

 

Les poulets vivent indignment sous notre joug. Vite, libérons les, laissons leur vivre leur vie de poulet, jusqu'à ce qu'ils crevent de faim, de froid, de maladie ou jusqu'à ce qu'un renard leur arrache dignement la tête.

 

<<Mais qu’une espèce animale qui n’existe que pour être engraissée, passée à l’abattoir et mangée disparaisse ne me paraît pas une tragédie.>>

 

Mais quel horrible bonhomme. S'inquiéter des poulets, et laisser de côté la tragédie des levures. Cuites vivantes au fou à pain, laissées à s'empoisonnées dans leurs déjections dans un tonneau de vin ou de bierre, prisionnières d'un réacteur produisant de l'insuline et incapables de vivre leur vie de levure sauvage.

 

<<Mais s’ils disparaissent, est-ce si grave? Il ne faut pas réfléchir en terme de sauvegarde des espèces, mais de sauvegarde des individus. Qu’on fasse en sorte qu’un individu vive dans un environnement décent, dans le respect de ce qu’il est, c’est essentiel, c’est la priorité.>>

 

Ah. Nous y voilà. Et c'est tout à fait valable pour les humains. Mieux vaut qu'ils s'éteignent tous dans la dignité plutôt que de vivre perpétuellement des vies indignes.

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Les poulets vivent indignment sous notre joug. Vite, libérons les, laissons leur vivre leur vie de poulet, jusqu'à ce qu'ils crevent de faim, de froid, de maladie ou jusqu'à ce qu'un renard leur arrache dignement la tête.

Oui mais ce sera une mort naturelle. Et puis ce sera toujours moins cruel que le traitement actuel, en règle générale.

 

Mais quel horrible bonhomme. S'inquiéter des poulets, et laisser de côté la tragédie des levures. Cuites vivantes au fou à pain, laissées à s'empoisonnées dans leurs déjections dans un tonneau de vin ou de bierre, prisionnières d'un réacteur produisant de l'insuline et incapables de vivre leur vie de levure sauvage.

Il exclut tout ce qui n'appartient pas au règne animal, il l'a dit. Il est antispéciste, pas antirégniste.

 

Ah. Nous y voilà. Et c'est tout à fait valable pour les humains. Mieux vaut qu'ils s'éteignent tous dans la dignité plutôt que de vivre perpétuellement des vies indignes.

Un gauchiste qui reconnaît l'individu avant l'espèce c'est un grand progrès.

Neomatix

Avocat du Diable, LL.B. Lex Diabolus

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