Aller au contenu

[modéré]Incivilités, La Victime Descend-Elle Du Singe Et Confiture


Johnnieboy

Messages recommandés

Comment ça se passe en Argentine? C'est un pays très civilisé pourtant.

 

 

 

En France, cela n'a rien à voir du tout. Mais alors absolument rien. Il ne se passe même pas le millionième ou le milliardième de ce qui se passe en Argentine.

 

Je ne suis pas allé chercher un pays africain en guerre civile ou un pays très pauvre, j'ai pris un pays en principe à la civilisation tout à fait convenable.

 

On va quand même dire que l'Argentine est proche de la faillite avec une monnaie de singe et un marché noir de dollar extrêmement important. C'est un pays qui est au bord de l'implosion avec des dirigeants corrompus jusqu'à la moelle.

 

Lien vers le commentaire

Je fais cela tout le temps quand je vais sur Paris, me balader solo et finir finalement chez des gens que je ne connaissais même pas, et je n'ai jamais eu de soucis.

[...]

Edit : je précise que j'ai déjà eu des embrouilles en sortant ou j'en ai vu des marquantes (je me rappelle un mec qui a sorti un flingue une fois sur Cannes). L'important est de noter que tout ceci se produit plutôt rarement.

Plutôt rarement ? De mon côté, ce n'est pas du tout ce que je ressens. Je passe rarement une soirée sur les grandes villes françaises sans qu'il n'y ait bisbille pour des conneries. Tu as toujours un casse-couille pour venir essayer de draguer tes amies en mode bulldozer, une outre à alcool qui a décidé qu'il n'aimait pas ta face, une racaille qui confond demander une cigarette et insulter ta mère, une bande de gamins qui viennent essayer de faire les poches...

Et quand t'es à la campagne, t'as le droit au groupe de kékés du village d'à côté qui viennent taper l'incruste dans les soirées pour essayer de mettre le souk et aux vieux pochtrons à moitié tarés qui viennent te les briser pour un rien.

Quand c'est pas les flics. Eux aussi, pour te faire chier pendant les soirées, ils sont champions.

Alors pour sûr, ça ne finit pas en distribution de torgnoles tous les soirs non plus, mais les soirées où tout se déroule dans le calme et la bonne humeur sont rares. Par rapport à ce qu'il se passe ailleurs dans le monde, la France fait clairement pitié de ce côté-là.

Parce que même s'il y a embrouille assez régulièrement aussi dans les autres pays européens, ça n'a pas ce côté quasi-systématique comme en France.

 

Moi si je ne me fais pas agresser c'est d'une part parce que je n'ai pas une tête de victime, d'autre part parce que je sais vivre la nuit.

Evidemment. Je viens de faire une énorme découverte grâce à toi : si j'ai systématiquement des embrouilles lors de mes sorties, c'est parce que je ne sais pas vivre la nuit. A un instant, j'ai cru que c'était parce que les villes de France sont blindées de têtes de con qui se savent pas s'amuser sans emmerder leur prochain, mais en fait, c'est simplement de ma faute.

Il faudra aussi d'ailleurs que je pense à expliquer à mes amis asiatiques, lorsqu'ils reviennent de Paris totalement déconcertés d'avoir découvert à quel point c'est une ville sale et dangereuse, qu'ils se font de fausses idées : la France, c'est très bien et c'est très sûr, et s'ils se sont fait dépouiller dans le métro, c'est juste qu'ils avait un petit peu une tête de victime.

Donc, la prochaine fois, je fais quoi ? J'évite les tenues trop chic ? D'être tellement saoul que je souris pour un rien ? De fumer dans les rues ? De me balader avec des jolies filles ? Il faut faire quoi, exactement, pour ne pas avoir une tête de victime et savoir vivre la nuit ?

 

Comment ça se passe en Argentine? C'est un pays très civilisé pourtant.

Comparer la cinquième puissance économique mondiale avec une quasi-dictature socialiste qui n'en finit plus de faire faillite et est en permanence au bord de la guerre civile... Joli.

Belle façon de botter en touche : regardez, tout va bien, il y a pire ailleurs. Le crédo, c'est donc : "Ne te plains pas mon petit Johnny, en Corée du Nord, rien que ta coupe de cheveu t'aurait amené dans un camp !"

Lien vers le commentaire

Parce que n'est pas pour remuer le couteau dans la plaie, mais pendant ce temps-là, je picolais dans un petit bar de Shibuya, où j'ai rencontré un groupe de demoiselles très sympathiques. Elle partirent vers le milieu de la nuit, mais Ta-san, le tenancier, ne fermera pas la boutique avant 9h du matin : on passera tout ce temps à échanger et préparer toutes sortes de recettes de cocktail. En cours de route, il n'hésitera pas à laisser son rade (et la caisse !) sans surveillance pour m'accompagner jusqu'au combini, histoire que l'on puisse se prendre un truc à manger. Parce que ça ne craint rien de toute manière.

Et une fois sorti de là, après que mon nouvel ami m'ait fait cadeau d'un exemplaire du manga "Bartender" (de circonstances) et raccompagné jusqu'à la gare, je me suis endormi dans le train comme une merde, dans un état tellement lamentable que mon bouquin me glissa des doigts, mes lunettes du nez et mon portefeuille de la poche. Sans que cela ne pose le moindre soucis, puisqu'une âme charitable aura soigneusement déposé tous mes effets personnels sur un siège à mes côtés, de façon à ce que je puisse facilement les retrouver à mon réveil. Et peut-être même m'aura-t-elle prêté une épaule en guise d'oreiller.

Tout ça pour qu'au final, une fois de retour chez moi après avoir fait deux fois l'aller-retour entre Tokyo et Chiba durant mon sommeil (sans que cela ne me coûte plus cher), je retrouve quelques photos de moi sur le mur Facebook du barman, avec un long message expliquant à quel point il fut ravi d'avoir fait ma rencontre et qu'il allait acheter les ingrédients qu'ils nous manquaient pour certains cocktails de façon à ce que l'on puisse les préparer lors de ma prochaine visite. Le tout avec des commentaires de ses amis demandant à être tenus au courant de ma venue de façon à ce qu'ils soient là eux aussi pour goûter ça.

 

C'est tellement hallucinant comme histoire qu'une seule conclusion s'impose : c'est pas possible, ces mecs là jouent à donf la comédie ; ils nous cachent un truc énorme derrière leurs pseudo civilités ; ils nous préparent un tour de cochon genre maousse costaud ; bref, il est plus que temps de nuker définitivement les Japs.

Lien vers le commentaire

Bon, écoutez, c'est pas la mort non plus la France la nuit : je rejoins ceux qui disent qu'on peut faire la bringue à Paris jusqu'à pas d'heure avec plaisir, je l'ai fait de nombreuses fois. Bien sûr, on tombe parfois sur des énergumènes (clodos, camés qui vocifèrent, mecs relous), et il vaut mieux sortir à plusieurs et bien choisir son wagon de métro / taxi / noctilien mais bon c'est normal c'est une grande ville. ;)

Il y a des tas de trucs que j'ai à reprocher aux Français aujourd'hui mais je tenais quand même à mettre un bémol au concert de lamentations.

Lien vers le commentaire

 Non mais sans déconner, tu crois à ce que tu racontes? :facepalm:

 

La réalité est simple, et c'est l'anthropologie qui le dit : c'est politiquement incorrect, mais lorsque l'on prend un singe qui se fait martyriser dans un groupe, et qu'on le transplante dans un autre, devinez quoi? Hé bien il se fait martyriser à nouveau. Alors qu'il était inconnu du nouveau groupe de singe.

 

Moi si je ne me fais pas agresser c'est d'une part parce que je n'ai pas une tête de victime, d'autre part parce que je sais vivre la nuit. C'est pas toujours la faute des autres, sais-tu? Et ne me sortez pas le coup de la meuf qui se fait violer parce qu'elle est en mini-jupe, c'est un mauvais argument.

 

C'est quoi ces bisounours qui croient que toute l'humanité est gentille et bisou? Non, il y a des gens méchants, et on peut les éviter très facilement.

 

N'instrumentalisez pas l'expérience de  Johnnieboy pour vendre votre soupe décliniste à deux francs.

 

Tu racontes strictement n'importe quoi. No offense, mais c'est n'importe quoi. Tu peux te baser sur toute la pseudo-science que tu veux, ça ne changera rien à la réalité quotidienne. Et tes arguments ne valent même pas les deux francs que tu accordes à la soi-disant soupe décliniste que nous sortons. La prochaine fois que je me ferai emmerder dans le RER, pas violer, pas agresser, mais juste emmerder sur le mode "t'as pas un zéro-six" ou "t'as pas une clope" ou "t'as pas 1 euro" pendant tout le temps que le RER met à arriver ou que dure le trajet entre deux stations, je me réconforterai en me disant que c'est parce que j'ai sûrement une tête de victime ou que je ne sais pas vivre la nuit. Oh wait! ce n'est pas près d'arriver.

 

Je ne suis pas agressive, ne le prends pas mal, mais mesure tes propos de temps en temps.

Lien vers le commentaire

Il dit qu'il voit pas le rapport.

Le texte est beau, merci f.mas.

 

On va dire que j'ai pas aimé certains passages comme celui là qui a un petit goût d'anticapitalisme.

 

 

La faveur d'être nés Français compose une bonne fortune incomparable.

— Mais je n'ai rien, je ne possède rien en France, disait un intellectuel qui, en effet, n'était pas riche.

On lui répondit :

— Pardon ! vous possédez en France. Quoi ? Votre culture, votre langue, vos traditions, votre goût, et vous n'avez rien fabriqué ni mérité de ces biens. Ils vous ont tous été donnés gratuitement, avec quantité d'autres qui font de vous un privilégié de la mappemonde, et ce privilège immatériel vaut plus cher que le grand domaine ou les gros sous dont vous ne savez pas faire votre deuil.

Ce n'est pas la faute des Français s'il leur est aujourd'hui difficile de surmonter quelque mauvaise humeur. Un siècle et demi de démocratie, de règne de l'argent, les a dressés officiellement à l'envie, instruits à la jalousie, entraînés à toutes les bassesses inhérentes au régime individualiste des ôte-toi de là que je m'y mette.
Lien vers le commentaire

Tu racontes strictement n'importe quoi. No offense, mais c'est n'importe quoi. Tu peux te baser sur toute la pseudo-science que tu veux, ça ne changera rien à la réalité quotidienne. Et tes arguments ne valent même pas les deux francs que tu accordes à la soi-disant soupe décliniste que nous sortons. La prochaine fois que je me ferai emmerder dans le RER, pas violer, pas agresser, mais juste emmerder sur le mode "t'as pas un zéro-six" ou "t'as pas une clope" ou "t'as pas 1 euro" pendant tout le temps que le RER met à arriver ou que dure le trajet entre deux stations, je me réconforterai en me disant que c'est parce que j'ai sûrement une tête de victime ou que je ne sais pas vivre la nuit. Oh wait! ce n'est pas près d'arriver.

Je ne suis pas agressive, ne le prends pas mal, mais mesure tes propos de temps en temps.

Je précise : mon message n'a pas vocation à nier certaines réalités. Je me suis déjà fait emmerder aussi ou vu des gens se faire emmerder la nuit. Mais bon, de là à dire qu'on sera mieux à vivre en Australie, je dis "arrêtez vos conneries" (ceci n'est pas un message pour toi, vengeusemasquée).

C'est pas pour des soirées un peu compliquées qu'on va tout lâcher du jour au lendemain, y compris tout le positif.

C'était la minute émotion.

Lien vers le commentaire

C'est tellement hallucinant comme histoire qu'une seule conclusion s'impose : c'est pas possible, ces mecs là jouent à donf la comédie ; ils nous cachent un truc énorme derrière leurs pseudo civilités ; ils nous préparent un tour de cochon genre maousse costaud ; bref, il est plus que temps de nuker définitivement les Japs.

Mais c'est exactement ça : tout n'est qu'apparences. Je l'expliquais dans le topic de l'alcolothnographie : tatemae et honne.

 

Même si les types ne peuvent pas te sentir, ils se comporteront toujours avec la plus grande sympathie à ton égard, car c'est la meilleure façon de vivre paisiblement. Les rancœurs personnelles doivent rester privées, et tout doit être fait pour garantir les meilleurs rapports au sein du groupe.

Mais je te rassure : pas la peine de sortir les nukes. Ils ne font pas ça en mal, au contraire.

A moins que tu ne voulais faire d'une pierre deux coups en profitant du fait que je vive là-bas pour m'atomiser au passage ? Je ne mérite pas autant d'honneurs...

Lien vers le commentaire

Je précise : mon message n'a pas vocation à nier certaines réalités. Je me suis déjà fait emmerder aussi ou vu des gens se faire emmerder la nuit. Mais bon, de là à dire qu'on sera mieux à vivre en Australie, je dis "arrêtez vos conneries". C'est pas pour des soirées un peu compliquées qu'on va tout lâcher du jour au lendemain, y compris tout le positif.

C'était la minute émotion.

 

Je n'ai pas dit ça non plus. Il me semble avoir commencé mon premier message en appelant à relativiser à parvenir à se dire que ça peut arriver n'importe où et à n'importe qui. C'est juste qu'à certains moments, on peut avoir plus d'emmerdes qu'à d'autres, trouver que ça fait beaucoup et en arriver au raisonnement qui se conclut par "c'est parce que je vis dans ce pays géré n'importe comment". Il faut bien admettre Johnnieboy n'a vraiment pas eu de chances ces derniers temps et que son raisonnement peut se comprendre.

Lien vers le commentaire

Pardon, excusez moi, mais je ne vois pas le rapport avec le capitalisme. Mais alors vraiment pas :jesaispo:

Avec la démocratie, je vois par contre.

 

Je traduis ce passage (excusez moi par avance je ne suis pas critique littéraire) par tu es pauvre mais soit heureux tu es français.

Deuxièmement rien n'est gratuit contrairement à ce qu'il écrit.

Lien vers le commentaire

Je n'ai pas dit ça non plus. Il me semble avoir commencé mon premier message en appelant à relativiser à parvenir à se dire que ça peut arriver n'importe où et à n'importe qui. C'est juste qu'à certains moments, on peut avoir plus d'emmerdes qu'à d'autres, trouver que ça fait beaucoup et en arriver au raisonnement qui se conclut par "c'est parce que je vis dans ce pays géré n'importe comment". Il faut bien admettre Johnnieboy n'a vraiment pas eu de chances ces derniers temps et que son raisonnement peut se comprendre.

J'ai rajouté un édit à mon message pour dire que mes reproches ne t'étaient pas adressés, j'ai été trop lente.

Si je t'ai citée, c'était justement pour attirer ton attention sur le fait que je ne voulais pas non plus nier les réalités que tu citais ou les emmerdes de johnnieboy.

Lien vers le commentaire

Plutôt rarement ? De mon côté, ce n'est pas du tout ce que je ressens. Je passe rarement une soirée sur les grandes villes françaises sans qu'il n'y ait bisbille pour des conneries. Tu as toujours un casse-couille pour venir essayer de draguer tes amies en mode bulldozer, une outre à alcool qui a décidé qu'il n'aimait pas ta face, une racaille qui confond demander une cigarette et insulter ta mère, une bande de gamins qui viennent essayer de faire les poches...

Et quand t'es à la campagne, t'as le droit au groupe de kékés du village d'à côté qui viennent taper l'incruste dans les soirées pour essayer de mettre le souk et aux vieux pochtrons à moitié tarés qui viennent te les briser pour un rien.

Quand c'est pas les flics. Eux aussi, pour te faire chier pendant les soirées, ils sont champions.

Alors pour sûr, ça ne finit pas en distribution de torgnoles tous les soirs non plus, mais les soirées où tout se déroule dans le calme et la bonne humeur sont rares. Par rapport à ce qu'il se passe ailleurs dans le monde, la France fait clairement pitié de ce côté-là.

Parce que même s'il y a embrouille assez régulièrement aussi dans les autres pays européens, ça n'a pas ce côté quasi-systématique comme en France.

A part le coup des cigarettes qui m'arrive systématiquement, le reste c'est l'exception plutôt que la règle.

En fait, ce que tu dis rejoint les propos de certains de mes amis, mais j'ai toujours du mal à le voir. Déjà par ma corpulence maigrichonne, et d'autant plus quand j'ai ma coupe de cheveux à la Laurent Voulzy, je dois dire que je ne fais pas bien peur. Puis, j'ai tout de même eu une vie nocturne bien chargée (à plus forte raisons en comparaison de la leur), et par rapport à ce que me racontent ces quelques personnes je me demande si je suis particulièrement chanceux ou si c'est eux les poissards.

Lien vers le commentaire

Je traduis ce passage (excusez moi par avance je ne suis pas critique littéraire) par tu es pauvre mais soit heureux tu es français.

Deuxièmement rien n'est gratuit contrairement à ce qu'il écrit.

Ah si, le don de la vie que te font tes parents et le don de la tradition, de l'histoire, de la culture, que tu reçois en naissant en France, ça n'est pas toi qui l'a payé. Ça t'est donné à ta naissance. Par contre effectivement ça ne survivra pas gratuitement, et ça n'a pas été constitué gratuitement

C'est d'ailleurs tout le sens du "sois heureux d'étre français". Être français, c'est aussi avoir une tradition philosophique et économique riche qui te permet de comprendre le raisonnement libéral, avoir une langue subtile et précise qui te permet de concevoir et exprimer facilement tes critiques, avoir une histoire commune et une culture qui te donnent des ressources pour sortir le pays de l'ornière et avoir de l'avance sur tout un tas de technologies (scientifiques, énergétiques) qui pourraient te permettre d'être riche si tu le voulais.

Tu auras du mal à nier qu'il vaut mieux naître pauvre en France que de naître pauvre au Congo ou en Chine actuellement.

Lien vers le commentaire

Qu'on se comprenne, je n'ai pas dit que la France, c'était Bogota. Et à vrai dire, sortir seul ne m'a jamais posé de problèmes car je sais éviter les embrouilles (je cours vite, je suis conciliant et je sais me montrer ferme quand il faut se faire respecter pour ne pas passer pour une proie facile). Mais sortir accompagné d'une ou plusieurs filles en étant le seul mec est éprouvant et anxiogène. Et cela est tout simplement anormal dans une ville d'un pays civilisé. Alors, oui, c'est pas Bogota ou Mogadiscio mais il existe dans les grandes villes de France un climat désagréable et plutôt que de se comparer avec le bas, on devrait avoir honte de notre médiocrité.

Moi, je veux retourner vivre à Tokyo et passer des soirées comme celles de Filthy John. Parce que là, je ressens une telle accumulation de stress, d'anxiété et de ras-le-bol, d'impuissance, de dégoût face aux petites incivilités autour de moi que j'ai l'impression que le prochain qui va trop appuyer sur mes boutons, ça va finir en drame. (Comme ces petits cons qui ont insulté de "grosse pute" une fille dans le métro parce qu'elle portait un maillot du PSG).

Mais, en tout cas, je vous remercie de vos messages. J'ai pas l'habitude de geindre mais ça fait du bien de cracher son fiel de temps en temps.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...