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D'autant qu'avec le référentiel de 2009, le stage en psychiatrie ne permettait que de ne valider que très peu  de compétences ou de pratiques. Perso, j'adore ce milieu donc je suis très mal placé pour en parler :D .

 

il y a 22 minutes, Séverine B a dit :

Oui le gap entre théorie et pratique... qui fait qu'il y a aussi des incompétent(e)s qui errent dans les services où ils ne sont pas d'une grande efficacité.

Je me dis que c'est pour être certains d'avoir de la main d'oeuvre à la sortie qu'il n'y a aucune distinction de faite entre une inf psy, une inf d'hosto, une inf en maison de retraire, une inf scolaire, etc.... à la sortie de l'école. Tu prends ce que tu trouves, et tu te formes sur le tas.  Enfin... tu te formes...J'imagine que pour certains, le fait d'en avoir chier durant 3 ans et d'avoir validé le diplôme les exonèrent d'une formation continue (c'est peut-être de ceux-là dont tu parles).

Sinon, je parle pour moi mais aujourd'hui, tu me jettes dans un service hospitalier au pif, tu peux être certaines de compter les morts à la sortie. (si un recruteur en diabéto passe par ici, je suis preneur de tout offre..même si je vends pas du rêve à première vue)

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Honnêtement, la première année d'école d'infirmières devrait comporter une semaine de pré-rentrée, où les élèves devraient avoir à gratter des escarres sans dégueuler ou s'évanouir, mais aussi à faire des règles de trois en situation de stress (bah oui, médicamenter un malade, ça nécessite quand même un niveau de maths Certificat d’Études ; c'est une bonne part de la différence avec les aides-soignantes d'ailleurs). Si les élèves réussissent ces épreuves et veulent quand même continuer après une semaine non-stop, alors l'essentiel de la sélection est faite.

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@Rincevent quid de celles qui ne croiseront pas un seul escarre de leur carrière ? (psy, scolaire, travail, etc..). 

Pour la règle de 3, ça prend un semestre plutôt..

 

Dans la même veine, pour reprendre mon expérience, doit on les confronter à la mort ? Je dis ça parce qu'en 3ans je n'y ai pas eu affaire une seule fois durant les stages (c'est pas faute d'avoir essayé...;)) ; Or en dernière année, on doit faire un écrit sur le sujet. J'ai pu en parler grâce à mon "parcours de vie" chaotique mais ça se passe comment pour celle qui n'a rien vécu de cela à 20ans ? 

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il y a 8 minutes, Restless a dit :

@Rincevent quid de celles qui ne croiseront pas un seul escarre de leur carrière ? (psy, scolaire, travail, etc..). 

Pour la règle de 3, ça prend un semestre plutôt..

 

Dans la même veine, pour reprendre mon expérience, doit on les confronter à la mort ? Je dis ça parce qu'en 3ans je n'y ai pas eu affaire une seule fois durant les stages (c'est pas faute d'avoir essayé...;)) ; Or en dernière année, on doit faire un écrit sur le sujet. J'ai pu en parler grâce à mon "parcours de vie" chaotique mais ça se passe comment pour celle qui n'a rien vécu de cela à 20ans ? 

La mort ? Excellente question, ça me semble important mais pas indispensable (ceci étant, pour combiner escarres + mort, il suffit d'une semaine en gérontologie). Et je ne suis pas certain de saisir ta remarque sur la règle de 3.

 

Quant à celles qui "ne croiseront pas un seul escarre de leur vie", on peut toujours croiser des horreurs en psy (des automutilations ou autres) ; quant à infirmière scolaire, ce travail est plus souvent une blague pour planqués qu'autre chose (un peu comme médecin du travail à La Défense). J'exagère, mais l'idée est là : si tu ne voulais pas voir d'horreurs, il fallait faire dans la compta, pas dans le médical.

  • Ancap 1
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il y a 6 minutes, Rincevent a dit :

. Et je ne suis pas certain de saisir ta remarque sur la règle de 3

Il a fallu un semestre pour une bonne partie des filles de ma promo pour '' maîtriser'' la règle de trois et le tableau de conversion. Avec une semaine de pré rentrée, tu perds 75% des élèves. J'exagère à peine, surtout si tu fais ça sous stress.

 

Je te rejoins sur l'idée de l'horreur en psy (j'ai pas eu affaire une seule fois à la mort en 25 semaines en maison de retraite, alors qu'en psy au bout de deux jours un gars s'était suicidé dans sa chambre) . Pour autant doit il être un critère excluant, j'émets des doutes. 

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il y a 10 minutes, Restless a dit :

Il a fallu un semestre pour une bonne partie des filles de ma promo pour '' maîtriser'' la règle de trois et le tableau de conversion. Avec une semaine de pré rentrée, tu perds 75% des élèves. J'exagère à peine, surtout si tu fais ça sous stress.

Pour se présenter au concours d'entrée en IFSI, il faut avoir en gros un niveau lycée. Lycée, bordel ! Quiconque, au lycée, ne sait pas faire une règle de trois simple dans de bonnes conditions n'y a pas sa place (et pour aller au delà dans le cursus des études d'infirmières, il faut au moins un petit module "calcul mental sous stress").

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C'est ce que je notais plus haut, avec une bonne prepa, ça permet à beaucoup d'être efficace le jour J. (avec le corollaire de voir cette efficacité s'effondrer le jour suivant du concours). 

 

Du coup, avec le retrait du concours, est ce que les écoles vont privilégier celles et ceux qui ont de meilleurs résultats en math ? À voir.

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Le 08/07/2018 à 07:16, Rincevent a dit :

Pour se présenter au concours d'entrée en IFSI, il faut avoir en gros un niveau lycée. Lycée, bordel ! Quiconque, au lycée, ne sait pas faire une règle de trois simple dans de bonnes conditions n'y a pas sa place

 

Tu ne réalises pas le niveau mathématique hors filières scientifiques... Quelques exemples tirés de mon entourage :

 

- Bérénice est en master d'archéologie (après des études d'archi). Elle n'est pas idiote. Pourtant, elle m'a avoué n'avoir jamais su ses tables de multiplication (ça la complexe beaucoup). Cette faille primordiale entraîne bien sûr des lacunes sur tout le reste.

- Justin est un lettreux. Il a passé le concours pour devenir professeur des écoles. Alors que je parlais avec lui de la meilleure façon d'enseigner les maths en primaire, je l'ai mis - involontairement - en difficulté en lui demandant le résultat de 6x7. Après réflexion, il m'a répondu 43... Sinon, il a aussi entrepris de m'expliquer sa « méthode » pour enseigner la division : je n'ai rien compris (et lui non plus probablement). À sa décharge, cette discussion avait lieu après quelques bières.

- Paul est retraité. Il a fait carrière dans la banque et lui, au moins, sait compter. Néanmoins, il m'a demandé il y a quelques temps comment calculer la diagonale d'un carré (Pythagore, niveau 6ème environ).

 

Edit - Un témoignage extérieur d'une victime des maths modernes (lien) :

 

Citation

Bonjour à tous,

je m'aventure sur ce forum à petits, mais vraiment très petits pas. Le sujet de mon mail, un tantinet provocateur, est hélas la triste constatation d'un homme de 40 ans éprouvant des difficultés à faire face aux besoins mathématiques les plus élémentaires de son existence.

Mon cerveau n'est sans doute pas complètement prédisposé aux abstractions mathématiques et j'avoue avoir décroché en classe de 5 °. Je conserve de l'école une bonne faculté de calcul mental et mes études m'ont permis par la suite de construire des méthodes empiriques pour résoudre mes problèmes quotidiens.

Seulement voila, et pour faire court, je ne suis pas satisfait. Je voudrais me replonger dans un bouquin afin de pouvoir faire un calcul de pourcentage, une règle de trois et un peu de calcul financier. Je voudrais par ailleurs revoir les théories des probabilités.

J'ai bien sûr hélas jeté tous mes cours. En classe prépa lettres modernes, nous faisions le programme de maths de la terminale C sans la géométrie. Je devrais en conséquence ne pas écrire ce que je demande. Heureusement, ou malheureusement, j'avais d'autres atouts dans ma poche, et je n'ai pas eu besoin de travailler les maths.

Me voila donc à vous demander de me donner un tuyau pour faire machine arrière. Je ne prétends pas refaire une étude de fonction ni une dérivée première dans l'immédiat. Je pense que mes 4 enfants me remettront bien assez tôt devant ce cas de figure et je me promets de ne plus faire le cancre et de les encourager, comme je ne l'ai pas été.

En bref, si l'un de vous pouvait utilement me conseiller un ouvrage avec ses références pour que je puisse refaire les problèmes:
- du train qui roule
- de la baignoire qui fuit
- des volumes et de surfaces
- des taux d'intérêts et des pourcentages

IL AURA FAIT OEUVRE UTILE.

Je vous remercie par avance et vous remercie également de m'avoir lu jusqu'au bout.

 

  • Sad 1
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il y a 12 minutes, Freezbee a dit :

Tu ne réalises pas le niveau mathématique hors filières scientifiques...

Oh que si, je le réalise... Et je connais ces exemples.

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il y a 2 minutes, Cthulhu a dit :

De mémoire, il faut sortir d'une filière scientifique pour aller en école d'infirmiers. A moins que ça ait changé ?

 

D'après ce site :

 

Citation

Si le baccalauréat série S  est le plus répandu parmi les étudiants admis en première année d’IFSI (33 %), toutes les séries sont représentées. Les séries SMS (sciences médico-sociales 23 %), ES (économique et social 20 %), L (littéraire 14 %) et STT (sciences technologiques tertiaires 10 %).

 

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20 minutes ago, Freezbee said:

Pourtant, elle m'a avoué n'avoir jamais su ses tables de multiplication (ça la complexe beaucoup).

Bah moi non plus à vrai dire mais ça ne me complexe pas. C'est trivial à recalculer au besoin.

 

4 minutes ago, Cthulhu said:

De mémoire, il faut sortir d'une filière scientifique pour aller en école d'infirmiers. A moins que ça ait changé ?

Il y a pas mal d'aides-soignants qui passent le concours aussi. Pour le coup eux l'expérience pratique ils l'ont.

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il y a 8 minutes, Lancelot a dit :

Bah [...] C'est trivial à recalculer au besoin.

 

C'est très matheux cette façon de procéder :lol:

Le problème pour elle, c'est qu'elle ne les retrouve pas...

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Le 08/07/2018 à 07:16, Rincevent a dit :

Pour se présenter au concours d'entrée en IFSI, il faut avoir en gros un niveau lycée. Lycée, bordel ! Quiconque, au lycée, ne sait pas faire une règle de trois simple dans de bonnes conditions n'y a pas sa place (et pour aller au delà dans le cursus des études d'infirmières, il faut au moins un petit module "calcul mental sous stress").

 

Il y a 10 heures, Freezbee a dit :

 

Tu ne réalises pas le niveau mathématique hors filières scientifiques... Quelques exemples tirés de mon entourage :

 

- Bérénice est en master d'archéologie (après des études d'archi). Elle n'est pas idiote. Pourtant, elle m'a avoué n'avoir jamais su ses tables de multiplication (ça la complexe beaucoup). Cette faille primordiale entraîne bien sûr des lacunes sur tout le reste.

- Justin est un lettreux. Il a passé le concours pour devenir professeur des écoles. Alors que je parlais avec lui de la meilleure façon d'enseigner les maths en primaire, je l'ai mis - involontairement - en difficulté en lui demandant le résultat de 6x7. Après réflexion, il m'a répondu 43... Sinon, il a aussi entrepris de m'expliquer sa « méthode » pour enseigner la division : je n'ai rien compris (et lui non plus probablement). À sa décharge, cette discussion avait lieu après quelques bières.

- Paul est retraité. Il a fait carrière dans la banque et lui, au moins, sait compter. Néanmoins, il m'a demandé il y a quelques temps comment calculer la diagonale d'un carré (Pythagore, niveau 6ème environ).

 

Edit - Un témoignage extérieur d'une victime des maths modernes (lien) :

 

 

 

Je plussoie mille fois (hélas !).

 

Sans leur demander d’être des flèches en trigonométrie, on devrait quand même sélectionner des personnes capables de calculer et faire preuve de sens pratique et pas trop sensibles. Je crains que la sélection sur dossier aille vers encore plus de « culture hors sol ».

 

Quand on est amené à travailler dans le domaine du corps humain, je pense sincèrement qu’il FAUT avoir déjà vu du sang, du vomi, du pus, du caca et la mort. On ne parle pas de tenir la main au patient et faire la causette...

 

 

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Il y a 10 heures, Séverine B a dit :

On ne parle pas de tenir la main au patient et faire la causette...

Ce qui n'est pas exclu aussi de le faire quand il fait caca d'ailleurs. 

 

Il y a 10 heures, Séverine B a dit :

faire preuve de sens pratique

La plupart sont tellement flippées de faire une erreur qu'elles s'en tiennent aux protocoles, et ne se donnent pas la peine de penser out of the box. Et je dis ça sans jugement aucun.

On peut me répondre qu'il est normal de suivre la marche, ça me questionne quand même sur la capacité d'une équipe ou d'un groupe de s'améliorer, de gagner en efficacité, etc..

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  • 1 month later...

Pourquoi les médias rendent compte, sans cesse, en cette rentrée, du "malaise" de l'hôpital public, des pleurnicheries des personnels qui interpellent la ministre Agnès Buzyn, tandist qu'il n'y a pas de contre-enquête, dans le secteur des cliniques privées où tout est calme et où le personnel (souvent d'origine étrangère) ne bronche pas ?

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Parce que comme pour les gosses, c'est la rentrée aussi pour le personnel qui retourne dans ses couloirs de la mort.

Heureusement il y a Buzyn, Buuzzyynn.

 

Citation

"Jusqu'à présent on a fait reposer la lutte contre la pauvreté sur les prestations monétaires et nous, nous avons envie de lutter contre les inégalités de destin. Ça change tout"

[..] Nous travaillons sur une simplification d'accès au droit, ce qu'on appelle techniquement un versement social unique".

 

J'ai hâte d'être mi-septembre pour voir son plan anti-pauvreté.

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il y a 53 minutes, Restless a dit :

inégalités de destin

 

Le but n'est donc plus de donner les mêmes chances à tout le monde mais les mêmes résultats.

 

Ils proposent donc de coller une balle dans la nuque à ceux qui survivent d'un cancer en solidarité avec ceux qui en sont morts. 

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Vrai danger ou principe de précaution poussé trop loin ? Les autorités sanitaires créent une pénurie aux conséquences très concrètes em retirant un médicament utilisé pour prévenir les récidives d'AVC ou d'infarctus, soupçonné d'être cancérigène.

 

Citation

"À l'issue d'une évaluation préliminaire, l'EMA estime qu'il pourrait y avoir un cas supplémentaire de cancer sur 5000 patients prenant les médicaments à la plus haute dose de valsartan (320 mg) chaque jour pendant sept ans".

 

https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/26630-Valsartan-scandale-sanitaire-temoigne-manque-transparence-lie-l-origine-medicaments

 

(voir aussi le commentaire sous l'article, digne de quelqu'un d'ici)

 

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Conditionnel, "potentiellement"...

 

Journalimse.

 

On interdit des médicaments à base de valsartan parce qu'ils contiennent peut-être des traces de NDMA, mais c'est quoi les alternatives pour ceux qui prenaient ce médicament ? Des molécules moins efficaces ? Plus efficaces ? Ou on les laisse crever ? Faudrait pas que l'article informe hein. 

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Hello,

 

Je ne connais pas trop le secteur de la santé, mais je viens d'être témoin (victime dirais-je !) de la fameuse désertification médicale, c'est assez affligeant... A ce jour, la plupart des dermatos de la région de Lyon (jusqu'à Mâcon), ne prennent plus de nouveaux patients. J'ai fait le test, j'en ai appelé une palanquée, ils refusent tous de nouveaux patients... Trouvé un rendez-vous par hasard en... mars 2019. 

 

J'en ai profité pour me renseigner un peu sur les généralistes, ça a l'air d'être assez généralisé (sans jeu de mots) également...

 

Avez-vous déjà été confrontés à ça ? Je me dis qu'on est plus au pied du mur là, on a le nez collé contre, mais je ne vois pas d'actions actuellement pour résoudre le problème. Dans sa diarrhée législative, pourquoi l'Etat ne glisse pas une petite libéralisation du secteur histoire de laisser aux praticiens la liberté de leurs tarifs, etc ?

 

Ce qui me laisse perplexe, c'est que je ne parviens pas à identifier les groupes d'intérêt autour de cette problématique, je connais trop mal le sujet... Mis à part la posture idéologique de maintenir le fameux système social que le monde entier nous envie, mais que personne ne copie, à qui profite le crime ?

 

Les patients ne peuvent plus se faire soigner, ils n'en profitent pas, les praticiens croulent sous le boulot, on pourrait dire qu'ils sont contents puisque la concurrence est limitée, ceci dit, quand je lis des interviews de médecins septuagénaires, je me dis qu'il y a pas qu'une question d'appât du gain... Pour la pharma, je pense pas que ça change grand chose, au contraire, si on augmente les personnes soignées, ça augmente d'autant leurs revenus...

 

La seule chose que je vois, c'est la démagogie de ne pas faire payer au patients le vrai coût de leur consultation dans un système concurrentiel, mais à choisir entre une consultation payée et pas de consultation, mon choix est vite fait personnellement...

 

Bref, je dubite !

 

Vous auriez des ressources à me partager sur le sujet ?

 

Merci !

 

FRL

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il y a 16 minutes, frl a dit :

Vous auriez des ressources à me partager sur le sujet ?

pour commencer, tu pourrais aller fureter sur Contrepoints, il y a des trouzaines d'articles à ce sujet

tu entres "déserts médicaux" dans la barre de recherche et tu vas avoir le choix :), des témoignages de toubibs (Patrick de Casanove, Bernard Kron), patients, spécialistes en économie du secteur

  • Yea 1
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il y a 10 minutes, Rübezahl a dit :

Les toubibs râlent de leur trop de boulot perso,

... mais en pratique, leurs syndicats votent année après année la poursuite de la pénurie.

Bah, là comme à beaucoup d’endroits, les syndicats ne représentent plus qu’eux-mêmes (et quelques têtes bien placées aussi, certes...)

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Mouais, la BD « Vie de Carabins » que je vois régulièrement popper sur mon mur Facebook a tendance à sentir la socialisation des coûts et la privatisation des profits. 

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il y a 30 minutes, Hayek's plosive a dit :

C'est facile d'organiser la pénurie et les déserts médicaux quand l'Etat donne à l'ordre des médecins le droit de limiter leur nombre par le numerus clausus. 

Je ne pense pas que l'ordre ait le droit de limiter le nbre de médecins. Le NC c'est plutôt le ministère de la santé ( ou éducation ?). Après que l'ordre soit d'accord, cela dépend des époques car actuellement, une clientèle à vendre ne vaut  plus rien (il y a 40 ans cela valait une demi annuité, ce qui n'est pas rien)

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Visez ces peines à jouir en commentaire. Je me demande s’il ne faudrait pas un fil dédié à ces gens. Regardez les brailler comme des poulets « la loi, loi ! »

 

https://www.lemonde.fr/campus/article/2018/09/07/une-enquete-interne-ouverte-apres-le-bizutage-d-eleves-infirmiers-au-chu-de-toulouse_5351796_4401467.html

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