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Les documentaires pour ou contre le kapitalism


Gio

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Encore une qui n'a pas compris qu'il n'y a pas de postes de philosophes en entreprise… J'imagine qu'elle doit se dire « j'ai fait telles études, j'ai droit à tel métier ! »

Je suppose aussi qu'elle s'imaginait sortir de l'université en étant invitée sur les plateaux télés, interviewée dans les journaux et les éditeurs lui courant après…

 

Non mais c'est pas un docu, c'est un film hein.

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Encore une qui n'a pas compris qu'il n'y a pas de postes de philosophes en entreprise… J'imagine qu'elle doit se dire « j'ai fait telles études, j'ai droit à tel métier ! »

Je suppose aussi qu'elle s'imaginait sortir de l'université en étant invitée sur les plateaux télés, interviewée dans les journaux et les éditeurs lui courant après…

 

Détrompe-toi.

 

Aux USA parmi toutes majeure, la philosophie paye mieux a mi carrière que la chimie, l'I&T ou le business management. En France je n'ai pas de données mais je sais que les philosophes sont les meilleurs aux concours d'administration et fonction public (certes c'est pas ce qui nous intéresse ici, mais pour des gens peu scrupuleux c'est bon à prendre).

Ce qui est très étonnant c'est qu'on se focalise toujours sur les débouchés de l'enseignement pour les philosophes alors qu'ils sont ceux qu'on retrouve dans les domaines les plus variés. En Angleterre je sais que les philosophes de formation sont de plus en plus représentés proportionnellement dans les métiers de la finance.

 

Bref, les français, même avec leur apologie constante de la grande culture, ont réussi a déprimer les étudiants en philo et à leur faire croire qu'ils ne savent rien faire, on ne leur apprend pas à décrire leurs compétences, on ne les engage pas à suivre des formations techniques dans des domaines spécialisés (d'après mon expérience des philosophes sont plutôt bon à ça d'ailleurs).

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Tiens d'ailleurs je l'ai terminé.

C'est une grosse merde grand-guignolesque où tous les autres êtres humains qui ne sont pas les personnages principaux sont des décérébrés sans aucune morale prêt à suivre n'importe quel débile qui leur racontera ce qu'il faut pour les convaincre.

 

[troll]

Bref, en fait c'est un film qui, involontairement, se moque des socialistes.

[/troll]

 

Par contre les actrices qui sont dedans, Boudiou !

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  • 1 month later...

Johan Norberg, un peu moyen je trouve, il en existe plein d'autre sur le site de freetochoose.tv je vais les regarder un par un. Je vous tiens au courant de mon opinion.

 

Je lui reproche d'être un peu trop "dans ta face, le capitalisme sort les gens de la pauvreté", autant je peux aimer le message autant la forme laisse un peu à désirer.

Par exemple, il me semble que quand Johan Norberg interroge les mecs du Fraser Institute ça fait un petit peu téléphoné. Peut-être que ça peut marcher sur certains publics, mais ça fait plutôt l'effet inverse sur moi.

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  • 2 weeks later...

Johan Norberg, un peu moyen je trouve, il en existe plein d'autre sur le site de freetochoose.tv je vais les regarder un par un.

Mais pas en français...or c'est le public francophone qui aurait plutôt besoin de ça.

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Un docu assez intéressant qui essaye d'expliquer la division du monde entre nantis et démunis (termes employés par l'auteur ou traducteur). Partant de la différence de richesse entre un nouveau guinéen et un européen.

Pas du tout orienté politique, mais plutôt anthropologique et utilitariste donc sans partir dans la finance ect

 

http://www.youtube.com/watch?v=yfJoVskD8A4

 

 

 

 

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Bis repetita : l'idée de mon fil, c'était les documentaires anti/pro-capitalistes.

Demande à la modération de changer le titre du fil en "Les documentaires pro/anticapitalistes".

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Demande à la modération de changer le titre du fil en "Les documentaires pro/anticapitalistes".

Normalement le message d'origine est clair...

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  • 1 month later...

Anticapitaliste à la mode pastèque :  What A Way To Go: Life at the End of Empire

 

 

Directed by Timothy S. Bennett Produced by Sally Erickson Written by Timothy S. Bennett Narrated by Timothy S. Bennett Starring Thomas Berry, William Catton, Gerald Cecil, Douglas Crawford-Brown, Sally Erickson, Lyle Estill, Chellis Glendinning, Otis Graham, Richard Heinberg, Derrick Jensen, Jerry Mander, Richard Manning, Stuart Pimm, Ran Prieur, Daniel Quinn, Paul Roberts, William Schlesinger Music by Original score by Chamber Corps (Chris Rossi and James Hepler)
“Let’s Build a Boat” Written and Performed by Brian Hall Distributed by VisionQuest Pictures Release dates 2007 Running time 123 min

 

C'est du lourd. Aperçu rapide via le pedigrée de certains intervenants :

 

Derrick Jensen : "Jensen promotes the dismantling of civilization by any means necessary"

Chellis Glendinning (born June 18, 1947) is an American author of creative nonfiction, licensed psychotherapist,[1] and political activist. She is noted as a pioneer in the field of ecopsychology

Jerold Irwin "Jerry" Mander (born May 1, 1936)[1] is an American activist and author, best known for his 1977 book, Four Arguments for the Elimination of Television. His most recent book, The Capitalism Papers, is about the momentous and unsolvable environmental and social problem of capitalism.

Daniel Quinn (born October 11, 1935) is an American novelist and former publisher of educational texts [..] Quinn identifies himself a cultural critic[3] and specifically refers to his philosophy as new tribalism.

  • Roberts, Paul (2005). The End of Oil. The Decline of the Petroleum Economy and the Rise of a New Energy Order. London: Bloomsbury Publishing. ISBN 978-0-7475-7081-3.
  • Roberts, Paul (2008). The End of Food. Boston: Houghton Mifflin. ISBN 978-0-618-60623-8.

 

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Si c'est un truc en anglais, on s'en fout, puisque les français ne regarde pas les trucs en anglais. Je voulais justement souligner dans ce topic que c'est au niveau de l'audiovisuel francophone qu'il y a un déséquilibre énorme. Si les français regardaient ou lisaient des trucs en anglais, ils ne seraient pas si socialistes.

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  • 4 months later...
  • 2 weeks later...

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