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[modéré]Hollande, le départ du comique français


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Aaaaaah nous voilà rassurés :

 

1. on annonce "pas de nouveaux impôts" ce qui ne prémunissait pas d'une augmentation des existants

2. Bruxelles demande des économies pour donner deux ans de délai. La comédie habituelle, comme avec la Grèce, tout le monde fait semblant d'être faché mais tout le monde sait que le délai viendra.

3. les économies vont bon train en France et la dépense publique baisse en flèche dans un contexte de croissance forte

4. Hollande annonce pas de hausse d'impôts d'ici 2017 et on le croit parce que lui président tient parole

5. conclusion : il aura réussi à rouler des déficits énormes d'un bout à l'autre du mandat dans un contexte mauvais mais pas récessif en augmentant la dépense et en flinguant le contribuable

6. bonus : comme finement vu et prévu par les allemands, Hollande comptait sur une intervention de la BCE pour ne rien faire. Comme finement vu et prévu par les allemands, l'intervention de la BCE ne fera rien de positif et ce sera la merde.

 

 

 

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Aaaaaah nous voilà rassurés :

 

1. on annonce "pas de nouveaux impôts" ce qui ne prémunissait pas d'une augmentation des existants

2. Bruxelles demande des économies pour donner deux ans de délai. La comédie habituelle, comme avec la Grèce, tout le monde fait semblant d'être faché mais tout le monde sait que le délai viendra.

3. les économies vont bon train en France et la dépense publique baisse en flèche dans un contexte de croissance forte

4. Hollande annonce pas de hausse d'impôts d'ici 2017 et on le croit parce que lui président tient parole

5. conclusion : il aura réussi à rouler des déficits énormes d'un bout à l'autre du mandat dans un contexte mauvais mais pas récessif en augmentant la dépense et en flinguant le contribuable

6. bonus : comme finement vu et prévu par les allemands, Hollande comptait sur une intervention de la BCE pour ne rien faire. Comme finement vu et prévu par les allemands, l'intervention de la BCE ne fera rien de positif et ce sera la merde.

 

Ah mais attendez de voir ce que vous allez voir ! Hollande n'est juste pas encore bien réveillé. Quand il va s'y mettre, ça va dépoter de la réforme, z'allez voir.

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Aaaaaah nous voilà rassurés :

 

1. on annonce "pas de nouveaux impôts" ce qui ne prémunissait pas d'une augmentation des existants

2. Bruxelles demande des économies pour donner deux ans de délai. La comédie habituelle, comme avec la Grèce, tout le monde fait semblant d'être faché mais tout le monde sait que le délai viendra.

3. les économies vont bon train en France et la dépense publique baisse en flèche dans un contexte de croissance forte

4. Hollande annonce pas de hausse d'impôts d'ici 2017 et on le croit parce que lui président tient parole

5. conclusion : il aura réussi à rouler des déficits énormes d'un bout à l'autre du mandat dans un contexte mauvais mais pas récessif en augmentant la dépense et en flinguant le contribuable

6. bonus : comme finement vu et prévu par les allemands, Hollande comptait sur une intervention de la BCE pour ne rien faire. Comme finement vu et prévu par les allemands, l'intervention de la BCE ne fera rien de positif et ce sera la merde.

Oui mais l"argument choque du gouvernement est, pour le point 3, que la progression des dépenses est moins importante qu'avant...on croit rêver!

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Vous vous rappelez du grand emprunt ? C'était censé être la réponse à la crise de 2008, un plan clef de la grande relance française. Vous vous rappelez toute la propagande sur l'État agit vite face à la crise ? Et bien Hollande va annoncer, 7 ans plus tard, le dernier volet du grand emprunt (encore 10 milliards, une paille).

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Vous vous rappelez du grand emprunt ? C'était censé être la réponse à la crise de 2008, un plan clef de la grande relance française. Vous vous rappelez toute la propagande sur l'État agit vite face à la crise ? Et bien Hollande va annoncer, 7 ans plus tard, le dernier volet du grand emprunt (encore 10 milliards, une paille).

Moi je me souviens de Hollande qui disait que la crise était derrière nous.
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Et si les prévisions de croissance étaient trop pessimistes? D'après des conjoncturistes, la croissance pourrait être plus forte que prévue en 2016 et 2017.

Et si finalement la croissance française était plus forte en 2016 et 2017 qu’on le prévoit aujourd’hui? C’est le scénario sur lequel travaillent la plupart des conjoncturistes aujourd’hui, en se fondant notamment sur la comparaison avec deux périodes fortes de notre histoire économique moderne: la fin 1986 et le début 1997.

En 1986, les prix du brut chutent de moitié, les monnaies européennes entament une glissade de deux ans qui va leur faire perdre 40% de leur valeur face au dollar, les taux d’intérêt à long terme, qui viennent de 18% en 1982 (plus de 4% en termes réels) tombent à 8% (2% une fois défalquée l’inflation). Résultat: la croissance avoisine 2,4% en 1986 et 1987, mais décolle ensuite pour dépasser 4% en 1988 et 1989, aidée par une politique budgétaire accommodante.

En 1997, les prix du pétrole baissent, les monnaies européennes sont au plus bas face au dollar (l’équivalent de 0,75 euro pour 1 dollar), les taux longs tombent à 2% en termes réels. Là encore, la croissance repart plus fort que prévu: de 1,4% en 1996 à 2,3% en 1997 et 3,5% environ en 1998 et 1999. Elle frôle même 4% en 2000, aidée, comme en 1988 et 1989, par une politique budgétaire "bienveillante".

Chute de l'euro

Soyons clair, en 1986 comme en 1997, aucun expert ne s’attendait à une reprise aussi vigoureuse. Les prévisions publiées au printemps 1986 anticipaient plutôt 2,5% de croissance en 1988 et 1989, loin des 4% réalisés. Et les oracles n’ont pas été plus lucides en 1997. C’est sur la base des diagnostics pessimistes de Bercy, rappelons-le, que Jacques Chirac décide de dissoudre l’Assemblée nationale pour éviter que se télescopent, en 1998, élections législatives et budget de rigueur pour pouvoir entrer dans l’Union monétaire !

Faut-il envisager le même scénario aujourd’hui ? Les points communs sont nombreux: les prix du pétrole ont perdu plus de 50% en six mois, l’euro a chuté de presque 30% face au dollar, les taux d’intérêt sont quasiment nuls, la contrainte budgétaire se desserre, et ces tendances semblent durables. Comme en 1986, le gouvernement mène une politique visant à redresser la situation financière des entreprises et la compétitivité (la fameuse "désinflation compétitive"). Comme en 1997, la révolution technologique et la surabondance de liquidités alimentent les espoirs d’une nouvelle prospérité, tandis que le sous-investissement des dix années précédentes pourrait provoquer un effet rattrapage.

La confiance n'est pas au rendez-vous

Mais attention, certains moteurs qui ont tiré la croissance à l’époque ne sont pas en état de tourner à plein régime actuellement. C’est le cas du crédit, très dynamique à la fin des années 1990, alors que l’heure est plutôt au désendettement ces temps-ci. Le commerce extérieur ne sera pas non plus aussi porteur: à la fin des années 1990, la demande des clients étrangers augmente de 8% à 9% par an, contre 3 à 4% aujourd’hui.

Le signal le plus important sera sans conteste le comportement des entreprises en matière d’investissement. Il redémarre dès 1986 (+6% par an en 2006 et 2007), pour tourner à plein régime en 1988 et 1989, à +9% l’an. Un rythme qu’il retrouvera quasiment dix ans plus tard en 1998 et 1999.

En 2015, pour l’instant, les projets ne sortent pas des tiroirs, les capacités de production sont moins sollicitées qu’en 1997 (80% contre 84% à l’époque), alors que la situation financière est plus tendue (avec un taux de marge à 29,7% contre 32,5% à l’époque) et le jugement sur la compétitivité moins favorable.

La confiance, enfin, n’est pas encore au rendez-vous. Mais pour le reste, le climat des affaires n’est pas plus mauvais qu’en 1986 ou 1997, que ce soit dans l’industrie, les services, le commerce ou le bâtiment. Au final, la croissance française ne pourra certainement pas dépasser allègrement les 3% en 2016 et 2017, mais une prévision inférieure à 2% parait en revanche presque pessimiste.

http://bfmbusiness.bfmtv.com/observatoire/les-previsions-pour-2016-et-2017-sont-trop-pessimistes-869729.html

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Les parlementaires ont adopté à l'unanimité un texte de loi prévoyant d'élargir les modalités d'indemnisation et de reclassement des élus en fin de mandat ou battus aux élections.

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2015/03/19/25002-20150319ARTFIG00307-une-loi-pour-renforcer-l-indemnisation-des-elus-battus-dans-les-urnes.php

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Le texte prévoit d'obliger une entreprise privée à réintégrer l'élu à la fin de son mandat, y compris dans les communes de 10.000 habitants et plus.

 

Hahaha. Le truc vraiment très applicable.

Moi, je propose l'interdiction de réintégrer la fonction publique à toute personne ayant été élue. C'est bien plus réaliste.

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Lundi toute la presse sera concentrée sur le résultat de la bête immonde aux élections de ce week-end. Le Fhaine va être le principal sujet de discussion de lundi à la machine à café.

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