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Le Libertarianisme Est Irréalisable Sinon Il Existerait Déjà


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On connaît tous cette théorie

 

 

C'est le contraire. C'est parce que l'Etat s'en est mêlé que ça a ruiné les solidarités habituelles.

 

Je pense que ce qui a aussi joué c'est le développement des grandes villes lié à l'industrialisation, qui a dégagé les gens de la campagne affamés qu'ils était d'aller dans les grandes villes pour essayer de gagner plus d'argent. Il est vrai aussi, il me semble, que nous sommes dans des sociétés où le monde du travail exclu certaines personnes, qui n'arrivent pas à la supporter, à la démarrer même puisque la personne est dans la rue.

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 Il est vrai aussi, il me semble, que nous sommes dans des sociétés où le monde du travail exclu certaines personnes, qui n'arrivent pas à la supporter, à la démarrer même puisque la personne est dans la rue.

 

Ce n'est pas le monde du travail qui exclut certaines personnes mais les régulations étatiques (code du travail excessif, smic) qui empêchent certaines personnes d'accéder au monde du travail et à la socialisation qui va avec.

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Je pense que ce qui a aussi joué c'est le développement des grandes villes lié à l'industrialisation, qui a dégagé les gens de la campagne affamés qu'ils était d'aller dans les grandes villes pour essayer de gagner plus d'argent. Il est vrai aussi, il me semble, que nous sommes dans des sociétés où le monde du travail exclu certaines personnes, qui n'arrivent pas à la supporter, à la démarrer même puisque la personne est dans la rue.

C'est pas le monde du travail qui exclut. C'est l'Etat.

La mesure la plus excluante, c'est le SMIC. Si tu peux pas produire un SMIC chargé + une plus-value suffisante pour justifier le risque d'un CDI, tu es exclus du marché du travail. Et comme tu es exclus, tu ne peux pas y acquérir des compétences qui te permettraient ensuite de produire plus de richesse, et donc d'obtenir un meilleur salaire.

Ce n'est qu'une des multiples trappes à pauvreté qui existent.

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Je pense que ce qui a aussi joué c'est le développement des grandes villes lié à l'industrialisation, qui a dégagé les gens de la campagne affamés qu'ils était d'aller dans les grandes villes pour essayer de gagner plus d'argent. Il est vrai aussi, il me semble, que nous sommes dans des sociétés où le monde du travail exclu certaines personnes, qui n'arrivent pas à la supporter, à la démarrer même puisque la personne est dans la rue.

 

Au début de l'industrialisation les solidarités traditionnelles se sont modifiées mais elles ne se sont pas éteintes, seulement adaptées à leur milieu. En Allemagne, les ouvriers socialistes avaient ouverts des bibliothèques, des coopératives marchandes et avaient créés une vraie contre-société tournant autour du mode de vie ouvrier; en France, les ouvriers ont fait des caisses de secours mutuels précisément parce que l'Etat ne s'en occupait pas. Caisses de secours que l'Etat à ensuite réquisitionné à son profit et fait désormais croire que c'est son invention, sous le terme Sécurité Sociale.

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C'est pas le monde du travail qui exclut. C'est l'Etat.

La mesure la plus excluante, c'est le SMIC. Si tu peux pas produire un SMIC chargé + une plus-value suffisante pour justifier le risque d'un CDI, tu es exclus du marché du travail. Et comme tu es exclus, tu ne peux pas y acquérir des compétences qui te permettraient ensuite de produire plus de richesse, et donc d'obtenir un meilleur salaire.

Ce n'est qu'une des multiples trappes à pauvreté qui existent.

 

Je pense que la discussion autour du SMIC et de son implication dans les difficultés pour l'employeur d'embaucher est pertinente. D'une manière large, est posé la question des incitations que l'Etat crée par ses normes. Je pense que pour des personnes qui sont relativement proche du marché du travail, des calculs stratégiques peuvent exister pour ne pas reprendre un travail. Et là le système ne fonctionne pas bien.

 

Une grande partie des individus sont également très éloignés du marché du travail. Pour ceux là, ce n'est pas l'Etat qui crée leur dépendance mais au contraire leur propre fragilités et handicapes qui les empêchent d'acceder au travail et donc à la liberté. 

 

Ceci rejoint quelque peu la théorie de la dualité du marché du travail, à savoir qu'il existe une partie de la population sur laquelle l'Etat peut crée des conditions, des incitations vers plus d'autonomie et une autre qui de toute manière est dépendante et a besoin de la collectivité pour survire.

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Une grande partie des individus sont également très éloignés du marché du travail. Pour ceux là, ce n'est pas l'Etat qui crée leur dépendance mais au contraire leur propre fragilités et handicapes qui les empêchent d'acceder au travail et donc à la liberté. 

Ceci rejoint quelque peu la théorie de la dualité du marché du travail, à savoir qu'il existe une partie de la population sur laquelle l'Etat peut crée des conditions, des incitations vers plus d'autonomie et une autre qui de toute manière est dépendante et a besoin de la collectivité pour survire.

 

J'avais un vieil ami apiculteur illettré.

Il s'en sortait néanmoins.

... Du moins jusqu'à ce que l'état exige un monceau de papier pour son activité.

D'actif, il est devenu assisté.

C'est l'état qui la délibérément poussé hors du statut d'actif. Lui n'avait pas changé.

 

Son exemple est 1 parmi des dizaines de milliers.

La "théorie" dont vous parlez est une idéologie (à la mord moi le ...).

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J'avais un vieil ami apiculteur illettré.

Il s'en sortait néanmoins.

... Du moins jusqu'à ce que l'état exige un monceau de papier pour son activité.

D'actif, il est devenu assisté.

C'est l'état qui la délibérément poussé hors du statut d'actif. Lui n'avait pas changé.

 

Son exemple est 1 parmi des dizaines de milliers.

La "théorie" dont vous parlez est une idéologie (à la mord moi le ...).

 

Je pense que l'Etat est responsable de beaucoup de maux, "L'enfer est pavé de bonnes intentions" lui correspond assez. Je suppose que la France doit se reformer. Dans ce sens je suis plus pour la reforme et non la révolution. Il me semble que l'éducation nationale doit se reformer en arrêtant cette politique 68 arde consistant à vouloir amener tous les élevés au bac. Il faut au contraire miser sur l'apprentissage dès 14 ans.  Il faut alléger les charges administratives pour faciliter la création des initiatives privés...bref reformer la république toute en gardant son esprit de tolérance, d'ouverture des frontieraires...et bien sur légaliser le cannabis. :mrgreen:

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J'aime quand le plan d'avenir de la jeunesse c'est l'apprentissage. Ca en dit long sur l'état du pays. Ne pourrait-on pas simplement autoriser vraiment les mineurs à de bosser ?

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J'aime quand le plan d'avenir de la jeunesse c'est l'apprentissage.

 

c'est mieux que rien, l'apprentissage c'etait l'horreur sale pour les gogols jusqu'a il y a pas si longtemps...comment c'est maintenant d'ailleurs a ce niveau dans les ecoles ?

 

 

 

 

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:rolleyes:...il me semble que le but des travailleurs sociaux, et des aides sociales, ce n'est pas de créer de da dépendance, mais d'accompagner les personnes vers plus d'autonomie et d'indépendance. 

 

Le problème est que beaucoup de personnes n'arrivent pas à travailler, à se débrouiller pour s'en sortir. Il me semble que la philosophie qui est derrière le travail social et les aides sociales est de reconnaitre la fragilité humaine et donc proposer une béquille en cas de coup dur. Avec l'éclatement des solidarités traditionnelles basées sur l'aide familiale, les missions d'aide et d'accompagnement de la dépendance a de plus en plus été confié à l'Etat, et donc financé par l'impôt.

 

La notion même de "travailleur social" devrait faire vomir d'horreur ou bondir de rage tout humaniste cohérent.

La vtrai solidarité ne peut pas être professionalisée, ne peut pas rémunérée, ne peut pas être standardisée, ne peut pas être alimentée par des contributions forcées.

L'éclatement des solidarités traditionnelles est bien un des effets secondaires de l'étatisation croissante des pays industrialisés, et un des effets les plus dangereux et destructeurs.

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Je pense que la discussion autour du SMIC et de son implication dans les difficultés pour l'employeur d'embaucher est pertinente. D'une manière large, est posé la question des incitations que l'Etat crée par ses normes. Je pense que pour des personnes qui sont relativement proche du marché du travail, des calculs stratégiques peuvent exister pour ne pas reprendre un travail. Et là le système ne fonctionne pas bien.

 

Une grande partie des individus sont également très éloignés du marché du travail. Pour ceux là, ce n'est pas l'Etat qui crée leur dépendance mais au contraire leur propre fragilités et handicapes qui les empêchent d'acceder au travail et donc à la liberté. 

 

Ceci rejoint quelque peu la théorie de la dualité du marché du travail, à savoir qu'il existe une partie de la population sur laquelle l'Etat peut crée des conditions, des incitations vers plus d'autonomie et une autre qui de toute manière est dépendante et a besoin de la collectivité pour survire.

Non.

Les gens qui ont vraiment besoin d'aide pour survivre sont une extrême minorité. Sans la surcharge des taxes et des réglementations, il faut vraiment très peu pour produire de quoi survivre dans une économie moderne.

Les 0,01% de la population qui ne peuvent vraiment pas travailler seront mieux aidés par la charité privée (et de proximité, à commencer par leur propre famille) que par un Etat qui ne peut que déshabiller Pierre pour habiller Paul.

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En même temps j'ai bien l'impression que ce sont toujours les plus marginaux dans leur façon d'être qui ont le moins de mal à exprimer des idées "jusqu'au-boutistes".

Si on honnête homme au dress code impeccable essaye de dire la même chose il y mettra de grosses nuances et essaiera de jouer du sophisme de juste milieu. Et son auditoire ne le prendra de toute manière pas au sérieux.

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Aussi, mais c'est pas tellement un problème de trouver des gens comme ça, on en a plein, c'est juste que le milieu est trop imbibé de sociamisme.

Ah, si, il y a aussi le fait que les libertariens sont plus intelligents qie la moyenne, du coupnils essayent d'utiliser des arguments et des syllogismes pour convaincre alors que c'est contre productif quand on esssaye de propager une ideologie.

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Ce n'est pas le monde du travail qui exclut certaines personnes mais les régulations étatiques (code du travail excessif, smic) qui empêchent certaines personnes d'accéder au monde du travail et à la socialisation qui va avec.

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Il joue probablement sur les mots. Au pifomètre, je dirais qu'il doit y'avoir 675 pages de lois, et le reste ce sont des décrets ou des machins comme ça qui ne sont pas des lois mais c'est pareil.

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Il joue probablement sur les mots. Au pifomètre, je dirais qu'il doit y'avoir 675 pages de lois, et le reste ce sont des décrets ou des machins comme ça qui ne sont pas des lois mais c'est pareil.

 

Non c'est les explications et la jurisprudence, faut dire que les 675 pages de textes de loi sont tellement bordéliques qu'il en faut 3000 de plus pour expliquer un peu comment ça fonctionne.

 

Bref, c'est fallacieux de dire qu'il n'y a que 675 pages de code du travail – s'il n'y avait que ça dans le Dalloz, personne n'arriverait à comprendre comment l'appliquer.

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Oui, à ce titre la pour économiser en page on pourrait créer des mots à deux ou trois lettres max. Ça serait sympa, on pourrait tout écrire sur 200 pages, c'est donc une évidente simplification du code du travail voyons.

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La notion même de "travailleur social" devrait faire vomir d'horreur ou bondir de rage tout humaniste cohérent.

La vtrai solidarité ne peut pas être professionalisée, ne peut pas rémunérée, ne peut pas être standardisée, ne peut pas être alimentée par des contributions forcées.

L'éclatement des solidarités traditionnelles est bien un des effets secondaires de l'étatisation croissante des pays industrialisés, et un des effets les plus dangereux et destructeurs.

 

Effectivement les premiers travailleurs sociaux étaient des bénévoles, Néanmoins, à partir de la fin de la WW2 la demande de la prise en charge de la dépendance, et particulièrement celle de l'adolescence, a grossi à tel point que l'Etat, à travers sa modelé "providence", s'est retrouvé dans l'obligation d'ouvrir des centres d'accueil. De là, petit à petit, le métier du travailleur social s'est professionnalisé car on a estimé que prendre en charge des autistes lourds, des schyzo, l'adolescence inadapté, la misère de la rue...nécessitait une formation et une rémunération. 

 

Maintenant cette prise en charge doit-elle être alimentée par des contributions forcées? Je pense que oui...au moins mes impôts servent à ça. Je dois dire que travaillant dans le social, les conditions matérielles sont relativement bonnes, sauf pour certains lieux comme l'hôpital Charcot qui ressemble plus à un vieux goulag soviétique. Il y a des abus aussi, par exemple une mère qui veut toucher son allocation d'entrée scolaire alors que son môme est placé à l'aide social à l'enfance (c'est peanuts mais bon...). 

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Maintenant cette prise en charge doit-elle être alimentée par des contributions forcées? Je pense que oui...au moins mes impôts servent à ça. Je dois dire que travaillant dans le social, les conditions matérielles sont relativement bonnes,.

Ah comme ça c'est clair, c'est franc. Moi non plus ça ne me dérangerait pas que des contributions forcées me permettent d'avoir des revenus.

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Ça devrait, pourtant.

 

 

Logique implacable: L'impôt est un vol et donc être payé par le vol ferait de l'agent de l'Etat un profiteur du "vol"...donc un criminel. Ehhh oui c'est le fonctionnaire qui est à l'origine de nos maux (surtout le petit prof pépére de province :yang:).

 

 

:sorcerer::jesors:

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