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Ben si vous voulez mais en retirant la mort violente de l'espérance de vie vous biaisez l'indicateur dans un autre sens.

 

'fin bon j'veux bien qu'on me sorte des indicateurs du style "espérance de vie en bonne santé" ou "espérance de vie hors mort violente" mais bon, si vous ne précisez pas, on garde toutes morts confondues.

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J'ai des données de mortalité l'OMS de 2008 par type de mortalité, qui doivent avoir l'avantage d'être un peu standardisées à l'échelle des pays, et le taux de mortalité US est plus important que le taux de mortalité japonais, que ce soit le taux total ou le taux de mort par "Injuries". Par exemple, pour les +60 ans, j'ai 3.6% de mortalité sans "injuries" pour les US contre 2.6% au Japon (et 3.1% en France).

 

Peut-être que l'étude était vraie dans les années 90, mais aujourd'hui, ça me parait pas bon.

 

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Une image intéressante (mais non sourcée :( ):

 

bcUh0qP.png

 

Ca a l'air de venir de cette source:

 

http://www.arnoldkling.com/blog/judging-the-health-care-olympics/

 

Mais le lien vers l'AEI renvoie dans rien.

 

Je ne comprend pas pourquoi quand on enlève les blessures fatales, l'espérence de vie diminue :o J'ai peut-être pas compris le truc

 

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  • 2 weeks later...

Dépistage du cancer colorectal : des milliers de tests perdus

 

 

C'est un gâchis sans précédent en santé publique. Environ 11.000 Français ont effectué cette année un test de dépistage du cancer colorectal qui ne sera jamais interprété. Non qu'ils aient mal effectué les six prélèvements de selles sur trois selles successives, comme indiqué dans la procédure du test au gaïac (Hemoccult II). Ils n'auront jamais leurs résultats car leur prélèvement a été détruit sur instruction du ministère de la Santé dans la mesure où seul un nouveau test attendu en mai doit désormais être utilisé.

Pourquoi? Tout simplement parce qu'ils ont renvoyé leur test après le 31 janvier 2015. Or la Direction générale de la santé a adressé aux agences régionales de santé, le 30 décembre 2014, une instruction (DGS/MC3/2014/373) dans laquelle il est précisé: «Pour assurer au mieux la période de transition entre les deux types de tests, il convient d'organiser l'arrêt de la distribution des tests au gaïac et d'informer les parties prenantes au programme que la lecture de ces derniers sera possible jusqu'au 31 janvier 2015.»

 

2012-12-21-Sagesse.jpg

 

Gâchis politique enfin pour Marisol Touraine, première des ministres de la Santé à devoir assumer un mois de «mars bleu», consacré au dépistage du cancer colorectal, sans qu'aucun dépistage ne soit possible en France.

 

Ma-gique.

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Quel est le risque pour quelqu'un atteint d'un cancer du colon qui se dépisté plus tard ? Incroyable que le journaliste ne s'inquiète uniquement que de l'événement organisé par le ministère (le mois bleu).

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J'ai entendu ce matin un représentant des médecins generalistes libéraux, Jean-Paul Hamon, qui accuse le gouvernement de mentir car selon des études de l'INSEE il n'y a que 1,2% de personnes qui renonceraient à consulter, au motif qu'elles ne peuvent pas faire l'avance de 23 euros. .

Le  Gouvernement utilise des statistiques concernant le renoncement aux lunettes et aux prothèses dentaires  pour gonfler ses chiffres de "pauvres qui ne peuvent accéder aux soins" et enfume le débat car ces deux prestations, de toute manière,  ne sont quasiment pas remboursées par la sécu !

Pr ailleurs, ce représentant des libéraux indique qu'en dépenses hospitalières, comparativement à l'Allemagne , on dépense 25 milliards d'euros de plus qu'eux !

Pourquoi la sécu et le gouvernement renoncent à faire des économies sur l'hopital ?

 

 

 

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Pourquoi la sécu et le gouvernement renoncent à faire des économies sur l'hopital ?

Faut bien comprendre que tout ce qu'on appelle gaspillage ne tombe pas dans un trou noir perdu pour tout le monde.

C'est toujours exactement l'inverse.

A chaque fuite des tuyaux de l'usine à gaz, il y a une sébile en dessous qui récolte le précieux liquide.

La fuite peut être grosse.

La sébile est toujours celle d'un ami, d'un parent, d'un affidé.

Boucher une fuite, c'est perdre un ami.

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La première cause de renonciation aux soins est l'absence de médecin. Quand il faut attendre 3 mois, tu renonces.

Oh oui, et là c'est un bon angle d'attaque pour faire sauter le numerus clausus.

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Oh oui, et là c'est un bon angle d'attaque pour faire sauter le numerus clausus.

 

Cela parait évident mais ce n'est pas si simple. Dans tous les cas, cela n'est absolument pas synonyme de libéralisation car le système de formation dépend des facultés de médecine.

La formation pratique nécessite l'accueil des étudiants à l'hôpital, la formation théorique nécessite la formation d'enseignants.

Ouvrir le robinet d'un côté sans se préoccuper de ce qui se passe à l'autre bout du tuyau, c'est de la mauvaise gestion pas du libéralisme.

Ne pas oublier non plus que le numérus clausus n'est pas seulement un outil de régulation étatique du nombre total de médecins, mais il permet aussi de sélectionner les étudiants et donc de maintenir un certain niveau d'excellence au même titre que le font les grandes écoles par le système des concours. On voit là aussi que sa suppression entraînerait de fait une baisse du niveau général comme on peut l'observer dans les filières universitaires dénuées de processus de sélection.

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Cela parait évident mais ce n'est pas si simple. Dans tous les cas, cela n'est absolument pas synonyme de libéralisation car le système de formation dépend des facultés de médecine.

La formation pratique nécessite l'accueil des étudiants à l'hôpital, la formation théorique nécessite la formation d'enseignants.

Ouvrir le robinet d'un côté sans se préoccuper de ce qui se passe à l'autre bout du tuyau, c'est de la mauvaise gestion pas du libéralisme.

Ne pas oublier non plus que le numérus clausus n'est pas seulement un outil de régulation étatique du nombre total de médecins, mais il permet aussi de sélectionner les étudiants et donc de maintenir un certain niveau d'excellence au même titre que le font les grandes écoles par le système des concours. On voit là aussi que sa suppression entraînerait de fait une baisse du niveau général comme on peut l'observer dans les filières universitaires dénuées de processus de sélection.

Les facs de médecines aimeraient faire passer plus d'étudiants à ce que je me laisse dire.

 

Sinon le nombre de places possibles est forcément contraint par les capacités d'accueil des établissements.

Laissons ces derniers gérer leurs locaux.

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Cela parait évident mais ce n'est pas si simple. Dans tous les cas, cela n'est absolument pas synonyme de libéralisation car le système de formation dépend des facultés de médecine.

La formation pratique nécessite l'accueil des étudiants à l'hôpital, la formation théorique nécessite la formation d'enseignants.

Ouvrir le robinet d'un côté sans se préoccuper de ce qui se passe à l'autre bout du tuyau, c'est de la mauvaise gestion pas du libéralisme.

Ne pas oublier non plus que le numérus clausus n'est pas seulement un outil de régulation étatique du nombre total de médecins, mais il permet aussi de sélectionner les étudiants et donc de maintenir un certain niveau d'excellence au même titre que le font les grandes écoles par le système des concours. On voit là aussi que sa suppression entraînerait de fait une baisse du niveau général comme on peut l'observer dans les filières universitaires dénuées de processus de sélection.

Je n'ai pas dit que ça allait résoudre tout les problèmes en cinq minutes. Ce serait un bon départ avec la liberté d'installation des médecins et des professions médicales, la liberté de tarifs des médecins, la liberté de choix de son assureur santé, la liberté de créer des hôpitaux ou l'on veut... 

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À l'hôpital, les médecins pourront travailler jusqu'à 72 ans

Un amendement au projet de loi Santé recule la limite d'âge pour travailler à l'hôpital de 68 ans à 72 ans, relèvent Les Echos. Objectif : pallier le manque de médecins.

 

http://www.lefigaro.fr/retraite/2015/03/18/05004-20150318ARTFIG00122-a-l-hopital-les-medecins-pourront-travailler-jusqu-a-72-ans.php

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