Aller au contenu

Libéralisme & inégalités


Messages recommandés

Dans les années 1980,Jean Marie Le Pen était non seulement reaganien convaincu mais un vrai libertarien(quasi Ronpaulien)

Non. Pat-Buchananien à la limite (et encore), mais Paulien, certainement pas. Tu es gentil, Lucius, mais ici on n'aime pas beaucoup la propagande aveugle pour les partis politiques, y compris ceux du passé. Si tu veux faire souche en ces lieux, je te conseille de te renouveler un peu. Conseil d'ami.
Lien vers le commentaire

Si je dis pas de bêtise, la cocaïne ne provoque pas d'hallucination, mais développe les sens, non ?

 

Le niveau de confiance en soi devient tel qu'on peut très bien être convaincu de façon indéboulonnable d'une grosse connerie. Du coup, ça se rapproche de l'hallucination.

On peut vouloir taper sur un videur qui fait trois têtes de plus qui parait bien moins fort autant qu'on se sent plus fort, essayer de soulever une bagnole qui parait bien moins lourde autant qu'on se sent plus fort, ou croire que le père Le Pen est libertarien, aussi fort qu'il ne l'est pas :icon_ptdr:  :icon_tourne:  :blagounette:

Lien vers le commentaire

J'ai vu un reportage ce matin sur BFM à propos des courants au sein du FN.

Une image coupait les dirigeants en deux groupes : les libéraux contre les étatistes.

Autant, y présenter des libéraux fait rire, autant, montrer que l'antithèse du libéralisme est l'étatisme est une bonne chose.

Lien vers le commentaire

J'ai vu un reportage ce matin sur BFM à propos des courants au sein du FN.

Une image coupait les dirigeants en deux groupes : les libéraux contre les étatistes.

Autant, y présenter des libéraux fait rire, autant, montrer que l'antithèse du libéralisme est l'étatisme est une bonne chose.

 

Oui j'en ai déja parlé il y a deux tendances au sein du FN maintenant:

-La tendance étatiste néogaulliste incarné par Marine Le Pen et Philippot qui prône l'intervention systématique de l'Etat dans l'économie,le protectionnisme et la xénophobie. Elle cible les électeurs se trouvant dans le Nord de la France(anciens territoires désindustrialisés). Ces électeurs votaient avant pour le PCF et Chevènement. Le problème de ces électeurs est le chômage qui trouve sa cause à leurs yeux dans la mondialisation. Les entreprises industrielles ont délocalisés en Chine et en Inde. Ces électeurs sont persuadés que les migrants font baisser les salaires des nationaux.

-La tendance libérale et conservatrice incarné Marion-Maréchal qui défend la diminution de la taille de l'Etat. C'est à dire moins de dépenses publiques,moins d'impôts,moins de taxes,moins de fonctionnaires... Elle cible la petite bourgeoisie(artisans,commerçants...) qui se trouve dans le Sud dans la région de la côte d'Azur. D'un autre côté Marion-Maréchal défend un discours réactionnaire,ultra-conservateur proche de celui de Philippe de Villiers:

-politique étrangère pro-russe: http://lelab.europe1.fr/marion-marechal-le-pen-poutine-est-un-patriote-et-ca-fonctionne-plutot-bien-12775

-anti-mariage pour tous

-anti avortement

-famille traditionnelle

-patriotisme

 

Ces contradictions font que le FN est un parti non fiable et que si il arrive au pouvoir. Les tensions et les conflits entre les deux principales mouvances feront que le parti implosera une fois arrivé au pouvoir. On risque d'aller vers une nouvelle cohabitation.

Lien vers le commentaire

Oui j'en ai déja parlé il y a deux tendances au sein du FN maintenant:

-La tendance étatiste néogaulliste incarné par Marine Le Pen et Philippot qui prône l'intervention systématique de l'Etat dans l'économie,le protectionnisme et la xénophobie. Elle cible les électeurs se trouvant dans le Nord de la France(anciens territoires désindustrialisés). Ces électeurs votaient avant pour le PCF et Chevènement. Le problème de ces électeurs est le chômage qui trouve sa cause à leurs yeux dans la mondialisation. Les entreprises industrielles ont délocalisés en Chine et en Inde. Ces électeurs sont persuadés que les migrants font baisser les salaires des nationaux.

-La tendance libérale et conservatrice incarné Marion-Maréchal qui défend la diminution de la taille de l'Etat. C'est à dire moins de dépenses publiques,moins d'impôts,moins de taxes,moins de fonctionnaires... Elle cible la petite bourgeoisie(artisans,commerçants...) qui se trouve dans le Sud dans la région de la côte d'Azur. D'un autre côté Marion-Maréchal défend un discours réactionnaire,ultra-conservateur proche de celui de Philippe de Villiers:

-politique étrangère pro-russe: http://lelab.europe1.fr/marion-marechal-le-pen-poutine-est-un-patriote-et-ca-fonctionne-plutot-bien-12775

-anti-mariage pour tous

-anti avortement

-famille traditionnelle

-patriotisme

 

Ces contradictions font que le FN est un parti non fiable et que si il arrive au pouvoir. Les tensions et les conflits entre les deux principales mouvances feront que le parti implosera une fois arrivé au pouvoir. On risque d'aller vers une nouvelle cohabitation.

 

Je dirais que cette stratégie qui consiste à raconter à chacun ce qu'il veut entendre est excellente pour prendre le pouvoir. Maintenant, comme tu le dis, ça peut conduire à une explosion en vol, mais si la Marion est futée, elle attendra son tour pour se poser en héritière plutôt que de couper le mouvement en deux au risque d'être complètement marginalisé.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

 

-La tendance libérale et conservatrice incarné Marion-Maréchal qui défend la diminution de la taille de l'Etat. C'est à dire moins de dépenses publiques,...,moins de fonctionnaires... 

rien vu chez marion sur ces 2 items.

 

Et pour le reste, un article de la tribune dessus:

 

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/marion-marechal-le-pen-une-ligne-economique-differente-pour-le-fn-532538.html

 

 

Je cite le début:

 

On dit aussi Marion Maréchal-Le Pen sur la ligne libérale-conservatrice « historique » de son grand-père, qui n'hésitait pas à se réclamer de Reagan et Thatcher dans les années 80, face à la ligne social-étatiste défendue par sa tante et son mentor Florian Philippot, tous deux candidats dans les régions désindustrialisées du Nord et de l'Est de la France.

Pourtant, l'analyse détaillée des quatre pages consacrées au développement économique, « priorité de la Région », livre une toute autre réalité

Lien vers le commentaire

Un article sur le phènoméne des bobos(bourgeois-bohêmes) qui démontrent que les bobos ne sont pas spécialement antilibéraux mais pensent que le libéralisme est une sorte d'animal sauvage qu'il faut dompter. La conclusion de cet article est que le bobo en appelle à l'Etat pour réguler le libéralisme et le garder sous contrôle afin de le rendre plus juste. Les bobos estiment que l'économie de marché doit être au service de l’intérêt général et surtout de l'humain:

source:

http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/bobos-pourquoi-tant-de-haine-102844

 

Peu de figures sociales suscitent autant de sarcasmes et de détestation. Livre après livre, article après article, le bobo est invariablement ridiculisé, accusé de tous les travers et… copieusement injurié. Sur le ton de l’humour ou du premier degré, on lui reproche d’être hypocrite, tiède, faussement généreux... En un mot, le bobo serait un vrai bourgeois et un faux bohème. Rien de bien dramatique si, derrière cette critique en règle, ne se profilait le rejet d’une idéologie très postmoderne.

Né de l’union entre le « bourgeois » et la « bohème », le bobo semble très actuel. Contrairement à l’intellectuels et à l’enseignant, qui auront marqué l'histoire des deux derniers siècles, le bobo maîtrise un savoir utile et opérationnel. A l’inverse des chefs d’entreprise, il fait partie de l’immense masse du salariat. A la différence de l’ouvrier, doublement victime de la désindustrialisation et de la chute du mur, mais aussi moins fréquentable depuis qu’on le soupçonne de voter FN, il incarne la domination du secteur tertiaire sur les économies modernes. Pour toutes ces raisons, on pourrait percevoir le bobo comme un figure sociale de plus. Mais en y regardant de plus près, cet archétype tente surtout de concilier des caractéristiques sociales jusque-là considérés comme antinomiques.

Le rêve de la minorité représentative

Peut-on symboliser une société et faire partie d’une minorité privilégiée ? Sans être une catégorie dument répertoriée par l’INSEE ni un bourgeois tout à fait comme un autre, le bobo fait partie des CSP+ et cette appartenance suffit à le différencier de l’immense majorité de la population active. Plus encore, le bobo exerce un métier valorisant et entretient avec son travail une relation passionnée qui, là encore, le distingue de la masse laborieuse. Or ce double privilège du revenu et du statut ne l’empêche pas de résumer à lui-seul la société de communication, en lieu et place des ouvriers et de la classe moyenne. Pour l'immense majorité, la pilule a logiquement du mal à passer.

Le rêve de l’argent solidaire

Peut-on avoir de l’argent et être de gauche ? A droite, et moyennant quelques réserves traditionnellement liées à la religion catholique, l’argent est considéré comme la juste récompense du travail. A gauche, les plus modestes considèrent que la droite c’est l’argent. Et inversement. Ceux qui disposent d’un bon revenu et votent à gauche ne partagent évidemment pas cet avis. L’argent est vécu comme un moyen et non comme un signe de reconnaissance. Le bobo met ainsi un point d’honneur à entretenir un rapport raisonné (crispé, diront certains) à l'argent et distancé à la réussite. Il aime ainsi rappeler normal de payer des impôts quand on gagne bien sa vie. En est-il réellement convaincu ? A la limite peu importe. C’est une différence suffisamment notable avec la droite pour être soulignée.

 

Le rêve de la gauche de centre droite

Peut-on être de gauche et envisager de voter à droite ? A la fois privilégié et progressiste, le bobo se sait à la croisée d’intérêts contradictoires mais milite en faveur d’une vision pacifiée des rapports sociaux. Le bobo peut parfois verser dans des discours d’extrême gauche et adhérer à la cause environnementale, il n’en est pas pour autant un adepte du grand soir, ni un militant de la décroissance. Sa conviction : la croissance ne résorbe pas les inégalités. Elle les accroît. Son rêve n’est que la conséquence de ce constat et le refus : concilier une société solidaire et tolérante avec une économie libérale. Rien d’étonnant dans ces conditions que le bobo ait voté Lionel Jospin en 1995 et 2002 mais fortement hésité entre Nicolas Sarkozy, François Bayrou et Ségolène Royal avant de s’enthousiasmer pour Dominique Strauss Kahn. A gauche, donc. Mais pas systématiquement.

Un rêve de paix dans un monde de brute

Certains diront que le bobo n’existe pas. D’autres aimeront l’idée qu’un bobo sommeille en chacun (quoi que plus ou moins selon le revenu). Et tous auront raison. Avant d’être une remise en cause du bourgeois arrogant, rétrograde ou réactionnaire, le bobo incarne une nouvelle idéologie : celle d’une société pacifiée. Une société se donnant pour objectif de concilier les intérêts contraires. Une société où le vote de classe n’aurait plus lieu d’être et où l’affirmation d’un centre politique regroupant les meilleures volontés reléguerait le clivage droite gauche et ses oppositions traditionnelles au rang d’archaïsmes. Une société où la notion de différence l’emporterait sur celle d’inégalité, où la notion de lutte et de rapport de force céderait la place à celle de la tolérance et de respect.

Utopie pour quelques uns, provocation pour beaucoup d'autres

Que cette vision très postmoderne (il n’y aura plus de révolution, l’histoire est finie) puisse susciter l’adhésion ou le rejet n’a rien de très étonnant. Qu’elle soit adoptée par une classe plutôt jeune, privilégiée et branchée sur le monde, va de soi. Qu’elle suscite largement la critique en ce qu’elle parait ignorer les difficultés sociales et les divergences d’intérêt des groupes sociaux, non plus. Pour beaucoup, le bobo est une imposture. Une pure provocation face à la dureté des réalités sociales. A chacun de se déterminer. Une chose semble ne pas devoir faire de doute : la figure du bobo est bien moins superficielle, beaucoup plus complexe – et somme toute moins innocente – qu’on ne pourrait l’imaginer a priori…

Franck Gintrand

 

 

Lien vers le commentaire
  • 7 months later...

Bonjour.

 

J'espère que je suis dans un bon fil.

Peut-on dire que on doit l'une des principales sources des inégalités à l'émmergeance de nouvelle classe sociale au milieu de 18ième siécle allant en pallalèle avec la fondation de Salon ? Dans le salon, les classes dirigeants ou commerçants donnent la fête musicale ou théâtrale, et privilègiaient des artistes doués en leur domaine.

 Voici, le début de l'époque de l'intelligence où les pauvres( les gens comme les Maheu dans le roman Germinal de Zola) ne sont pas épargnés d'abandonner leur travail pour gagner du pain. Les riches donnent une éducation de haute qualité et leurs enfants trouvent leur place au milieu des gens "cultivés"....

Lien vers le commentaire

Pour aller plus loin dans mes arguments...

 

Pour plaire aux messieurs, aux mesdammes dans le salon, il faut avoir une bonne note et un apprentissage intensif qui coûte

une grosse somme. Les enfants riches ont accès à la bénédiction de l'école normal, musique, artistique....et voilà le résultat,

on y voit une stratification de population du monde.

Puis-je dire que l'époque de Lumière a accléré l'inégalité entre les classes ou contribué à la création de nouvelle classe sociale ?

 

Merci d'avance.

Lien vers le commentaire
  • 1 year later...

La déréglementation financière et les inégalités mènent à l'endettement des classes moyennes. C'est Le Monde qui le dit : http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/09/02/la-pauperisation-des-classes-moyennes-gonfle-la-dette-des-menages_5180043_3234.html

 

Citation

« Ces résultats pointent le rôle pervers que joue l’accroissement des inégalités vis-à-vis de la stabilité financière : en alimentant le gonflement du crédit, il accroît les risques de bulles et de crises qui s’ensuivent souvent, concluent les économistes. Une raison de plus, s’il en était besoin, pour faire de la réduction des inégalités un objectif majeur des politiques publiques. » Avec pour priorité, la lutte contre l’appauvrissement des classes moyennes.

 

Lien vers le commentaire
Il y a 10 heures, Corned beef a dit :

La déréglementation financière et les inégalités mènent à l'endettement des classes moyennes. C'est Le Monde qui le dit : http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/09/02/la-pauperisation-des-classes-moyennes-gonfle-la-dette-des-menages_5180043_3234.html

 

 

L'argent est trop peu cher, les gens sont incités à s'endetter pour accéder à la propriété — trop chère — ou à de la consommation qu'ils ne peuvent assumer... Et c'est à cause de la dérégulation financière parce que certains se sont enrichis ?

Je vois surtout de la corrélation, mais le lien de causalité m'a l'air douteux...

  • Yea 1
Lien vers le commentaire
Il y a 13 heures, Mathieu_D a dit :

Je n'ai jamais trop compris cette histoire de gens qui s'endettent parce qu'il y en d'autres qui affichent des dépenses somptuaires.

'fin bon.

Ça me rappelle un peu le désir mimétique dont j'avais entendu parler en prépa...

Lien vers le commentaire
23 hours ago, Mathieu_D said:

Je n'ai jamais trop compris cette histoire de gens qui s'endettent parce qu'il y en d'autres qui affichent des dépenses somptuaires.

'fin bon.

Tu n'as jamais vécu dans un milieu où ton statut dépend de ce que tu affiches.

Lien vers le commentaire
1 hour ago, Mathieu_D said:

J'veux bien mais c'est sensé être 80 %  de la population ce genre de milieu  ? 

Je ne sais pas où tu as vu 80% maintenant quand je vois le nombre de personnes qui ont un smartphone style Iphone ou équivalent alors qu'un smartphone à moins de 100€ serait largement suffisant pour la majorité, pour ne prendre que cet exemple, je me dis qu'une bonne partie de la population vit comme ça, oui.

 

(Et bien sûr, il m'arrive d'en être victime).

Lien vers le commentaire
14 minutes ago, Marlenus said:

Je ne sais pas où tu as vu 80% maintenant quand je vois le nombre de personnes qui ont un smartphone style Iphone ou équivalent alors qu'un smartphone à moins de 100€ serait largement suffisant pour la majorité, pour ne prendre que cet exemple, je me dis qu'une bonne partie de la population vit comme ça, oui.

 

(Et bien sûr, il m'arrive d'en être victime).

Ça, c'est plus un problème d'arithmétique de base : on entend tout le monde dire "c'est pas cher : j'ai payé mon iphone seulement 200€" alors qu'ils ont un forfait à 40 euros par mois avec engagement de deux ans, alors que le même forfait nu en vaut un quart.

 

Lien vers le commentaire
30 minutes ago, Marlenus said:

Je ne sais pas où tu as vu 80% maintenant quand je vois le nombre de personnes qui ont un smartphone style Iphone ou équivalent alors qu'un smartphone à moins de 100€ serait largement suffisant pour la majorité, pour ne prendre que cet exemple, je me dis qu'une bonne partie de la population vit comme ça, oui.

 

(Et bien sûr, il m'arrive d'en être victime).

J'ai dit 80 %  comme ça. Il paraît que ce désir mimétique concerne tellement de gens...

 

Je ne comprends pas ton exemple du smartphone. Les gens achètent le smartphone qui leur paraît bien pour eux. Là on disait "intel a un iphone/samsung de dernière géneration il m'en faut un aussi", ce n'est pas pareil que "rhôô le nouveau smartphone il brille je le veux".

 

 

Lien vers le commentaire
Just now, Mathieu_D said:

Je ne comprends pas ton exemple du smartphone. Les gens achètent le smartphone qui leur paraît bien pour eux. Là on disait "intel a un iphone/samsung de dernière géneration il m'en faut un aussi", ce n'est pas pareil que "rhôô le nouveau smartphone il brille je le veux".

Sauf qu'il y a un effet non négligeable de:

"Whaouh, untel a ce Smartphone qui a l'air génial. Il me faut le même".

 

Même si ce n'est absolument pas adapté à tes besoins.

 

Et peu de personnes apprécie :

"Ah? Tu as un Smartphone à 100€? Tu aimes les téléphones qui buggent et vont à deux à l'heure?".

Ou alors, tu assumes le côté dumbphone, mais on tombe dans l'excès inverse.

Lien vers le commentaire

Remarque que ça va dans l'autre sens aussi. Quand je vois des gens qui savent pas se servir d'un smartphone le moins du monde qui casquent 600€ dans un Samsung, ça m'aide pas à en avoir une bonne opinion 

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...