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Le fil des questions alakons


Fadior

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Il y a 1 heure, NoName a dit :

La on parlais uniquement du label fair-trade en particulier. Après ça doit exister, mais ça doit tomber dans la catégorie luxe 

Ils ont un cahier des charges comme toutes les filières mais qui inclut des critères sociaux , auxquels des consommateurs  sont sensibles, tout va bien je trouve.

Je ne pense pas que l'on puisse les accuser de distorde les prix puisqu'il n'y a pas d'actions coercitives .

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Il y a 2 heures, frigo a dit :

Ils ont un cahier des charges comme toutes les filières mais qui inclut des critères sociaux , auxquels des consommateurs  sont sensibles, tout va bien je trouve.

Je ne pense pas que l'on puisse les accuser de distorde les prix puisqu'il n'y a pas d'actions coercitives .

On les accusé de rien on remarque juste que leur café est dégueulasse. 

Il y a une explication économique à ça qui a été citée avant. On a rien dit dautre

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Les entrepreneurs, les producteurs, les travailleurs honnêtes sur le dos desquels tous les parasites vivent. Comme atlas, ils portent le monde sur leurs dos, parce qu'ils sont les seuls à faire avancer l'humanité. Mais, lassés, ils laissent tomber. 

D'où le titre français "la grève" 

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il y a 13 minutes, Alchimi a dit :

A noter que le titre original "Atlas shrugged" (Atlas haussa les épaules) est mieux.

 

Non.

 

1): C'est imprononçable.

 

2): Le titan mythologique est mentionné au mieux 2 fois dans un bouquin de plus de 1100 pages. Aucune importance pour l'intrigue.

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à l’instant, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Non.

 

1): C'est imprononçable.

 

2): Le titan mythologique est mentionné au mieux 2 fois dans un bouquin de plus de 1100 pages. Aucun importance pour l'intrigue.

1) git gud

 

2) C'est la portée symbolique qui compte dans le titre.

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Il y a 23 heures, NoName a dit :

Honnetement, elle aurait mieux du choisir promethee comme image de l'homme. 

 

Oui, Prométhée est une image mythique infiniment plus positive. C'est un progressiste, un type cool qui veut aider l'humanité à survivre et qui est châtié par les Olympiens de manière démesurée. Et en plus, dans certaines versions du mythe, Héraclès le délivre (perspective optimiste).

 

A l'inverse Atlas est un réactionnaire qui se bat aux côtés du Vieux Monde des Titans. Et c'est un double loser: premièrement parce qu'il perd et se retrouve contraint de porter le monde (c'est un châtiment, pas un exploit), et deuxièmement parce qu'il ne s'en évade pas. Allégorie de l'impossibilité d'établir la liberté ?

il y a 10 minutes, Alchimi a dit :

2) C'est la portée symbolique qui compte dans le titre.

 

Justement, le symbole est mal choisi.

 

La Grève était le premier titre imaginé par Rand.

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il y a 3 minutes, Alchimi a dit :

J'ignorais. (source éventuellement?)

 

Ton journal préféré :D : https://www.contrepoints.org/2017/07/09/294393-la-greve-dayn-rand-genese-dune-traduction

 



Des obstacles à La Grève, il y en a eu d’autres. Le titre, par exemple. Je n’ai pas réussi à convaincre l’éditeur de l’appeler La Révolte d’Atlas. C’est Andrew Lessman qui a insisté pour qu’on l’appelle La Grève, qui est d’ailleurs le premier titre que Ayn Rand avait choisi. Je pensais que La Grève ayant en France des connotations germinalesques, ce n’était pas un bon titre. Mais l’éditeur a toujours le dernier mot !

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il y a 51 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

Non.

 

1): C'est imprononçable.

 

2): Le titan mythologique est mentionné au mieux 2 fois dans un bouquin de plus de 1100 pages. Aucune importance pour l'intrigue.

"Atlas" est sans doute mentionné deux dois seulement, mais le mot "titan" beaucoup plus (et ce sont au final l'ensemble des titans industriels qui abandonnent, alors que Atlas est seul).

il y a 25 minutes, Alchimi a dit :

Ça vaudrait le coup de savoir qui a changé le titre de l’œuvre originale et pourquoi. Surtout c'est si Rand elle même.

Je n'ai qu'une hypothèse à proposer : parce que Atlas Shrugged est plus énigmatique, alors que The Strike est presque un spoiler.

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il y a une heure, Johnathan R. Razorback a dit :

Oui, Prométhée est une image mythique infiniment plus positive. C'est un progressiste, un type cool qui veut aider l'humanité à survivre et qui est châtié par les Olympiens de manière démesurée. Et en plus, dans certaines versions du mythe, Héraclès le délivre (perspective optimiste).

 

A l'inverse Atlas est un réactionnaire qui se bat aux côtés du Vieux Monde des Titans. Et c'est un double loser: premièrement parce qu'il perd et se retrouve contraint de porter le monde (c'est un châtiment, pas un exploit), et deuxièmement parce qu'il ne s'en évade pas. Allégorie de l'impossibilité d'établir la liberté ?

Bof. Le progressisme ne vaut guère mieux que la réaction (ou plus précisément, toutes ces questions sont indépendantes du libéralisme).

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il y a 30 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

Humanisme conviendrait peut-être mieux.

Quel dommage que "humanisme" soit encore plus polysémique que "progressisme"... :rolleyes:

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il y a 16 minutes, Rincevent a dit :

Quel dommage que "humanisme" soit encore plus polysémique que "progressisme"... :rolleyes:

 

Beaucoup moins je trouve. Quand on cherche, on y trouve des choses familières...

 



L’humanisme est un courant culturel européen, trouvant ses origines en Italie, principalement autour de la Toscane, qui s'est développé pendant la Renaissance. Renouant avec la civilisation gréco-romaine, les intellectuels de l'époque manifestent un vif appétit de savoir (philologie notamment). Considérant que l’Homme est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées, ils considèrent la quête du savoir et la maîtrise des diverses disciplines comme nécessaires au bon usage de ces facultés. Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, dont religieux ; la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue (traduction de la Bible par Jacques Lefèvre d'Étaples en 1523).

 

Ainsi, cet humanisme vise à diffuser plus clairement le patrimoine culturel. L’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté ou libre arbitre, de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité sont, de ce fait, indissociables de la théorie humaniste classique.

Par extension, on désigne par « humaniste » toute pensée qui met au premier plan de ses préoccupations le développement des qualités essentielles de l'être humain. Une vaste catégorie de philosophies portant sur l'éthique affirme la dignité et la valeur de tous les individus, fondée sur la capacité de déterminer le bien et le mal par le recours à des qualités humaines universelles, en particulier la rationalité. L'humanisme implique un engagement à la recherche de la vérité et de la moralité par l'intermédiaire des moyens humains, en particulier les sciences, en solidarité avec l'humanité. En mettant l'accent sur la capacité d'auto-détermination, l'humanisme rejette la validité des justifications transcendantes de l'époque, alors éloignée des questions phénoménologiques du XXe siècle, jugées comme une dépendance à l'égard du surnaturel et de la croyance, tels certains textes présentés comme d'origine divine. Les humanistes développent une morale universelle fondée sur la communauté de la condition humaine.

 

"Dans la mesure où la création des richesses n'est qu'un simple prolongement de l'exercice individuel de la raison, la reconnaissance de la nature humaine d'un individu implique la reconnaissance de ses droits de propriété sur ce qu'il a créé. Le capitalisme, système d'appropriation privée des ressources, a donc un fondement éthique incontournable, puisqu'il est fondé sur la reconnaissance des droits de propriété des créateurs sur leur création. Et il est en ce sens incohérent de lutter à la fois contre le capitalisme et contre l'esclavagisme." (p.66)

"Si deux individus ont créé des richesses, ils en sont les propriétaires exclusifs et ils agissent légitimement lorsqu'ils échangent le produit de leur activité. Dans une société sans contrainte, on est propriétaire d'une ressource soit parce qu'on l'a créée soi-même, soit parce qu'on l'a obtenue par l'échange en contrepartie d'une ressource que l'on avait créée, soit parce qu'on l'a obtenue par un don de celui qui l'avait créée. Autrement dit, le fondement de la propriété réside toujours dans un acte de création. C'est pourquoi on peut dire que le droit de propriété est inhérent à la nature même de l'homme, qu'il en est inséparable. C'est la grandeur d'une société libre -c'est-à-dire d'une société sans contrainte- que de permettre à l'homme d'agir conformément à sa nature. Ainsi, si l'on définit le libéralisme comme la défense d'une société sans contrainte, on doit dire que le libéralisme est un humanisme et même, plus précisément, que l'humanisme est indissociable du libéralisme." -Pascal Salin, Libéralisme, éditions Odile Jacob, 2000, 506 pages, p.68.

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mesdames et messieurs, j'ai fortement besoin de votre aide.

Est ce que quelqu'un sait comment on fait pour récupérer d'anciennes factures sur le compte Engie ? la proprio de mon nouvel appart demande que nous sortions les deux dernières factures mais impossible de les récupérer sur le compte en ligne

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il y a 4 minutes, frigo a dit :

C'est quoi un loréaliste ?

Loréalisme : absence de pensée de ceux qui croient que le libéralisme, c'est "je fais ce que je veux (avec mes cheveux), tout le temps"

 

 

 

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