Aller au contenu

Le fil des questions alakons


Fadior

Messages recommandés

"grace à", avec ou sans accent circonflexe, c'est dans quels cas déjà?

 

Avec pour dire "[rendre] grace à Dieu", et sans pour dire "grace à ma ceinture de sécurité"?

Grâce dans les deux cas.

 

Et une autre: "l'évolution du marché a été moins bonne qu'attendu[e]" --> -u ou -ue?

Sans -e car Il était attendu que l'évolution du marché blablabla... (par contre avec ta tournure j'aurais remplacé attendu par escompté perso)

Lien vers le commentaire

J'ai installé AdBlock sur un laptop un peu pourri (je suis en train de le nettoyer avec ce que j'ai trouvé, Glary Utilities et CCleaner pour un peu virer ce qui sert a rien) mais depuis quelques temps les pubs reviennent. Ya un truc a faire pour remettre a jour AdBlock?

Adblock Plus combiné à une bonne liste (j'ajoute souvent celle d'ablock.free.fr à une de celle de base). J'installe également un antitracker (j'utilisai Ghostery mais depuis qu'il appartient à une boîte de tracker, j'utilise Disconnect).
Lien vers le commentaire

On est limite dans Vie De merde. Mais bon c'est une question à la con au final.

 

Aujourd'hui je recherchais Virgin Italy (oui ils passent encore de la bonne musique) puis je suis tombé sur NRJ et merde plus moyen d'en changer!! Cette musique tellement mauvaise est-elle financée par l'état?? Non parce qu'il n'y a que l'état pour accoucher de merdes pareilles!!!!
J'ai failli mourir !!

Lien vers le commentaire

Il faut 60% de musique française à la radio (de mémoire sur la loi Toubon). Comme il n'a pas assez de contenu de qualité pour remplir ce quota, les maisons de productions doivent remplir les tous avec ce qu'ils trouvent (et donc débourser de l'argent pour payer ces "artistes")...

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

On la rembourse ?

 

Selon Wikibéral :

Pour les libertariens (voir par exemple Murray Rothbard, Repudiating the National Debt), l'État ne peut être mis sur le même pied qu'un débiteur privé. Son engagement n'a pas de valeur, puisqu'il ne crée pas de richesse, mais vit de l'argent volé aux contribuables ou de cet impôt caché qu'est l'inflation. Les créditeurs de l'État sont eux-mêmes éthiquement répréhensibles, puisqu'en tant que « receleurs d'impôt » ils seront remboursés grâce à la coercition fiscale. La dette publique ne peut être considérée à l'égale d'un contrat entre propriétaires légitimes. Elle ne fait qu'augmenter le fardeau fiscal. Plutôt que l'augmentation des impôts ou l'inflation, Rothbard propose une solution révolutionnaire : la répudiation de la dette publique. Il n'y a pas de raison que la population paie pour les dettes contractées par les classes dirigeantes ; de plus, cela empêchera les gouvernements, faute de créanciers, de continuer à détourner des ressources privées pour les gaspiller dans les projets étatiques. La répudiation de la dette est donc un moyen radical de diminuer l'emprise de l'état sur la société civile, en lui "coupant les vivres". Rothbard propose aussi de traiter l'État comme une entreprise en faillite et de vendre tous ses biens.

http://www.wikiberal.org/wiki/Dette_publique

 

Je pose la question. Rembourser me parait difficile, du moins au début, c'est énormément d'argent, et on a besoin de baisser les impôts au maximum.

Une flat tax à 10% rapporterais : 100 milliards (je crois avoir lu). Faudrait doublé la Flat tax pour dégager 100 milliards pour le remboursement ? Ca me parait complexe, non ?

Lien vers le commentaire

 

Il n'y a pas de raison que la population paie pour les dettes contractées par les classes dirigeantes

 

C'est un peu fuir ses responsabilités ça, non ? Ces fameuses classes dirigeantes sont arrivées au pouvoir parce que/en promettant mont et merveilles. Et par la suite, si on réforme ou on propose de sortir du statut quo par nécessité, blocage, impopularité, c'est la garantie de ne pas être ré-élu. Est-ce que ce n'est pas trop simple de récuser en bloc, même si je comprends le sens de l'intervention de Rothbard ?

Lien vers le commentaire

C'est un peu fuir ses responsabilités ça, non ? Ces fameuses classes dirigeantes sont arrivées au pouvoir parce que/en promettant mont et merveilles. Et par la suite, si on réforme ou on propose de sortir du statut quo par nécessité, blocage, impopularité, c'est la garantie de ne pas être ré-élu. Est-ce que ce n'est pas trop simple de récuser en bloc, même si je comprends le sens de l'intervention de Rothbard ?

Sauf que les classes dirigeantes ont été élu par 51% des Français. J'ai jamais voté pour eux. J'ai jamais accepté que l'état emprunte. Pourquoi devrais-je payer ?

Lien vers le commentaire

L'envoyer promener, c'est la seule option réaliste, c'est ça ou bien a- continuer à s'endetter de façon exponentielle jusqu'à ne plus pouvoir rembourser ou b- voler l'argent au contribuable sans rien donner en retour pendant des générations.

La dette publiques est de 2000 myards, pour espérer la rembourser il faudrait dés à présent non seulement ne plus être en déficit (pour 2014 on est à -8 myards) mais en plus avoir un excédant d'impôt de 20 myards qui serviraient à payer la dette, et là, à un tel rythme, on en sera débarrassés en 2115.

 

Le problème, c'est qu'il y a toute une foule de gens qui ont investi dans la dette sans trop savoir ce qu'ils foutaient et qu'ils vont perdre brutalement leur investissement.

L'autre problème, c'est que faudrait voir qui détient la dette, parce que si un autre Etat puissant a des intérêts dans notre dette cesser de payer c'est tout de même un casus belli en or.

 

 

 

Conclusion : le problème est insoluble, quoi qu'on fasse il y aura injustice et souffrance. La chose la plus réaliste à faire est d'inventer une time machine et de ne pas s'endetter en premier lieu. C'est dire.

Lien vers le commentaire

Sauf que les classes dirigeantes ont été élu par 51% des Français. J'ai jamais voté pour eux. J'ai jamais accepté que l'état emprunte. Pourquoi devrais-je payer ?

 

Si on se place dans le cas où les libéraux sont au pouvoir, ça veut juste dire que 51% au moins ont voté pour eux. Pourquoi ne devraient-ils par payer ce que j'ai envie qu'ils payent... :icon_wink:

On peut tourner en rond longtemps effectivement.

 

Le pourquoi devrais-je payer quelque chose pour lequel je n'ai pas voté, c'est une forme de remise en cause de la démocratie/tyrannie de la majorité. Je ne crois pas qu'on puisse se placer dans ce postulat avec l'hypothèse : les libéraux sont au pouvoir, qu'est-ce qu'on fait ?

 

On se place dans la perspective des libéraux au pouvoir dans la 5è République française ?

Lien vers le commentaire

On fait un défaut sélectif (sur les retraites en fait). On paie la dette qui apparaît au bilan. Ca implique de tailler férocement dans les dépenses publiques et d'avoir un peu de croissance mais c'est un cercle vertueux.

J'ai rien contre le défaut non plus mais dans une logique réformiste c'est plus compliqué.

Lien vers le commentaire

On fait un défaut sélectif (sur les retraites en fait). On paie la dette qui apparaît au bilan. Ca implique de tailler férocement dans les dépenses publiques et d'avoir un peu de croissance mais c'est un cercle vertueux.

J'ai rien contre le défaut non plus mais dans une logique réformiste c'est plus compliqué.

 

Si la France fait défaut. Quelles seront les conséquences sur l'économie mondial ? Parceque vas-y pour réformer si le monde entre en récession

 

C'est pas Koenig qui parlait de négocier un suspension du paiement des intérêt pendant 5 ans ? Pour avoir du fric pour réformer, et tout et tout ?

Lien vers le commentaire

Suspendre le paiement des intérêts c'est faire défaut. Et ça sous entend que le budget de l'État est équilibré pendant ces 5 ans parce que personne ne va refinancer un État qui ne paie pas ses intérêts.

 

 

 

Parceque vas-y pour réformer si le monde entre en récession

 

Personne ne réforme jamais quand il y a de la croissance.

Lien vers le commentaire

Suspendre le paiement des intérêts c'est faire défaut. Et ça sous entend que le budget de l'État est équilibré pendant ces 5 ans parce que personne ne va refinancer un État qui ne paie pas ses intérêts.

 

 

Personne ne réforme jamais quand il y a de la croissance.

On peut négocier avec ces créanciers.

 

Ce que je veux dire, c'est qu'en continuant de payé la dette, et en appliquant un programme strictement libéral. Les Français verraient rapidement les effets sur l'économie, le chomage ...

Alors que si on fait défaut, on risque de fragiliser l'économie française, où de la faire rentrer en récession. Et ce serait plus dur de réformer, car en plus les réformes n'auront peut-etre pas d'effets immédiat et visible pour les Français

 

Le Parti libertarien belge a dans son programme l'annulation de la dette publique.

 

Intéressant, merci :)

Lien vers le commentaire

On peut négocier avec les créanciers passés qui veulent perdre le moins possible. Par contre, le seul moyen de négocier de nouvelles créances, c'est de rémunérer les preteurs et donc verser des intérêts.

Sinon oui c'est le risque du défaut mais ca permet aussi de supprimer 50 milliards d'impôts.

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Je viens de lire l'article suivant de Philippe Fabry (je ne sais pas s'il fréquente le forum) :

Pour en finir avec les enclosures.

 

Le seul point sur lequel le mouvement des enclosures fut peut-être illégitime, c’est sur l’appropriation des communaux qui, eux, étaient la propriété collective des paysans du lieu ; il y avait alors bien viol de propriété. Mais il faut bien voir que ce n’était pas là l’essentiel du problème, puisque ces terres étaient le plus souvent à l’abandon, n’étant véritablement exploitées par personne dans la mesure où leur produit aurait appartenu à tout le monde. Le gros du phénomène de renclôture est bien dans la disparition des servitudes grevant les terres privées, pas dans l’appropriation des terres communes.

La phrase en gras me surprend quelque peu. Je commence à lire des articles d'historiens sur le monde rural et j'ai plutôt l'impression que ces communaux avaient une grande importance dans la vie et l'économie des villages. Même si ces terres appartenaient à la communauté, l'organisation de leur exploitation permettait aux villageois de profiter "individuellement" du produit de leur travail. Par ailleurs, sur le sujet même des enclosures en France, leur implantation dans les campagnes français est généralement présentée comme une usurpation (en profitant de la fragilité de la coutume ou de la tradition) ou bien une récupération malveillante (en exploitant les difficultés et les dettes des propriétaires).

Est-ce que quelqu'un connait de bons ouvrages à ce sujet ?

Lien vers le commentaire
  • 1 month later...

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...