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Je raconte my life 6 - Lamentations & fleurs de lol


FabriceM

Messages recommandés

 

Si c'est pour avoir le diplôme avec les meilleurs notes possible, alors il faut répondre ce que le prof veut qu'on réponde.

Ouais.

 

Plusieurs choses :

1- Ne pas prendre l'idéologie comme excuse pour ne pas bosser, vraiment lire et comprendre et maîtriser le sujet.

2- Ne pas débattre avec le prof, il n'est pas là pour ça et ça fait perdre du temps à tout le monde.

3- Faire des copies honnêtes, ni lèche-bottes ni propagandistes, l'important c'est de travailler et d'être satisfait de son travail.

4- La note on s'en fout, personne ne devrait bosser pour une note, il y aura toujours d'autres matières pour rattraper.

5- Si la majorité des matières sont comme ça et que ce n'est pas possible de s'en sortir, envisager sérieusement une réorientation.

1 Oui

2 Oui

3 Oui sur le fond mais 4

4 Personne ne devrait bosser pour une note mais ça reste le truc qui fait que tu sors de là avec un diplôme ou non. C'est pas une variable secondaire du tout.

5 Si tant est que ça se trouve, partir. A ma connaissance, le milieu de la fac est comme ça, mais il y a peut-être des matières ou ça se ressent moins.

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Plusieurs choses :

- Ne pas prendre l'idéologie comme excuse pour ne pas bosser, vraiment lire et comprendre et maîtriser le sujet.

- Ne pas débattre avec le prof, il n'est pas là pour ça et ça fait perdre du temps à tout le monde.

- Faire des copies honnêtes, ni lèche-bottes ni propagandistes, l'important c'est de travailler et d'être satisfait de son travail.

- La note on s'en fout, personne ne devrait bosser pour une note, il y aura toujours d'autres matières pour rattraper.

- Si la majorité des matières sont comme ça et que ce n'est pas possible de s'en sortir, envisager sérieusement une réorientation.

Cela me semble effectivement assez sage.

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C'est clair que le prof se fout totalement de ce que pense l'étudiant, du haut de sa chaire de grand sachant. C'est un peu con qu'il fasse de l'économie politique, ceci dit. Se confronter à lui ne servirait donc à rien. 

Si on a vraiment mais alors vraiment envie de combattre ça, il faudrait vérifier dans le "programme" (il y en a un en faculté ou bien chaque prof fait ce qu'il veut ?) si il respecte le contenu, et la charte ou je ne sais quoi qui permettrait de remettre en cause son enseignement dans le sens où il est orienté politiquement.

C'est un cours de quoi, il s'intitule comment ? Si c'est un enseignement général, il est censé présenter tous les courants économiques ? Ou bien c'est un cours de communisme ? :)

Bref, ton copain, il a le choix entre passer son énergie à contester en se lançant dans ce merdier, soit s'en taper et bosser, soit se barrer et faire de la plomberie et du black

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C'est clair que le prof se fout totalement de ce que pense l'étudiant, du haut de sa chaire de grand sachant.

Immense minorité de profs. J'idealise peut être la profession, mais j'ai rarement vu des professeurs qui ignoraient sciemment les idées de leurs élèves. Fac ou pas.

Y'a des cons partout après.

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Personne ne devrait bosser pour une note mais ça reste le truc qui fait que tu sors de là avec un diplôme ou non. C'est pas une variable secondaire du tout.

L'idée c'est aussi que plus tu avances plus tu te spécialises, et donc à moins d'être maso ou dans un domaine vraiment pourri jusqu'à la moelle tu es de moins en moins confronté à ce genre de cours.

En vrai les seuls bulletins qui peuvent avoir la moindre influence au (tout) début de ta carrière c'est ceux de M2. Personne n'en aura jamais rien à foutre que tu aies eu un 2/20 en Politique Ecologique Européenne au second semestre de L3.

Si tant est que ça se trouve, partir. A ma connaissance, le milieu de la fac est comme ça, mais il y a peut-être des matières ou ça se ressent moins.

Ben déjà se rapprocher de la bio, de l'info ou de la physique ça diminue drastiquement le taux de bullshit.
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Est-ce qu'il est à Rennes ton pote Gio ? J'ai eu ces deux cours, avec le même intitulé. C'est un genre d'option que n'importe quelle filière peut prendre. Le cours des politique sociale était un bête cours d'histoire, en gros t'as juste à apprendre les différences entre le modèle bismarckien et le modèle beveridge. Il est possible que le prof parle de sécu avec des trémolo d'admiration dans la voix, mais le cours en lui même est assez neutre.

Si il veut vraiment se faire chier à démonter ce que dit le prof, il peut, il suffit de prendre les "réussites" données par le prof à propos des système sociaux, les réduire à leurs objectifs et comparer ceux-ci avec la réalité, a cours, moyen et long terme de leur mise en place. Il faut une grande rigueur formelle et trois fois plus de taf pour franchement pas grand chose.

 

Pour le cours d'Histoire sur le genre c'est plus chaud, je me rappelle que c'était franchement pénible de bêtise, et je n'y allait presque jamais, (vendredi matin à 8h, et puis quoi encore). Il faut essayer en le bossant de se concentrer sur le fait que c'est une théorie descriptive et surtout pas explicative. Et aussi simplement, remplir ta dissert de "machin dit que plancher collant blabla, machin dit que plafond de verre blabla" formellement t'es impeccable et tu ne t'assois pas sur tes idéaux.

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Hier, un pote me dit qu'il ne croit plus en l'action politique et qu'il pense que l'on ne peut améliorer le monde qu'à son échelle, avec ses moyens. Je lui dis que c'est bien, qu'il a finalement tout compris. Plus tard, je commence une phrase en lui sortant : «Bon, maintenant que t'es libéral...». Il s'est soudainement levé énervé et m'a presque insulté. J'hésitais entre rire et pleurer. Franchement, ils ont foutu quoi les libéraux avant nous pendant 60 ans pour que le mot «libéralisme» devienne quasiment un gros mot et l'adjectif «libéral» une insulte ?

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Hier, un pote me dit qu'il ne croit plus en l'action politique et qu'il pense que l'on ne peut améliorer le monde qu'à son échelle, avec ses moyens. Je lui dis que c'est bien, qu'il a finalement tout compris. Plus tard, je commence une phrase en lui sortant : «Bon, maintenant que t'es libéral...». Il s'est soudainement levé énervé et m'a presque insulté. J'hésitais entre rire et pleurer. Franchement, ils ont foutu quoi les libéraux avant nous pendant 60 ans pour que le mot «libéralisme» devienne quasiment un gros mot et l'adjectif «libéral» une insulte ?

Ils étaient pragmatiques :)

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Il y a quelques mois, je me suis rendue dans une librairie de ma petite ville et j'ai demandé au gars si il avait des bouquins de Bastiat (on peut rêver). Quand à ses questions j'ai répondu qu'il s'agissait d'un auteur libéral du 19ème siècle, il m'a répondu, la bouche pincée : "ah ben non, sûrement pas". Je pense qu'à une autre époque, il aurait pu me dénoncer :)

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Immense minorité de profs. J'idealise peut être la profession, mais j'ai rarement vu des professeurs qui ignoraient sciemment les idées de leurs élèves. Fac ou pas.

Y'a des cons partout après.

Heu disons que qu'un cours de fac normalement ce n'est pas un lieu de débat. Sil le cours est bon il doit être relativement dense et on ne peut donc pas se permettre de laisser les gens causer du sujet comme ils l'entendent. Après il existe peut-être des cours où on peut débattre, mais je prendrai ça pour un signe de manque de contenu, d'un prof fainéant.

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Il y a quelques mois, je me suis rendue dans une librairie de ma petite ville et j'ai demandé au gars si il avait des bouquins de Bastiat (on peut rêver). Quand à ses questions j'ai répondu qu'il s'agissait d'un auteur libéral du 19ème siècle, il m'a répondu, la bouche pincée : "ah ben non, sûrement pas". Je pense qu'à une autre époque, il aurait pu me dénoncer :)

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Une question que me pose un jeune ami fraîchement converti au libéralisme :

 

J'ai jamais été vraiment confronté à ça. Vous en pensez quoi ?

Ça dépend si il juge que son professeur est assez ouvert d'esprit pour lire honnêtement une copie en désaccord avec ses thèses. Vu ce qu'il présente de son prof, c'est mal barré. Ceci étant, si c'est pour faire une copie en désaccord, il faut qu'elle soit très bonne, bien au dessus de la moyenne. Si il ne s'en sent pas capable, qu'il se fonde dans le moule et qu'il prenne son mal en patience.

Plusieurs choses :

- Ne pas prendre l'idéologie comme excuse pour ne pas bosser, vraiment lire et comprendre et maîtriser le sujet.

- Ne pas débattre avec le prof, il n'est pas là pour ça et ça fait perdre du temps à tout le monde.

- Faire des copies honnêtes, ni lèche-bottes ni propagandistes, l'important c'est de travailler et d'être satisfait de son travail.

- La note on s'en fout, personne ne devrait bosser pour une note, il y aura toujours d'autres matières pour rattraper.

- Si la majorité des matières sont comme ça et que ce n'est pas possible de s'en sortir, envisager sérieusement une réorientation.

Pas mieux.
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L'idée c'est aussi que plus tu avances plus tu te spécialises, et donc à moins d'être maso ou dans un domaine vraiment pourri jusqu'à la moelle tu es de moins en moins confronté à ce genre de cours.

En vrai les seuls bulletins qui peuvent avoir la moindre influence au (tout) début de ta carrière c'est ceux de M2. Personne n'en aura jamais rien à foutre que tu aies eu un 2/20 en Politique Ecologique Européenne au second semestre de L3.

Ben déjà se rapprocher de la bio, de l'info ou de la physique ça diminue drastiquement le taux de bullshit.

Faut voir la filière mais avant le M1, à 20/80 qui vont aller en M2, faut quand même se poser la question deux secondes...

 

Hier, un pote me dit qu'il ne croit plus en l'action politique et qu'il pense que l'on ne peut améliorer le monde qu'à son échelle, avec ses moyens. Je lui dis que c'est bien, qu'il a finalement tout compris. Plus tard, je commence une phrase en lui sortant : «Bon, maintenant que t'es libéral...». Il s'est soudainement levé énervé et m'a presque insulté. J'hésitais entre rire et pleurer. Franchement, ils ont foutu quoi les libéraux avant nous pendant 60 ans pour que le mot «libéralisme» devienne quasiment un gros mot et l'adjectif «libéral» une insulte ?

Putain c'est lourd quand même.

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connais-tu les femmes? Bisounours n'avait aucun besoin d'acheter un livre, elle passait juste par la, et a ressenti le besoin d'aller investiguer la librairie car il y avait des chocolats en vitrine.Elle a demande Bastiat a tout hasard.

 

:) c'est tellement ça ! Tu es sûr que tu es un homme ? 

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Heu disons que qu'un cours de fac normalement ce n'est pas un lieu de débat. Sil le cours est bon il doit être relativement dense et on ne peut donc pas se permettre de laisser les gens causer du sujet comme ils l'entendent. Après il existe peut-être des cours où on peut débattre, mais je prendrai ça pour un signe de manque de contenu, d'un prof fainéant.

Tous les cours de macro et micro que j'ai eu donnaient lieu à des débats courtois dans et hors de la salle/amphi. Après c'est toujours en relatif petit comité (moins de 40 élèves).

J'avoue n'avoir jamais eu de cours de politique et je suis heureux de n'en avoir jamais eu.

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