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École & éducation


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Plus important à mon avis, la géométrie de collège était le dernier refuge du raisonnement, le seul endroit où les élèves étaient confrontés à la notion de preuve

(avant l'enseignement supérieur).

 

Personnellement, j'hésite entre la franche déprime et le cynisme en voyant la façon dont l'enseignement scientifique est

pilonné depuis 20 ans par le ministère. CPEF.

 

 

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Ils veulent faire de la programmation c'est très bien (en fait ça devrait être une matière à part entière),

En option oui. Il y a quand même pleins de gens pas du tout fait pour ça pour qui ça n'aura ni intérêt, ni utilité...encore les mathématiques, ça fait partie d'une culture plus générale.

Tu me diras les arts plastiques ou la musique c'est exactement la même chose. Je suis d'accord. Moi je pense que ça devrait être une option.

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Je ferais une fusion musique-art plastique que j’appellerais histoire de l'art. Apprendre la progra, c'est un peu comme apprendre le solfège. 

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Je ferais une fusion musique-art plastique que j’appellerais histoire de l'art. Apprendre la progra, c'est un peu comme apprendre le solfège. 

"L'art plastique" au singulier ça n'existe pas.

Sinon, en gros ta proposition veut dire tout simplement supprimer la musique et les arts pla (je perdrais mon boulot, snif), parce que l'histoire de l'art (ou plutôt l'histoire des arts si on inclut la musique) c'est complètement autre chose. Ces deux disciplines telles qu'elles sont enseignées actuellement au collège sont centrées autour de la pratique, c'est pas de l'histoire de l'art que je fais, même si j'appuie chacune de mes séquences sur des références.

 

Pour ma part, je pense qu'on peut éventuellement laisser obligatoire un enseignement artistique centré autour d'une pratique au collège, mais en laissant l'élève choisir entre au moins arts plastiques et musique (et les deux s'il veut).

Après l'histoire de l'art c'est autre chose, ça manque peut-être en tant que discipline, malgré l'épreuve d'histoire des arts au brevet qui ne sert pas à grand chose telle qu'elle est faite.

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Très honnêtement, j'arrive même pas à comprendre ce que les élèves vont faire entre la 6ème et la 5ème. Des additions/soustractions/multiplications, et quoi d'autre ? Si il n'y a plus de géométrie, d'algèbre, de calcul littéral un peu complexe et d'arithmétique, on peut pas passer 3 ans à leur dire que si ils cliquent sur le bouton, la petit souris à l'écran fera coin-coin...

 

Et pour faire de la programmation, il y a quand même le cours de technologie. Ça sera beaucoup plus fun pour les gamins (*). L'informatique en mathématiques doit se limiter à l'algorithmique et nécessiter au plus une feuille et un crayon.

 

 

(*) Au lieu de filer des tablettes et mettre des écrans interactifs, ils feraient mieux de débloquer des budgets pour acheter des Raspberry Pi, et des imprimantes 3D si ils sont pétés de thunes.

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Je ferais une fusion musique-art plastique que j’appellerais histoire de l'art.

Ah oui, et il faudrait un prof qui soit spécialiste de l'histoire de l'art et de l'histoire de la musique ? Il aurait fait quoi comme étude ?

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En option oui. Il y a quand même pleins de gens pas du tout fait pour ça pour qui ça n'aura ni intérêt, ni utilité...encore les mathématiques, ça fait partie d'une culture plus générale.

Tu me diras les arts plastiques ou la musique c'est exactement la même chose. Je suis d'accord. Moi je pense que ça devrait être une option.

Ben dans l'idéal tout serait en option. Et on appellerait ça l'école libre.
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Ben dans l'idéal tout serait en option. Et on appellerait ça l'école libre.

Nan mais là j'imagine des trucs un tant soit peu réalistes. :lol:

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Personnellement, j'hésite entre la franche déprime et le cynisme en voyant la façon dont l'enseignement scientifique est

pilonné depuis 20 ans par le ministère. CPEF.

Tiens, tu as peut-être des infos que nous n'avons pas. A ton avis, pourquoi font-ils ça ? Qui y a intérêt, et dans quel but ?

Ah oui, et il faudrait un prof qui soit spécialiste de l'histoire de l'art et de l'histoire de la musique ? Il aurait fait quoi comme étude ?

Tu sais, il y a des profs qui enseignent l'histoire et la géographie, alors que les deux disciplines n'ont rien à voir ensemble.
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Ah oui, et il faudrait un prof qui soit spécialiste de l'histoire de l'art et de l'histoire de la musique ? Il aurait fait quoi comme étude ?

Histoire de l'art vu que la musique est un art.

Oui je sais que musique et art plastique :P sont centrés sur le pratique, mais comme en pratique je n'ai pas appris grand chose et que c'est chiant la flûte à bec...

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Tu sais, il y a des profs qui enseignent l'histoire et la géographie, alors que les deux disciplines n'ont rien à voir ensemble.

Pour moi, il y en a déjà plus qu'entre le physique et la chimie par exemple.

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A ton avis, pourquoi font-ils ça ? Qui y a intérêt, et dans quel but ?

 

Le bloggeur marxiste "Descartes" a une théorie sur la question. D'après lui, le pourrissement / sabotage de l'EN correspond à une besoin des classes moyennes d'enfoncer les classes populaires en période de crise prolongée pour limiter la concurrence. C'est un thème qui revient souvent chez lui. Je vous cite un extrait de son billet "De l'agora romaine à l'école sans notes":

 

"On dit souvent que certains enfants sont privilégiés dans leur apprentissage parce que leurs parents ont des livres. Mais ce n’est pas les livres l’essentiel. On peut être entouré de livres et ne pas les lire. Ce qui fait la différence, c’est qu’en général les parents qui habitent des maisons pleines de livres transmettent une certaine image de ce qu’est le savoir et l’apprentissage. Ils la transmettent par l’exemple, ils la transmettent par le fait qu’ils récompensent certains comportements et « découragent » d’autres. Mais le professeur n’est pas le parent. Il n’a pas sur l’enfant l’emprise que peut avoir son père et sa mère. Il a donc besoin d’autres instruments pour dire ce qu’il faut ou ne faut pas faire. En d’autres termes, pour « encourager » ou « décourager » certains comportements. Ces instruments, ce sont les notes. Peu importe la forme qu’elles prennent : chiffres, points de couleur, voire distribution d’images pieuses. Ce qui importe, c’est qu’elles qualifient le travail de l’élève dans une hiérarchie du mérite. C’est cette hiérarchie même que les partisans de la suppression des notes entendent nier.

Et bien entendu, cette négation tient à une nécessité sociale. Si Acadomia et autres officines du même type prospèrent, c’est pace qu’elles ont su répondre à l’angoisse des parents des classes moyennes, terrorisées à l’idée que leurs petits rejetons, ne retrouvent pas le « capital immatériel » qu’ils ont pu constituer. C’est là la tragédie des classes moyennes, dont la position repose sur un capital immatériel qui ne bénéficie pas de la transmission automatique dont bénéficie le capital matériel de la bourgeoisie. Et tant que l’accès à certaines places et professions se fait au mérite, les enfants des classes moyennes sont menacés. Il est donc urgent de rendre l’accès à ces places et ces professions héréditaires. Et cela suppose d’éliminer la hiérarchie au mérite. Certains le disent fort clairement."

-Source: http://descartes.over-blog.fr/2014/12/de-l-agora-romaine-a-l-ecole-sans-notes.html

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Le bloggeur marxiste "Descartes" a une théorie sur la question. D'après lui, le pourrissement / sabotage de l'EN correspond à une besoin des classes moyennes d'enfoncer les classes populaires en période de crise prolongée pour limiter la concurrence. C'est un thème qui revient souvent chez lui. Je vous cite un extrait de son billet "De l'agora romaine à l'école sans notes":

Intéressant, mais à la limite du paranoïaque, comme tout bon marxiste qui se respecte. ;)

Blague à part, ce que je reproche à ce genre de textes, c'est qu'ils n'avancent aucune preuve du lien de cause à effet ; si le crime profite (peut-être, ce n'est même pas complètement certain) à la classe moyenne-sup', il néglige de préciser la courroie de transmission. En effet, ce n'est pas "la classe moyenne-sup'" qui rédige les programmes, mais des types dans un ministère, et qui plus est des gens qui ne sautent que rarement suite à une élection. La question, c'est simplement : qu'est-ce que ces hauts-fonctionnaires-là croient qu'ils font, et dans quel but le font-ils ?

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Intéressant, mais à la limite du paranoïaque, comme tout bon marxiste qui se respecte. ;)

Blague à part, ce que je reproche à ce genre de textes, c'est qu'ils n'avancent aucune preuve du lien de cause à effet ; si le crime profite (peut-être, ce n'est même pas complètement certain) à la classe moyenne-sup', il néglige de préciser la courroie de transmission.

Oh, il y a bien des endroits où il se défend d'avoir une théorie du complot, et explique que c'est une histoire de classes qui rationnalisent leurs idéologies pour engendrer des partis qui défendent inconsciemment leurs intérêts, mais en fin de compte les preuves empiriques manquent toujours. Je mentionne juste cette théorie pour voir si quelqu'un aurait des faits pour la valider ou l'invalider.

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Histoire de l'art vu que la musique est un art.

Ça ne change rien. Quand on parle de l'histoire de l'art en français et en éducation, on ne désigne pas la musique. Si on veut inclure la musique, on parle de l'histoire des arts. C'est peut-être des conventions absurdes, comme l'orthographe, mais c'est comme ça.

 

Oui je sais que musique et art plastique sont centrés sur le pratique, mais comme en pratique je n'ai pas appris grand chose et que c'est chiant la flûte à bec...

La flûte à bec c'est fini au collège. La flûte à bec n'est pas la seule manière de pratiquer la musique.

Donc ça revient bien à supprimer ces disciplines, il n'y a aucune "fusion".

Les supprimer parce que personne ne peut apprendre de la pratique artistique ou parce que tu n'as rien appris ?

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C'est moi ou dans les lycées américains, l'apprentissage des instruments est beaucoup plus large et varié (notamment via la fanfare du lycée etc) ?

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C'est moi ou dans les lycées américains, l'apprentissage des instruments est beaucoup plus large et varié (notamment via la fanfare du lycée etc) ?

Ça a changé depuis le temps où toi et moi étions au collège. Dans mon établissement en tout cas, on joue de tous les instruments, y compris ceux que les élèves possèdent personnellement. Je verrais comment c'est ailleurs à la rentrée prochaine. Mais le temps de la flûte à bec est terminé. Heureusement, car qui d'entre nous est devenu flûtiste ?

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Ok, tant mieux alors. À mon époque (et c'est pas si vieux que ça, années 2000 !) c'était flûte à bec et rien d'autre, niet !

Au final, je me demande si, comme tu le proposais (je crois) l'enseignement artistique ne devrait pas être facultatif, avec l'enseignement physique et sportif. En tout ça représente environ 3/4h de cours par semaine qui pourraient être réinvesties bien plus intelligemment en accompagnement personnalisé pour des élèves dans le besoin ou en heures d'approfondissement (bilingue, prog, etc) pour les élèves en avance. Faire une école avec un tronc commun basique et des élèves qui choisissent additionnellement leurs horaires pour s'adapter aux profils.

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Tiens, tu as peut-être des infos que nous n'avons pas. A ton avis, pourquoi font-ils ça ? Qui y a intérêt, et dans quel but ?

 

 

Difficile de donner une réponse tranchée, je pense qu'il y a une convergence d'idées diverses qui conduisent au même résultat.

 

D'abord presque aucun conseiller ministériel n'a de formation scientifique, presque tous haïssent les mathématiques pour avoir été en échec

dans cette discipline.

 

La piste qui me semble la plus sérieuse, néanmoins : selon toute une partie de la gauche sociale-démocrate à la sauce DSK, tout allongement de la durée d'étude est profitable pour la société. Pour ceux-là, que tout le monde fasse une thèse et la croissance économique sera maousse. Je schématise mais c'est l'idée. Alors pour éviter que cela se voie trop que passent dans les classes supérieures des élèves n'ayant pas digéré les apprentissages,

la mesure la plus rapide est ... de diminuer ces apprentissages et de revoir les exigences à la baisse. 

Pour information, en à peine plus de dix ans, les enseignements de Maths qui étaient auparavant enseignés au niveau L3 le sont maintenant

presque tous au niveau M1 (et sans aucune compensation par l'introduction de nouveaux enseignements). On peut imaginer que cela n'a pu qu'être bénéfique pour les statistiques de réussite en Licence... En tous cas, il y a depuis plusieurs années une pression très nette du Ministère de l'Enseignement Supérieur sur les universités pour qu'elles augmentent (par tous les moyens, cela va sans dire) les taux de réussite dans les premiers cycles...

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C'est inquiétant ce niveau des L3 Maths qui baisse.

 

En parallèle, j'ai l'impression qu'on encourage de plus en plus les étudiants scientifiques de L3 à poursuivre en école d'ingénieurs, dans lesquelles il y a de plus en plus de places disponibles pour les arrivants d'université. Cela ne risque-t-il pas d'affaiblir également les écoles d'ingénieurs à terme ?

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Je sens que le socialiste Bruno Le Roux qui conteste la légitimité de Sarkozy a s'exprimer contre la réforme de Najat Vallaud Belkacem, ferait bien de ne pas agiter le chiffon rouge sinon il va se faire déchiqueter .

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/05/12/97001-20150512FILWWW00145-college-sarkozy-n-a-aucune-legitimitele-roux.php

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A ton avis, pourquoi font-ils ça ? Qui y a intérêt, et dans quel but ?

 

La part des élèves qui arrivent en 6ème avec moins de 200 mots de vocabulaire ne fait qu'augmenter et c'est autant d'élèves incapables de - ou avec des difficultés pour - développer un raisonnement logique un peu complexe, ce qui tire inévitablement le niveau du collège vers le bas. Problem solved.

 

Ou peut-être que les deux ne sont pas liés mais ça m'étonnerait fortement.

 

Sinon : Conseil supérieur des programmes

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La part des élèves qui arrivent en 6ème avec moins de 200 mots de vocabulaire ne fait qu'augmenter

 

j'ai passé un concours de selection pour entrer en 6 ème dans une école privée où il y avait une épreuve qui consistait en 15 minutes à inscrire le maximum de mots commençant par une lettre tirée au sort.

 

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Le bloggeur marxiste "Descartes" a une théorie sur la question. D'après lui, le pourrissement / sabotage de l'EN correspond à une besoin des classes moyennes d'enfoncer les classes populaires en période de crise prolongée pour limiter la concurrence. C'est un thème qui revient souvent chez lui. Je vous cite un extrait de son billet "De l'agora romaine à l'école sans notes":

 

"On dit souvent que certains enfants sont privilégiés dans leur apprentissage parce que leurs parents ont des livres. Mais ce n’est pas les livres l’essentiel. On peut être entouré de livres et ne pas les lire. Ce qui fait la différence, c’est qu’en général les parents qui habitent des maisons pleines de livres transmettent une certaine image de ce qu’est le savoir et l’apprentissage. Ils la transmettent par l’exemple, ils la transmettent par le fait qu’ils récompensent certains comportements et « découragent » d’autres. Mais le professeur n’est pas le parent. Il n’a pas sur l’enfant l’emprise que peut avoir son père et sa mère. Il a donc besoin d’autres instruments pour dire ce qu’il faut ou ne faut pas faire. En d’autres termes, pour « encourager » ou « décourager » certains comportements. Ces instruments, ce sont les notes. Peu importe la forme qu’elles prennent : chiffres, points de couleur, voire distribution d’images pieuses. Ce qui importe, c’est qu’elles qualifient le travail de l’élève dans une hiérarchie du mérite. C’est cette hiérarchie même que les partisans de la suppression des notes entendent nier.

Et bien entendu, cette négation tient à une nécessité sociale. Si Acadomia et autres officines du même type prospèrent, c’est pace qu’elles ont su répondre à l’angoisse des parents des classes moyennes, terrorisées à l’idée que leurs petits rejetons, ne retrouvent pas le « capital immatériel » qu’ils ont pu constituer. C’est là la tragédie des classes moyennes, dont la position repose sur un capital immatériel qui ne bénéficie pas de la transmission automatique dont bénéficie le capital matériel de la bourgeoisie. Et tant que l’accès à certaines places et professions se fait au mérite, les enfants des classes moyennes sont menacés. Il est donc urgent de rendre l’accès à ces places et ces professions héréditaires. Et cela suppose d’éliminer la hiérarchie au mérite. Certains le disent fort clairement."

-Source: http://descartes.over-blog.fr/2014/12/de-l-agora-romaine-a-l-ecole-sans-notes.html

 

Je grosso modo d'accord, et je trouve ce texte très intéressant. J'insiste sur "grosso modo", car pour moi il fait un certain nombre d'erreurs dans sa grille sociologique (version courte : il confond classes moyennes et classe supérieures, ouvriers et rentiers, ... bref il fait toutes les erreurs sociologiques de cette gauche tiers mondiste idiote utile de l'oligarchie. Pour la version longue je pourrai développer).

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Les gens qui ont désir de pouvoir ou reconnaissance mais sont incapables de s'élever par eux-mêmes

déploient des stratégies multiples et très variées pour abaisser le niveau de ceux qu'ils côtoient.

ça peut être conscient ou inconscient, mais c'est un atavisme très puissant et hélas souvent efficace.

Beaucoup de gens de l'ednat qui oeuvrent quotidiennement à l'abaissement du niveau scolaire relèvent de ce schéma ama.

 

 

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La part des élèves qui arrivent en 6ème avec moins de 200 mots de vocabulaire ne fait qu'augmenter et c'est autant d'élèves incapables de - ou avec des difficultés pour - développer un raisonnement logique un peu complexe, ce qui tire inévitablement le niveau du collège vers le bas. Problem solved.

Je ne sais pas si c'est vrai mais j'avais entendu un professeur de français auditionner par une commission parlementaire disant qu'un élève en fin de 4ème aujourd'hui a reçu autant d'heures d’enseignements du français qu'un élève sorti du primaire il y a 20 ou 25 ans.

Comment voulez-vous apprendre quoi que ce soit si vous ne maîtrisez pas la langue.

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