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Je raconte my life 6 - Lamentations & fleurs de lol


FabriceM

Messages recommandés

Je vous jure que vu les conneries que j'ai fait lors de ma dernière murge, toute personne un temps soit peu raisonnable aurait arrêté aussi...

 

Si tu en prends 4 par mois, les conneries diminuent. Après 10 ans, tu atteins la sagesse de celui qui tient l'alcool comme un <insérer le gentilé d'Irkoutsk>.

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Si tu en prends 4 par mois, les conneries diminuent. Après 10 ans, tu atteins la sagesse de celui qui tient l'alcool comme un <insérer le gentilé d'Irkoutsk>.

 

LMGTFY : Irkoutskien, Irkoutskienne, Irkoutskiens, Irkoutskiennes

 

Et tu as le foie sur les genoux, les transaminases en folie, c'est la classe

 

Merci Bisounours... Seules les femmes sages me comprennent  :icon_aime2:

 

les quarts perriers c'est pas son genre.

 

Et alors, tu peux très bien inviter quelqu'un à boire un verre alcoolisé sans forcément toi même boire de l'alcool... Il n'y a rien de gênant...

 

Les yeux jaunes c'est original. Je suis contre le conformisme des beaux yeux bleus ou du regard ténébreux.

 

Mdr... Tu es un très bon tribun en fait.. Mais moi mes yeux noisettes me conviennent très bien.

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Je deviens une monstrueuse masse d'énergie négative.

Traditionnellement, je me tartine une jolie petite phase dépressive entre chacun de mes voyages. Alors que mon périple en Asie touchait à sa fin, je me souviens avoir écrit ici combien chaque départ me coûtait, comment chaque étape me donnait l'impression de mourir pour aller ressusciter ailleurs.

Et c'est toujours par le travail que s'opère cette réincarnation : vider mon esprit et remplir mes poches en bossant comme une brute est ma seule assurance contre la dépression. Pour qu'enfin, lorsque le labeur a fini par laver mon chagrin et financé ma prochaine expédition, je me décide pour une nouvelle destination. Et que le cycle puisse reprendre : se damner à la tâche, tout claquer en putes et en whisky dès son arrivée à destination, pour finalement repartir et tout recommencer, telle est la voie du cowboy.

Mais cette année, j'ai été incapable de redécoller : dès l'instant où j'ai reposé les pieds en France, j'ai été stoppé net. Folie que d'avoir voulu revenir ici : nul autre qu'un sot ne se jette sciemment dans la merde en pensant y trouver le terrain adéquat pour rebondir. Les jobs que je peux trouver ne m'en donnent pas les moyens, ni sur le plan psychologique, ni sur le plan financier. Après des années à voyager, je stagne depuis des mois. Et cela me rend fou.

Ce qui est d'autant plus tragique que je n'ai jamais autant éprouvé le besoin de tourner la page : pour la première fois de ma vie j'avais trouvé un pays dans lequel je me serai vu vieillir (j'étais même prêt à m'y marier) et quitter le Japon m'a donc extrêmement affecté. Je ne me souviens encore que trop bien m'être juré, alors que je bouclais mes valises et jetais à la poubelle les souvenirs de ma vie tokyoïte, de ne surtout pas me retourner, de poursuivre ma fuite en avant, tête baissée, trop conscient que l'amertume me boufferai au moindre arrêt. Et j'ai abominablement échoué en venant trébucher ici-bas.

Ainsi, si je me fais rare sur Liborg — et même rare en société en général — alors que je n'ai pas foncièrement grand chose de mieux à faire, c'est simplement car je suis très souvent dans un état tel que toute communication est impossible. J'ai bien trop la haine pour savoir apprécier quoi que ce soit ou ne serait-ce que faire l'effort de me rendre agréable et préfère donc m'isoler pour éviter à tous (et à moi le premier) les désagréments liés à mes humeurs noires.

 

Typique. On passe toujours par une phase très down lorsqu'un voyage se termine.

Mais en même temps, si c'était un voyage, c'est bien que cela devait se terminer.

Si tu en es si conscient, pourquoi cultiver ces sentiments négatifs ? Ce n'est pas plus fort que toi et ils ne sont pas plus forts que toi. De la même façon que le Japon n'est pas le seul pays où tu puisses te voir vieillir. Home is where the heart is. Tu as la sensation que le Japon était un pays où tu te voyais vieillir car tu avais rencontré une personne te donnant ce sentiment. Mais il n'est pas impossible qu'en trouvant une personne te faisant ressentir la même chose ailleurs, tu découvres que plein d'autres pays sont prêts à t'accueillir, y compris la France, à partir du moment où tu décides de voir le bon côté des choses.

 

Occupe-toi en participant au fil sur le tourisme au Japon. Les adresses de bordels sérieux, les meilleurs endroits où se la coller, etc

Enfin, il faudrait qu'il soit ouvert, ce fil !

 

Arrête de râler, je veux juste peaufiner mon truc avant de l'ouvrir.

 

@FiftyJohn : tu es peut-être un peu lassé de la tarte aux poils ? Tu as peut-être envie de passer à un autre menu, et te poser quelque part ? Pas en France manifestement. Si le Japon t'as autant plu, pourquoi ne pas retourner y vivre, alors, même si tu y as connu une déception sentimentale, preuve que tu n'es pas autant papilloneux que ce que tu avances, d'ailleurs.

Tu as un métier praticable partout dans le monde ?

Allez, courage :)

 

Le bonheur ne dépend pas d'une personne, d'une situation, ou d'un pays mais bien de soi-même.

Au final, il admet lui-même être en fuite en avant de quelque chose. Le véritable moyen d'échapper à ça, c'est non seulement d'accepter le fait que quelque chose de malheureux est arrivé mais en plus d'accepter le fait qu'on puisse être malheureux à cause de ça. Fuir ne fait que reporter le problème et il se représentera tôt ou tard sous d'autres formes : réactions, manque de confiance en soi, manque de confiance envers les autres, etc.

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Le bonheur ne dépend pas d'une personne, d'une situation, ou d'un pays mais bien de soi-même.

Au final, il admet lui-même être en fuite en avant de quelque chose. Le véritable moyen d'échapper à ça, c'est non seulement d'accepter le fait que quelque chose de malheureux est arrivé mais en plus d'accepter le fait qu'on puisse être malheureux à cause de ça. Fuir ne fait que reporter le problème et il se représentera tôt ou tard sous d'autres formes : réactions, manque de confiance en soi, manque de confiance envers les autres, etc.

 

So true... Et je me permettrais de rajouter pas trop fort que l'alcool peut aussi être une fuite et qu'à un moment il faut affronter ses propres problèmes, seul ou avec l'aide de quelques amis.

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Typique. On passe toujours par une phase très down lorsqu'un voyage se termine.

Mais en même temps, si c'était un voyage, c'est bien que cela devait se terminer.

Si tu en es si conscient, pourquoi cultiver ces sentiments négatifs ? Ce n'est pas plus fort que toi et ils ne sont pas plus forts que toi. De la même façon que le Japon n'est pas le seul pays où tu puisses te voir vieillir. Home is where the heart is. Tu as la sensation que le Japon était un pays où tu te voyais vieillir car tu avais rencontré une personne te donnant ce sentiment. Mais il n'est pas impossible qu'en trouvant une personne te faisant ressentir la même chose ailleurs, tu découvres que plein d'autres pays sont prêts à t'accueillir, y compris la France, à partir du moment où tu décides de voir le bon côté des choses.

Arrête de râler, je veux juste peaufiner mon truc avant de l'ouvrir.

Le bonheur ne dépend pas d'une personne, d'une situation, ou d'un pays mais bien de soi-même.

Au final, il admet lui-même être en fuite en avant de quelque chose. Le véritable moyen d'échapper à ça, c'est non seulement d'accepter le fait que quelque chose de malheureux est arrivé mais en plus d'accepter le fait qu'on puisse être malheureux à cause de ça. Fuir ne fait que reporter le problème et il se représentera tôt ou tard sous d'autres formes : réactions, manque de confiance en soi, manque de confiance envers les autres, etc.

Je vais t'envoyer sur Mars pendant 20 ans, tu vas voir sinle bonheur dépend de toi-même !

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Je vais t'envoyer sur Mars pendant 20 ans, tu vas voir sinle bonheur dépend de toi-même !

 

D'après liborg, si tu m'envoies avec 6000 caisses de whisky et autres alcools, ça suffira à être heureux donc MPP.

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Ca me fait penser qu'au dernier bar où je suis allée avec les liborgiens, on s'est fait offrir de la liqueur Chaï trop bonne. 

Les verres étaient pas chers et les barmans sympas.

 

D'ailleurs Johnnyboy, désolée mais je décline l'offre, vous n'auriez plus de commissairette sur Paris ! (problèmes de parité, de diversitude et d'égalité des tanches...)

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J'ai bien aimé l'article avec son analyse fondée sur la gastronomie d'un pays.

C'est ardu à l'origine comme démarche mais là son article est à mourir de rire. Il enfile les analyses hyper simplistes et les commentaires superflus.

 

 

Je ne connais pas grand-chose à ce pays qui se limite, dans mes connaissances, à Bakou, à l’Eurasie, aux steppes et aux grands espaces. Une lointaine route de la soie. Mais je sais qu’en ouvrant ce livre et en le feuilletant, je vais découvrir des clefs de compréhension du peuple Azéris et de son organisation

Comme il y va!

 

Le sommaire me met déjà sur la piste. En premier, des recettes de riz. C’est bien l’Asie. D’où vient ce riz ? Du pays, des exportations de la Chine proche ? Est-il autochtone ou bien est-ce une influence extérieure, un élément de domination culturelle ?

 

 

Le sommaire indique dolmas, je ne connais pas. Probablement une spécificité du pays

 

 

 

 

 

Le sommaire indique également pâtes. Est-ce une influence de l’Asie ou bien de l’Europe ? Est-ce la présence de blé dans la région ? Cela confirme en tout cas que l’Azerbaïdjan est un territoire carrefour de nombreuses cultures

 

 

 

 

N’appréciant guère le riz, je passerai rapidement sur les recettes qui le préparent.

 

 

 

 

On retrouve l’agneau dans toutes les autres recettes de riz, comme viande accompagnatrice. Preuve que les Azéris ont été un peuple de marcheurs et de voyageurs des steppes.

 

Au-delà de ça, je ne vois pas le rapport avec le libéralisme que cet article.

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normal puisque c'est un article sur la bouffe

 

c'est d'ailleurs pas si mal cet article mais j'aovue que des fois les ficelles sont un peu grosses.

 

je me rappelle avoir fait des trucs très sympa en Histoire à propos de la bouffe, spécialement sur les habitudes culinaires ud petit peuple et les changements mineurs à grosses répercutions (en gros, le simple passage d'un repas pris allongé à un repas pris assis a intégralement modifié la gastronomie) 

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Dans un journal, y a toujours ce genre de feuilles sinon on ennuie vite le lectorat. Parce que bon, faut avoir de l'imagination pour faire durer un journal libéral quand on connaît par avance ce que vont dire la plupart des articles : trop d'état, trop de taxes etc.

JBN est l'auteur que je lis le plus avec Dardanus.

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C'est pas sale de parler de bouffe ou de climat dans une revue libérale. Il y a aussi les articles des deux frangins baroudeurs, si tu vas par là, ou ceux sur le cinéma, les bouquins. 

Dès l'instant ou l'auteur n'est pas un gros socialiste... qui balance des vannes alakon

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C'est pas sale de parler de bouffe ou de climat dans une revue libérale. Il y a aussi les articles des deux frangins baroudeurs, si tu vas par là, ou ceux sur le cinéma, les bouquins. 

Dès l'instant ou l'auteur n'est pas un gros socialiste... qui balance des vannes alakon

Les critiques ciné de contrepoints sont de bien plus belle facture, et évitent de faire une critique de films tels les visiteurs ou Ted. Et les critiques littéraires sont souvent en rapport avec la politique, la sociologie ou l'économie donc bon. Quant au climat c'est un peu en rapport aussi avec la politique et l'économie. Incomparable.
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Dans un journal, y a toujours ce genre de feuilles sinon on ennuie vite le lectorat. Parce que bon, faut avoir de l'imagination pour faire durer un journal libéral quand on connaît par avance ce que vont dire la plupart des articles : trop d'état, trop de taxes etc.

Dis tout de suite que contrepoints est ennuyeux, ça va ravir certains ici.
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Tremendo, tu es snob ! Il y a des articles de Mr Richard sur des bouquins qui n'ont rien à voir avec le libéralisme, idem sur le cinéma, sauf évidemment si tu t'amuses à les regarder avec des lunettes libérales, mais ça fait un peu obsédé, à force

Je sais pas ce que vous avez avec JBN ; il est un peu vieille France, certes, mais la question est de savoir si il draine du lectorat aussi. Un journal trop confidentiel et abscons.... c'est pas facile.

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J'ai dit qu'ils faisaient ce qu'il fallait pour que cela ne soit justement pas le cas. Ils ne font pas de reprise de dépêche AFP et n'ont pas les sources du Canard pour pondre des anecdotes croustillantes sur nos politiciens et en plus ils sont quotidiens. Si tu es libéral ou devenu libéral grâce à CP, il y a un moment où les articles et point de vue sur le libéralisme seront redondants, le point de vue libéral ne changeant pas beaucoup et les politiques gouvernementales non plus. On ne peut pas être original tout le temps tous les jours quand on a une telle contrainte (avoir un point de vue libéral). Il faut donc aller chercher un peu au-delà de la politique quotidienne et de l'économie superficielle.

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J'ai dit qu'ils faisaient ce qu'il fallait pour que cela ne soit justement pas le cas. Ils ne font pas de reprise de dépêche AFP et n'ont pas les sources du Canard pour pondre des anecdotes croustillantes sur nos politiciens et en plus ils sont quotidiens. Si tu es libéral ou devenu libéral grâce à CP, il y a un moment où les articles et point de vue sur le libéralisme seront redondants, le point de vue libéral ne changeant pas beaucoup et les politiques gouvernementales non plus. On ne peut pas être original tout le temps tous les jours quand on a une telle contrainte (avoir un point de vue libéral). Il faut donc aller chercher un peu au-delà de la politique quotidienne et de l'économie superficielle.

Et donc on va chercher dans la cuisine azéri et les couteaux laguiole. Makes sense
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