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[modéré]Hollande, le départ du comique français


Messages recommandés

Les commentaires sont fantastiques.

 

 

Çà montre simplement que c'est un honnête homme, à l'opposé de son prédécesseur

 

 

D'accord mais je sais lire aussi, dans le canard ''Le Président fric-frime'' de 2008, que Mr Sarkozy ''s'augmentait personnellement de 200%. Bref du lourd, voire du grossier'' Bolloré, Balkany, Bouygues, Tapie, Proglio, Minc, Lagardère, Dassault, Richard, et j'en passe... c'était pas des ''salauds de pauvres'' . Pendant ce temps, on privatisait les facs pour soulager le denier public!

 

 

cela va de soi pour un homme normal.

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Critiquer le gouvernement est interdit en France pour un gendarme dans une audition publique à l'Assemblée Nationale.

 

 

Le général Bertrand Soubelet, n°3 de la gendarmerie, qui avait exprimé de fortes réserves sur la politique pénale du gouvernement, a été remplacé à ce poste, aujourd'hui en Conseil des ministres. Selon le compte rendu du Conseil, sur proposition du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, le général Michel Pattin a été nommé directeur des opérations et de l'emploi à la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN), où il sera numéro 3.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/30/97001-20140730FILWWW00418-depart-du-n3-de-la-gendarmerie.php

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C'est incroyable comment ces débiles arrivent à croire que les "excédents commerciaux" sont des sommes d'argents qui dorment sur un compte du gouvernement fédéral allemand. Les conneries mercantilistes n'ont jamais de limites.

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Tout cela montre à quel point Hollande est nul et ses tentatives de diversions pathétiques. Elles ne dupent personne. Le fait qu'il ait vraiment cru à sa fable de l'inversion magique de la courbe du chômage après le retour du bon cycle de croissance, montre qu'il n'a rien compris au décrochage critique du pays. La France a perdu toutes ses positions dans l'UE. Le fait que sa principale réforme, celle des régions, se fasse avec un nombre d'élus et de fonctionnaires constant, montre que les socialistes sont dans l'imposture totale. Qu'en plus il accuse les pays où la croissance est revenue grâce aux réformes qu'il n'a pas le courage de faire en France, rend évident qu'il est en effet l'ectoplasme mou qu'il paraissait depuis le début. 

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C'est incroyable comment ces débiles arrivent à croire que les "excédents commerciaux" sont des sommes d'argents qui dorment sur un compte du gouvernement fédéral allemand. Les conneries mercantilistes n'ont jamais de limites.

 

Si un gouvernement est mercantiliste, c'est bien celui de Merkel.

 

Et je serais bien curieux de savoir où finissent majoritairement les devises récupérées par les allemands. Parce que se casser le cul à exporter, si c'est pour engloutir le produit dans des OAT (françaises donc) ou de l'immobilier espagnol ... lol.

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Si un gouvernement est mercantiliste, c'est bien celui de Merkel.

 

 

Pourquoi donc ?

 

 

 

 
Et je serais bien curieux de savoir où finissent majoritairement les devises récupérées par les allemands. Parce que se casser le cul à exporter, si c'est pour engloutir le produit dans des OAT (françaises donc) ou de l'immobilier espagnol ... lol.

 

T'exportes parce que tu as envie de gagner de l'argent avec ton job.

 

Mince, pourquoi se casser le cul à vendre des baguettes de pain si c'est pour engloutir le produit dans des OAT ou de l'immobilier espagnol. 

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Critiquer le gouvernement est interdit en France pour un gendarme dans une audition publique à l'Assemblée Nationale.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/30/97001-20140730FILWWW00418-depart-du-n3-de-la-gendarmerie.php

Comme n'importe quel militaire, un gendarme est soumis au devoir de réserve, n'a pas le droit de grève, et leurs époux n'ont pas le droit de travailler, sauf dans la gendarmerie.

Pour les fonctionnaires d'état c'est à peu près la même chose niveau devoir de réserve. Un professeur dans l'exercice de ses fonctions n'a pas le droit de critiquer publiquement son administration.

A mon époque de pigiste, j'ai été plusieurs fois confronté à ça. Les sanctions peuvent être assez grave.

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Comme n'importe quel militaire, un gendarme est soumis au devoir de réserve, n'a pas le droit de grève, et leurs époux n'ont pas le droit de travailler, sauf dans la gendarmerie.

 

Srsly ?

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Comme n'importe quel militaire, un gendarme est soumis au devoir de réserve, n'a pas le droit de grève, et leurs époux n'ont pas le droit de travailler, sauf dans la gendarmerie.

Pour les fonctionnaires d'état c'est à peu près la même chose niveau devoir de réserve. Un professeur dans l'exercice de ses fonctions n'a pas le droit de critiquer publiquement son administration.

A mon époque de pigiste, j'ai été plusieurs fois confronté à ça. Les sanctions peuvent être assez grave.

 

Faut resituer le contexte. C'est une audition à l'Assemblé Nationale où des députés lui demandent son avis et sa vision sur le fonctionnement et les dysfonctionnements.

 

En face de lui, c'est le député Goujon UMP spécialiste des questions de sécurité.

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Nonon c'est exactement ca. Ou alors ca a changé depuis, mais il y a 10 ans c'était ça.

Il n'y a jamais eu de disposition interdisant le travail des époux.

Il y a simplement une moindre activité du fait des mutations chez les officiers qui peuvent avoir lieu tous les deux ans. Trouve un boulot en disant que t'es l'épouse d'un militaire, c'est plus compliqué.

D'autre part, le niveau de vie des officiers avec les logements de fonction (systématiques pour les gendarmes. C'est statutaire chez eux.) parfois permet de faire le choix de l'inactivité professionnelle.

Maintenant, c'est impossible.

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Berlin rejette l'appel de Paris à soutenir la croissance

 

Il s'attendait a quoi, concretement, a part se prendre une gifle a retardement?

 

Hollande estime qu'étant donné la force de l'économie allemande, c'est à cette dernière "d'intervenir" pour "relancer" les économies européennes. La réponse allemande est plein de bon sens: Faites d'abord les reformes nécessaires chez vous. Je ne sais pas si beaucoup d'entre vous ont visité l'Allemagne, mais c'est vrai que ce pays dégage une puissance économique qu'on ne ressent pas en France.  Je suppose que "C'est une allemande" comme le dit la pub...  

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Avec une langue ridicule, des marécages partout, de la pluie, etc...

L'Allemagne est tellement overrated en France.

 

Surtout les allemands ce sont les "ubermensche"... :jesors:

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Par sa décision n° 2014-698 DC du 6 août 2014, le Conseil constitutionnel s'est prononcé sur la loi de financement rectificative de la sécurité sociale (LFRSS) pour 2014 dont il avait été saisi par plus de soixante députés. Ceux-ci mettaient en cause la sincérité de cette loi et la conformité à la Constitution de ses articles 1er et 9. Le Conseil constitutionnel a écarté ces griefs, à l'exception de ceux dirigés contre l'article 1er qu'il a jugé contraire à la Constitution.

* En premier lieu, le Conseil a jugé que les hypothèses économiques pour l'année 2014 sur lesquelles est fondée la LFRSS pour 2014 ne sont pas entachées d'une intention de fausser les grandes lignes de son équilibre. Il a, par ailleurs, jugé que c'est à la loi de financement de la sécurité sociale pour 2015 qu'il reviendra de tenir compte des dispositions de la LFRSS pour 2014 ayant un effet sur les recettes des régimes de sécurité sociale des années ultérieures.

* En deuxième lieu, le Conseil constitutionnel a jugé contraire à la Constitution l'article 1er qui a pour objet d'instaurer une réduction dégressive des cotisations salariales de sécurité sociale.

Le Conseil constitutionnel a rappelé que les cotisations salariales d'assurance vieillesse et d'assurance maladie à la charge des travailleurs salariés et des travailleurs salariés agricoles sont des versements à caractère obligatoire ouvrant des droits aux prestations et avantages servis par les branches vieillesse et maladie du régime obligatoire de sécurité sociale des travailleurs salariés et du régime obligatoire de sécurité sociale des travailleurs salariés agricoles.

Le Conseil constitutionnel a relevé que le législateur a institué une réduction dégressive des cotisations salariales de sécurité sociale pour les salariés dont la rémunération est comprise entre 1 et 1,3 SMIC tout en maintenant inchangés, pour tous les salariés, l'assiette de ces cotisations ainsi que les prestations et avantages auxquels ces cotisations ouvrent droit. Ainsi, un même régime de sécurité sociale continuerait, en application des dispositions contestées, à financer, pour l'ensemble de ses assurés, les mêmes prestations malgré l'absence de versement, pour près d'un tiers de ceux-ci, de la totalité des cotisations salariales ouvrant droit aux prestations servies par ce régime. Le Conseil constitutionnel a jugé que le législateur a institué une différence de traitement, qui ne repose pas sur une différence de situation entre les assurés d'un même régime de sécurité sociale et qui méconnaît le principe d'égalité.

* En troisième lieu, le Conseil constitutionnel a jugé conforme à la Constitution l'article 9 relatif au gel pour l'année 2014 de la revalorisation annuelle des pensions de retraite servies par les régimes de base de sécurité sociale dans les cas où le montant des pensions de retraite perçues par une même personne excède un seuil de 1 200 ou 1 205 euros.

Afin de préserver les faibles pensions de retraite, le législateur a réservé la revalorisation annuelle des pensions de retraite servies par les régimes de base aux seuls pensionnés qui perçoivent des pensions inférieures à 1 200 ou 1 205 euros. Le Conseil constitutionnel a relevé que cette mesure ne s'applique qu'à la seule revalorisation au titre de l'année 2014, et qu'elle est d'une ampleur maximale de 7 euros par mois par pensionné intéressé. Dès lors, le Conseil constitutionnel a jugé que l'article 9 ne crée pas de rupture caractérisée de l'égalité devant les charges publiques et est conforme à la Constitution.

* En quatrième lieu, le Conseil constitutionnel a examiné le 4° du paragraphe I de l'article 2 de la loi déférée relatif aux déductions forfaitaires de cotisations patronales pour les heures de travail effectuées par les salariés employés par des particuliers à certains travaux domestiques. Il a relevé que ces dispositions ont été introduites en nouvelle lecture alors qu'elles étaient sans lien avec des dispositions restant en discussion. Ayant été adoptées selon une procédure contraire à la Constitution, elles ont été jugées inconstitutionnelles.

 

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Le Conseil constitutionnel, dernier rempart des classes moyennes ? En censurant l’allégement des cotisations salariales voté fin juillet, les dix sages ont infligé au gouvernement un triple camouflet. D’abord, en rappelant une évidence : la Sécurité sociale n’est pas un outil de redistribution que l’on peut manipuler au gré des circonstances politiciennes. Dans un régime assurantiel solidaire, chacun contribue en fonction de ses revenus pour les mêmes prestations. Pas question, au nom d’une pseudo-politique de justice sociale décidée à la va-vite, d’étatiser davantage le système. Ensuite, la haute juridiction met le holà à un travers national qui consiste à concentrer les mesures de pouvoir d’achat autour du smic, comme si le reste des Français tenait du troupeau de vaches à lait. La détresse des classes moyennes, laminées par le bulldozer fiscal, mérite mieux. Tout comme les cadres et les jeunes diplômés tentés par l’exil. Enfin, cette censure a des allures d’avertissement. Il faut en finir avec cette politique de gribouille qui consiste à contrebalancer une mesure en faveur des entreprises – le pacte de responsabilité – par un texte improvisé, le volet solidarité, censé favoriser les ménages et calmer la gauche de la gauche. Une fois de plus, voilà l’exécutif pris en flagrant délit d’amateurisme législatif, comme si la primauté du politique permettait tout.

En mars, le Conseil constitutionnel avait retoqué une partie de la loi Florange au nom de la liberté d’entreprendre – défendant ainsi les patrons. Cette fois, il protège les salariés, en vertu du principe d’égalité. Pour François Hollande et Manuel Valls, la leçon est sévère.

Rémi Godeau

http://www.lopinion.fr/6-aout-2014/conseil-constitutionnel-secours-classes-moyennes-15122

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