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Je raconte my life 6 - Lamentations & fleurs de lol


FabriceM

Messages recommandés

C'est relatif. Ici, j'apporte un point de vue original par rapport au consensus qui peut régner.

Sinon, je parlais plus du ressenti au moment ou l'on franchit la frontière, on est plus au même endroit, pourtant on a fait qu'un kilomètre et la nature n'a pas changé réellement. Est ce seulement un effet psychologique ou bien s'agit il d'une réalité énergétique subtile. Faudrait faire le test en aveugle.

Tiens Tremendo, on fera le test, je te mets dans mon coffre la prochaine fois que je viens en Espagne, c'est original ça comme idée ?

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Est ce seulement un effet psychologique

 

 

oui oui c'est l'effet de la connerie

 

 réalité énergétique subtile

 

 

oui, la connerie quoi !

 

 

Faudrait faire le test en aveugle.

 

 

en aveugle du cerveau oui oui

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C'est relatif. Ici, j'apporte un point de vue original par rapport au consensus qui peut régner.

Sinon, je parlais plus du ressenti au moment ou l'on franchit la frontière, on est plus au même endroit, pourtant on a fait qu'un kilomètre et la nature n'a pas changé réellement. Est ce seulement un effet psychologique ou bien s'agit il d'une réalité énergétique subtile. Faudrait faire le test en aveugle.

Tiens Tremendo, on fera le test, je te mets dans mon coffre la prochaine fois que je viens en Espagne, c'est original ça comme idée ?

Quand je passe la frontière et que je me retrouve à Perpignan, à Collioures ou à Carcassonne chez ma belle-famille en week-end je vois peu de différence. J'en vois beaucoup plus entre Perpignan et Paris. Et quand je vais en Andalousie ou à Madrid j'en vois aussi beaucoup plus qu'entre Barcelone et Carcassone.

Quand j'étais gosse la frontière était un référentiel important oui, mais a force de voyager et vivre ailleurs c'est très aseptisé voire une relique du passé

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Ha ben tiens on en parlait des catalans français du Roussillon.

Y sont très proches des catalans espagnols ou bien distincts ?

Il y a une petite différence c'est sûr, mais beaucoup de catalans français ont de la famille de l'autre côté ceci dit.

Cela étant, en Catalogne espagnole aussi tu vois autant de différences: entre les catalans de la côte plus modernes et les catalans de l'intérieur plus traditionnels, entre les barcelonais citadins et le reste, entre les barcelonais de Barcelone à la fois plus bourgeois et très internationaux et les banlieusards plus modestes et influencées par les vagues de migration espagnoles.

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Au point que ça en est agréable d'être en France, c'est dire.

Eh oui, même privatisées comme des sagouins et barbouillées de capitalisme de connivence, les routes sont mieux gérées que par les socialauds.
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Il y a une petite différence c'est sûr, mais beaucoup de catalans français ont de la famille de l'autre côté ceci dit.

Cela étant, en Catalogne espagnole aussi tu vois autant de différences: entre les catalans de la côte plus modernes et les catalans de l'intérieur plus traditionnels, entre les barcelonais citadins et le reste, entre les barcelonais de Barcelone à la fois plus bourgeois et très internationaux et les banlieusards plus modestes et influencées par les vagues de migration espagnoles.

Niveau picole on connait le cava chez les catalans outrepyrénéens (surtout Freixenet qui se vend beaucoup en France.)

Un pote m'a fait tourner une fois une bouteille de liqueur de gland de là bas aussi je crois. (Note : ne pas googler "liqueur de gland" et surtout pas dans Google Images.)

Ils font quoi d'autres ?

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On dirait que c'est l'enfer à te lire mais s'ils sont contents comme ça et qu'ils m'emmerdent pas, alors c'est très bien. Vive le manque d'ambition chez les gens qui en sont contents et qui emmerdent pas les autres!

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La campagne à l'adolescence c'est vraiment la galère, et je n'éprouverais aucune nostalgie à retourner dans un des ces patelins paumés. Je suis sûr que je retrouverais le tout au mieux inchangé, mais plutôt certainement en état de déliquescence économique avancée. Je me sens beaucoup plus chez moi à l'étranger, mais dans une ville, que dans le pays où j'ai grandi, à la campagne.

la campagne à l'adolescence c'est comme la ville à l'adolescence. ça a ses bons et ses mauvais côtés.

Ouah, je me suis vraiment arraché pour expliquer un truc aussi compliqué.

 

 

C'est pas le manque d'ambition, c'est le manque d'envie de dominer les autres qui est liberhallal.

 

Le manque d'ambition c'est effectivement l'enfer, c'est une pente glissante qui conduit vers la médiocrité et l'auto satisfaction malsaine.

 

Ah oui, parce que la vie est un long fleuve tranquille, c'est bien connu.

 

Ta boîte ferme? Pas grave, satisfait toi de ton sort et ne cherche pas à retrouver un travail ailleurs, il vaut mieux rester dans le patelin et voir ce qui arrivera...

 

Moi ça ne ne fait rien, mais ce que je sais d'expérience c'est que ce sont souvent des gens aigris et jaloux: c'est très loin du nirvana que vous nous décrivez. À part ceux qui n'ont absolument aucune estime personnelle, on ne se complait jamais vraiment dans la médiocrité. Et ceux qui n'ont aucune estime personnelle, ils ont d'autres problèmes.

 

À mon avis vous confondez ambition et arrogance. L'ambition c'est juste chercher à accomplir chaque jour un pas de plus, chercher à s'améliorer constamment.

 

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la campagne c'est tres bien pour passer son enfance, mais c'est naturel de vouloir elargir ses horizons.Tout comme c'est naturel d'y revenir en vieillissant.

Mon truc c'etait pas vraiment l'opposition campagne/ville, mais plutot l'absence de joie de revoir les bleds perdus qui ont fait une belle enfance et une adolescence merdique impatiente de se casser.C'est tout.

y'a campagne et campagne. si comme moi c'est une village sans boulangerie et sans bar avec rien et des maisons à vendre partout, ça se comprends. si c'est le bled ou je vis au Ru maintenant (15k habitant), je comprends moins.

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Pour avoir vécu une partie de mon enfant en ville (à Lille notamment) puis à la majeure partie de la fin de mon enfance et de mon adolescence dans une petite/moyenne ville (de ~5 000 habitants) de vallée alsacienne donc très proche de la campagne et de la nature, et pour avoir vu mon frère traverser les mêmes tranches d'âge dans une grande ville (Bordeaux), avec des conditions de scolarisation (classes bondées et bruyantes, ce qui me rappelle mes années à Lille d'ailleurs) et l'environnement social très différentes, je peux vous dire que je ne regrette pas du tout d'avoir grandi surtout à la campagne.

 

J'avais une grande liberté de mouvement, nous n'étions pas plus de vingt dans la classe, j'avais l'impression de connaître beaucoup de monde et plus généralement l'environnement était très amical. La ville n'était pas une ville de banlieue mais une vieille ville assez belle et vivante avec beaucoup d'évènements, de clubs, d'associations.

 

Je concède que ce n'était pas non plus un patelin paumé, et si on voulait aller à Mulhouse c'était assez facile en TER, Colmar, Bâle et Belfort n'étaient pas loin.

 

Du haut de ma modeste expérience j'ai l'impression que les petites villes (mais pas en banlieue de grandes villes) sont un très bon environnement pour élever des enfants, d'autant plus si les parents aiment bouger et aller ailleurs de temps en temps (je reconnais que quand les parents sont casaniers, les enfants ont plus de risque de s'ennuyer). Jusqu'à la fin de l'adolescence c'est très bien. Je pense que c'est le choix que je ferai plus tard.

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Pour avoir vécu une partie de mon enfant en ville (à Lille notamment) puis à la majeure partie de la fin de mon enfance et de mon adolescence dans une petite/moyenne ville (de ~5 000 habitants) de vallée alsacienne d

 

Devoir quitter Wazemmes pour l'Alsace ?  :(

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Devoir quitter Wazemmes pour l'Alsace ?  :(

 

Précisément, j'habitais rue d'Antin, et je faisais de l'escrime à Wazemmes dans la crypte place de la Nouvelle Aventure. Mais je crois qu'étant enfant je n'aimais pas trop Lille, j'ai presque instantanément préféré l'Alsace. J'ai appris à apprécier Lille plus tard, en y retournant.

 

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Précisément, j'habitais rue d'Antin, et je faisais de l'escrime à Wazemmes dans la crypte place de la Nouvelle Aventure. Mais je crois qu'étant enfant je n'aimais pas trop Lille, j'ai presque instantanément préféré l'Alsace. J'ai appris à apprécier Lille plus tard, en y retournant.

Hé, j'ai résidé rue Colson quelques mois. :)
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