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École & éducation


Messages recommandés

L'école 42 ne délivre même pas de titre d'ingénieurs et n'a strictement aucune réputation. Dans le milieu des ingénieurs, c'est assez méprisé comme école.

Les écoles qui ne sont pas la certification CTI sont souvent dénigrées.

Je ne suis pas sur que ça soit vrai, ça dépend peut être de quel "milieu des ingenieurs" on parle.

Mais de toute façon en informatique la compétence est bien plus importante que le diplôme, on peut même faire sans ce dernier.

Ça peut paraître incroyable, mais une école peut aussi servir a acquérir des compétences, pas seulement un diplôme.

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Je ne vois même pas quel travail tu peux trouver en étant diplômé de "Gender Studies".

 

SJW professionel ? Mais qui payerait pour ça ?

 

Professeur de gender studies.

Qui fera d'autres etudiants en gender studies.

Qui deviendront a leur tour professeurs.

etc....

 

D'ou la croissance exponentielle de leur presence.

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Je ne suis pas sur que ça soit vrai, ça dépend peut être de quel "milieu des ingenieurs" on parle.

Mais de toute façon en informatique la compétence est bien plus importante que le diplôme, on peut même faire sans ce dernier.

Ça peut paraître incroyable, mais une école peut aussi servir a acquérir des compétences, pas seulement un diplôme.

 

Evidemment pour les compétences.

 

Après, je ne suis pas dans une école top, j'ai fini en post bac à cause d'une réorientation. Mais même là l'école 42 n'est pas très cotée.

 

Et aussi, il faut voir quel est le niveau académique des étudiants qu'ils recrutent. Si ils recrutent des mecs qui n'ont même pas mention au bac...

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Evidemment pour les compétences.

Après, je ne suis pas dans une école top, j'ai fini en post bac à cause d'une réorientation. Mais même là l'école 42 n'est pas très cotée.

Et aussi, il faut voir quel est le niveau académique des étudiants qu'ils recrutent. Si ils recrutent des mecs qui n'ont même pas mention au bac...

42 a 2 ans, faut attendre quelques promos. Y a pas si longtemps, EmLyon, EDHEC et Audencia ne valaient pas grand chose. À l'inverse Sciences-Po ne doit sa renommée qu'à ses relais médiatiques et politiques.
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42 a 2 ans, faut attendre quelques promos. Y a pas si longtemps, EmLyon, EDHEC et Audencia ne valaient pas grand chose. À l'inverse Sciences-Po ne doit sa renommée qu'à ses relais médiatiques et politiques.

 

Science Po Paris a un concours d'entrée très sélectif et ils ont des intervenants prestigieux.

 

Mais ce qui fait la valeur de l'école, c'est le réseau en grande partie oui.

 

Une école trop récente, ce n'est pas un bon pari pour un étudiant.

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Et aussi, il faut voir quel est le niveau académique des étudiants qu'ils recrutent. Si ils recrutent des mecs qui n'ont même pas mention au bac...

C'est une école d'informatique, aucun rapport avec le bac.

Il n'y a d'ailleurs pas besoin d'avoir le bac pour entrer a 42, ça n'aurait aucun sens.

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C'est une école d'informatique, aucun rapport avec le bac.

Il n'y a d'ailleurs pas besoin d'avoir le bac pour entrer a 42, ça n'aurait aucun sens.

 

Si une filière recrute des cancres, ce n'est pas très valorisant.

 

Et on commence à faire de l'info au collège/lycée.

 

Et l'informatique demande de faire des mathématiques à un bon niveau aussi.

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C'est une école d'informatique, aucun rapport avec le bac.

Il n'y a d'ailleurs pas besoin d'avoir le bac pour entrer a 42, ça n'aurait aucun sens.

Heu alors faut pas oublier non plus qu'aujourd'hui en France à 18 ans sans diplôme il y a plus de chance d'être un cassos' illettré qu'un génie du code incompris.
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bon a savoir bis

Me fait penser a des historiens engagés en finance au UK

 

Hors Oxbridge/St Andrews ?

 

J'ai un pote qui recrute chez Micheal Page, les diplômes ils n'en ont pas grand chose à faire de manière générale. Tant que c'est à peu près le bon secteur.

 

Mouais, après, le système anglo-saxon où on te demande ton GPA tout le temps, je suis pas fan. Le système français te laisse beaucoup plus libre.

 

Oh, on ne t'a pas attendu. Centrale, par exemple, est quasiment privée (consulaire, en fait), et ça ne l'empêche pas de tailler des croupières à l'X.

 

 

Non :). Centrale est publique depuis plus d'un siècle. Elle dépend du Ministère de l’Éducation ; son budget est d'ailleurs assez minable en face de ses concurrentes directes. Sur le dernier exercice que je connais, environ 50% du budget provient du "privé", mais privé, ici, recouvre aussi la taxe d'apprentissage. Toutefois, j'ai cru comprendre que l'idée avait traîné, vers l'an 2000, de privatiser l’École, ça a fait long feu et on se retrouve aujourd'hui à fusionner avec Supélec (ce qui se défend), en passant de force Supélec sous un statut public (alors qu'elle était, elle, une asso 1901 - bien que très dépendante de l'Etat également :) ).

 

"Fondée sur une initiative privée, mais néanmoins prémonitoire", comme on dit, l’École a été cédée gracieusement à l’État par son fondateur, Alphonse Lavallée, bénis soient les saint-simoniens, parce qu'il pensait que, seul, il pourrait assurer sa pérennité. Pour l'histoire, au moment de la cession, l'argument principal des rapporteurs à l'Assemblée et au Sénat était la rentabilité de l'Ecole. Au moment de signer les papiers, Napoléon III dit à ses ministres : "Messieurs, je viens vous proposer de donner à l'Etat une nouvelle Ecole qui ne lui coûtera rien, mais qui rapporte aujourd'hui même plus de 100 000 francs par an."

 

42 a 2 ans, faut attendre quelques promos. Y a pas si longtemps, EmLyon, EDHEC et Audencia ne valaient pas grand chose. À l'inverse Sciences-Po ne doit sa renommée qu'à ses relais médiatiques et politiques.

 

Sciences Po est passée de quelques centaines d'élèves triés sur le volet à des milliers d'élèves en quelques années. Ça change beaucoup de choses.

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L'école 42 ne délivre même pas de titre d'ingénieurs et n'a strictement aucune réputation. Dans le milieu des ingénieurs, c'est assez méprisé comme école.

Les écoles qui ne sont pas la certification CTI sont souvent dénigrées.

Dénigrées, parfois pour de bonnes raisons, parfois pour de mauvaises.

Je connais un diplômé d'une "école d'ingénierie" informatique (donc pas une "école d'ingenieurs"), qui gagne très, très bien sa vie et est professionnellement très respecté dans son domaine. Évidemment, quand on n'a pas de petit label officiel pour se protéger dans les moments un peu bas, ça implique qu'on doit être bon dans ce qu'on fait.

Je ne suis pas sur que ça soit vrai, ça dépend peut être de quel "milieu des ingenieurs" on parle.

Mais de toute façon en informatique la compétence est bien plus importante que le diplôme, on peut même faire sans ce dernier.

Ça peut paraître incroyable, mais une école peut aussi servir a acquérir des compétences, pas seulement un diplôme.

Indeed. Je connais un alpha geek qui a son bac comme dernier diplôme, alors qu'il programme couramment en bytecode Java ultra-performant (quand il ne met pas directement d'assembleur pour adapter son code à la série particulière de processeurs sur lesquels il va tourner).

J'ai un pote qui recrute chez Micheal Page, les diplômes ils n'en ont pas grand chose à faire de manière générale. Tant que c'est à peu près le bon secteur.

Tu me diras, pour ce que le recruteur moyen peut comprendre à un CV... quand il le lit.
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Science Po Paris a un concours d'entrée très sélectif et ils ont des intervenants prestigieux.

Mais ce qui fait la valeur de l'école, c'est le réseau en grande partie oui.

Une école trop récente, ce n'est pas un bon pari pour un étudiant.

SP Paris n'a plus un concours si exigeant depuis la dernière réforme qui a supprimé la Culture G aux épreuves. Maintenant c'est surtout le dossier qui compte avec, bien entendu, ta jolie mention au bac et surtout les recommandations.

Et sinon je confirme pour l'esprit de l'école. Tu viens y chercher un diplôme, tu n'y apprends rien. Beaucoup de personnes voient Paris comme une école prestigieuse, alors que ce n'est rien de moins qu'une passerelle pour l'ENA, école qui galère de plus en plus à obtenir des candidats aux fils des ans et qui essuit toujours plus de critiques.

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J'ai vu qu'un travail de première année de l'ENA consistait à fixer le bon taux directeur pour maximiser le PIB. Ce qui explique un peu la catastrophe française actuelle.

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Si une filière recrute des cancres, ce n'est pas très valorisant.

Encore une fois on peut aussi aller à l'école pour y apprendre des choses, pas forcément pour que ça soit valorisant.

Et l'informatique demande de faire des mathématiques à un bon niveau aussi.

Même si c'était vrai (ça ne l'est pas) je ne vois toujours pas le rapport avec le bac (même en terminale S on fait assez peu de math).

J'ai eut un collègue qui avait pas été au delà de la 4ème faire de l'analyse vocale avec des décomposition en série de Fourier.

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Heu alors faut pas oublier non plus qu'aujourd'hui en France à 18 ans sans diplôme il y a plus de chance d'être un cassos' illettré qu'un génie du code incompris.

Sans doute mais quand on sélectionne on essaye de laisser le moins possible de place à la chance. Et si le critère pour recruter c'est juste d'avoir le bac, alors tu es sur d'avoir 90% d'élèves qui ont rien à foutre la.

Inversement tu t'interdit bêtement de prendre ceux qui sont passionné par le sujet, et qui ont pas le temps ou l'envie de faire plaisir à maman en ayant son bac.

Le bac est un très mauvais critère de sélection pour une école qui se veut d'elite.

Il me semble que le mieux c'est de tester les candidats, ce que fait 42.

Je précise que j'ai aucun opinion éclairé sur cette école, mais leur mode de sélection me paraît être du bon sens.

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