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Sarkozy, la défaite du ravioli francais


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Je dois avouer avoir du mal à comprendre pourquoi Les Républicains sont sensés etre fréquentables avec Morano dans leurs rangs alors que le RBM est issu du ventre fécond de la bète immonde.

 

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Je dois avouer avoir du mal à comprendre pourquoi Les Républicains sont sensés etre fréquentables avec Morano dans leurs rangs alors que le RBM est issu du ventre fécond de la bète immonde.

C'est que les socialistes de l'UMP ne font que parler d'immigration sans jamais rien faire contre dans les faits. Pour beaucoup d'immigrés, la réalité a même été inverse pendant le mandat de Sarko... Comme quoi c'est du grand n'importe quoi...

Il est donc supposé que comme 90% du discours de Le Pen et cie tourne autour de ça, s'ils étaient au pouvoir, ils iraient plus forts là dessus.

J'imagine. Fille du mec qui est responsable des sorties sur les chambres à gaz toussa... Dérapages plus que moyens et bien plus relous que ceux de Morano par les locaux du FN. Ca reste un cran en dessus dans ce domaine. Puis la base électorale, c'est pas juste des gens qui veulent pas voter socialiste comme à l'ump, c'est beaucoup de gens qui veulent pas des nouarabes.

Après on peut en penser ce qu'on veut. Moi j'en mets pas un pour remplacer l'autre...

 

Il faut garder le même détachement critique envers toutes les formations politiques ama.

Oui, c'est sûr.

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Finalement un peu plus de précisions sur son blog:

 

Je veux rester fidèle à ma famille politique et à mes convictions

 

À la suite de la polémique suscitée par mes propos concernant le Front National, je tenais à clarifier ma position, notamment vis-à-vis de tous les électeurs qui m’ont fait confiance. Je n’ai jamais prétendu, comme cela m’est prêté, que je serais amené à soutenir sa candidate en 2017. J’ai simplement affirmé que je n’hésiterais pas une seconde à soutenir celui ou celle qui reprendrait mes propositions, quelle que soit son étiquette partisane. Ce n’est pas le cas du programme du FN, loin de là, je tiens à être clair sur ce point.

 

Je n’ai pas une approche morale du FN, je ne considère pas qu’il s’agit d’un parti antirépublicain qu’il faut stigmatiser ou pourfendre par principe alors qu’il représente un quart des électeurs français. Il doit être analysé rationnellement à partir de son programme.

 

Mais des divergences majeures nous séparent.

 

Fondamentalement, on ne résoudra pas la crise identitaire de notre pays en s’enfermant dans une logique de confrontation qui pourrait nous conduire à la guerre civile. Je pense, tout au contraire, qu’il faut faire aimer la France aux populations nouvellement arrivées, les accueillir généreusement tout en fixant des principes clairs quant au respect de nos traditions.

 

D’un point de vue économique, je ne peux cautionner le retour aux droits de douane qui serait un coup d’arrêt mortel aux échanges internationaux et l’instauration d’un impôt progressif unique sur le patrimoine -alors que je milite pour la suppression de l’ISF et l’instauration d’une flat tax. De même, je considère comme une absurdité le retour à 40 annuités de cotisation pour pouvoir bénéficier d’une retraite à taux plein alors que nous vivons plus longtemps et savons que nous devons travailler plus. Tout comme je refuse de sanctuariser les participations publiques de l’État dans les grandes entreprises de service public. Par ailleurs, même si je considère intenable sur le long terme le maintien de la Grèce dans la zone euro, je me vois mal soutenir le gouvernement d’Alexis Tsipras et le programme économique de son parti d’extrême gauche. Enfin, je me considère pleinement européen même si je déplore la tournure actuelle prise par la construction européenne.

 

Ne pas soutenir le FN ne m’interdit pas d’appeler ma famille politique à traiter les grands problèmes de fonds.

 

Il y a aujourd’hui un défi identitaire majeur qui prend la forme d’un grand bouleversement démographique conduisant, par certains endroits, la culture française à devenir minoritaire sur son propre territoire. Ce multiculturalisme porte en lui les germes d’un possible éclatement de notre nation. Le courage d’un homme politique consiste à ne pas fuir la réalité. Il faut ajouter à cela un défi culturel majeur lié à la rupture de transmission de la culture française à l’école et dans la société, provoquant un déracinement des Français.

 

J’aimerais que ma famille politique prenne en considération ces nouvelles problématiques et ne manque pas son rendez-vous avec l’histoire. J’aimerais qu’elle puisse porter des propositions courageuses qui renversent l’hégémonie culturelle de la gauche en lui déniant tout monopole du sens de l’histoire : abrogation de la loi Taubira, suppression du caractère automatique du droit du sol, possibilité de déroger aux accords de Schengen, instauration d’un chèque scolaire qui laisse aux parents la liberté du mode de scolarisation de leurs enfants, inscription des racines chrétiennes de la France dans la Constitution, refonte totale de notre fiscalité par l’abandon de l’impôt progressif, instauration d’une TVA sociale qui finance une partie de la protection sociale sur nos importations et plus grande flexibilité donnée au marché du travail.

 

Comme je l’affirmais mercredi au Figaro, c’est avec ma famille politique que je veux évidemment travailler et je suis confiant dans le processus démocratique des Primaires qui débouchera sur la désignation d’un candidat derrière lequel je me rangerai naturellement. Il ne doit ni ne peut y avoir aucune ambiguïté sur ce point.

 

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  • 3 weeks later...

 

Il n’a pas pu se résoudre à exclure celui avec qui il a fait ses premiers pas. Louis Aliot, vice-président du Front national et compagnon de Marine Le Pen, a révélé qu’il avait choisi de se prononcer contre l’exclusion de Jean-Marie Le Pen. « Je suis rentré en politique avec lui. Je me voyais mal voter son exclusion. Ça n’a rien à voir avec une suspension », a-t-il expliqué au Lab d’Europe 1.

Il n’a pas pu se résoudre à exclure celui avec qui il a fait ses premiers pas. Louis Aliot, vice-président du Front national et compagnon de Marine Le Pen, a révélé qu’il avait choisi de se prononcer contre l’exclusion de Jean-Marie Le Pen. « Je suis rentré en politique avec lui. Je me voyais mal voter son exclusion. Ça n’a rien à voir avec une suspension », a-t-il expliqué au Lab d’Europe 1.

VIDEO. Crise au FN : La guerre entre les Le Pen ne fait que commencer

Sur la même ligne que Marion Maréchal-Le Pen

Louis Aliot reconnaît que Jean-Marie Le Pen est allé trop loin mais il estime « qu’il y a beaucoup de choses à mettre à son crédit, comme le fait qu’il ait démissionné de l’Assemblée nationale pour aller combattre en Algérie ». Le chef de file du FN aux élections régionales pour la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées avait déjà signalé sa solidarité envers le patriarche en mai dernier : « Je tiens compte du travail effectué, de tout ce qu’il a apporté au Front national. La vie de Jean-Marie Le Pen s’est faite au service de son pays », plaidait-il sur RMC.

Louis Aliot rejoint ainsi Marion Maréchal-Le Pen, nièce de Marine, dans son soutien à Jean-Marie Le Pen. La députée du Vaucluse, interrogée par La Provence, a déclaré ce samedi : « J’étais contre l’exclusion de mon grand-père. J’en ai parlé longuement avec Marine. C’est s’ouvrir la porte à de nouveaux ennuis. J’aurais préféré un temps mort. » Le congrès du FN, les 5 et 6 septembre prochains à Marseille, s’annonce houleux.

 

Le FN toujours aussi uni ...

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Les Républicains: Nadine Morano candidate à la primaire pour 2017

Une de plus. Nadine Morano a annoncé vendredi matin sur RMC qu'elle se présentera à la primaire pour désigner le candidat de la droite et du centre pour la présidentielle de 2017. "Je serai candidate dans ce dispositif", a déclaré officiellement la députée européenne.

Interrogée par Jean-Jacques Bourdin sur la question des migrants, Nadine Morano a assuré qu'elle comptait bien défendre ses positions sur la question des migrants alors que son parti apparaît dispersé sur les solutions à apporter à cette crise humanitaire. "Oui je ferai entendre ma voix, a-t-elle insisté. Je l'ai dit, je l'ai confirmé sur RTL".

"Pourquoi pas moi?"

La candidature à la primaire de la droite de l'ancienne ministre sous la présidence de Nicolas Sarkozy a déjà été évoquée à plusieurs reprises. Dernier épisode en date: une interview accordée au Parisien. "Qu'est-ce qui m'interdirait de servir mon pays?", interrogeait-elle dans les colonnes du quotidien. "Pourquoi pas moi?", poursuivait-elle.

Au lendemain de cette déclaration, l'eurodéputée avait à nouveau laissé entendre qu'elle pourrait participer au scrutin pour désigner le candidat de la droite pour la présidentielle de 2017. "Je n'y pense pas que les matins en me maquillant parce que c'est une préoccupation de la journée", se défendait Nadine Morano sur RTL.

http://www.bfmtv.com//politique/les-republicains-nadine-morano-candidate-a-la-primaire-912123.html

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On est tous conscient ici qu'elle n'a aucune chance de gagner une primaire mais qu'elle va tenter de monnayer ses voix (si elle a un score correct) contre un "gros" ministère ou un bon poste en cas de victoire de la droite. Mais même ça, ça me paraît trop ambitieux pour elle vu son niveau.

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Je présente mes plus plates excuses aux personnes que ce post redondant aurait pu offenser. J'ai pas assez de RTT pour suivre tous les fils de Liborg :(

 

Mais Morano mérite bien qu'on lui fasse quelque publicité. Nadine, donnez lui la Gaule !

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Je présente mes plus plates excuses aux personnes que ce post redondant aurait pu offenser. J'ai pas assez de RTT pour suivre tous les fils de Liborg :(

 

Mais Morano mérite bien qu'on lui fasse quelque publicité. Nadine, donnez lui la Gaule !

Tout le fil non, les derniers messages c'est pas si mal :D

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Jean-François Copé : "Je peux être élu à la présidence de la République"
L'ancien chef de l'UMP croit dur comme faire à son retour en politique et pense se présenter aux primaires à droite "pour la France".

Il avait presque disparu des écrans radars. S'il est encore actif sur son blog et a donné une interview à Valeurs Actuelles en juillet dernier, Jean-François Copé est resté très discret dans les médias depuis son départ de la présidence UMP en mai dernier, éclaboussé par l'affaire Bygmalion. Mais il est de retour cette semaine dans les colonnes du Point (article payant), et pas qu'un peu. L'ancien chef de l'opposition y fait savoir qu'il entend se faire élire en 2017. Il serait en campagne pour les primaires ouvertes à droite, déjà en train de parcourir les routes de France. 

"Je peux être élu à la présidence de la République. Je dois me préparer à la primaire de la droite et du centre. Si les circonstances le permettent, il faut que je sois prêt", a-t-il déclaré avant de s'en persuader : "Je me dis : 'Tu fais ça pour la France ! Donc tu dois continuer, c'est ton devoir !'" Jean-François Copé ne doute de rien. 

Et d'après nos confrères, ses proches en sont conscients. Il serait "dans le déni" pour Brice Hortefeux, quand Charles Beigbeder raconte ne pas oser parler politique avec son "ami" pour ne pas avoir à lui dire : "Arrête, tu rêves". Alors qu'un "présidentiable à droite", comme le qualifie Le Point, affirme : "Il ira à la primaire avec un mélange de déni et de calcul. Entre ne pas y aller et faire un mauvais score, il se dit qu'il vaut mieux y aller. Et il ne pense même pas faire un mauvais score !".

Avec les annonces récentes de Nadine MoranoNathalie Kosciusko-Morizet qui pensent fortement à leur candidature, l'attente de l'officialisation de celle de Bruno Le Maire et la présence certaine d'Alain Juppé, François Fillon et Nicolas Sarkozy, il risque d'y avoir bousculade pour la place de candidat à la Présidentielle 2017 dans les rangs des Républicains. Mais l'actuel chef, Nicolas Sarkozy, a prévenu ses camarades sur son mur Facebook les invitants à ne pas être "obsédés trop tôt" par la primaire.

http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-francois-cope-je-peux-etre-elu-a-la-presidence-de-la-republique-7779605103

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